Maupertus-sur-Mer — Wikipédia

Maupertus-sur-Mer
Maupertus-sur-Mer
L'anse du Brick à Maupertus.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Thierry Gervaise
2020-2026
Code postal 50330
Code commune 50296
Démographie
Gentilé Maupertusais
Population
municipale
221 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 65 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 39′ 28″ nord, 1° 29′ 04″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 152 m
Superficie 3,42 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Val-de-Saire
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Maupertus-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Maupertus-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : Manche
Voir sur la carte topographique de la Manche
Maupertus-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Maupertus-sur-Mer

Maupertus-sur-Mer (Maupertus jusqu'en 1948, prononcé [mopɛʁty]) est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 221 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Le point culminant de la commune est à 152 m, et son point le plus bas au niveau de la mer.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 10,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 069 mm, avec 15,3 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Gonneville-Le Theil à 3 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 940,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Maupertus-sur-Mer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[13]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (53,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (33,7 %), terres arables (18,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (18,6 %), zones urbanisées (12 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,2 %), forêts (7,4 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %), zones humides côtières (0,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Malpertus en 1217, Malo Pertuso vers 1280[17], Malpertusus sans date.

Le toponyme est issu de l'ancien français mal pertuis, « mauvais passage »[18],[17], dont mal pertus est une forme locale[19] et désignerait l'entrée du port[17].

La prononciation est [mopɛʁty][20].

La référence à la mer est rajoutée en 1948[21].

Le gentilé est Maupertusais[22].

Microtoponymie[modifier | modifier le code]

L'anse du Poulet, avec poulet issu du scandinave pollr qui signifie : anse arrondie, petite baie[23].

Histoire[modifier | modifier le code]

Comme dans les communes de Réthoville ou de Flamanville, on a trouvé à Maupertus des coins en bronze, attestant d'une occupation ancienne[24].

Vers 1180, Hamon Le Bouteiller, bailli du Cotentin, qui tenait le fief de Maupertus, donna l'église aux religieux de Longues[22]. Plus tard, le fief passa dans la famille de Pirou. En 1544, Olivier de Pirou portait les titres de seigneur de Fermanville, Beaumont et Maupertus. À la mort de son fils, Jean de Pirou, la succession est partagée entre ses trois sœurs. C'est Jeanne, mariée au sieur de Vauville, Louis Le Poupet, qui reçut Maupertus et Beaumont[Note 4]. Comme à Gonneville, c'est le neveu de Jeanne, Charles Jallot (1600-1673), fils de Charlotte de Pirou qui recueillit le fief de Maupertus et l'ajouta à celui de Gonneville. Charles Jallot marié à Suzanne de Bellefonds avec qui il eut plusieurs enfants, dont la dernière fille, Suzanne comme sa mère, qui épousa le marquis Antoine de Longaunay, gouverneur des ville et château de Carentan. C'est son fils, François-Antoine de Longaunay, qui succéda en 1673 à son grand-père Charles Jallot[23].

Au moment de la Révolution, Jean-Nicolas de Berruyer, capitaine de dragons du régiment de la reine, seigneur châtelain de Maupertus, Quinéville, Gonneville, Fermanville, le Breuil, Mesnil-Eury et autres lieux, dut en , émigrer[26]. Après la Révolution, le presbytère, l'écurie, le pressoir et un herbage de trois vergées furent achetés par M. Lecourt, mais ayant de faibles ressources, il les revendit à des particuliers, qui eux-mêmes les revendirent en 1824 à la commune[27]. Jean-François Lecourt (1747-1819) curé de Maupertus au moment de la Révolution qui avait prêté serment à la Constitution civile du clergé et s'était rétracté publiquement, continua d'exercer son ministère et se cachait avec l'aide du maire, Charles Dorey, qui le prévenait en cas de perquisition.

Jusqu'en 1800, la commune appartenait au canton de Digosville. À cette date, elle fut rattachée et ce jusqu'au élections de 2015 au canton de Saint-Pierre-Église[28] avant d'être rattaché au nouveau canton du Val-de-Saire.

De 1827 à 1837, il y eut une école avec pensionnat où des jeunes gens de Cherbourg venaient pour y apprendre le latin, mais qui dut fermer, car son fondateur n'avait pas demandé l'autorisation, comme exigée par la loi[27].

Le , on pose la première pierre de la nouvelle église Saint-Martin, qui sera consacrée le .

En 1943, à la suite de la volonté des Allemands d'agrandir le terrain d'aviation, il est ordonné à la population de transférer le cimetière resté sur le site de l'ancienne église. Les corps seront alors transférés par la population dans le nouveau cimetière autour de l'église[29].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires[22]
Période Identité Étiquette Qualité
1796 1797 Charles Dorey    
         
1935 1965 Désiré Vautier    
1965 1969 Max Tornes    
1969 1983 Louis François Bourdet    
1983 1989 Pierre Durel    
1989 1995 Eugène Raymond Tirel    
1995 mars 2001 Thierry Gervaise    
mars 2001 2020 Michel Lemaréchal[30] SE Chef de service ESAT
2020 En cours Thierry Gervaise    
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[30].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

En 2021, la commune comptait 221 habitants[Note 5], en stagnation par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Maupertus a compté jusqu'à 467 habitants en 1821.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
359320411467381325315334326
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
318328340273282237222195172
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
168171178242223204170190162
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
120107154216242270259257229
2018 2021 - - - - - - -
219221-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Jusqu'en 1922 a fonctionné une carrière, achetée par la ville de Lille pour fournir les pavés nécessaires à cette dernière[28].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le menhir de la Grande Pierre.
Le manoir de Maupertus.
  • Aéroport de Cherbourg - Maupertus, qui s'étend sur les communes de Maupertus et Gonneville, et dont la construction a débuté en 1937[29]. Lors de la Seconde Guerre mondiale il a été vivement défendu par les Allemands qui y avaient installé des batteries de DCA.
  • Menhir de la Grande Pierre en poudingue (2500 à 4000 ans av. J.-C.), sur le bord de la D611 classé au titre des monuments historiques depuis 1889[34]. D'une hauteur de quatre mètres, il avait été abbatu pendant la Seconde Guerre mondiale et fut relevé en 1997 en limite de l'aéroport.
  • Manoir de Maupertus (XVe, XVIe – XIXe siècles). La ferme-manoir avec un vieux puits en pierre, construite par la famille de Pirou, seigneur de Maupertus, est partiellement inscrite au titre des monuments historiques depuis le [35].
  • Église Saint-Martin reconstruite à partir de 1872 en style néogothique au centre de la paroisse, en grande partie aux frais personnels de Marie-Barbe de Longaunay (1794-1891)[27],[Note 6] et avec le concours de la population qui offrit son travail, pour remplacer l'ancienne église Saint-Martin dont il ne reste plus de trace[36] et qui se dressait au Clos de l'église. La nouvelle église fut consacrée en 1886.
Elle arbore au fronton de son portail un haut-relief saint Martin et le pauvre (XVIe). À l'intérieur, christ en croix (XVIIIe), tableau donation du rosaire (XVIIIe), fonts baptismaux (XVIIIe).
  • Croix de cimetière (XVIIe siècle).
  • Puits en pierre au hameau de La Rue.
  • Restes d'une position allemande, sur un éperon rocheux, surmontant le site du Grand Castel.
  • Site du Grand Castel interprété comme une vigie romaine[Note 7]. En 1788, on y a découvert plus de 80 médailles du Haut-Empire[28].
  • Anse du Brick, partagée entre Maupertus et Fermanville, et où la plaine côtière a presque complètement disparue, et offre des altitudes supérieures à 40 mètres dominant directement la mer[37]. Cavité de la pointe du Brick classée espace naturel.
  • Anse du Poulet.

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Catherine reçut Fermanville, et Charlotte Gonneville[25].
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Marie-Barbe de Longaunay avait épousé le riche marquis de Briges (1784-1857).
  7. Certains auteurs y ont vu un château féodal, bien que le site ne soit pas assez vaste pour une telle construction.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Maupertus-sur-Mer et Gonneville-Le Theil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Gonneville » (commune de Gonneville-Le Theil) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Gonneville » (commune de Gonneville-Le Theil) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  14. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b et c Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, Genève, (lire en ligne), p. 1367.
  18. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
  19. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 193.
  20. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 169.
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. a b et c Gautier 2014, p. 395.
  23. a et b Bavay, Vikland n°5, p. 31.
  24. Jeannine Bavay et Edmond Thin, « Réthoville », Vikland, la revue du Cotentin, no 6,‎ juillet-août-septembre 2013, p. 38 (ISSN 0224-7992).
  25. Bavay, Vikland n°5, p. 38.
  26. Thin, Le Val de Saire, p. 24.
  27. a b et c Bavay, Vikland n°5, p. 32.
  28. a b et c Bavay, Vikland n°5, p. 30.
  29. a et b Bavay, Vikland n°5, p. 33.
  30. a et b Réélection 2014 : « Maupertus-sur-Mer (50330) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. « Menhir », notice no PA00110451, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Manoir », notice no PA00110450, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Thin, Le Val de Saire, p. 101.
  37. Thin, Le Val de Saire, p. 158.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Jeannine Bavay, « Maupertus-sur-Mer », Vikland, la revue du Cotentin, no 5,‎ avril-mai-juin 2013, p. 30-33 (ISSN 0224-7992).
  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 133.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 395.
  • Edmond Thin, Le Val de Saire : Trésors d'un jardin du Cotentin sur la mer, Éditions OREP, , 165 p. (ISBN 978-2-915762-82-2), p. 100-103.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]