Sainte-Geneviève (Manche) — Wikipédia

Sainte-Geneviève
Sainte-Geneviève (Manche)
Église Sainte-Geneviève.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Gilbert Lepetit
2020-2026
Code postal 50760
Code commune 50469
Démographie
Gentilé Génovéfains
Population
municipale
309 hab. (2021 en diminution de 4,04 % par rapport à 2015)
Densité 62 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 39′ 25″ nord, 1° 18′ 44″ ouest
Altitude Min. 9 m
Max. 60 m
Superficie 4,95 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Val-de-Saire
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Sainte-Geneviève

Sainte-Geneviève est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 309 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 10,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 981 mm, avec 13,9 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Gatteville-le-Phare à 4 km à vol d'oiseau[5], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 866,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Sainte-Geneviève est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91,1 %), prairies (8,9 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Arravilla au XIIe siècle devient Arravilla cum ecclesia Sancta Genovefe, c'est-à-dire Arreville avec l'église Sainte-Geneviève à partir du XIIIe siècle puis en 1220 Sancta Genofeva.

Le vocable, Sainte Geneviève, de l'église paroissiale l'a emporté au XIIIe siècle sur Arreville, conservé de nos jours par le hameau d'Arville.

Le gentilé est Génovéfains.

Histoire[modifier | modifier le code]

Osbert Vasteville (XIe siècle), seigneur de Sainte-Geneviève qui habitait à la Vastevillerie, aujourd'hui disparue, était parent du duc Guillaume et mit à la disposition de ce dernier quinze navires équipés pour traverser la Manche lors de la conquête normande de l'Angleterre en 1066[15].

Le village a été en grande partie la possession de l'abbaye du Vœu à Cherbourg qui percevait les deux tiers de la dîme qui lui avait été donné en 1219, par l'évêque de Coutances[16]. L'abbé du Vœu était baron de Sainte-Geneviève, ainsi que de Neuville et de Cherbourg[17].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1790   Jean-Pierre Pesnelle    
  1793 Bon Gaillard   Agent municipal
1793   Jean-Pierre Pesnelle    
  1798 Bon Gaillard    
1798 1800 Jean-Pierre Pesnelle    
1800 1805 André Langlois    
1805 1822[18] Jean-Pierre Pesnelle    
1822 1831 Pierre François Marin Langlois    
1831 1835 Octave Pesnelle    
1835 1840 Pierre Marois    
1840 1873[19] Jean-Baptiste Marois[20]    
1874 1912 André Marie Langlois    
1912 1919 Jules Cord'homme    
1919 1923 Étienne Marois    
1923 1926 Bienaimé Hamel    
1926 1929 Louis Houivet    
1929 1932 François Joly    
1932 1945 Jean Marois    
1945 1954 Maurice de Brix    
1954 1983 Paul Hamel    
1983 2000 Michel Houllegatte    
2000 mars 2001 Michel Lerévérend SE Retraité
mars 2014 Régine Gosselin SE Chef d'entreprise
mars 2014[21] mai 2020 Bernard Hamel SE Retraité de l'agriculture
mai 2020[22] En cours Gilbert Lepetit SE Agent de maîtrise retraité
Une partie des données est issue d'un liste établie par Jean Pouëssel et Pierre-Yves Jolivet[15].

Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[23].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].

En 2021, la commune comptait 309 habitants[Note 4], en diminution de 4,04 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
713541744748688684711653651
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
627605607567545491462450408
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
378393362328332327333322309
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
296291286296256293320329310
2014 2019 2021 - - - - - -
323313309------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Créée en 1970, l'entreprise Gosselin est spécialisée dans le conditionnement, l'expédition et l'exportation de légumes frais.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La ferme de l'Abbaye ou tour de la Baronnie.
La chapelle Notre-Dame-de-Lourdes.
  • Manoir d'Arville (XVe, XVIIe, XVIIIe – XIXe siècles) avec une belle tour d'angle, inscrit en 1981 au titre des monuments historiques[28].
  • Ferme-manoir de la Févrerie des XVIIe et XVIIIe siècles avec un bel escalier extérieur[29]. Il est composé d'un grand corps de logis conte lequel est accolé une grande tour rectangulaire, dont la partie supérieure, côté cour, est percée de trous de boulins disposés régulièrement destinés à accueillir des pigeons, attestant du caractère noble de la maison[30].
  • Manoir de la Dubosdière antérieur au XVIe siècle.
  • Manoir des Mares, au sud du bourg. Construit en 1615 par la famille Dagier du Theil[31], et restauré vers 1930, il conserve des vestiges intéressants ainsi qu'une façade classique en pierres taillées. C'est un prêtre, Jean Dagier, qui le construisit pour son neveu[29]. Les Dagier furent anoblis en 1652[29]. Ils perdirent leurs fortunes à la Révolution. Le dernier de la branche, Amédée Dagier, était ouvrier au port de Granville en 1860[29].
  • Manoir de la Dubourderie près de la rivière la Tombette. Demeure seigneuriale de la fin du XVIe siècle avec une porte double, charretière et piétonne, et une tour d'escalier octogonal en bel appareil en granit taillé, avec pigeonnier au sommet[29]. La tour de style gothique flamboyant qui rappelle le XVe siècle, comporte des éléments défensifs (meurtrières). Le logis est dominé par des cheminées rectangulaires et une de forme octogonale[32]. Le manoir fut érigé en 1595 par Nicolas Lefébure, receveur des tailles, anobli de fraîche date qui se fait alors construire une demeure en rapport avec son nouvel état. Il doit son nom à la famille de Lœuvre, sieurs du Bourg, qui l'occupaient en 1685. Cette famille ruinée à la Révolution, leurs descendants furent employés en tant qu'ouvriers à la filature du Vast[29].
  • Manoir du Hameau Normand.
  • Tour de la Baronnie du XVIe siècle, à côté de l'église, avec son porche d'entrée double, porte charretière et porte piétonne murée[33]. Ce petit édifice est flanqué d'une tour d'escalier cylindrique du XVIe avec modillons. La maison avec porte charretière, avec sur la droite un double regard, pourrait être le manoir de l'Abbaye que possédait l'abbaye du Vœu à Sainte-Geneviève « près du presbytère »[33].
  • Tour d'Arreville (ancien moulin à vent sur la carte IGN ?), à 600 m du château. La tour cylindrique isolée, très remaniée, bâtie sur les traces d'une motte très abîmée (relevée par Frédéric Scuvée)[34].
  • Ferme-manoir du Laurier du XVIIIe siècle.
  • Ferme-manoir de la Fouquetière ou Fouquetterie du XVIIIe siècle, et ses lucarnes avec fronton semi-circulaire sous un toit à bâtière[29] où habitat la famille Pontus.
  • Ferme Saint-Jouvin.
  • La Moignerie.
  • Le Hameau Le Roi.
  • Ferme-manoir de la Grande Berquerie du XVIIIe siècle.
  • Manoir de la Lucaserie.
  • La Ruellerie, avec une belle façade du XVIIIe siècle.
  • La Rue Hardy ; maison ancienne avec portes charretière et piétonne[29].
  • La Rue Gaillard, avec plusieurs maisons intéressantes dont la ferme Saint-Jouvin.
  • Puits en pierre.
  • Église Sainte-Geneviève des XVe, XVIIIe – XIXe siècles, avec une tour de clocher carrée à balustrades et gargouilles du XVe siècle et tourelle d'angle carrée et fenêtres à linteaux[33]. Le chœur du XIIIe siècle a été refait au XVIIIe siècle. Le transept est du XVe. La nef actuelle a été construite en 1880 dans le style néogothique[32]. Le , le conseil municipal prit la décision de raser la flèche du clocher couverte en schiste qui tombait en ruine[33]. L'église abrite une statue de sainte Geneviève, placée au-dessus du maître-autel, en pierre polychrome du XVIe mais qui reprend les canons du siècle précédent ainsi qu'un retable baroque, un calice du XVIIe de l'orfèvre Mathieu Dufeu classé au titre objet aux monuments historiques, un maître-autel du XVIIIe et autels latéraux du XIXe, une statue de saint Sulpice du XVe, la statue de Jean-Baptiste Michel Pontus (1763-1792), maître ès-arts de la Sorbonne, massacré à la Révolution, une verrière du XXe[15].
  • Chapelles de la Rue Gaillard du XIXe siècle, et de Notre-Dame de Lourdes de 1875.
  • Oratoire Notre-Dame du XIXe siècle.
  • Calvaire du Vendy du XXe siècle.
  • If funéraire du cimetière.
  • Ancien presbytère occupé par la mairie.

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 232.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 521.
  • Maurice Lecœur (photogr. Christine Duteurtre), Val de Saire, Isoète, , 173 p. (ISBN 978-2-9139-2076-7), p. 74-77.
  • Edmond Thin, Le Val de Saire : Trésors d'un jardin du Cotentin sur la mer, Éditions OREP, , 165 p. (ISBN 978-2-915762-82-2), p. 131-132.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
  5. « Orthodromie entre Sainte-Geneviève et Gatteville-le-Phare », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Barfleur » (commune de Gatteville-le-Phare) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Barfleur » (commune de Gatteville-le-Phare) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  15. a b et c Gautier 2014, p. 521.
  16. Delattre, 2002, p. 232.
  17. Jeannine Bavay, « L'abbaye du Vœu », Vikland, la revue du Cotentin, no 3,‎ octobre-novembre-décembre 2012, p. 14 (ISSN 0224-7992).
  18. Mort en exercice le .
  19. Mort en exercice le .
  20. Annuaire du département de la Manche, 33e année, 1861, p 244.
  21. « Bernard Hamel devient le nouveau maire du village », sur Ouest-france.fr (consulté le ).
  22. « Gilbert Lepetit succède à Bernard Hamel », sur Ouest-france.fr (consulté le ).
  23. « Sainte-Geneviève (50760) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « Manoir d'Arville », notice no PA00110567, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. a b c d e f g et h Lecœur 2009, p. 75.
  30. Thin 2009, p. 132.
  31. Université Inter-Âges de Basse-Normandie - Antenne de Cherbourg (préf. Rodolphe de Mons), Blasons armoriés du Clos du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 214 p. (ISBN 2-85480-543-7), p. 191.
  32. a et b Thin 2009, p. 131.
  33. a b c et d Lecœur 2009, p. 76.
  34. Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du Moyen Âge en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 28e éd. (1re éd. 1979), 1304 p. (ISBN 2-86535-070-3, OCLC 1078727877), p. 1099.