Clitourps — Wikipédia

Clitourps
Clitourps
L'église Notre-Dame.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Juliette Hurlot
2020-2026
Code postal 50330
Code commune 50135
Démographie
Gentilé Clitourpais
Population
municipale
228 hab. (2021 en augmentation de 14,57 % par rapport à 2015)
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 39′ 21″ nord, 1° 22′ 16″ ouest
Altitude Min. 53 m
Max. 137 m
Superficie 6,30 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Val-de-Saire
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Clitourps

Clitourps (prononcé [klituʁ][1]) est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 228 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune est au nord-est de la péninsule du Cotentin. Son bourg est à 3 km au sud-est de Saint-Pierre-Église, à 9 km à l'ouest de Barfleur et à 11 km au nord-ouest de Quettehou[2].

Dans cette commune, la roche dominante est l'arkose.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[5]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 882 mm, avec 13,9 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Gatteville-le-Phare à 7 km à vol d'oiseau[7], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 866,7 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Clitourps est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,1 %), prairies (17 %), forêts (9,8 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Clitorp en 1164[17],[18] ; Clitorp vers 1180 (cartulaire de Coutances, copie Delisle)[17].

Le toponyme est issu du norrois klif, « rocher, butte, falaise », et thorp (comprendre þorp), « ferme (isolée), groupe de fermes isolées, village »[19],[17],[18],[20], d'où le sens global de « groupe de fermes, village de la butte ». Dans cette hypothèse, il faut supposer que la butte en question est le mont Étolan, qui culmine à 138 m sur le territoire de Saint-Pierre-Église, et s'étend sur les deux communes.

Remarque : l'appellatif norrois (ou vieil anglais) klif se retrouve pluieurs fois en Normandie, notamment en Cotentin avec le mont Étanclin (Mont Estenclif 1262), mont de Doville (anciennement mont Escalleclif) et vraisemblablement le mont Clin (la Hague). Quant à l'évolution de -torp en -tourp, -tour(s) n'apparaît qu'au XVIe siècle dans le nord Cotentin (cf. le Tourp), alors qu'ailleurs la voyelle ouverte o de torp se maintient (cf. le Torp). Il s'agit d'une mutation locale que l'on constate aussi dans hougue, resté hogue dans les autres pays normands.

Le gentilé est Clitourpais.

Histoire[modifier | modifier le code]

Un des premiers seigneurs de Clitourps fut Gresten (Geirsteinn en vieux norrois), qui a laissé son nom au fief de Grainthéville (Grestenvilla) — manoirde Grintheville —[21]. Un autre Scandinave, Torgis ou Turgis (Þórgíls en vieux norrois) son vassal ou parent, bâtit le manoir de Torgistorps, devenu plus tard prieuré. D'après les notes de Léopold Delisle, Clitourps fut le berceau de la famille Prevel, dont un membre Regnouf (ou Renouf, vieux norrois RúnulfR, influencé dans la prononciation populaire par les noms francs en Ragin- > Re- cf. Raginald > Renaud), prit une part importante à la conquête de l'Angleterre en 1066, sous la conduite de Guillaume le Bastard.

À la fin du XIe siècle, Roger était seigneur de Clitourps. Simon, son fils, avait le patronage de l'église qu´il donna en 1120 dans toute son intégrité au chapitre de Coutances[22]. En 1189, Hugues, fils d´Amaury, seigneur de Clitourps suivit Richard Cœur de Lion à la troisième croisade (1189-1192)[21].

En 1224, le seigneur de Clitourps s´appelait Gaulthier. En 1287, Robert de La Haye, écuyer, procéda sans succès contre le chapitre de Coutances au sujet du patronage de l'église. Dans la première moitié du XIVe siècle, le seigneur de la paroisse est Jean de Clitourps. Une de ses filles porta cette terre dans la famille Osbert (d´argent à la croix de gueules cantonnée de quatre lionceaux de sable). Guillaume Osbert est mort en 1455, il laisse un fils Pierre Osbert, seigneur de Tesson, Brucheville, Clitourps et des Moutiers, vicomte de Coutances. Il vivait encore en 1485. Par mariage, vente, échange ou autrement, la seigneurie de Clitourps passe dans la famille des Castel, qui possède le fief de Saint Pierre Église depuis 1475. Le , Bon Thomas Castel vendit la seigneurie et le patronage honoraire de Clitourps à Charles Alexandre Lefèvre, écuyer, sieur de Crainthéville[23].

Dans un aveu daté de 1500 on apprend que Jean de Pirou, seigneur de Beaumont en la Hague, dont dépendent Clitourps, Varouville, Réthoville, Cosqueville, Fermanville, avait droit de patronage, colombier, garennes, bois, près, et la juridiction de bas-justicier et partageait son droit de gravage avec le seigneur de Gonneville[Note 4]. Jean de Pirou possédait deux moulins à blé et avait également « salines et grèves à faire le sel ». C'est à la famille Pirou que l'on doit au XVe siècle le début de la construction du château de Flamanville à l'exception de la chapelle, qui est plus ancienne[24].

À la révolution, Raymond de Saint-Maurice ( 1823), dernier abbé du prieuré de Torgistorps, représenta en 1789 le clergé aux États généraux de Coutances. Il contribua à la restauration du couvent de la communauté des bénédictines de Valognes[21].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1792 octobre 1795 Jean Sorel    
8 novembre 1796   Jean Robine   Agent national
1800 1805 Charles-Dominique de la Tour   Acquéreur du prieuré
1806 1818 Bon Roupsard    
1818 1830 Alexandre Delisle    
1830 1835 Charles Lelong    
1835 1848 Alexandre Delisle    
1848 1848 Jacques Sorin    
1848 1870 Alexandre Delisle    
1870 1875 Victor Delisle    
1875 ? Auguste Delisle    
1977 1983 Michel Robine    
1983 mars 2001 René Fautrat    
mars 2001[25] En cours Bernard Lebaron[26] UMP Contrôleur des affaires maritimes
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[26].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

En 2021, la commune comptait 228 habitants[Note 5], en augmentation de 14,57 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Clitourps a compté jusqu'à 622 habitants en 1806.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
521532622505502511461414398
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
362333314321330302304270288
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
276292292268264229225222220
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
183175135145140138164179197
2014 2019 2021 - - - - - -
201226228------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Une des éoliennes près de Clitourps.

Parc éolien de Clitourps : il y a quelques années[Quand ?] a eu lieu l'installation de cinq éoliennes sur la commune.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Abri sous roche du Mont Étolan. Le site a été occupé par dix à douze Néandertaliens entre 55 000 et 40 000 ans avant notre ère. Ils pratiquaient la chasse ou le charognage, et découpaient les morceaux avec des silex. Les fouilles ont débuté en après la découverte d'un biface. Ils s'abritaient dans de petites dépressions ou cuvettes d'un mètre environ afin de se mettre à l'abri des vents dominants[31].
  • Manoir de Fontenay du XVIe siècle, typique des manoirs fortifiés du Val de Saire, inscrit au titre des monuments historiques depuis le [32].
  • Le nouveau Fontenay ou manoir de la Féronnerie, du XVIIIe siècle.
  • Église Notre-Dame du XVIIe siècle en forme de croix latine. Son chœur a été rebâtie au XVIIe siècle. Elle abrite de belles statues des XVe et XVIIIe siècles soit en pierre ou en poterie dont une Vierge à l'Enfant en terre cuite polychromée et dorée du XVIIIe, de saint Jean-Baptiste (XVIIIe), de sainte Marguerite (XVe), un diacre tenant un livre (XVe), une sainte Barbe (XVIe) ainsi que des fonts baptismaux en calcaire d'Yvetot décoré de motifs de rinceaux et d'une inscription gothique « JESUS » (XVIe ou XVIIe siècle)[33], un maître-autel (XVIIIe) et une verrière (XIXe) de L. Mazuet[21].
  • Manoir de Grainteville ou Graintheville ou Grintheville reconstruit au XVIIe siècle[34] et son vieux colombier ; haut d'un étage sur-rez-de-chaussée, avec une façade plate et une porte centrale et des fenêtres très rapprochées surmontée d'un large fronton en triangle isocèle donnant l'impression d'un pavillon central, alors que les fenêtres latérales sont surmontées par deux lucarnes ayant chacune deux oculus ronds sous un décor isocèle[35]. Les communs recèlent une charretterie à trois arches en plein cintre reposant sur des colonnes à tailloirs.
  • Calvaire Saint-Martin, deux tombeaux tectiformes (XIXe siècle).
  • Ferme de la Feuvrerie du XVIe siècle.
  • Manoir de Torgistorps (XIIe siècle) — la forme ancienne était Turgistorp[36]. — est un ancien prieuré fondé en 1170, vendu comme bien national en 1792[21]. Il dépendait de l'abbaye de Saint-Sauveur[37].
  • Manoir de la Seiglerie[38].
  • Ancien presbytère.
  • Calvaire Saint-Martin.
  • Bois de Boutron.

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Nicolas Lemaître la Houguette (1733-1817), sera élu en et réélu en 1791 administrateur du département de la Manche[21].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 62.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 159.
  • Maurice Lecœur (photogr. Christine Duteurtre), Val de Saire, Isoète, , 173 p. (ISBN 978-2-9139-2076-7), p. 42-43.
  • Edmond Thin, Le Val de Saire : Trésors d'un jardin du Cotentin sur la mer, Éditions OREP, , 165 p. (ISBN 978-2-915762-82-2), p. 93-96.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Ils avaient également des droits sur les marchandises qui débarquaient au port Lévi.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 96.
  2. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  7. « Orthodromie entre Clitourps et Gatteville-le-Phare », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Barfleur » (commune de Gatteville-le-Phare) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Barfleur » (commune de Gatteville-le-Phare) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b et c François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 102.
  18. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, Genève, (lire en ligne), p. 1015.
  19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
  20. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 74, 134.
  21. a b c d e et f Gautier 2014, p. 159.
  22. Louis Drouet, Recherches historiques sur les vingt communes du canton de Saint-Pierre-Église. Cherbourg, Imprimerie Saint-Joseph, 1893. Réédition par les Éditions Heimdal à Bayeux, 1977.
  23. M. Renault, Annuaire de la Manche, 1868, page 98.
  24. Jeannine Bavay, « Fermanville », Vikland, la revue du Cotentin, no 5,‎ avril-mai-juin 2013, p. 38 (ISSN 0224-7992).
  25. « Bernard Lebaron brigue un nouveau mandat de maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  26. a et b Réélection 2014 : « Bernard Lebaron retrouve son fauteuil de maire », sur Ouest-france.fr (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Thin 2009, p. 11 et 12.
  32. « Manoir de Fontenay », notice no PA00110657, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. Thin 2009, p. 94.
  34. Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 199.
  35. Thin 2009, p. 96.
  36. Georges Bernage, « Les Vikings du Sarnes », Vikland, la revue du Cotentin, no 5,‎ avril-mai-juin 2013, p. 9 (ISSN 0224-7992).
  37. Georges Bernage, « La presqu'île du Cotentin - Dans le Val de Saire », dans La Normandie médiévale : 10 itinéraires, Éditions Heimdal, coll. « La France Médiévale », , 174 p. (ISBN 2-902171-18-8), p. 30.
  38. Maurice Lecœur (photogr. Christine Duteurtre), Val de Saire, Isoète, , 173 p. (ISBN 978-2-9139-2076-7), p. 42.