Pont-à-Vendin — Wikipédia

Pont-à-Vendin
Pont-à-Vendin
La mairie.
Blason de Pont-à-Vendin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Lens
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Lens-Liévin
Maire
Mandat
Sandra Bablin
2022-2026
Code postal 62880
Code commune 62666
Démographie
Population
municipale
3 136 hab. (2021 en diminution de 0,98 % par rapport à 2015)
Densité 1 560 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 28′ 28″ nord, 2° 53′ 22″ est
Altitude Min. 21 m
Max. 41 m
Superficie 2,01 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Douai-Lens
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Wingles
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Pont-à-Vendin
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Pont-à-Vendin
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Voir sur la carte topographique du Pas-de-Calais
Pont-à-Vendin
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Pont-à-Vendin
Liens
Site web pont-a-vendin.fr

Pont-à-Vendin [pɔ̃.t‿a vɑ̃dɛ̃] est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Lens-Liévin qui regroupe 36 communes et compte 241 268 habitants en 2019.

Elle est arrosée par la Deûle canalisée.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de quatre communes :

Communes limitrophes de Pont-à-Vendin
Meurchin
Vendin-le-Vieil Pont-à-Vendin Estevelles
Annay

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

La commune est traversée par le canal navigable de la Deûle, d'une longueur de 58,75 km, qui prend sa source dans la commune de Douai et se jette dans la Lys au niveau de la commune de Deûlémont[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 739 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 18 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1] : le site du cavalier du terril no 98 d'Estevelles au terril d’Harnes, d’une superficie de 71 hectares et d'une altitude variant de 21 à 122 mètres. Le site est constitué, au nord, par le terril d'Estevelles de forme trapézoïdale, et, au sud, par le terril d’Harnes de forme conique. Les deux terrils sont reliés par un cavalier, ancienne voie ferrée, ces cavaliers sont très souvent transformés en sentier de randonnée et certains font partie de la trame verte et bleue[8].

Carte de la ZNIEFF sur la commune.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Pont-à-Vendin est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes[12] et 503 966 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixième plus importante de la France en nombre d'habitants, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (48,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (44,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (37,3 %), zones urbanisées (36,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (12,4 %), forêts (10 %), eaux continentales[Note 4] (3,1 %), zones agricoles hétérogènes (0,8 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Pons de Wendin (1024) ; Pons de Windino (1036) ; Pons Buendin (XIIIe siècle) ; Le Pont-à-Vendin (1304) ; Le Pont de Vendinc (1306) ; Le Pont (1601) ; Pont à Wendin (XVIIIe siècle)[18].

Toponyme composé de l'oïl pont et du nom de lieu, Vendin-le-Vieil[19].

Wendenbrugge en flamand[20].

Histoire[modifier | modifier le code]

Avant la Révolution française, Pont-à-Vendin est le siège d'une seigneurie. Elle est détenue au XVIIe siècle par la famille Bayart. Bruno Bayart, écuyer, est seigneur du Pont-à-Vendin vers 1650. Il a épousé Marguerite d'Audenarde. Bruno Bayart du Pont-à-Vendin (1657-1710), fils de Bruno Bayart, né le , est chevalier, seigneur du Pont-à-Vendin, nommé trésorier de France au bureau des finances de la généralité de Lille le , installé le 7 mars suivant. Il occupe la fonction jusqu'en 1710. Il meurt, célibataire, le et est inhumé dans l'église Saint-Étienne de Lille[21].

La seigneurie de Pont-à-Vendin est achetée le à messire Maximilien-Albert J, baron d'Hanemer, 27 000 livres de France par Eugène-Roland-Joseph Blondel d'Aubers, seigneur d'Aubers, de Vendin-le-Viel et sa femme Marie-Anne de Calonne. La terre possède toute la justice seigneuriale et différents fiefs[22].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Lens du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté d'agglomération de Lens-Liévin.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée au canton de Wingles.

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la troisième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
ca. 1935   Benjamin Cambier RG  
mai 1945 juillet 1951
(démission)
Paul Druelle[23]   Employé de chemin de fer, résistant FFI
? ? Ferdinand Martin    
mars 1959 mars 1983 Séverin Blanc[24] SFIO Employé des PTT
mars 1983 janvier 2002
(démission)
Bernard Ogiez PS Professeur de technologie
janvier 2002 mars 2008 Régis Ghignet PS Ancien premier adjoint
mars 2008 janvier 2019
(démission)
Bernard Ogiez DVG Retraité de l'enseignement
Réélu pour le mandat 2014-2020[25],[26],[27]
janvier 2019 février 2022
(démission)[28]
Nicolas Francke DVG Employé administratif d'entreprise[29]
Réélu pour le mandat 2020-2026[30]
février 2022 septembre 2022
(démission)
Manuel Lengaigne[28]    
octobre 2022 En cours
(au 15 novembre 2020)
Sandra Bablin[31]   commerçante

Jumelage[modifier | modifier le code]

Depuis le , le village est jumelé avec la commune de Faetano à Saint-Marin[32],[33].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].

En 2021, la commune comptait 3 136 habitants[Note 5], en diminution de 0,98 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
794880844821833844854871849
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
8508579229249901 0331 2351 4051 689
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 0322 2742 4651 8282 7903 5123 3093 0843 101
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
3 3833 4583 3682 8822 8032 8993 1033 1323 135
2017 2021 - - - - - - -
3 1873 136-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 43,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 16,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 553 hommes pour 1 614 femmes, soit un taux de 50,96 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,1 
90 ou +
0,9 
3,0 
75-89 ans
5,4 
10,6 
60-74 ans
11,9 
19,9 
45-59 ans
19,5 
20,8 
30-44 ans
20,0 
21,4 
15-29 ans
21,5 
24,2 
0-14 ans
20,7 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Vaast.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

de gueules au pont d'argent de trois arches, maçonné de sable, posé sur une terrasse aussi d'argent.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - canal de la Deûle ( E3--021-) » (consulté le )
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Pont-à-Vendin et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « ZNIEFF 310014027 - Site du cavalier du terril no 98 d'Estevelles au terril d’Harnes », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 303.
  19. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, , p. 1372.
  20. « proussel.voila.net/pages/noms_… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  21. Éléonore Paul Constant Baron DU CHAMBGE DE LIESSART, Notes historiques relatives aux offices et aux officiers du Bureau des finances de la généralité de Lille, L. Leleu, (lire en ligne), p. 28.
  22. Sébastien Bocquillon, « Fortune d'un premier président au Parlement de Flandre, Eugène-Roland-Joseph Blondel d'Aubers (1714-1767) », Revue du Nord 2007/3 (n° 371), pages 507 à 529, sur Cairn info..
  23. Paul Druelle (1907-1973), sur resistancepasdecalais.fr
  24. Notice BLANC Séverin, Isidore par Yves Le Maner, version mise en ligne le 20 octobre 2008, dernière modification le 25 mai 2012
  25. Julie Vuillequez, « Bilan des maires : Bernard Ogiez (Pont-à-Vendin) veut que «les habitants se sentent bien» : Nichée dans le bras du canal de la Deûle, Pont-à-Vendin est une modeste commune de 3 200 habitants, répartis sur quelque 200 hectares. Une « très petite commune », comme la présente Bernard Ogiez, devenu maire en 1989. Après une interruption à partir de 2002 et un retour en 2008, il boucle son quatrième mandat et dresse le bilan de ces cinq dernières années », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Pont-à-Vendin : le soulagement de Bernard Ogiez, réélu au terme d’une campagne « difficile » : Le maire sortant de Pont-à-Vendin Bernard Ogiez a été réélu ce dimanche avec... 42 voix d’avance sur René Dujardin », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  28. a et b Élodie Rabé, « Le nouveau maire de Pont-à-Vendin sera connu le 18 octobre », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Pont-à-Vendin : Dans une élection sans suspense, Nicolas Francke remplace Bernard Ogiez au poste de maire », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  30. Joffrey Valcke, « Nicolas Francke réélu maire de Pont-à-Vendin à l’unanimité : Il avait succédé à Bernard Ogiez en janvier 2019. Après avoir remporté l’élection du 15 mars dernier, Nicolas Francke a officiellement été reconduit dans ses fonctions de maire ce lundi soir en avec la totalité des voix des élus. Y compris ceux de l’opposition. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. Céline Debette (photogr. Matthieu Botte), « Troisième maire de Pont-à-Vendin en un an, Sandra Bablin élue ce mardi soir », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. (it) « Firmato il gemellaggio con Pont-à-Vendin ».
  33. (it) « Un "patto d'amicizia", un gemellaggio tra Faetano e Pont-à-Vendin ».
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Pont-à-Vendin (62666) », (consulté le ).
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  40. Monument aux morts
  41. « Le groupe Manouchian »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur ivry94.fr (consulté le ).