Les Moitiers-d'Allonne — Wikipédia

Les Moitiers-d'Allonne
Les Moitiers-d'Allonne
L'église Notre-Dame et l'église Saint-Pierre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Michèle Sonilhac
2020-2026
Code postal 50270
Code commune 50332
Démographie
Gentilé Moutrons
Population
municipale
718 hab. (2021 en augmentation de 8,62 % par rapport à 2015)
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 24′ 06″ nord, 1° 46′ 46″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 127 m
Superficie 17,21 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Pieux
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.lesmoitiersdallonne.com

Les Moitiers-d'Allonne est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 718 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Entre les caps de Carteret et celui du Rozel, s'étale, sur 400 hectares, le puissant massif dunaire d'Hatainville qui s'élève à 86 mètres et recouvre d'anciennes falaises vieilles de plus de 70 000 ans. À l'horizon, on aperçoit l'île de Jersey.

Cette commune littorale est à l'ouest de la péninsule du Cotentin. Elle se compose de deux bourgs principaux[1] : Moitiers d'Allonne et Hatainville. Le bourg des Moitiers est à 3,5 km au nord-ouest de Barneville-Carteret, à 14 km au sud des Pieux et à 16 km au sud-ouest de Bricquebec[2].

Les Moitiers d'Allonne est traversé par quelques cours d'eau : le Veillègue, ruisseau des Doults, ruisseau du Doue.

Il y a plusieurs écarts : le Grand Breuil, le Petit Breuil, Hameau Néel, Hameau Surcouf, le Bosquet, Hameau Daumaille, Hameau Lepetit, Romont, Hameau Mauger, Hameau Buret, Thoville, la Roquette, le Méaudenaville de Bas, le Méaudenaville de Haut, la Fontaine Martin, la Fafinerie, Bavent, les Mares aux Vanneaux.

La côte présente un paysage varié : les Défens, la Mielle du Nord, les Roques, les Ronds Duval, la Découverte, le Trouet. Au sud de son littoral existe une petite zone naturelle. L'intérieur des terres est composé de landes et champs : les Bavents, le Caillou, les Trois Moulins, la Lande du Bosquet, la Chibart, le Catelet, les Liches, Roussard.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[5]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 10,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 962 mm, avec 14,1 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Hague à 29 km à vol d'oiseau[7], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 480,0 mm[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Les Moitiers-d'Allonne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[15]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d'urbanisme le prévoit[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (67,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (33,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (23,1 %), prairies (22,4 %), terres arables (14,8 %), zones urbanisées (4,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,8 %), forêts (0,3 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sancta Maria de Alona au XIIe siècle[19] (abbaye du Vœu), Sancta Maria de Alongna en 1320 et 1325 (pouillé de Coutances), Notre-Dame d'Aloinne en 1332, Nostre-Dame des Moustiers d'Alonne en 1400, Notre-Dame d'Aloigne en 1720 puis Moitiers d'Allonne en 1783[20].

En toponymie, moitiers, plus communément moutiers, issu du latin monasterium, « monastère », désigne sous cette forme plurielle un duo d'églises[21]. En Normandie, ce toponyme est présent dans Moutiers-au-Perche, Les Moutiers-en-Auge, Les Moutiers-en-Cinglais et Les Moutiers-Hubert. La forme moitiers, également présente dans Les Moitiers-en-Bauptois, est attestée en anglo-normand[22].

L'origine du toponyme Allonne est probablement gauloise et peut être un anthroponyme tel qu'Alaunus ou lié à l'adjectif alauna dont le radical al- évoquait la hauteur[23]. Allonne est l'une des rares localités de la presqu'île du Cotentin qui ait conservé un nom de lieux gallo-romains[24].

Le gentilé est Moutrons[25].

Microtoponymie[modifier | modifier le code]

Le bourg Hatainville, d'origine scandinave, Hasstein-villa (« la ferme de Hasstein »). Le nom du hameau est attesté sous la forme Hasteigvilla vers 1175[26].

Le hameau Romont, d'origine germanique, contraction de Rodulf Mons (« la hauteur de Rodulf »).

Le hameau Bavent, d'origine germanique, propriété de Badvin[27].

Les hameaux Breuil, d'origine gauloise brogilo (bois clôturé) (cf. Breuil).

Le hameau Thoville, d'origine scandinave : Thori-villa (« la ferme de Thori »).

Les autres lieux-dits en (Hameau / Mare)-Y sont des constructions « récentes », ils désignaient le bien d'une famille Y.

Histoire[modifier | modifier le code]

Au XIIe siècle, la paroisse relevait de l'honneur de La Haye[28].

Allonne (Sancta Maria de Alona (XIIe siècle) ; Alauna), qui n'était à l'origine qu'un seul domaine, se scinda en deux paroisses :

Ces deux dernières devinrent des communes à la Révolution. En 1818, Saint-Pierre-d'Allonne absorbe Notre-Dame-d'Allonne. La commune prend le nom de Les Moitiers-d'Allonne[32],[33].

Le fief du Breuil « assis aux Moitiés d'Alonnes, vicomté de Vallognes, il y a manoir à mote, chapelle (Aveu de François de Threville [sic] en 1518) ». Un autre aveu de 1604 mentionne également une motte au fief du Breuil. Au manoir actuel du Breuil, on ne distingue plus aucune trace de motte[34]. Deux autres fiefs, en plus du Breuil, sont signalé sur la paroisse dans des aveux : « Fief du Bonnart, assis aux Moitiés-d'Alonnes, il y a manoir à motte, 1539. Le fieu du Ormé dont le clief et le manoir dicelui auquel il a mote assis en paroisse de Moistié-d'Alonne, 1400 »[34],[Note 4].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason à dessiner Blason
D'azur à la cotice ondée d'argent accompagnée en chef de l'église du lieu adextrée d'un clocher et en pointe de trois moulins à vent rangés en bande, le tout d'or ouvert et maçonné de sable ; le tout enfermé dans une filière de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1976 1989 Albert Mabire    
1989 mars 2001 Dieudonné Renaux[35] DVG Enseignant, conseiller général du canton de Barneville-Carteret (1998-2015)
mars 2001 mars 2008 Daniel Mabire SE  
mars 2008[36] mars 2014 Alain Lechevalier SE Professeur technique
mars 2014[37] En cours Michèle Sonilhac[38] SE Retraitée
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et quatre adjoints[38].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[40].

En 2021, la commune comptait 718 habitants[Note 5], en augmentation de 8,62 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Les Moitiers-d'Allonne a compté jusqu'à 1 181 habitants en 1821. Bien qu'immédiatement postérieur à la fusion des communes de Saint-Pierre-d'Allonne et Notre-Dame-d'Allonne en 1818, ce recensement dépassait le total du recensement précédent de ces deux communes en 1806 (1 172 habitants).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
5415116331 1811 0611 1301 1141 0431 015
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
962994981891881896933924907
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
906870778650646646608562588
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
607515504538597613660674671
2018 2021 - - - - - - -
704718-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution démographique de Notre-Dame-d'Allone avant la fusion
1793 1800 1806
506490539
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes.
(Sources : EHESS[33])

Économie[modifier | modifier le code]

  • Carrière de grès à ciel ouvert, exploitée par la Secma.
  • Gisement de baryte.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'Autel des druides.
  • Allée couverte dite Autel des Druides au Grand-Breuil classée au titre des monuments historiques par arrêté du [42].
  • Dunes d'Hatainville gérées par le Conservatoire du littoral. Elles sont considérées comme les plus hautes dunes appuyées sur une falaise fossile d'Europe[29].
  • Église Notre-Dame des XVIe – XVIIIe siècles intacte, avec clocher du XIXe siècle. Elle abrite un haut-relief La Trinité du XVIe siècle classé au titre objet aux monuments historiques[43], une Vierge à l'Enfant du XVe, les statues de sainte Brigitte du XIVe, saint Éloi du XVe, une verrière du XXe de Charles Champigneules.
  • Église Saint-Pierre des XIVe – XVIIIe siècles, détruite en 1921 et dont il ne subsiste que le clocher. Elle accueille de nos jours un columbarium[29].
  • Trois croix de cimetière dont une en granit du XVIIe siècle.
  • Chapelle Notre-Dame de Vauvert du XIIIe siècle.
  • Manoir de Thoville des XVIe – XVIIIe siècles, avec sa chapelle et son colombier.
  • Vestiges du manoir du Breuil des XIe, XVIe – XIXe siècles. Maison forte bâtie sur une motte partiellement arasée et modifiée.
  • Ferme du Grand-Breuil du XVIe siècle, à l'emplacement de l'ancien château fort[25].
  • Ancien blockhaus.
  • Hameau pittoresque de Daumaille avec ses lavoirs et ses anciennes maisons.
  • Masse de Romont où se situe la lande des Trois Moulins et son parcours santé.
  • Table d'orientation.
  • Trois tours d'anciens moulins à vent dont le moulin Mauger et le moulin de l'Épinette[44].
  • Fontaine Saint-Martin.
  • Croix de chemin dite de la Roquette, calvaire de la chasse Roussard (XVIIe siècle), croix du hameau Daumaille (XVIIe siècle), croix d'Hatainville (XVIIe siècle), croix Eudon (XVIIe siècle), croix du bourg (XVIIe siècle).
Pour mémoire

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 143.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 360.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Le fief du Breuil était la possession de la famille d'Anneville, qui possédait également une partie de la paroisse de Saint-Pierre-d'Arthéglise[30].
  4. Aucun vestige de motte n'a été retrouvé sur les emplacements décrits ci-dessus. Il s'agit peut-être d'un mauvais emploi du mot motte dans ces aveux. Motte signifiant alors maison forte[34]
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Les Moitiers-d'Allone » sur Géoportail..
  2. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
  7. « Orthodromie entre Les Moitiers-d'Allonne et La Hague », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station météorologique Cap de la Hague, commune de La Hague - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Les communes soumises à la loi littoral », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  16. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  19. Georges Bernage, « Portbail et son terroir », Vikland, la revue du Cotentin, no 1,‎ avril-mai-juin 2012, p. 17 (ISSN 0224-7992).
  20. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 1 : Formations préceltique, celtiques, romanes, Genève, (lire en ligne), p. 160.
  21. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 155.
  22. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 3 : Formations dialectales (suite) et françaises, Genève, (lire en ligne), p. 1516.
  23. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 73.
  24. Georges Bernage, « Noms de lieux scandinaves dans le canton de Barneville-Carteret », Vikland, la revue du Cotentin, no 1,‎ avril-mai-juin 2012, p. 6 (ISSN 0224-7992).
  25. a et b Delattre, 2002, p. 143.
  26. Noms de lieux scandinaves, p. 9.
  27. Toponymie générale de la France. 2. Formations non-romanes…, Volume 2 par Ernest Nègre.
  28. Florence Delacampagne, « Seigneurs, fiefs et mottes du Cotentin (Xe – XIIe siècle) : Étude historique et topographique », dans Archéologie médiévale, t. 12, (lire en ligne sur Persée.), p. 185.
  29. a b c d et e Gautier 2014, p. 360.
  30. Jean Barros, Le canton de Barneville-Carteret (Côte des Isles) : Dans l'histoire, t. 2, Valognes, Éditions de la Côte des Isles, , 440 p. (ISBN 2-9505339-2-2), p. 77.
  31. Carteret-Barneville & le Cotentin, guide du syndicat d'initiative, 1925.
  32. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Notre-Dame-d'Allonne », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  34. a b et c Delacampagne 1982, p. 201.
  35. https://www.wikimanche.fr/Dieudonn%C3%A9_Renaux
  36. « Alain Lechevalier succède à Daniel Mabire »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  37. « Michèle Sonilhac devient maire des Moitiers-d'Allonne », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  38. a et b Réélection 2020 : « Les Moitiers-d'Allonne. La municipalité est en ordre de marche », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. « Allée couverte dite Autel des Druides », notice no PA00110454, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. « Groupe sculpté : La Sainte Trinité », notice no PM50000653, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  44. Georges Bernage, « Fierville-les-Mines », Vikland, la revue du Cotentin, no 2,‎ juillet-août-septembre 2012, p. 67 (ISSN 0224-7992).
  45. Jean Barros, « Combats navals au large des côtes de 1793 à 1815 », Vikland, la revue du Cotentin, no 1,‎ avril-mai-juin 2012, p. 63 (ISSN 0224-7992).