Yvetot-Bocage — Wikipédia

Yvetot-Bocage
Yvetot-Bocage
L'église Saint-Georges.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Alain Croizer
2020-2026
Code postal 50700
Code commune 50648
Démographie
Gentilé Yvetotais
Population
municipale
1 186 hab. (2021 en augmentation de 6,37 % par rapport à 2015)
Densité 95 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 29′ 24″ nord, 1° 30′ 13″ ouest
Altitude Min. 13 m
Max. 75 m
Superficie 12,46 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Valognes
(banlieue)
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Valognes
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.yvetot-bocage.fr

Yvetot-Bocage (prononcé [ivtobokaʒ]) est une commune française située dans le département de la Manche (région Normandie), peuplée de 1 186 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est au centre de la péninsule du Cotentin. Son bourg est à 3,5 km au sud-ouest de Valognes, à 10 km à l'est de Bricquebec et à 14 km au nord de Saint-Sauveur-le-Vicomte[1].

Yvetot-Bocage est dans le bassin de la Douve, par deux de ses affluents. La majeure partie, orientale, a ses eaux collectées par le Merderet qui délimite le territoire à l'est et par ses propres affluents dont le ruisseau de Grismarais qui fait partiellement fonction de limite au sud. L'ouest est drainé par le ruisseau du Marais Renard, plus modeste, qui prend sa source dans la commune et rejoint la Douve — appelée à cet endroit l'Ouve — sur le territoire de la commune de Négreville voisine.

Le point culminant (75 m) se situe en limite nord, au lieu-dit la Brique. Le point le plus bas (13 m) correspond à la sortie du Merderet du territoire, au sud-est. Au nord de la commune existent quelques vestiges de l'ancienne forêt de Brix, avec le bois des Fosses et celui de la Tuilerie, extensions du bois de la Brique (à Négreville).

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 921 mm, avec 14 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Gonneville-Le Theil à 16 km à vol d'oiseau[6], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 940,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Yvetot-Bocage est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12].

Elle appartient à l'unité urbaine de Valognes, une agglomération intra-départementale regroupant deux communes[13] et 7 977 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[14],[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (58,2 %), terres arables (29,1 %), zones urbanisées (6,4 %), forêts (3,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,7 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

  • la Barre, la Basfeuille (manoir), Bas-Marais, la Brique ;
  • le Carrefour des Vergers, Hameau des Carrières, le Petit Château, la Chaussée, la Cointerie, la Cour (manoir), le Coutre, la Croix Blanche, le Clos du Puits ;
  • les Dours ;
  • le Hameau de l'École, l'Épiscopat (manoir) ;
  • Fenard, la Fontaine aux Cœurs, la Fontenelle (manoir), les Fosses (bois) ;
  • la Garderie, la Girotterie, Grismarais ;
  • Hameau Gallis, Hameau Larcher, le Hameau ès Pages, la Haulle (manoir), la Houtevillerie ;
  • la Lamberterie, la Lande (manoir), la Lande de Millières, la Londe, la Petite Londe, la Grande Londe (manoir), la Lysonnerie ;
  • Maisons Gargatte, Maison Vignon, le Manoir (manoir), la Mare, les Mares, la Marterie, Mesnil Grand (très beau manoir), Montigny (manoir), Muray ;
  • la Planche Gargatte ;
  • le Séminaire (belle maison), Servigny (château inscrit) ;
  • le Tot, Toves, la Tuilerie (manoir et bois) ;
  • la Valette (manoir), la Vautière, Vic, la Vicquerie, la Vignonerie, Village Bouteiller, Village d'Henrionnet, Village Laurent, Village des Saints.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Yvetot et Ivetot en 1056, Ivetooht, Ivetoht et Ivetoth vers 1180, Ivetot en 1203[19],[20].

Il s'agit d'une formation médiévale en -tot[21], appellatif toponymique normand issu du norrois topt, toft, devenu -toht dans les plus anciens documents (cf. Yvetot, Seine-Maritime, Ivetoht 1025-1026). L'élément Yve- représente le nom de personne germanique continental Ivo ou norrois Ívarr par attraction paronymique du précédent, peut-être par le biais d'une forme *Ivi hypothétique. Ivo explique les prénoms et patronymes Yves et Yvon, bien attestés en Normandie, et Ívarr, le patronyme Yver centré sur la Normandie encore au début du XXe siècle[22]. On les retrouvent dans Yvetot, Yvecrique, La Chapelle-Yvon, Boisyvon, etc.[23],[24],[25].

Yvetot a reçu le déterminant complémentaire -Bocage en 1919[26] pour la différencier d'autres Yvetot de Normandie.

Le gentilé est Yvetotais.

Les noms de hameaux suivant sont d'origine norroise : la Brique, Grismarais, la Haulle, la Londe, Gargatte, la Mare, le Tot, Toves, Vic.

Histoire[modifier | modifier le code]

Riche terroir situé à proximité de Valognes, la commune d'Yvetot-Bocage est pourvue d'un nombre important de belles maisons, notamment en raison des carrières de pierre calcaire, exportées dans tout le Cotentin depuis plusieurs siècles.

La « pierre d'Yvetot » a été employée depuis le XIe siècle sous le nom de « calcaire de Valognes » pour la construction de la plupart des églises et manoirs de la région. À partir du XVe siècle, on l'utilise notamment pour l'ornement extérieur et intérieur des maisons (cheminées, ouvertures), là ou l'on n'utilise pas le granite, de taille plus difficile. La pierre d'Yvetot a été utilisée jusqu'au XXe siècle.

Au XVIIe siècle, le village était la possession de la famille de La Luthumière[27].

C'est à Yvetot-Bocage qu'est signée le la reddition de Cherbourg reçue par le général américain Lawton Collins, commandant du VIIe corps d'armée américain qui avait installé son PC au château de Servigny, du général allemand Karl-Wilhelm von Schlieben, commandant la forteresse de Cherbourg, et du contre-amiral Hennecke.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1780 1790 Michel de La Barre    
1790 1792 André Hallot    
1792 1804 Nicolas Basley    
1804 1816 Joseph Leveel de La Haulle    
1816 1820 Édouard Abasquene de Parfouru    
1820 1834 Pierre Varin    
1834 1859 Louis Navet-Desvallées    
1859 1876 Jean Regnouf    
1876 1884 Clément Navet    
1884 1889 Marin Hallot    
1889 1897 Bon Herequin    
1897 1919 Octave Picot    
1919 1926 Joseph Alexandre    
1926 1937 Alexandre Langlois    
1937 1944 Joseph Marc Abasquene de Parfouru    
1944 1966 Jules Langlois    
1966 1973 Pierre Couppey    
1973 2001 Raymond Passilly    
2001 En cours Alain Croizer[28] SE Agent de maîtrise
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[28].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

En 2021, la commune comptait 1 186 habitants[Note 4], en augmentation de 6,37 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Yvetot a compté jusqu'à 1 253 habitants en 1846.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0621 1851 1851 2111 2351 2371 2021 2531 208
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1261 1371 0259801 026981885874856
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
827801807689708700664742804
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
8227707717951 0441 0271 0221 0071 111
2014 2019 2021 - - - - - -
1 1151 1821 186------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fête patronale, le 23 avril ou le dimanche suivant.

Sports et loisirs[modifier | modifier le code]

Le Football Club d'Yvetot-Bocage fait évoluer une équipe de football en division de district[32].

Cultes[modifier | modifier le code]

Culte catholique[modifier | modifier le code]

Yvetot-Bocage relève du diocèse de Coutances-et-Avranches. Avant 1801, la paroisse relevait de l'ancien diocèse de Coutances puis de l'éphémère diocèse de la Manche.

L'ancienne paroisse catholique d'Yvetot, qui était à l'origine de la commune actuelle, a été supprimée en 1995. Yvetot relève désormais de la nouvelle paroisse de Valognes. L'église reste toutefois église paroissiale, au même titre que les autres églises des anciennes paroisses.

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église paroissiale[modifier | modifier le code]

Vue intérieure de l'église.

L'église Saint-Georges des XIIIe, XVe – XVIIIe siècles, classée au titre des monuments historiques par arrêté du [33], possède un chœur voûté du XIIIe siècle bordé de collatéraux du XVe. La nef a été entièrement reconstruite au XVIIIe siècle, l'avant-porche est gothique.

L'édifice abrite les statues de sainte Catherine d'Alexandrie du XVIe de saint Laurent du XVIIIe, une poutre de gloire au niveau de l'arc triomphal, une chaire à prêcher du XVIIe, un christ en croix du XVIIIe, une Vierge à l'Enfant du XVIe et un coffret et trois ampoules aux saintes huiles du XVIIIe, classées au titre objet aux monuments historiques[34], ainsi que des fonts baptismaux en pierre calcaire d'Yvetot et son couvercle en bois de chêne, de la fin du XVIIIe ou début XIXe siècle[35].

Le clocher est du XIIIe siècle. Chapelle particulière datée de 1645, ajoutée à l'église.

Châteaux et manoirs[modifier | modifier le code]

Portail du château de Servigny.
Le château de Servigny.
La seigneurie de Servigny appartenait au XIVe siècle à la famille Meurdrac, puis au XVIIe siècle à celle des Plessart. Jules Barbey d'Aurevilly y situe l'action de son roman Le bonheur dans le crime (paru en 1874). et il est le lieu de la signature du traité de Servigny en 1944 (voir ci-dessus)
  • Manoir de Mesnilgrand construit au XVIIe siècle dans le style Renaissance cotentinaise, comme aux châteaux de Sotteville et de Crosville-sur-Douve. Transformé en exploitation agricole. Manoir du début du XVIIe siècle[37] avec ses lucarnes en œil-de-bœuf et ses cinq cheminées, qui s'éclaire par des fenêtres pour la plupart surmontées d'un fronton triangulaire à meneaux dont la pierre est dite à la Crosville. L'entrée du domaine est encadrée de deux poteaux imposants couronnés d'une boule. En 1640, il est la demeure de Jean de Varin, fils d'un lieutenant général de l'élection de Valognes, qui y vit avec son épouse Catherine du Quesnay. À la fin du XVIIe siècle, il est la possession de la famille Gallis de Mesnilgrand, famille d'officier de robes de Valognes[Note 5][38].
  • Manoir d'Azir du XVIIIe siècle, ayant appartenu à Félix Vicq d'Azyr (1748-1794), médecin, membre de l'Académie française.
  • La Cour d'Yvetot XVIIe siècle, ancien manoir seigneurial. Au-dessus de la porte d'entrée de la maison manable, une pierre calcaire sculptée insérée porte un écu martelé ou usé, supporté par deux lions affrontés et timbré d'un casque posé de profil senestre, signe de bâtardise. Les armes qui sont figurées sont celle de la famille Le Tellier de La Luthumière : d'argent à la croix de gueules cantonnée de quatre lionceaux de sable[39].
  • Manoir-ferme de La Grande Londe du XVIIIe siècle.
  • Manoir de la Tuilerie, construit en 1810.
  • Manoir de la Basfeuille du XIIIe siècle, demeure des archidiacres du Cotentin.
  • L'Épiscopat, ancien manoir des évêques de Coutances[réf. nécessaire].
  • Manoir de Montigny, construit dans les années 1654-1656.
  • Manoir de la Haulle du XVIIIe siècle.
  • Manoir de la Fontenelle du XVIIe siècle.

Autres lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le Séminaire, ancien séminaire[réf. nécessaire].
  • Croix de chemin dites la Croix Blanche du XVIIIe siècle, croix du Manoir du XVIIIe siècle et croix de cimetière du XVIIIe siècle.
  • Labyrinthe végétal.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 272.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 689.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Barbey d'Aurevilly les mettra en scène dans l'une de ses Diaboliques.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
  6. « Orthodromie entre Yvetot-Bocage et Gonneville-Le Theil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Gonneville » (commune de Gonneville-Le Theil) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Gonneville » (commune de Gonneville-Le Theil) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Valognes », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  19. François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 237.
  20. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, Genève, (lire en ligne), p. 1018.
  21. François de Beaurepaire, op. cit.
  22. Site de géopatronyme : répartition par naissance du patronyme Yver.
  23. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 167.
  24. François de Beaurepaire, op. cit., p. 80.
  25. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses Universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2), p. 72a.
  26. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Delattre, 2002, p. 272.
  28. a et b Réélection 2014 : « Yvetot-Bocage (50700) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « FC Yvetot-Bocage », sur Site officiel de la Ligue de Normandie (consulté le ).
  33. « Église », notice no PA00110645, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. Œuvres mobilières à Yvetot-Bocage.
  35. Edmond Thin, Le Val de Saire : Trésors d'un jardin du Cotentin sur la mer, Éditions OREP, , 165 p. (ISBN 978-2-915762-82-2), p. 163.
  36. « Château de Servigny », notice no PA00110644, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 203.
  38. Girard et Lecœur 2005, p. 20.
  39. Université Inter-Âges de Basse-Normandie - Antenne de Cherbourg (préf. Rodolphe de Mons), Blasons armoriés du Clos du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 214 p. (ISBN 2-85480-543-7), p. 206.