Saint-Jean-de-la-Rivière — Wikipédia

Saint-Jean-de-la-Rivière
Saint-Jean-de-la-Rivière
L'église Saint-Jean-Baptiste.
Blason de Saint-Jean-de-la-Rivière
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Francis Botta
2020-2026
Code postal 50270
Code commune 50490
Démographie
Gentilé Saint-Jeannais
Population
municipale
362 hab. (2021 en augmentation de 4,02 % par rapport à 2015)
Densité 101 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 22′ 13″ nord, 1° 44′ 19″ ouest
Altitude Min. 4 m
Max. 75 m
Superficie 3,57 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Pieux
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web st-jean-de-la-riviere.fr

Saint-Jean-de-la-Rivière est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 362 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune, station balnéaire de la Côte des Isles, est située au sud de Barneville, en bordure du rivage.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

On rencontre quelques trilobites du Cambrien inférieur[1].

Saint-Jean-de-la-Rivière fait partie des 303 communes françaises identifiées comme gravement menacées par la montée des eaux[2], en raison du réchauffement climatique[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[6]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 10,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 877 mm, avec 13,6 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin à 31 km à vol d'oiseau[8], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 963,9 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Jean-de-la-Rivière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[12],[13],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[17]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d'urbanisme le prévoit[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (33,8 %), prairies (21,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (19,7 %), zones agricoles hétérogènes (18,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,4 %), zones urbanisées (3,3 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

L'habitat y est très dispersé ; le bourg et l'église sont établis sur la pente de la colline, rebord de la falaise morte. Ensuite, s'étendent jusqu'à la mer, les prés puis les mielles (dunes).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Appelé jadis Turgisville, composé avec le nom de personne norrois Thorgisl « otage de Thor », resté comme patronyme normand Tourgis, Turgis. Homonymie avec Tourgéville (Calvados).

Le nom de la localité est attesté sous la forme Turgeville ou Torgisville dans une charte rédigée aux alentours de l'an mil[21], Sancti Johannis de Turgisvilla en 1123. En 1186, l'église porte encore le nom de Saint-Jean-de-Turgeville, nom que l'on retrouve dans deux chartes de la première moitié du XIIIe siècle[22]. La mutation du nom serait intervenue au XIIIe siècle, vers 1280[21] où il s'est transformé en Sancti Johani de Riparia[22]. Le saint évoqué dans le toponyme semble être Jean le Baptiste auquel l'église est dédiée. Saint-Jean et Saint-Georges avaient au XIIIe siècle pour complément le substantif Riparia qui a donné le français rivière, mais issu du latin ripa qui signifiait « bord » ou « rivage » tout aussi bien d'une rivière que de la mer[23]. Rivière a donc ici le sens de « côte ».

La commune a été rebaptisée Jean de la Rivière lors de la période révolutionnaire[24].

Le gentilé est Saint-Jeannais.

Histoire[modifier | modifier le code]

À la fin du Xe siècle, le village est cité dans une charte d'Arefaste, oncle de Richard II de Normandie[25].

Au XIe siècle, le territoire de Saint-Jean-de-la-Rivière relève de l'honneur de La Haye[26], et, fut semble t-il rattaché ultérieurement au comté de Mortain[27],[Note 3].

Le , Guillaume du Saussey, époux de Guillemette Carbonnel, rend hommage au roi pour les fiefs de Barneville et Saint-Jean-la-Rivière[28].

Des textes nous font connaître l'existence d'une vavassories situées à Saint-Jean-de-la-Rivière (1473)[29].

Le territoire de la paroisse était d'un point de vue féodal compliquée car s'y trouvait des extensions des fiefs du Dick et du Parc, dont les seigneurs prétendaient avoir des droits de garennes dans les dunes ce qui occasionna de nombreux procès. Quant au fief de Saint-Jean il était la possession de l'abbaye de Saint-Père-de-Chartres qui le vendit le , à noble homme Adam Jouan, seigneur d'Omonville-la-Folliot, d'où s'ensuivirent de multiples procès[30]. Le fief, sur lequel il n'y avait pas de manoir, mais seulement une grange seigneuriale, changea souvent de mains. En 1642, il était la possession de la famille de Thieuville, seigneurs du Parc, puis en 1660, aux mains de François Pitteboult, seigneur de Graffard[31], dont la famille le conservera jusqu'en 1767, date à laquelle il est la possession d'un autre François Pitteboult.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Jean-de-la-Rivière Blason
D'argent aux six roses de gueules 3.2.1.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1977 mars 2006 Robert Leconte    
mars 2006[32] mai 2020 Hélène Leseigneur[33] DVD Agricultrice
mai 2020[34] En cours Francis Botta SE Retraité de la gendarmerie
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[34].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].

En 2021, la commune comptait 362 habitants[Note 4], en augmentation de 4,02 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Saint-Jean-de-la-Rivière avait compté jusqu'à 318 habitants en 1836. Ce maximum n'a été dépassé qu'au recensement de 2006.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
205242245277301318312304308
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
242250218230223231220239214
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
177188200190195186163186179
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
184174175180218279340356347
2021 - - - - - - - -
362--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Jean-Baptiste des XIe, XIVe – XVIIe siècles, refaite au XVIIe siècle, avec un chœur à chevet plat et un clocher-porche en façade construit de 1883 à 1884, qui précède, l'ancien portail du XIVe siècle surmonté d'une fenêtre chanfreiné. L'édifice a conservé quelques traces romanes dont des pierres de la nef placées en épi limité par un larmier[38],[Note 5].
Le chœur est décoré d'une fresque du XVIIe représentant les douze Apôtres, remises au jour dans les années 2010 après avoir été couverte d'un badigeonnage vers 1930. On reconnaît encore sur le mur nord saint André et sa croix. L'édifice abrite également, au-dessus du portail du XIVe siècle, un tableau peint à l'huile, provenant d'un ancien retable, donné par Charles-Louis Mahieu, curé, représentant le Baptême du Christ daté de 1811, dans un cadre sculpté de guirlandes en bois de chêne et peint du XVIIe et un calice de l'orfèvre Le Forestier du XVIIIe, classés au titre objet aux monuments historiques[40], ainsi que la statue de sainte Barbe du XVe tenant un livre, en bois polychromé, avec sa tour et la palme du martyre, restaurée en 2008 et la statue du saint patron de l'église, saint Jean Baptiste en pierre polychromée du XVe restaurée également en 2008[30],[Note 6], des fonts baptismaux en marbre rose, avec leur couvercle en bois peint, datés de 1881, des inscriptions tombales, dont une datée de 1661 et d'autres en lettres gothiques qui pourraient dater du XVe siècle[25]. Dans la chapelle de la Vierge, ajoutée au sud au XVIIe siècle, est conservé un sarcophage en calcaire sans couvercle.
En 1134, l'évêque de Coutances, Algare, donne le patronage de l'église à l'abbaye de Lessay[25], confirmé par le pape Urbain II[Note 7]. Mais par l'intermédiaire du prieur du Ham, l'abbaye de Saint-Père de Chartres prélevait une partie des dîmes, le fief de Saint-Jean leur appartenait jusqu'en 1564. Le reste était partagé entre le curé du lieu et l'abbaye de Lessay.
Jusqu'en 1186, l'église portait le nom de Saint-Jean-de-Turgeville, du nom ancien de la commune.
  • Croix de cimetière du XVIIIe siècle réutilisant une ancienne borne milliaire gallo-romaine (marches, dé et fut) en granit. Le croisillon en calcaire est une récupération de croix funéraire.
  • Croix de chemin, avec et croisillon, en granit de la rue Marquant du XVIIe siècle marquant la limite avec la commune de Saint-Georges-de-la-Rivière.
  • Ancien moulin à vent, possession du seigneur de La Haye-d'Ectot. Situé au carrefour de la grande route de Barneville à La Haye-du-Puits et de la route qui mène à Saint-Jean, il a été bâti à la fin du XVIe ou au début du XVIIe siècle[Note 8]. Restauré, il sert aujourd'hui d'habitation.
  • Table d'orientation.
  • Restes de l'ancien presbytère datant peut-être du XVIIIe siècle au lieu-dit du Vieux Presbytère au sud du hameau de Vouges.
  • Maisons anciennes au hameau de Vouges situé au nord de la commune.
    • La maison de la famille de Vouges arbore au-dessus de la porte une pierre gravée avec l'inscription qui débute ainsi : « FAIT.BATIR.PAR.ME.JULIEN. DEVOUGES… » et nous apprend qu'elle a été édifiée en 1722 par Julien de Vouges, capitaine de Saint-Jean, et restaurée en 1780 par son petit-fils, Philippe de Vouges[42],[Note 9]. Sa façade sur cour, d'une belle symétrie, est percée d'une porte à arc segmentaire entre deux groupes de deux fenêtres au rez de chaussée et de cinq fenêtres à l'étage, surmontée d'un grenier qu'éclairent deux jours.
    • Ferme ancienne qui a conservée sa tourelle d'angle avec couverture de pierre en poivrière des XVIe – XVIIIe siècles renfermant un escalier. Percée de nombreux trous de boulins elle a servi de pigeonnier. Une petite tour à l'entrée de la ferme est percée d'une petite ouverture permettant la surveillance du chemin.
    • Porte bouchée à double rang de claveaux dans des bâtiments remontant au XVIe siècle.
  • Maison de la fin du XVIIIe siècle au hameau de la Verrerie ainsi nommé parce qu'y vivait une famille Le Verrier. Elle possède des communs plus anciens car on peut y voir une fenêtre à meneau et traverse du XVIIe siècle.
  • Maison au hameau de la Fontaine de la fin du XVIe ou du début du XVIIe siècle. Elle conserve une fenêtre étroite à encadrement et traverse chanfreinées et la trace d'une porte à arc en plein cintre.
  • Maison du XVIIIe siècle, à la Maison Neuve.
  • Halte du train touristique du Cotentin.
  • Golf de la Côte des Isles.
  • Grande Plage de Barneville à Portbail.

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Jeannine Bavay, « Saint-Jean-de-la-Rivière », Vikland, la revue du Cotentin, no 2,‎ juillet-août-septembre 2012, p. 38-45 (ISSN 0224-7992).
  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 204.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 551.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Comme celui de Barneville, Gouey et La Haye-d'Ectot.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Le recours à une technique de maçonnerie en opus spicatum inscrit l'église Saint-Jean-Baptiste de Saint-Jean-de-la-Rivière dans un contexte architectural relativement dense. Parmi les édifices de la presqu'île du Cotentin présentant les mêmes caractéristiques, on peut citer : la chapelle Sainte-Ergoueffe de Surtainville, la chapelle Saint-Germain de Querqueville, l'église Notre-Dame d'Acqueville, l'église Notre-Dame de La Haye-d'Ectot, la vieille église paroissiale de Carteret, l'église Saint-Pierre-ès-Liens d'Huberville, l'église Saint-Martin d'Octeville-l'Aveneletc.[39]
  6. Selon la tradition, la statue aurait été cachée pendant la révolution par Jean Le Cannelier et rendue à l'abbé Mahieu à son retour en 1802.
  7. Selon Jeannine Bavay, son patronage, comme sa voisine de Saint-Georges-de-la-Rivière, avait été donné par le baron de la Haye-du-Puits, Turstin Haldup (fl. au XIe siècle), à l'abbaye de Lessay[41].
  8. Il existait au clos du Moulin ou Pré du Moulin un moulin à marée et au Moulinet, un autre moulin à vent, aujourd'hui disparu.
  9. La famille de Vouges a fourni un notaire royal, un greffier, un procureur du roi en l'Amirauté de Portbail, et un docteur en médecine.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Fossiles, revue française de paléontologie, n° 50, avril-mai-juin 2022, page 53.
  2. « Circulaire du 02/08/11 relative à la mise en œuvre des plans de prévention des risques naturels littoraux », sur aida.ineris.fr.
  3. « Montée des eaux en France : les prévisions alarmantes des scientifiques », sur Reporterre, .
  4. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
  8. « Orthodromie entre Saint-Jean-de-la-Rivière et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Météo-France « Cherbourg-homet » (commune de Cherbourg-en-Cotentin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Cherbourg-homet » (commune de Cherbourg-en-Cotentin) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « Les communes soumises à la loi littoral », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  18. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  21. a et b Georges Bernage, « Noms de lieux scandinaves dans le canton de Barneville-Carteret », Vikland, la revue du Cotentin, no 1,‎ avril-mai-juin 2012, p. 9 (ISSN 0224-7992).
  22. a et b Bavay (Saint-Jean), Vikland n°2, p. 38.
  23. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 88.
  24. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. a b et c Delattre, 2002, p. 204.
  26. Jean Barros, Le canton de Barneville-Carteret (Côte des Isles) : Dans l'histoire, t. 2, Valognes, Éditions de la Côte des Isles, , 440 p. (ISBN 2-9505339-2-2).
  27. Jean Barros, Le canton de Barneville-Carteret (Côte des Isles) : Le patrimoine, t. 1, Valognes, Éditions de la Côte des Isles, , 391 p. (ISBN 2-9505339-1-4), p. 28.
  28. Barros 1991, p. 34.
  29. Barros 1992, p. 76.
  30. a et b Gautier 2014, p. 551.
  31. Université Inter-Âges de Basse-Normandie - Antenne de Cherbourg (préf. Rodolphe de Mons), Blasons armoriés du Clos du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 214 p. (ISBN 2-85480-543-7), p. 24.
  32. « Canton de Barneville-Carteret : Hélène Leseigneur candidate pour la Majorité départementale », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  33. Réélection 2014 : « Hélène Leseigneur réélue dans une atmosphère tendue », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  34. a et b « Municipales à Saint-Jean-de-la-Rivière. Francis Botta succède à Hélène Leseigneur », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Jean Barros, « L'église Saint-Jean-Baptiste de Saint-Jean-de-la-Rivière », Vikland, la revue du Cotentin, no 2,‎ juillet-août-septembre 2012, p. 41-45 (ISSN 0224-7992).
  39. Julien Deshayes, « Querqueville, chapelle Saint-Germain », Vikland, la revue du Cotentin, no 3,‎ octobre-novembre-décembre 2012, p. 26 (ISSN 0224-7992).
  40. « Tableau : Le Baptême du Christ, cadre », notice no PM50000991, « calice », notice no PM50000990, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  41. Jeannine Bavay, « Saint-Georges-de-la-Rivière », Vikland, la revue du Cotentin, no 2,‎ juillet-août-septembre 2012, p. 31 (ISSN 0224-7992).
  42. Bavay (Saint-Jean-de-la-Rivière), Vikland n°2, p. 38.