Gosnay — Wikipédia

Gosnay
Gosnay
La chartreuse des Dames, monument historique.
Blason de Gosnay
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Béthune
Intercommunalité CA de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane
Maire
Mandat
Virginie Souilliart
2020-2026
Code postal 62199
Code commune 62377
Démographie
Gentilé Gosnaysiens
Population
municipale
952 hab. (2021 en augmentation de 1,06 % par rapport à 2015)
Densité 431 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 30′ 29″ nord, 2° 35′ 15″ est
Altitude Min. 25 m
Max. 61 m
Superficie 2,21 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Béthune
(banlieue)
Aire d'attraction Béthune
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nœux-les-Mines
Législatives 10e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Gosnay
Géolocalisation sur la carte : France
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Gosnay
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Gosnay
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Gosnay

Gosnay est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Gosnaysiens.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 276 238 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Localisée dans l'est du département du Pas-de-Calais et traversée par la Lawe, la commune de Gonnehem est une commune rurale située à 4 km au sud-ouest de la commune de Béthune (chef-lieu d'arrondissement).

Carte
Carte interactive (double-cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 2,21 km2 ; son altitude varie de 25 à 61 mètres[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

La commune est traversée par la Lawe, cours d'eau naturel de 40,97 km, qui prend sa source dans la commune de Magnicourt-en-Comte et se jette dans la Lys au niveau de la commune de La Gorgue[2], et par la Blanche, d'une longueur de 4,48 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans la Lawe au niveau de la commune de Béthune[3].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 755 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lillers à 10 km à vol d'oiseau[6], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Une friche industrielle (ancien site Carbolux avec d'anciens bassins de décantation et lieux de stockage des goudrons et d'autres sous-produits de la cokerie) a fait l'objet d'un long chantier de dépollution, puis d'une requalification paysagère (avec l'aide de la communauté d'agglomération Artois Comm), qui permettrait à terme de l'intégrer dans la trame verte locale. En 2007 et 2008 plus de 1000 arbustes ont été plantés sur le site (buddleias, argousiers, oliviers de Bohême, bouleaux verruqueux, saules Marsault, genêts à balais, ajoncs, prunelliers, églantiers, cornouillers mâles et sanguins, viornes lantane et obier, fusains d'Europe, aulne, sureau noir, saule commun, troëne..), avec en 2009 une animation par un paysagiste[10].

Espace protégé et géré[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[11].

Dans ce cadre, on trouve sur le territoire de la commune un terrain géré (location, convention de gestion) par le conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France : le bois des dames, d'une superficie de 140 hectares[12].

Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1] : le bois des Dames, d’une superficie de 634 hectares et d'une altitude variant de 36 à 76 mètres[13].

Carte de la ZNIEFF sur la commune.

La commune de Gosnay (ainsi que celles de Labeuvrière, Lapugnoy, Bruay-la-Buissière), qui font partie de la ZNIEFF, abrite une partie du bois des Dames, qui s'étend sur près de 401 hectares[14]. C'est l'une des deux seules forêts de protection de la région Nord-Pas-de-Calais, instituée en 1984 en application du code forestier[15],[16]. C'est un élément important de la trame verte régionale, qui doit aussi être connecté à la trame bleue dans le cadre du Sage de la Lys, via le corridor de la vallée de la Lawe à connecter à la ceinture verte de Béthune[17] dans le cadre d'un SAGE.

Espèces faunistiques et floristiques[modifier | modifier le code]

Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense 278 espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont 32 protégées et 11 menacées[18].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Gosnay est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[19],[20],[21]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[22] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[23],[24].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béthune dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[25],[26].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (52,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,6 %), zones urbanisées (20,5 %), forêts (12,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,9 %)[27]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

Le nord du territoire de la commune est traversé par l'autoroute A 26, aussi appelée autoroute des Anglais, reliant Calais et Troyes et est située à 4 km de la sortie no 6 de cette autoroute[28].

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

La commune se trouve à 6 km, à l'est, de la gare de Béthune, située sur les lignes d'Arras à Dunkerque-Locale et de Fives à Abbeville, desservie par des TGV inOui et des trains régionaux du réseau TER Hauts-de-France[29].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Gosnacum vers 1000 ; Gotnai en 1135 ; Cosnes en 1152 ; Gothnai en 1152 ; Gornay en 1198 ; Gonay en 1312 ; Ghosnay en 1321 ; Gosnayum en 1321 ; Gosnay en 1323 ; Gonnay en 1329 ; Gomnés en 1329 ; Gosgnay en 1333 ; Gosnaium en 1394 ; Gosnoy au XVe siècle[30]; Gosnay en 1793 et depuis 1801[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[1].

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée au canton de Nœux-les-Mines. Avant le redécoupage cantonal de 2014, elle était, depuis 1984, rattachée au canton de Barlin. Auparavant, elle a été rattachée au canton de Bruay-en-Artois en 1962 et, depuis 1801, au canton de Houdain[1].

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la dixième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1977 1989[31] Paul Tournel    
1989 2014[32] Francis Verloo   Instituteur
2014 En cours
(au 12 mars 2022)
Virginie Souillart DVD[33] Assistante sociale[34],[35]
Réélu pour le mandat 2020-2026[36],[37]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.

Elle administre l'école primaire Jean Jaurès[38].

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La commune dépend du tribunal judiciaire de Béthune, du conseil de prud'hommes de Béthune, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire de Béthune et du tribunal pour enfants de Béthune[39].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Gosnaysiens[40].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[42].

En 2021, la commune comptait 952 habitants[Note 4], en augmentation de 1,06 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
128168183184185185181196219
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
231254230228273253270280307
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
5131 1001 3371 6661 4471 4041 4311 5611 654
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 5091 3881 2971 1781 2261 1951 0921 063963
2018 2021 - - - - - - -
955952-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,2 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 477 hommes pour 478 femmes, soit un taux de 50,05 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[44]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
1,7 
5,9 
75-89 ans
11,1 
16,1 
60-74 ans
17,4 
21,6 
45-59 ans
23,6 
18,0 
30-44 ans
16,7 
15,3 
15-29 ans
14,2 
22,9 
0-14 ans
15,3 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[45]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine mondial[modifier | modifier le code]

Depuis le , la valeur universelle et historique du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais est reconnue et inscrite sur la liste du patrimoine mondial l’UNESCO. Parmi les 353 sites, répartis sur 109 lieux inclus dans le périmètre du bassin minier, le site no 92 de Gosnay est formé par la cité de corons du Château des Dames à Gosnay, utilisée par la Compagnie des mines de Bruay pour y loger les mineurs de sa fosse no 1 - 1 bis[46],[47].

Monuments historiques[modifier | modifier le code]

  • L'ancienne chartreuse des Dames fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [48]. L'ensemble est composé : des restes de l'église ; façades et toitures du bâtiment de la porterie, des bâtiments adjacents à l'église, de la maison du jardinier, des bâtiments situés en équerre au nord-ouest ; anciens murs de clôture avec la tourelle Sud ; sol compris à l'intérieur de l'enceinte ; boiseries subsistantes.
  • L'ancienne chartreuse des Hommes, Logis des Hôtes, fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [49], dit château Gamot comprenant : portail et grille d'entrée sur rue avec les six piliers ; quatre piliers sur cour ; façades et toitures du château proprement dit y compris les remises (mais à l'exclusion de la partie récemment refaite sur la façade arrière) ; escalier principal avec sa rampe en fer forgé et sa cage. Ancienne sucrerie : façades et toitures sur rue et sur cour du porche d'entrée et des deux bâtiments qui l'encadrent ; façade et toiture sur cour du bâtiment correspondant aux parcelles AB 28 à 33 ; parties subsistantes du mur de clôture ; sol compris à l'intérieur de l'enceinte.

Autres lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Thierry Larchier d'Hirson (1270-1328) évêque d'Arras, à l'origine de la chartreuse des Hommes
  • Mathilde d'Artois dite Mahaut (1268-1329), comtesse d'Artois et de Bourgogne pair de France et petite nièce de Saint-Louis, à l'origine de la chartreuse des Dames
  • Madeleine Guillemant-Sintitive (1917-2010), résistante française inhumée dans la commune. Elle est chevalier de l’ordre national du mérite, commandeur de l’ordre des Palmes académiques, médaille des déportés internés et de la Résistance, elle est nommée chevalier dans l’ordre national de la Légion d'honneur par décret du [53].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Gosnay Blason
D'argent à la fasce de gueules, à deux crosses de sable, les crosserons vers senestre, passées en sautoir, enfilées en abîme dans une couronne de comte d'or et brochant sur le tout[54].
Détails
Adopté par la municipalité le .

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Lawe (E3660600 ) » (consulté le )
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Blanche (E3660630) » (consulté le )
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Gosnay et Lillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. page de ArtCatalyse
  11. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  12. « espace protégé FR4505936 - bois des dames », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. . Une partie du site est constituée par la forêt domaniale du bois des Dames« ZNIEFF 310013744 - Bois des Dames », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. Journal officiel, page relative aux forêts de protection du Nord/Pas-de-Calais
  15. Classement par décret du 9 juillet 1984 portant création de la forêt de protection du Bois-d'Epinoy (Pas-de-Calais) JO 21-07-1984, p. 2379-2380.
  16. Les forêts de protection sur Légifrance
  17. Projet de reconquête environnementale du Fossé d'Avesnes (Résumé non technique) ; Rapport final, SYMSAGEL, 21 octobre 2003, consulté 2010 08 01.
  18. « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  21. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur insee.fr (consulté le ).
  23. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  25. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Béthune », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  28. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  29. « Distance entre la commune et la gare de Béthune », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  30. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  31. La Voix du Nord, « Gosnay : Paul Tournel, maire honoraire et doyen du village, est mort samedi », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. Cécile Rubichon, « Le bilan de Francis Verloo, maire de Gosnay : la lutte contre les inondations se termine, celle contre la dépopulation se poursuit : Maire de Gosnay depuis 1989, Francis Verloo, 72 ans, n’est pas décidé à prendre sa retraite. Pourtant gérer une commune possédant des monuments classés aux bâtiments de France est un véritable casse-tête selon lui. C’est justement parce qu’il connaît les rouages du système qu’il veut rempiler. Il a encore quelques dossiers à boucler et une baisse démographique à enrayer », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. http://www.politiquemania.com/forum/elections-senatoriales-2017-f47/elections-senatoriales-2017-pas-calais-t5839-20.html
  34. Anne Baraniek (CLP), « Gosnay : la première maire du village élue, Francis Verloo démissionne : Assistante sociale de 36 ans, maman de deux garçons, parent d’élève, gosnaysienne depuis quatorze ans, son mari l’étant depuis toujours, elle s’est engagée dans la campagne « parce que le village s’éteignait et que j’avais une vraie envie de le redynamiser. » Pour ce faire, elle a choisi d’être accompagnée de trois adjoints. Ont été élus à cette fonction Joëlle Chorlay (associations, sports, loisirs, jeunesse et culture), Jean-Paul Gallet (travaux, urbanisme, voiries et environnements), Sophie Haraut (finances, budget et ressources humaines). », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  36. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  37. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  38. « Établissement scolaire de la commune », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
  39. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  40. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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