Bourecq — Wikipédia

Bourecq
Bourecq
La mairie
Blason de Bourecq
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Béthune
Intercommunalité CA de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane
Maire
Mandat
Alain Barrois
2020-2026
Code postal 62190
Code commune 62162
Démographie
Gentilé Bourecquois
Population
municipale
582 hab. (2021 en diminution de 3,64 % par rapport à 2015)
Densité 145 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 34′ 17″ nord, 2° 26′ 10″ est
Altitude Min. 22 m
Max. 49 m
Superficie 4,02 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Norrent-Fontes
(banlieue)
Aire d'attraction Aire-sur-la-Lys
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lillers
Législatives 8e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Bourecq
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Bourecq
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Bourecq
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Bourecq

Bourecq est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Bourecquois.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 276 238 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 4,02 km2 ; son altitude varie de 22 à 49 m[1].

On distingue, localement, dans la commune[2], quelques affleurements tertiaires, comme aussi dans la proche région à Aumerval, Burbure, Divion, Fléchin. Ces affleurements du Cénozoïque peuvent abriter une flore originale.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La Nave à Bourecq.

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[3].

La Nave une rivière française, longue de 21,9 km, traverse le village. Elle prend sa source à Fontaine-lès-Hermans, pour se jeter dans la Clarence à hauteur de Gonnehem et est donc un sous-affluent de l'Escaut par la Lys[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 804 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lillers à 3 km à vol d'oiseau[7], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Statistiques 1991-2020 et records LILLERS (62) - alt : 19m, lat : 50°34'46"N, lon : 2°29'47"E
Records établis sur la période du 01-04-2002 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,2 1,8 3,1 4,8 8,1 11 12,8 12,9 10,3 8,3 5,4 2,9 7
Température moyenne (°C) 4,7 4,8 7,2 10,2 13,1 16,1 18,2 18,2 15,5 12,1 8,2 5,4 11,1
Température maximale moyenne (°C) 7,2 7,8 11,3 15,7 18,2 21,3 23,6 23,4 20,7 15,9 11 7,8 15,3
Record de froid (°C)
date du record
−14,5
25.01.13
−16,3
04.02.12
−10,3
13.03.13
−5,4
08.04.03
−1
14.05.10
1,9
01.06.11
4
03.07.11
5,4
31.08.11
0,6
30.09.18
−4,5
28.10.03
−5,3
30.11.16
−11,3
18.12.10
−16,3
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
15,9
01.01.22
18,8
24.02.21
24,8
31.03.21
27,3
20.04.18
32
27.05.05
34,1
29.06.19
41
25.07.19
37,5
06.08.03
34,3
09.09.23
29
01.10.11
20,7
07.11.15
16,5
30.12.22
41
2019
Précipitations (mm) 60,2 51,3 46,5 44,1 57,5 60 65,4 69,6 59,6 67,3 73,6 76,4 731,5
Source : « Fiche 62516002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bourecq est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Norrent-Fontes, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[14] et 2 844 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Aire-sur-la-Lys dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 15 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,9 %), zones agricoles hétérogènes (17,6 %), prairies (8,2 %), zones urbanisées (7,3 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales D 94, D 94E3 et D 943 (ancienne RN 43) reliant Béthune à Aire-sur-la-Lys[20].

Elle bénéficie de la facilité d'accès, avec la sortie no 5, à l'autoroute A26 (4 km).

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

La commune se trouve à 4 km de la gare de Lillers, située sur la ligne d'Arras à Dunkerque-Locale, desservie par des trains TER Hauts-de-France[21].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Botritium in pago terragoneusium (XIIe siècle), Botricium et Borrec (1093), Borrech (1160), Bosrech (1200), Borecht (1249), Bourrech (1512), Bourets (1720)[22], Bouret (1793), Bouret et Bourecq depuis 1801[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le site a été parcouru ou même sans doute habité à l'époque gallo-romaine, comme l'a attesté la découverte d'une pièce de monnaie (un antoninien) près de l'église[23].

En 831, une petite communauté de dix chanoines, relevant de l'abbaye de Saint-Riquier, y était installée et disposait d'une petite bibliothèque ainsi que de divers objets liturgiques d'une certaine valeur, dont un « scyphus » (gobelet) en argent et une dalmatique[24].

Bourecq avait pour dépendances deux domaines et leur église respective, Thiennes et Nedon[25]. Celle-ci disparut probablement dès la fin du IXe siècle ou au IXe siècle[26]. .

Au XIIIe siècle, le château appartenait aux Malaunoy[27]. En 1204, le seigneur de Malanoi, Hugo de Malo-Alneto, fut l'un des garants au nom du roi de France de l'observation de la capitulation de Rouen et, cinq ans plus tard (en 1209), jura à Philippe Auguste de l'aider contre toute personne, sauf la dame de Lillers et le comte de Flandres[28].

En 1520, cet important château de Malannoy appartenait à Charles de Croy, comte de Chimay, parrain de Charles Quint[29]. Il fut détruit en 1543 par l'armée du duc de Vendôme.

La seigneurie de Bourecq passe après le décès de Jean d'Isque, écuyer, à son neveu, Jean Lesquevistre, qui en « paie relief » à l'évêque de Thérouanne en janvier 1548[30].

Au centre du village, près de l'église, le manoir féodal, fortifié au XVIe siècle, fut agrandi .

François Perrochel, évêque de Boulogne-sur-Mer (de 1643 à 1675), après sa visite de la paroisse, refusa l'invitation du châtelain malgré l'orage menaçant, ce qui fut l'occasion d'une anecdote de plus à propos de ce dignitaire estimé de l'Église[31].

En mars 1790, lors de la Révolution française, « la Communauté de Bourecq-en-Artois annonce que les déclarations patriotiques des habitants s'élèvent à 1192 livres 17 sols, quoiqu'il y en ait à peine trois qui jouissent de 400 livres de revenu. »[32]. Sous la Révolution, Pierre Paul Saligot, « curé jureur » se rendit « fameux pour s'être toujours montré anti-évêque et anti-religieux »[33].

Vers 1830, les fontaines de Bourecq et des villages environnants sont comparées à « de véritables jets d'eau naturels »[34].

Vers 1860-1870, l'école primaire de Louis Vendeuse[35] dispose de jardins scolaires, dans le style des jardins ouvriers[36].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais depuis 1801[1].

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée au canton de Norrent-Fontes de 1801[1] à 2014, puis, depuis 2015, au canton de Lillers.

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la huitième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1804   Pigouche[37]    
vers 1865   M. de Saint-Laurent[38]    
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1995 mars 2008 Francis Hernu    
mars 2008 mai 2020 Paul-André Défossez[39]   Retraité
23 mai 2020 En cours
(au 27 mai 2020)
Alain Barrois   Ancien ouvrier[40],[41],[42]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La commune dépend du tribunal judiciaire de Béthune, du conseil de prud'hommes de Béthune, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants de Béthune[43].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Bourecquois[44].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[46].

En 2021, la commune comptait 582 habitants[Note 3], en diminution de 3,64 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
460412421492518517487505540
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
551596599607591576560514515
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
532549539565550544539540556
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
578565607556560517519518571
2015 2020 2021 - - - - - -
604589582------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[47].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,3 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 304 hommes pour 318 femmes, soit un taux de 51,13 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[48]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,0 
5,9 
75-89 ans
6,0 
17,7 
60-74 ans
17,3 
17,4 
45-59 ans
20,9 
20,5 
30-44 ans
17,9 
19,1 
15-29 ans
16,6 
18,8 
0-14 ans
20,3 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[49]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie[modifier | modifier le code]

L'activité économique est animée par quelques commerces de proximité et artisans ainsi que par des exploitants agricoles (traiteur, menuisier ébéniste, vente directe de produits de la ferme, surface commerciale).

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'ancien manoir fortifié du XVIe siècle[50],[51], situé sur la place centrale du village : Ce manoir (« avec donjon, meurtrières et mâchicoulis »[52]) a des douves, des écuries, et derrière le bâtiment une immense terre allant jusqu'à la rivière la Nave. Le pont-levis a disparu, mais la porte monumentale, d'époque médiévale, et les grilles de l'entrée précèdent un parc planté de conifères qui protège l'habitation principale. Les murs ont, par endroits, plus de sept mètres d'épaisseur, la salle de garde subsiste avec son imposante cheminée d'époque. La demeure, dont les trois quarts ne sont pas habités et restent en l'état, dispose d'une imposante cour intérieure.
  • L'église Saint-Riquier[53], datant de 1723[52]. La paroisse possède des reliques de ce saint, qui y fut invoqué (comme dans bien d'autres paroisses) pour des infirmités infantiles[54]
  • Le Malannoy, lieu-dit à l'écart (au nord) du village et à l'est de Norrent-Fontes, est aujourd'hui une ferme isolée occupant le site de l'ancien château fort, qui aurait été équipé de douze tours. Il n'en subsiste que le « tronçon » inférieur d'une seule d'entre elles[55]. Une vue aérienne ou par satellite permet de visualiser encore parfaitement le tracé circulaire de cette forteresse qui fut rasée en 1543.
  • Le monument aux morts, dont le sommet est orné d'une croix latine[56].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Bourecq Blason
Parti : au 1er de gueules à trois chevrons d'argent, au 2e de gueules fretté d'argent et au franc-canton du même[57].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. également visible sur la carte géologique
  3. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Nave (E3640630) » (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Bourecq et Lillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Norrent-Fontes », sur insee.fr (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Aire-sur-la-Lys », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  21. « Distance entre la commune et la gare de Lillers », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  22. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale de Paris, , 499 p. (lire en ligne sur Gallica), p. 64.
  23. (page 208) Revue du Nord, Volume 67, Numéros 264 à 267, éd. Université de Lille, 1985
  24. (pages 231 et 267) Émile Lesne, Histoire de la propriété ecclésiastique en France, Volume 3, 1936
  25. (page 258) Charles Mériaux, Gallia irradiata : Saints et sanctuaires dans le nord de la Gaule du haut Moyen Âge, éd. Franz Steiner Verlag, 2006, 428 pages.
  26. (pages 20-21) Revue d'histoire ecclésiastique, Volume 97, Numéro 1, éd. Université catholique de Louvain, 2002
  27. (page 289) C. Klincksieck, Mémoires de la Société nationale des antiquaires de France, 1889
  28. (page 55) Société de l'histoire de France, Volumes 303 à 304, 1901
  29. (page 174) Liber amicorum : Études historiques offertes à Pierre Bougard, Commission départementale d'histoire et d'archéologie du Pas-de-Calais, 1987 - 358 pages
  30. (page 852) Louis Eugène de La Gorgue-Rosny, Recherches généalogiques sur les comtés de Ponthieu, de Boulogne, de Guines et pays circonvoisins, volume 2, 1875
  31. (p. 134-135) Eugène Van Drival, Histoire des évêques de Boulogne, éd. Berger frères, 1852
  32. (page 17) Procès-verbal de l'Assemblée Nationale Constituante, Volume 15, Séance du 13 mars 1790 au soir
  33. (pages 177 et 387) Augustin Victor Deramecourt, Le clergé du diocèse d'Arras, Boulogne & Saint-Omer pendant la Révolution (1789-1802), 1885
  34. (page 44) Richard, Guide classique du voyageur en France, éd. Audin, 1830-1831
  35. (page 28) Recueil des lois et actes de l'instruction publique, éd. Delalain frères, 1882
  36. (page 706) Bulletin médical, 1904
  37. (page 129) Annuaire statistique du département du Pas-de-Calais pour l'an XII de la République Française (1803-1804)
  38. (colonne 965, page ?) Louis Paris, État présent de la noblesse française, éd. Bachelin-Deflorenne, 1866, 1230 pages
  39. Reno Vatin, « Projet des maires, Bourecq : Paul-André Defossez annonce un city-stade et un jardin d’enfants : Second mandat pour Paul-André Defossez, à Bourecq. Où il sera question d’un city-stade, d’un jardin pour enfants, de l’élargissement du trottoir qui longe l’école, de rénovation du toit de la sacristie et de la salle des fêtes. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. Camille Janik, « Bourecq : un nouveau maire en la personne d’Alain Barrois : Le nouveau conseil municipal a été installé samedi 23 mai », L'Écho de la Lys,‎ (lire en ligne, consulté le ) « aul-André Défossez a rendu son écharpe de maire, celui-ci ne se représentant pas aux élections municipales. C’est Alain Barrois, 65 ans, qui prend sa suite et qui a été élu maire ».
  41. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  42. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
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  47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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