Montebourg — Wikipédia

Montebourg
Montebourg
L'église Saint-Jacques.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Jean-Pierre Mauquest
2020-2026
Code postal 50310
Code commune 50341
Démographie
Gentilé Montebourgeois, Cassins
Population
municipale
2 001 hab. (2021 en diminution de 3,89 % par rapport à 2015)
Densité 340 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 29′ 16″ nord, 1° 22′ 46″ ouest
Altitude Min. 21 m
Max. 116 m
Superficie 5,89 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Valognes
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Montebourg
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Montebourg
Géolocalisation sur la carte : Manche
Voir sur la carte topographique de la Manche
Montebourg
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Montebourg
Liens
Site web mtbg341.jimdo.com

Montebourg est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 2 001 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune est à l'est de la péninsule du Cotentin. Son bourg est à 7,5 km à l'est de Valognes, à 10 km au nord-ouest de Sainte-Mère-Église et à 17 km au sud-ouest de Saint-Vaast-la-Hougue[1].

Montebourg est desservie par la ligne no 1 (Cherbourg-Octeville - Valognes - Carentan - Saint-Lô) du transport en commun départemental par bus Manéo.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 847 mm, avec 13,6 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sainte-Marie-du-Mont à 16 km à vol d'oiseau[5], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 890,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Montebourg est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (60,1 %), zones urbanisées (17,5 %), terres arables (15,3 %), mines, décharges et chantiers (6,1 %), zones agricoles hétérogènes (1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme est attesté sous la forme latinisée Montis Burgi en 1042[15].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -bourg. L'appellatif bourg est issu dans la région du vieux normand burc, borc, semblable à l'ancien français borc (> bourg). Il apparaît dans des noms de lieux régionaux tels que Cherbourg, Jobourg, Cabourg, Vambourg, Caillebourg, etc. dans des formations qui peuvent être d'origine saxonnes ou anglo-scandinaves. Cependant Montebourg est un composé roman, puisque l'élément Monte- remonte ultimement au latin. Il s'agit sans doute d'un déverbal utilisé au sens de « monte bourg », c'est-à-dire « le bourg vers lequel on monte » et non pas un « bourg du mont » comme l'indique la forme latine, qui aurait donné *Montbourg[15].

Le site de Montebourg, dit René Lepelley, s’élève à environ 70 mètres au-dessus du niveau de la mer alors que Valognes, à cinq kilomètres de là, n’est qu’à 35 mètres.

Le gentilé est Montebourgeois. Les habitants sont également couramment appelés « Cassins », ce qui évoque la fondation de l'abbaye sur le modèle bénédictin de Mont-Cassin en Italie[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

On connaît peu de choses des origines de la paroisse de Montebourg qui apparaît dans les sources médiévales en 1042 dans un acte de Guillaume de Normandie pour l’abbaye Saint-Vigor de Cerisy, dans lequel celui-ci concède des droits dans la forêt de Montebourg[17]. Mais, à cette époque, on n’a pas encore mention d’une communauté d’habitants ni d’une paroisse. C'est Guillaume, qui dans la deuxième moitié du XIe siècle fonde l'abbaye Notre-Dame, qui est du domaine ducal. La paroisse est à nouveau mentionnée dans des actes du duc Robert Courteheuse.

Au début de la guerre de Cent Ans, lors de la chevauchée d'Édouard III qui se terminera par la bataille de Crécy et la reddition de Calais, l'armée anglaise, fraîchement débarquée à la Hougue le , prend et brûle la ville[18].

En 1379, la place est tenue par Guillaume des Bordes, lieutenant du roi de France en Basse-Normandie. Froissart raconte que ce dernier, cette année là, à la Saint-Martin d'été (Saint-Martin le bouillant), le , il part avec ses principaux lieutenant pour marcher sur Cherbourg, dont le commandant Anglais, John Harliston, par hasard sort lui aussi. Les deux troupes se rencontreront dans la forêt de Brix[19].

En juin 1944, Montebourg, qui se situe à quelques kilomètres au nord-ouest d'Utah Beach, sera le lieu de durs combats dès les premiers jours de la bataille de Normandie[20]. Dès leur débarquement sur les plages proches, les Américains essayent de progresser vers le nord pour prendre Cherbourg et son port, vital pour l'approvisionnement des troupes alliées. Ils vont se heurter à hauteur de Montebourg à une forte résistance allemande. Ainsi du au , la 4e division d'infanterie américaine commandée par le général Barton et une partie de la 29e division d'infanterie américaine vont être bloquées devant une ligne Le Ham - Éroudeville - Montebourg - Quinéville par la résistance des 243e Infanterie-Division commandée par le général Hellmich (sur le secteur d'Éroudeville - Montebourg) et de la 709e Infanterie-Division allemandes commandée par la général von Schlieben (secteur de Montebourg - Quinéville)[20].

Montebourg est en grande partie détruite pendant ces combats. Cette résistance poussera le commandement américain à favoriser une attaque vers l'ouest, à travers les zones inondées du Merderet, conduisant à la coupure du Cotentin.

Foires de Montebourg[modifier | modifier le code]

Depuis le XIe siècle, Montebourg est dans le Cotentin une importante ville de foire, réputée pour les bovins, avec pas moins de onze foires annuelles, drainant des marchands vers la commune.

C'est au cours du XIIIe siècle qu'est créée la foire annuelle de La Chandeleur ()[21]. D'autres foires se déroulaient à Montebourg : les Brandons (en février) ; le se tenait la foire dite de la Maresque ; à la veille des Rameaux, la foire de la Fleurye ; aux Rogations le jeudi après l'Ascension, celle de Rouvaysons ; une autre foire le (ventes de moutons), ainsi que, à une époque plus récente, celle de la Saint-Floxel en septembre (concours de poulinières), sur la place Saint-Jacques[22].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Montebourg

Les armes de la commune de Montebourg se blasonnent ainsi :
De gueules à la croix ancrée d’or.[23]

On trouve ce blason dans l’église Saint-Jacques, sur un cartouche au pied du christ en croix sur la « perque » qui marque la séparation du chœur et de la nef entre les deux piliers de l’arc triomphal. L’écu de Montebourg est placé sur deux bourdons (bâtons de pèlerins) posés en sautoir ; en dessous pend une coquille Saint-Jacques, qui rappelle le passage des pèlerins anglais en marche vers le Mont-Saint-Michel et plus loin, Compostelle en Espagne.

La commune est décorée de la croix de guerre 1939-1945 par décret du , avec palme de bronze[24].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
juin 1944 mars 1959 Albert Pèlerin RPF Garagiste
Conseiller général de Montebourg (1951 → 1958)
mars 1959 mars 1965 Raymond Éliard   Médecin
mars 1965 mars 1989 Henri Lecacheux CNI Négociant
Conseiller général de Montebourg (1958 → 1976 et 1982 → 1988)
Président du SIVOM de la région de Montebourg
Président de l'Association des maires de la Manche (1983 → 1989)
Maire de Saint-Cyr (1962 → 1965)
mars 1989 juin 1995 Alain Huraux   Kinésithérapeute
juin 1995 mars 2001 Louis Lecacheux   Agriculteur retraité
mars 2001[25] En cours Jean-Pierre Mauquest[26] DVD Technicien de maintenance
Pour les données antérieures, dérouler la boîte ci-dessous.

Le conseil municipal est composé de dix-neuf membres dont le maire et deux adjoints[26].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

En 2021, la commune comptait 2 001 habitants[Note 4], en diminution de 3,89 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Montebourg a compté jusqu'à 2 535 habitants en 1836.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 1342 3912 4272 5342 5232 5352 5022 4942 471
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 2612 2142 3042 1722 2342 2332 1492 0492 161
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 1751 9571 8311 6471 6141 5671 5421 2121 577
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 8272 0262 0391 9562 0522 0222 0132 0982 085
2021 - - - - - - - -
2 001--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

La commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny[32].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'abbaye de Montebourg.
La statue équestre de Jeanne d'Arc.
  • Oppidum du Mont Castre, antérieur à la conquête romaine[33] et dont la réoccupation militaire du site par les romains peut-être envisagée[34]. Mentionné sous le nom d'« Oppidum Duurunum » dans la Passion de saint Floxel, le site pourrait également avoir abrité un habitat aristocratique. La fortification se compose d'une vaste enceinte enserrant à la fois le sommet et le flanc nord d'un relief culminant à 108 m d'altitude. Les talus qui peuvent atteindre 6-8 mètres de hauteur, sont par endroits renforcés de parements résiduels en blocs de grès armoricain[35].
  • Église Saint-Jacques du XIVe siècle avec flèche en pierre. Elle est en partie détruite pendant le débarquement, et sur laquelle sont encore visibles des impacts de balles et d'obus. Sa construction avait été décidée par l'abbé de Montebourg au début du XIVe siècle : elle a été consacrée le par l'évêque de Coutances, Guillaume de Thieuville. Un vitrail du XIXe placé dans le bas-côté sud du chœur, détruit en 1944, rappelait cet événement. L'édifice, restauré selon les plans de Yves-Marie Froidevaux et J. Traverse, reste inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du [36]. Elle abrite un chapiteau du XIIe servant de fonts baptismaux et deux statues de saint Jacques, l'une en pèlerin, l'autre en apôtre, classés au titre objet[37], et une verrière du XXe de Pierre Potet.
  • Abbaye Sainte-Marie fondée par Guillaume le Conquérant dans la deuxième moitié du XIe siècle selon l'ordre de Saint-Benoît observé au Mont Cassin, et confiée par le roi Henri Ier Beauclerc à Richard de Reviers au début du XIIe siècle. L'église a été consacrée seulement en 1152, en présence de l'archevêque de Rouen Hugues d'Amiens, des évêques de Coutances et d'Évreux, et des seigneurs locaux, dont Guillaume de Vernon, patron et protecteur de l'abbaye. Les bâtiments, vendu comme biens nationaux ont été détruits pendant et après la Révolution française (1818), mais l'église a été reconstruite en style néo-roman entre 1892 et 1903. Aujourd'hui, les bâtiments de l'abbaye sont occupés par un collège et lycée agricole privé. Le logis abbatial date du XVIIe siècle.
  • Ferme de l'abbaye.
  • Statue de Jeanne d'Arc, sculptée par Pierre Le Nordez[38] (cheval) et Mathurin Moreau (Jeanne d'Arc) à la fin du XIXe siècle, inscrite au titre des monuments historiques depuis le [39]. C'est l'évêque Albert Le Nordez, né à Montebourg, qui l'a commandée à son oncle[40].
  • Monument dédié aux soldats de la 4e division d'infanterie US morts lors des combats de libération de la commune. Il est érigé avec les pierres d'une échauguette du XVe siècle[33].
  • Vieux quartiers de la Foulerie.

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

L'Amicale sportive de Montebourg fait évoluer trois équipes de football en divisions de district[41].

La Société des amis des écoles laïques de Montebourg (SAEL) propose différentes disciplines (tir à l'arc, boxe française, tennis de table, badminton…).

Manifestations[modifier | modifier le code]

Une « foire de la chandeleur », dont l'origine remonte au Moyen Âge[42], a lieu chaque année à Montebourg fin janvier ou début février[43].

Jumelages[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • François de Carbonnel de Canisy (baptisé vers 1656 - mort en 1723), abbé commendataire de l'abbaye de Montebourg ; en 1718, il fonde l'hôpital de Montebourg.
  • Charles-François Tiphaigne de La Roche (né le à Montebourg où il est mort le ), médecin et écrivain français.
  • Guillaume Besnard-Duchesne (né en 1747 à Montebourg - 1826), homme politique français, lieutenant particulier du bailliage de Valognes, député du tiers état aux états-généraux de 1789, député de la Manche, en 1815, pendant les Cent-Jours.
  • Ernest Le Nordez (né en 1839 à Montebourg, mort à Marseille en 1905), journaliste-écrivain français ; frère ainé d'Albert Le Nordez.
  • Albert Le Nordez (né en 1844 à Montebourg, et mort en 1922 dans cette même ville), conférencier et prélat catholique français. Il est aussi connu pour l'affaire Le Nordez, simple polémique devenue affaire d'État, précipitant l'adoption de la loi de séparation des Églises et de l'État, en 1905.
  • Paul Le Cacheux (né en 1873 à Montebourg - 1938), historien et archiviste français.
  • Edmond-Marie Poullain (né le à Montebourg, mort le à Granville), magistrat, peintre-graveur et aquafortiste français.
  • Joseph Lecacheux (né en 1880 à Montebourg - 1952), homme politique français, médecin de profession.
  • Maurice Lucas (1896-1988), homme politique français, ingénieur agricole de formation. Il fonde la laiterie de Montebourg en 1935 et en reste président pendant une cinquantaine d'années.
  • Michel Hébert, écrivain de romans policiers et d'ouvrages régionaux, y est né en 1933.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 147.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 408.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Passionné d'aérostation, il construisit un ballon à hélices qui ne volera jamais, et, il multiplia les constructions à Montebourg, et sera déclaré inéligible[27].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Montebourg et Sainte-Marie-du-Mont », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Ste Marie du Mo » (commune de Sainte-Marie-du-Mont) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Ste Marie du Mo » (commune de Sainte-Marie-du-Mont) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  15. a et b François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Éditions Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4), p. 160.
  16. Jean-Yves Cuquemelle, Montebourg et le pays cassin, 1982, Heimdal, ASIN : B0014KB05O.
  17. Jean Adigard des Gautries, « Les noms de lieux de la Manche attestés entre 911 et 1066 », dans Annales de Normandie, janvier 1951, p. 30.
  18. André Plaisse, La grande chevauchée guerrière d'Édouard III en 1346, Cherbourg, Éditions Isoète, , 111 p. (ISBN 2-905385-58-8), p. 51.
  19. Maurice Lecœur, Le Moyen Âge dans le Cotentin : Histoire & Vestiges, Isoète, , 141 p. (ISBN 978-2-9139-2072-9), p. 15.
  20. a et b Yann Magdelaine, Atlas du Débarquement, éd. Ouest-France, , 103 p. (ISBN 978-2-7373-5657-5), p. 42.
  21. Michel Hébert et André Gervaise, Châteaux et Manoirs de la Manche, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 176 p. (ISBN 978-2-84706-143-7), p. 20.
  22. Comité Gille de Gouberville et al. (préf. Annick Perrot, ill. Kévin Bazot, sous la direction de Julien Deshayes), Voyage en Cotentin avec Gilles de Gouberville, Éditions Heimdal, , 95 p., 30 cm, illustrations couleur (ISBN 978-2-84048-581-0, EAN 9782840485810, BNF 46897276), p. 77-79.
  23. « GASO, la banque du blason - Montebourg »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  24. [PDF] « Mémorial Dormans - Communes décorées de la croix de guerre 1939-1945 » (consulté le ).
  25. « Jean-Pierre Mauquest », sur jean-pierre-mauquest.jimdo.com (consulté le ).
  26. a et b Réélection 2014 : « Montebourg (50310) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  27. Gautier 2014, p. 211.
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. AOP Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny.
  33. a et b Gautier 2014, p. 408.
  34. « S'approprier la presqu'île : encadrement, contrôle territorial et développement des lieux de pouvoir », dans Laurence Jeanne, Laurent Paez-Rezende, Julien Deshayes, Bénédicte Guillot, et la collaboration de Gaël Léon, ArchéoCotentin, t. 2 : Les origines antiques et médiévales du Cotentin à 1500, Bayeux, Éditions OREP, , 127 p. (ISBN 978-2-8151-0790-7), p. 12.
  35. ArchéoCotentin t. 2, p. 33.
  36. « Église », notice no PA00110459, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Chapiteau », notice no PM50000682, « statue : Saint Jacques le Majeur en pèlerin », notice no PM50000684 et « statue (grandeur nature) : Saint Jacques apôtre », notice no PM50000683, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  38. « Le Nordez | E-monumen », sur e-monumen.net, (consulté le ).
  39. « Monument à Jeanne d'Arc ou statue de Jeanne d'Arc », notice no PA50000054, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. « Pierre Le Nordez — Wikimanche », sur wikimanche.fr (consulté le ).
  41. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – Am. S. Montebourg » (consulté le ).
  42. Michel Hébert et André Gervaise, Châteaux et Manoirs de la Manche, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 978-2-84706-143-7), p. 20.
  43. Marie-Brigitte Leflot, « La Chandeleur 2017 à Montebourg », sur Francebleu.fr, (consulté le ).
  44. (de) Aachen-Walheim-Montebourg..