Théville — Wikipédia

Théville
Théville
L'église Notre-Dame.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Valérie Houllegatte
2020-2026
Code postal 50330
Code commune 50596
Démographie
Gentilé Thévillais
Population
municipale
320 hab. (2021 en augmentation de 2,89 % par rapport à 2015)
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 39′ 08″ nord, 1° 25′ 20″ ouest
Altitude Min. 59 m
Max. 136 m
Superficie 7,77 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Val-de-Saire
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Théville

Théville est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 320 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Théville est une petite commune, enclavée, sans façade maritime, du Val de Saire qui couvre une superficie de 777 hectares.

Son altitude varie de 59 à 136 m au carrefour de la D 355 et D 26.

Les communes limitrophes sont Cosqueville, Brillevast, Carneville, Clitourps, Vicq-sur-Mer, Gonneville-Le Theil et Saint-Pierre-Église.

Géologie[modifier | modifier le code]

Dans cette commune, l'arkose est la roche dominante[réf. nécessaire].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 988 mm, avec 14,6 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Gonneville-Le Theil à 4 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 940,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Théville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (90,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (38,8 %), terres arables (35,6 %), zones agricoles hétérogènes (18,5 %), forêts (7,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Théville, Tedvilla, Teivilla, Téville, Theyvilla, Villa Teth en 1021-1025[14][réf. incomplète], Tedvilla (sans date)[15][réf. incomplète], Thevilla en 1304[16][réf. incomplète].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural » (terme issu du gallo-roman VILLA « grand domaine rural »).

Il est précédé d'une nom de personne, comme dans la plupart des cas, il s'agit ici de Tedo ou Teto, anthroponyme de type germanique[17][réf. incomplète] ou Teitr, ce dernier étant un nom de personne vieux norrois[18]. La seconde hypothèse s'appuie, outre sur les formes anciennes, compatibles phonétiquement avec cette explication, mais aussi sur le fait que Théville est située dans la zone de diffusion de la toponymie scandinave.

Le gentilé est Thévillais.

Microtoponymie
  • La Rue de Sauxtour, lieu-dit de Théville, est attesté sous la forme Sauxetorp en 1292[19].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le , c'est à Théville que les trente paroisses du Val de Saire firent leurs soumissions au Roi, fatiguées des guerres de Religion et les menaces de représailles à la suite des luttes de François de la Cour ( 1592), chef des huguenots du Cotentin (cf. château du Tourps)[20].

En 1884, Mme Dutot légua tous ses biens à la commune afin que celle-ci établisse une école gratuite pour les filles pauvres et fournir aux malades indigents du linge et du bouillon[21].

Seigneurie de Théville[modifier | modifier le code]

La seigneurie était la possession de la famille de Théville, dont les armes étaient : d'argent à trois aigles d'or, et qui la conservera jusqu'au début du XIVe siècle.

En 1096, un Robert de Théville accompagna à la première croisade le duc de Normandie, Robert Courteheuse[22]. Lui succéda, Guillaume, fils de Robert Estur de l'Isle, qui donna le patronage de l'église de Théville à l'abbaye de Montebourg. Henry de Tilly[Note 4], son successeur, confirma cette donation, ainsi que le pape Adrien IV au XIIe siècle[23].

Dans la première partie de la guerre de Cent Ans, Jean de Tilly, marié à Jeanne des Moustiers, prit le parti de Charles de Navarre (1332-1387) et avec le capitaine de Valognes, Guillaume de la Haye, reprit en le Molay-Bacon aux « Ensglais et gascoings », et peu après ils expulsèrent les Anglais de La Rochelle[23].

Jean de Tilly et Jeanne des Moustiers eurent trois enfants dont le second Fraslin, seigneur de Théville, Garnetot et Cauquigny, épousa Guillemette Paisnel, fille de Bertrand Paisnel. Faute d'héritier mâle la terre de Théville passa aux Diénis, d'abord Nicolas, puis son frère Thomas qui entra dans les ordres. La seigneurie de Théville échut ensuite à la famille Boucart par J. Poilley son épouse. Pierre Boucart, son fils, la vendit, vers 1490, à Nicolas de Hennot ( 1530) qui fit également l'acquisition des fiefs de Cosqueville en 1497 et Bellanville en 1529. C'est Robert, fils aîné de Gautier de Hennot, qui eut Cosqueville et prit le parti des huguenots, et le cadet, Jean, hérita de la terre de Théville et en 1568 de Cosqueville au décès de son frère[23] tué avec quatre autres individus lors de l'attaque, par les catholiques, d'une maison à Valognes où se tenait un prêche. Son corps, dépouillé, sera traîné dans la rue et laissé pour compte jusqu'au lendemain ()[24].

En , Jean de Hennot, seigneur de Théville[Note 5], obtint du roi de France Henri III l'autorisation d'établir, les vendredis de chaque semaine en face de l'église, un marché public[Note 6]. On construisit des halles et Jean de Hennot en percevait les droits. La cour des Halles rappelle ce marché ; des piliers subsistent encore dans la propriété qui était en 1893 la possession de M. Mouchel. Le marché, qui concurrençait celui de Saint-Pierre, créé en 1517, donnant lieu à des rixes continuelles, périclita et disparut vers 1661[23].

Jean s'éteignit en 1591 et c'est son fils aîné, Olivier, qui fut seigneur de Cosqueville, Théville revenant au cadet, Guillaume, qui fit construire à la Cour de Théville le bâtiment qui porte la date de 1628. Il eut deux fils et deux filles. Le cadet Louis devint par mariage le chef de la branche des seigneurs du Rozel. René de Hennot, l'aîné, capitaine de cavalerie, seigneur de Théville, de Montmartin et Chef-du-Pont et fit successivement deux brillants mariages[25]. François de Hennot, le fils aîné, hérita de la terre et fit construire les bâtiments qui ferme au sud la Cour de Théville. Au-dessus de la porte, sur le cadran solaire est gravée la date de 1704 avec les armes des Hennot. De ses nombreux enfants, trois firent une brillante carrière : Louis-François, le cadet, chevalier de Théville entra dans les mousquetaire du roi et fut blessé le à la bataille de Malplaquet, Jean-François-Guy fut docteur en Sorbonne et reçu chevalier de l'ordre de Malte puis embrassa la carrière ecclésiastique en devenant vicaire général de Coutances[Note 7], et Charles de Hennot, capitaine au régiment de Champagne et également blessé à Malplaquet, qui hérita de Théville[25]. Resté célibataire il vend sa terre de Théville en 1757 à Jacques de Vauquelin (1715-1773). Charles décéda en 1785, et lors de la Révolution, sa veuve et ses fils émigrèrent et leurs biens confisqués.

Le château fut acheté par le sieur Morin et fut démoli vers 1820 par un sieur Delatour. Le domaine fut ensuite racheté par le comte de Blangy, fils de Charlotte de Hennot[25].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1973 1995 Robert de Brix   Retraité agricole
1995 mars 2008 Jacques Mouchel   Retraité agricole
mars 2008[26] mars 2014 Nicole Paul PS Responsable associative,
conseillère régionale (à partir de 2007)
mars 2014[27] En cours Valérie Houllegatte SE Agricultrice

Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et trois adjoints[28].

Le , neuf conseillers municipaux démissionnèrent en protestation contre la lenteur des négociations entre la CCI Cherbourg-Cotentin et l'association contre les nuisances sonores de l'aéroport[20].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].

En 2021, la commune comptait 320 habitants[Note 8], en augmentation de 2,89 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Théville a compté jusqu'à 628 habitants en 1806.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
501528628569503520490496485
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
473457443392437410392379350
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
345333350280293264273259250
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
235218183186235241304296319
2021 - - - - - - - -
320--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Monument aux morts des guerres napoléoniennes.
  • Église Notre-Dame (ou Notre-Dame-et-Sainte-Anne), des XVIIe et XVIIIe siècles avec sa charpente du XVIIIe. Son clocher en bâtière date de 1808 en remplacement d'une flèche renversée en 1793 par un orage[33].
L'édifice abrite un maître-autel du XIXe, une statue de saint Jacques le Majeur du XVe, un christ en croix du XVIIIe, une verrière du XXe de Léon Mazuet et Georges Sagot[20].
  • Ancien presbytère XIXe siècle.
  • Statue de saint Joseph, dans une niche réalisée en 1884, au hameau de Saussetour. À cet emplacement se dressait la chapelle Saint-Joseph, fondée en 1602 par Guillaume Renouf, sieur de la Madeleine, en même temps qu'une école. À la Révolution école et chapelle furent supprimées et les revenus confisqués[21].
  • Croix de chemin dite de la Croix Rompue et la Croix Saucy du XIXe siècle à Saussetour.
  • Croix de cimetière du XIXe siècle et if funéraire
  • Manoir de la Cour de Théville près de l'église. Il ne subsiste du château démoli vers 1820 qui se situait en haut de la cour derrière le puits, que les communs, dont le bâtiment daté de 1628, bâtie par Guillaume de Hennot et la porterie au-dessus de laquelle on peut voir un cadran solaire avec la date gravée de 1704 et en partie inférieure les armes gravées de la famille de Hennot : de gueules au croissant d'argent accompagné de trois étoiles d'or, 2 en chef et 1 en pointe, famille anoblie en 1510[34].
  • Manoir de Sauxtour avec sa tourelle pointue.
  • Maison ancienne, cour des Halles.
  • Lavoirs de la chaussée Perrouelle, du Hameau du Bas, de Sauxtour et du Hameau Dudevie.
  • Monument dans le cimetière à la mémoire des soldats de la Grande Armée originaires de Théville. La stèle fut érigée en 2007 par le Souvenir napoléonien.
  • Six lavoirs dont le plus ancien se situe dans le marais communal.

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Il s'y tient la fête Sainte-Anne à la fin juillet.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Au XIIe siècle, en Italie méridionale, on trouve un certain Raoul de Théville[35] et ses fils Simon ( 1158/1159), Eudes († apr. 1158) et Guillaume ( 1165). En Italie, le nom de la famille Théville, qui possédait des terres dans la région d'Avellino, sera par la suite italianisé en Tivilla. Foulques de Théville, fils de Guillaume, voit son fief de Nusco confisqué en raison de son comportement séditieux[36] (probablement sous le règne agité du roi Guillaume Ier de Sicile ou lors de la minorité du roi Guillaume II).

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Henry de Tilly portait d'or à la fleur de lis de gueules.
  5. Jean de Hennot était également capitaine commandant sur les côtes du Val de Saire et dans le plat pays.
  6. Il existait également une foire pour la sainte Anne et qui avec le marché permettaient de lever beaucoup de droits sur les marchands et les étaliers. Gilles de Gouberville fréquentait la foire.
  7. Amateur d'art, sa collection de tableaux de maîtres passa à la famille de Blangy de Saint-Pierre-Église à la suite du mariage de Marie-Charlotte de Hennot.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
  4. « Orthodromie entre Théville et Gonneville-Le Theil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Gonneville » (commune de Gonneville-Le Theil) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Gonneville » (commune de Gonneville-Le Theil) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  14. AG NLM.
  15. cart.Mbg, f° 149.
  16. Del.notes.
  17. Marie-Thérèse Morlet. I,77.
  18. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses Universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2).
  19. Georges Bernage, « Les Vikings du Sarnes », Vikland, la revue du Cotentin, no 5,‎ avril-mai-juin 2013, p. 9 (ISSN 0224-7992).
  20. a b et c Gautier 2014, p. 645.
  21. a et b Bavay, Vikland n°5, p. 62.
  22. Ignace-Joseph-Casimir Goube, Histoire du duché de Normandie, Volume 3.
  23. a b c et d Bavay, Vikland n°5, p. 59.
  24. Jeannine Bavay, « Cosqueville », Vikland, la revue du Cotentin, no 6,‎ juillet-août-septembre 2013, p. 56 (ISSN 0224-7992).
  25. a b et c Bavay, Vikland n°5, p. 60.
  26. « Nicole Paul ne briguera pas un nouveau mandat de maire », sur Ouest-France (consulté le ).
  27. « Valérie Houllegatte succède à Nicole Paul à la mairie », sur Ouest-France (consulté le ).
  28. « Théville (50330) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Edmond Thin, Le Val de Saire : Trésors d'un jardin du Cotentin sur la mer, Éditions OREP, , 165 p. (ISBN 978-2-915762-82-2), p. 96.
  34. Université Inter-Âges de Basse-Normandie - Antenne de Cherbourg (préf. Rodolphe de Mons), Blasons armoriés du Clos du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 214 p. (ISBN 2-85480-543-7), p. 174.
  35. (en) Medieval Lands (Chapter 6. Other Neapolitan Nobility, Unallocated).
  36. Porcelli (2007), Cap. 4, note 4.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Jeannine Bavay, « Théville », Vikland, la revue du Cotentin, no 5,‎ avril-mai-juin 2013, p. 59-62 (ISSN 0224-7992).
  • Paul Corniere, « Théville », dans Saint-Pierre-Église et ses alentours, Condé-sur-Noireau, Eurocibles, coll. « Inédits et introuvables du patrimoine normand », , 414 p. (ISBN 978-2914541602).
  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 248.
  • Louis Drouet, « Théville », dans Recherches historiques sur les vingt communes du canton de Saint-Pierre-Église, Cherbourg, (lire en ligne), p. 427-446
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 645.
  • Claude Pithois, « Théville », dans Le Val de Saire, , 2e éd., 175 p. (présentation en ligne), p. 149.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]