Montaigu-la-Brisette — Wikipédia

Montaigu-la-Brisette
Montaigu-la-Brisette
L'église Saint-Martin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Dominique Godan
2020-2026
Code postal 50700
Code commune 50335
Démographie
Gentilé Montaiguais
Population
municipale
496 hab. (2021 en diminution de 2,94 % par rapport à 2015)
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 33′ 54″ nord, 1° 25′ 11″ ouest
Altitude Min. 37 m
Max. 131 m
Superficie 14,71 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Valognes
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.montaigu-la-brisette.fr

Montaigu-la-Brisette (Montaigu jusqu'en 1956) est une commune française du département de la Manche, dans la région Normandie, peuplée de 496 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune est à l'ouest de la péninsule du Cotentin. Son bourg est à 8 km au nord-est de Valognes, à 9 km à l'ouest de Quettehou, à 15 km au sud de Saint-Pierre-Église et à 20 km au sud-est de Cherbourg[1].

Le territoire est bocager et très boisé (bois de Barnavast, bois de Saint-Martin).

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 894 mm, avec 14 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Gonneville-Le Theil à 9 km à vol d'oiseau[5], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 940,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Montaigu-la-Brisette est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (59 %), forêts (17,7 %), terres arables (15,2 %), zones agricoles hétérogènes (8,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme est attesté sous la forme Mons Acutus au XIe siècle[15], Monsacuto dans les années 1040[16].

Montaigu est issu du latin mons, « mont » et acutus (« aiguisé, rendu aigu »), qui a suivi la même évolution que l'adjectif en français, adjectif dû à la position élevée du site où se trouve l'église.

La Brisette, complément rajouté en 1956[17], est le nom d'un ancien fief de la paroisse et d'un château situé dans la commune voisine de Saint-Germain-de-Tournebut. Il s'agirait d'un dérivé de l'ancien français brise signifiant « labour » ou « terre labourée » qui caractériserait une terre essartée[18], à une époque où les forêts occupaient une grande partie du territoire.

Le nom de Montaigu-la-Brisette est précédemment employé dans l'acte de décès no 96 du , folio 32, de l'état-civil de Cherbourg.

Le gentilé est Montaiguais[19].

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

À l'époque gallo-romaine, pendant la Pax Romana et sous le règne d'Auguste, une agglomération romaine secondaire voit le jour[20]. On y a découvert une grande villa gallo-romaine sur le ruisseau de la Fontaine aux Prêles, avec des aménagements hydrauliques importants[21].

Le déclin de l'agglomération eut lieu au cours du IIIe siècle à la suite des crises politiques, conjuguées depuis la fin du IIe siècle à de récurrentes épidémies de peste qui affaiblissent l'armée et les populations, mettant à mal l'économie et l'administration[22].

On doit sa découverte au XIXe siècle à l'antiquaire Charles de Gerville, lors de travaux de déforestation. L'agglomération antique, installée dans une petite vallée annexe du bassin de la Saire, sur le coteau nord, autour de la source du Querbot, couvre un espace d'environ 15 ha. La ville, créée ex-nihilo, est dotée d'un sanctuaire bâti en position dominante, et en fond de vallée, de thermes, en limite sud-est de l'aire urbaine, enjambant le cours d'eau. L'habitat, avec son organisation autour de son artère principale orientée est-ouest, se compose d'habitations modestes à trois ou quatre pièces, peu décorées, et souvent reliées par une galerie[23].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Montaigu qui comprenait six fiefs, et devient un bailliage secondaire, était la possession des Montgomery-Bellême, comtes d'Alençon, enclave judiciaire du comté d'Alençon en 1054, par la suite vicomté d'Alençon-en-Cotentin jusqu'à la Révolution. La vicomté s'étendait sur Anneville-en-Saire, Carquebut, Hacqueville-Hague, Quettehou, Réville, Saint-Martin-d'Audouville, Tamerville, Theurteville-Bocage ; ainsi que dans des lieux disséminés dans la Hague, le Plain ou le Val de Saire[24].

Dans les années 1040, deux chevaliers libres et nés libres (liberi et ingenuii), Auvray et Anquetil, du consentement de leurs parents offrirent et concédèrent respectivement 60 et 40 acres de terre située à Montaigu-la-Brisette (Monsacuto) à l'église Sainte-Trinité de Fécamp[16].

Selon le livre noir de la cathédrale de Coutances rédigé au XIIe siècle, le patronage appartenait à Henri d'Anneville. Dans le livre blanc, rédigé au XIVe siècle, il est indiqué qu'il était tenu par Jehan d'Anneville et Richard de Campo Rotondo et jean, curé du Lorey[25].

Au XIIe siècle, l'abbaye de Lessay reçut de Robert de la Haye la dîme du moulin de Montaigu[19].

Au XIIIe siècle, la vicomté passa à la famille de Malet de Graville à la suite du mariage de Robert de Malet avec la fille du comte d'Alençon, Philippine de la Roche-Mabille[24].

En 1349, le mercredi avant la Saint-Thomas, Michel d'Anneville, fonde dans l'église du lieu la chapelle Saint-Michel[25].

En 1458 comme déclaré par l'abbé de Fécamp, la paroisse, sis en la vicomté de Valognes, au bailliage du Cotentin était la possession de l'abbaye : « Item au baillage de Caen, (nous avons), la baronnie, terre et seigneurie d'Argences, lasquelle Baronnie s'estend au bailliage du Costentin, en la viconté de Valognes, aux paroisses de Quettehou, de Saint Vaast, de Ravenoville, de Beuzeville, de Digoville, de Montaigu et d'Illec Environ… »[26].

En 1667, c'est Guillaume Bazan qui est seigneur et patron de Montaigu-la-Brisette.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[27]
Période Identité Étiquette Qualité
1934 1947 Léon Gréard    
1947 1959 A. Lepoitevin-Descourcières    
1959 1989 Henri Piquenot    
1989 mars 2001[28] André Lepoitevin-Descourcières    
mars 2001[29] mars 2014 Alain Dufour DVD Notaire assistant
mars 2014[30] En cours Dominique Godan SE Fonctionnaire
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et deux adjoints[31].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].

En 2021, la commune comptait 496 habitants[Note 4], en diminution de 2,94 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Montaigu-la-Brisette a compté jusqu'à 1 187 habitants en 1806.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0801 1801 1871 1051 1081 1641 1421 0711 001
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
935906891821859770785758703
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
640647615602592569539556559
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
472420395401407428466468506
2015 2020 2021 - - - - - -
511496496------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Des fouilles au hameau Dorey ont révélé la présence d'une petite agglomération gallo-romaine, avec notamment des fondations d'anciens thermes[35], habitat et sanctuaire, occupée du Ier au IIIe siècle, datation confirmée par les céramiques mise à jour[27]. Le site avait été reconnu dès le XIXe siècle par Charles de Gerville[36].

Le bourg de Montaigu a conservé un enclos paroissial à peu près complet[25].

Église Saint-Martin des XIIIe, XVe – XVIIIe siècles, avec un haut-relief Charité de saint Martin du XIIIe, un maître-autel, tabernacle, retable, tableau l'Assomption et reliquaires des XVIIIe-XIXe, autels secondaires du XVIIIe, les statues de saint Jean apôtre du XVIIe, saint Martin évêque du XVIIe, saint Sébastien du XVIIIe, saint Nicolas du XVIIIe, saint Jacques du XIVe, saint Michel du XIVe, Vierge à l'Enfant du XIVe, christ en croix du XVIIe, classés au titre objet aux monuments historiques[37].

Dans le cimetière curieux ossuaire « à ciel ouvert » qui paraît antérieur au XVe siècle, orné de statues de saints décapitées. À l'ouest du cimetière se trouve la fontaine Saint-Martin, une petite construction enterrée, bâtie par des ancêtres à l'emplacement où il y aurait eu une fontaine ayant des vertus contre l'eczéma.

L'ensemble de la butte de l'église est un site pittoresque inscrit[38], et l'enclos paroissial comprenant en outre l'église, le cimetière, l'ossuaire (XIVe), le calvaire, la fontaine (asséchée) et sa statue saint Martin (XVIe)[27], est inscrit en 1970 et 1975 aux monuments historiques[39].

Un ancien moulin est présent au lieu-dit le Moulin Fleuri. On trouve également sur le territoire communal le manoir de Brisay du XVIe siècle, de la Sainte-Yverie du XVIe siècle, l'ancien presbytère du XVIIIe siècle[27] et des lavoirs.

Sur les trois chapelles : Sainte-Anne (XIIIe siècle) et oratoires, Saint-Léonard et Saint-Michel, seule la première est conservée au hameau éponyme.

Montaigu accueille sur son territoire, depuis 1983, un parc animalier bien développé et réputé.

Pour mémoire

Menhirs des Pierres Grise autour desquels courait des légendes traditionnelles[19].

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Chaque année, la commune accueille une course automobile, la course de côte qui a lieu le premier dimanche suivant le 15 août.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 144.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 402.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Montaigu-la-Brisette et Gonneville-Le Theil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Gonneville » (commune de Gonneville-Le Theil) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Gonneville » (commune de Gonneville-Le Theil) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur Le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  15. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
  16. a et b Éric Barré, « Une extension de la baronnie d'Argences : la baronnie du Petit-Fécamp en Cotentin au Moyen-Âge », Revue de la Manche, t. 37, no 148,‎ , p. 9 (ISBN 979-1-0937-0115-8).
  17. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 146.
  19. a b et c Delattre, 2002, p. 144.
  20. « S'approprier la presqu'île : encadrement, contrôle territorial et développement des lieux de pouvoir », dans Laurence Jeanne, Laurent Paez-Rezende, Julien Deshayes, Bénédicte Guillot, et la collaboration de Gaël Léon, ArchéoCotentin, t. 2 : Les origines antiques et médiévales du Cotentin à 1500, Bayeux, Éditions OREP, , 127 p. (ISBN 978-2-8151-0790-7), p. 15.
  21. Axel Beauchamp, Ludovic Le Gaillard et Julie Cavanillas, « Un aménagement de ruisseau dans l’agglomération antique de Montaigu-la-Brisette : apport de l’analyse micromorphologique », sur researchgate.net, (consulté le ).
  22. ArchéoCotentin t. 2, p. 16.
  23. ArchéoCotentin t. 2, p. 28.
  24. a et b André Davy, Les barons du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits et introuvables du patrimoine Normand », , 319 p. (ISBN 978-2-91454-196-1), p. 41-42.
  25. a b et c Barré, Revue de la Manche, 148, p. 15.
  26. Revue de la Manche, 148, p. 8.
  27. a b c et d Gautier 2014, p. 402.
  28. « Élections municipales 2001 - Montaigu-la-Brisette », sur municipales2001.ouestfrance.fr, Ouest-France (consulté le ).
  29. « Alain Dufour a présenté ses derniers vœux », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  30. « Dominique Godan a été élu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  31. « Montaigu-la-Brisette (50700) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Edmond Thin, Le Val de Saire : Trésors d'un jardin du Cotentin sur la mer, Éditions OREP, , 165 p. (ISBN 978-2-915762-82-2), p. 12 et 13.
  36. Thin 2009, p. 13.
  37. Œuvres mobilières classées à Montaigu-la-Brisette.
  38. [PDF] « Dreal de Basse-Normandie - Arrêté du 28 août 1975 » (consulté le ).
  39. « Église et enclos paroissial », notice no PA00110455, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.