Saint-Pierre-d'Arthéglise — Wikipédia

Saint-Pierre-d'Arthéglise
Saint-Pierre-d'Arthéglise
L'église Saint-Pierre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Sylvain Vivier
2020-2026
Code postal 50270
Code commune 50536
Démographie
Gentilé Saint-Pierrais
Population
municipale
164 hab. (2021 en augmentation de 24,24 % par rapport à 2015)
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 24′ 52″ nord, 1° 41′ 39″ ouest
Altitude Min. 29 m
Max. 141 m
Superficie 5,36 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Pieux
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web stpierredartheglise.fr

Saint-Pierre-d'Arthéglise est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 164 habitants[Note 1].

Elle est, depuis 2005, le lieu de tournage de l'émission de télévision Silence, ça pousse !, diffusée sur France 5, dans la propriété que Stéphane Marie a héritée de son oncle[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune est à l'ouest de la péninsule du Cotentin. Son bourg est à 7,5 km au nord-est de Barneville-Carteret, à 9,5 km au sud-ouest de Bricquebec, à 15 km à l'ouest de Saint-Sauveur-le-Vicomte et à 19 km à l'est des Pieux[2].

Le territoire communal — en particulier son bourg — est sur la ligne de partage des eaux entre la Gerfleur et la Douve. La majeure partie septentrionale est dans le bassin de la Scye (affluent de la Douve) par deux de ses affluents : le ruisseau du Moulin Chuquet et le ruisseau du Renon, ce dernier faisant fonction de limite nord-est. Le sud-ouest est dans le bassin de la Gerfleur qui prend sa source à Hôtel Tellier, tandis qu'une petite partie sud-est est un versant qui alimente la Saudre, autre affluent de la Douve, qui nait sur le territoire de la commune de Saint-Maurice-en-Cotentin voisine.

Le point culminant (141 m) se situe à l'ouest, sur une pente qui culmine à 145 m aux éoliennes de la commune voisine de Sortosville-en-Beaumont. Le point le plus bas (29 m) correspond à la sortie du territoire du ruisseau du Renon, affluent de la Scye, au nord-est.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[5]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 993 mm, avec 15,3 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin à 25 km à vol d'oiseau[7], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 963,9 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Pierre-d'Arthéglise est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (43,3 %), terres arables (33,5 %), zones agricoles hétérogènes (23 %), forêts (0,2 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Sancti Petri de Archetiglise vers 1150 ; Sanctus Petrus de Archeti Ecclesia vers 1156[17] ; Sanctus Petrus de Arquetillise (sans date) [18] ; Sancti Petri de Argetiglise vers 1280 ; Saint Pierre d'Arteglise en rivière en 1760[19],[20].

Le toponyme est un composé de l'hagiotoponyme Saint-Pierre et du lieu Arthéglise qui signifie « l’église d’Arnketill »[19],[21], c'est-à-dire « fondée ou construite par Arnketill ». Arnkætill / Arnketill (vieux danois Arnketil) est un nom de personne de type scandinave formé avec l'élément kætill / ketill qui signifie « chaudron », arn voulant dire « aigle »[22].

Ce type de formation toponymique : nom de personne scandinave + église ou (-glise, par aphérèse de /é/) se rencontre également dans l'Écluse (Manche, Saint-Martin-le-Gréard, Coleclesia vers 1000, c'est-à-dire *Coliglise / *Coléglise, sur nom de personne scandinave Koli) et Buglise (Seine-Maritime, Ecc. de Buiglise vers 1240, sur nom de personne scandinave Búi). Elle n'est donc pas atypique et isolée. Ces formations toponymiques romanes septentrionales sont de type précoce (vraisemblablement antérieures au XIe siècle). Elles sont parallèles aux toponymes germaniques occidentaux et scandinaves en -kirch(e), -kerk(e), -kirk, -kirkja « église » souvent précédés d'un nom de personne. En Normandie, la formation avec l'appellatif d'origine scandinave kirkja « église » est illustrée par Yvecrique (Seine-Maritime), il est précédé du nom de personne d'origine germanique Ivo > Yves[23].

L'évolution *Arnketill- > Archeti- (Argeti-) > *Artete- > Arte- est comparable en toponymie à celle observée pour d'autres anthroponymes comprenant l'élément ketill / kætill « chaudron » cf. Teurthéville-Hague (Manche, Torquetevilla XIIe siècle) ou Ancteville (Manche, Ansketevilla 1196, Anschetelvilla, sans date)[19]. Le digramme ch (ou trigramme sch) note parfois [k] (ou [sk]) (cf. aussi Ancourteville, Seine-Maritime, Anschetilvilla vers 1024 ou Turquetil d'Harcourt souvent noté Turchetel, Turchetil). En effet, le passage du groupe /ke/ à /te/ est une assimilation ([k] et [t] étant toutes deux des consonnes occlusives sourdes) suivi d'une haplologie.

Remarque : Un personnage du nom du nom d’Archeter de Guéron (Bessin) est mentionné en 1066 - 1082 (Bates 91)[24], peut-être ce nom représente-t-il Arnketil ( > *Archetel > Archeter). Cette formation toponymique archaïque ne peut pas être rattachée à un personnage connu tardivement, frère Archer, en relation avec le prieuré de la Taille à La Haye-d'Ectot. D'ailleurs, aucune forme ancienne du type *Arceri ecclesia, *Archeri ecclesia ne vient conforter le rapport avec ce toponyme. Archer est un patronyme et ne peut donc pas se retrouver dans un type de formation toponymique obsolète à l'époque des premiers noms de famille. En outre, phonétiquement on devrait avoir abouti à *Archeréglise ou *Archéglise.

Le gentilé est Saint-Pierrais[25].

Histoire[modifier | modifier le code]

Au Moyen Âge, une partie de la paroisse est la possession de la famille d'Anneville qui possédait également le fief du Breuil sur la paroisse de Notre-Dame-d'Allonne[26].

En 1761, Jean Marie Allix de Boullonmoranges, de son vrain nom, Chélébi Méhémet Ali, Turc converti et naturalisé, reçut la concession des terres incultes du domaine royal dans 370 paroisses dont celles de Saint-Pierre-d'Arthéglise, 270 ha de landes soit près de la moitié de la commune. Il s'ensuivit de multiples procès qui durèrent jusqu'en 1837[27].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1995 mars 2001 Alain Leblond    
mars 2001[28] avril 2014 Roger Lechevalier SE Retraité
avril 2014[29] mai 2020 Michel Dubost SE Retraité
mai 2020[30] En cours Sylvain Vivier SE  
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de onze membres[31].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

En 2021, la commune comptait 164 habitants[Note 3], en augmentation de 24,24 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Saint-Pierre-d'Arthéglise a compté jusqu'à 389 habitants en 1831.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
355319350342389357364292297
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
274277246247247243252271278
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
284304307271232238253285257
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
240232191163142128151152150
2014 2019 2021 - - - - - -
132158164------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La chapelle Notre-Dame-de-Boulogne.
  • Église Saint-Pierre des XIIe – XIVe siècles, remaniée au XIXe avec une grosse tour carrée. La chapelle au nord, sous le clocher, est dédiée à saint Ortaire, 2e patron de la paroisse.
L'édifice abrite un bas-relief du XIXe des ateliers de Nottingham La Flagellation du Christ classé au titre objet aux monuments historiques[36], ainsi que les groupes sculptés sainte Anne et la Trinité du XVIe, Vierge à l'Enfant du XVe, saint Ortaire du XIVe[27].
Le patronage de l'église fut donné en 1153 à l'abbaye de Saint-Sauveur-le-Vicomte par Geoffroi de Sortosville, seigneur de Sortosville et Jean d'Anneville, seigneur du Breuil[27].
  • Presbytère du XVIIIe siècle.
  • Croix de cimetière du XVIe au XVIIe siècle.
  • Chapelle Notre-Dame-de-Boulogne fondée vers 1947 par le Père Marie-Floscel Bihel (1912-1985), trappiste et curé de la paroisse de 1942 à 1949.
  • Oratoire du XXe siècle.
  • Fontaine Saint-Ortaire ou l'on invoque le saint pour les troubles de la marche.
  • Lavoir des Fontaines.

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

La salle communale abrite la plupart des manifestations de déroulant à Saint-Pierre-d'Arthéglise, comme la fête de la Saint-Ortaire, saint patron de la commune. Organisée par le comité des fêtes, elle se déroule sur trois jours le week-end de l'Ascension.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Article sur Silence, ça pousse ! »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) sur revuenews.com du 7 avril 2011.
  2. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  3. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
  7. « Orthodromie entre Saint-Pierre-d'Arthéglise et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Cherbourg-homet » (commune de Cherbourg-en-Cotentin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Cherbourg-homet » (commune de Cherbourg-en-Cotentin) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  17. Georges Bernage, « Noms de lieux scandinaves dans le canton de Barneville-Carteret », Vikland, la revue du Cotentin, no 1,‎ avril-mai-juin 2012, p. 9 (ISSN 0224-7992).
  18. Julien Gilles Travers, Annuaire du Département de la Manche, 37e année, 1865, Saint-Lô, p. 43 (lire en ligne) [1].
  19. a b et c François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 209.
  20. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 3 : Formations dialectales (suite) et françaises, Genève, (lire en ligne), p. 1570.
  21. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 55.
  22. Site de Nordic Names : Arnkætill (lire en ligne) [2].
  23. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 167.
  24. François de Beaurepaire (préf. Michel Tamine), Les Noms de lieux du Calvados (annoté par Dominique Fournier), Paris, L'Harmattan, (ISBN 978-2-14-028854-8), p. 206.
  25. « Ouest-france.fr - Mairie de Saint-Pierre-d'Arthéglise » (consulté le ).
  26. Jean Barros, Le canton de Barneville-Carteret (Côte des Isles) : Dans l'histoire, t. 2, Valognes, Éditions de la Côte des Isles, , 440 p. (ISBN 2-9505339-2-2), p. 77.
  27. a b et c Gautier 2014, p. 592.
  28. « Le maire souhaite poursuivre les chantiers en cours », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  29. « Michel Dubost succède à Roger Lechevalier », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  30. Répertoire national des élus : les maires (data.gouv.fr, téléchargement du 18 juillet 2020).
  31. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 - Manche (50) - Saint-Pierre-d'Arthéglise », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. « Bas-relief : La Flagellation du Christ », notice no PM50001067, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 221.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 592.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]