Pernes-lès-Boulogne — Wikipédia

Pernes-lès-Boulogne
Pernes-lès-Boulogne
L'église du Saint-Esprit.
Blason de Pernes-lès-Boulogne
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Boulogne-sur-Mer
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Boulonnais
Maire
Mandat
Serge Quétu
2020-2026
Code postal 62126
Code commune 62653
Démographie
Gentilé Pernois
Population
municipale
417 hab. (2021 en diminution de 6,92 % par rapport à 2015)
Densité 54 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 45′ 09″ nord, 1° 42′ 13″ est
Altitude Min. 15 m
Max. 109 m
Superficie 7,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Boulogne-sur-Mer
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Boulogne-sur-Mer-1
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Pernes-lès-Boulogne
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Pernes-lès-Boulogne
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Pernes-lès-Boulogne
Liens
Site web www.mairieperneslezboulogne.com

Pernes-lès-Boulogne est une commune française proche de Boulogne-sur-Mer située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Le territoire de la commune est situé dans le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Pernes-lès-Boulogne se situe dans la périphérie nord-est de Boulogne-sur-Mer7,5 km à vol d'oiseau[1]). La commune arrière-littorale se situe à environ 7 km de la Manche. Elle appartient à la communauté d'agglomération du Boulonnais, au territoire du boulonnais ainsi qu'à celui du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.

La commune est située à environ 25 km de Calais, 40 km de Saint-Omer, 100 km de Lille et 215 km de Paris.

Carte
Les limites du territoire communal.
Carte interactive (double-cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 7,76 km2 ; son altitude varie de 15 à 109 mètres[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

La commune est traversée par le Wimereux, cours d'eau naturel non navigable de 22,1 km, qui prend sa source dans la commune de Colembert et se jette dans la Manche à Wimereux[3].

Paysages[modifier | modifier le code]

La commune s'inscrit dans le « paysage boulonnais » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[4].

Ce paysage qui concerne 66 communes, se délimite : au Nord, par les paysages des coteaux calaisiens et du Pays de Licques, à l’Est, par le paysage du Haut pays d’Artois, et au Sud, par les paysages Montreuillois.

Le « paysage boulonnais », constitué d'une boutonnière bordée d’une cuesta définissant un pays d’enclosure, est essentiellement un paysage bocager composé de 47 % de son sol en herbe ou en forêt et de 31 % en herbage, avec, dans le sud et l’est, trois grandes forêts, celle de Boulogne, d’Hardelot et de Desvres et, au nord, le bassin de carrière avec l'extraction de la pierre de Marquise depuis le Moyen Âge et de la pierre marbrière dont l'extraction s'est développée au XIXe siècle.

La boutonnière est formée de trois ensembles écopaysagers : le plateau calcaire d’Artois qui forme le haut Boulonnais, la boutonnière qui forme la cuvette du bas Boulonnais et la cuesta formée d’escarpements calcaires. Dans ce paysage, on distingue trois entités :

  • les vastes champs ouverts du Haut Boulonnais ;
  • le bocage humide dans le Bas Boulonnais ;
  • la couronne de la cuesta avec son dénivelé important et son caractère boisé[5].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 901 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boulogne-sur-Mer à 7 km à vol d'oiseau[8], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 824,5 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espace protégé et géré[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[12].

Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé : le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale, d’une superficie de 132 499 hectares réparties sur 153 communes, géré par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale[13].

Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 2] :

  • la forêt domaniale de Boulogne-sur-Mer et ses lisières. La forêt domaniale de Boulogne-sur-Mer s’étend entre la RN 42 et la RN 1, en arrière de l’agglomération de Boulogne-sur-Mer. Elle appartient au vaste complexe bocager et forestier de la Liane et du bas-Boulonnais[14] ;
  • la vallée du Wimereux entre Wimille et Belle-et-Houllefort. Cette partie de la vallée du Wimereux, située au nord de la RN 42, en marge de la cuvette du bas Boulonnais, marque les limites entre les terrains jurassiques et le bassin calcaire de Marquise-Rinxent[15].

et une ZNIEFF de type 2[Note 3] : le complexe bocager du Bas-Boulonnais et de la Liane. Le complexe bocager du bas-Boulonnais et de la Liane s’étend entre Saint-Martin-Boulogne et Saint-Léonard à l’ouest et Quesques et Lottinghen à l’est. Il correspond à la cuvette herbagère du bas-Boulonnais[16].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Pernes-lès-Boulogne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[17],[18],[19].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Boulogne-sur-Mer, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (40,2 %), prairies (28,4 %), zones agricoles hétérogènes (16,1 %), forêts (14 %), zones urbanisées (1,3 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Transports[modifier | modifier le code]

La commune était située sur la ligne de chemin de fer Boulogne - Bonningues, une ancienne ligne de chemin de fer qui reliait dans le département du Pas de Calais, de 1909 et 1935, Boulogne-sur-Mer à Bonningues-lès-Ardres.

La commune est desservie par les lignes 173, 176 ainsi que par un service de transport à la demande du réseau Marinéo.

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risque inondation[modifier | modifier le code]

À la suite du passage des tempêtes Ciarán, Domingos et Elisa et des inondations et coulées de boue qui se sont produites, la commune est reconnue, par arrêté du , en état de catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue sur la période du au , comme 179 autres communes du département[23].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Pernes en 1084-1190 ; Prenes en 1084 ; Pernae vers 1119 ; Parnes en 1338 ; Pernes-lès-Boulogne en 1774[24] ; Pernes en 1793 ; Pernes-lez-Boulogne puis Pernes-lès-Boulogne depuis 1902[2].

Viendrait de l'anthroponyme romain Paternus et du suffixe -as donnant le « domaine de Paternus », le tout suivi de -lès-Boulogne, montrant la proximité de la commune par rapport à Boulogne-sur-Mer (lès signifiant « près de »)[25].

Histoire[modifier | modifier le code]

Vers 1400/1401 Julienne de La Motte, héritière des seigneuries de Pernes, Havenquerque et Huplandre (terres toutes deux situées dans la commune actuelle de Pernes) et veuve de Robert de Croutes épousa Enguerrand de Bournonville qui devint donc seigneur de Pernes[26].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Boulogne-sur-Mer du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté d'agglomération du Boulonnais.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée au canton de Boulogne-sur-Mer-1.

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la cinquième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2020 Jacques Berteloot   Chef d'entreprise
Réélu pour le mandat 2014-2020[27],[28],[29],[30]
25 mai 2020 En cours
(au 2 avril 2022)
Serge Quétu   Agriculteur
Élu pour le mandat 2020-2026[31],[32],[33]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].

En 2021, la commune comptait 417 habitants[Note 6], en diminution de 6,92 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
265190270326341345368342353
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
370357358338333354391388372
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
381380358318332335342347406
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
353345331412466423461467464
2017 2021 - - - - - - -
421417-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 207 hommes pour 218 femmes, soit un taux de 51,29 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,4 
7,9 
75-89 ans
9,9 
25,7 
60-74 ans
23,0 
24,9 
45-59 ans
24,6 
15,0 
30-44 ans
14,2 
10,7 
15-29 ans
11,9 
15,8 
0-14 ans
15,1 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Monument historique[modifier | modifier le code]

  • Le château de Conteval, également sur commune de La Capelle-lès-Boulogne, fut édifié à la fin du XVIIIe siècle par François Delporte (fils).
Il matérialisait la réussite d'un élevage modèle de plusieurs centaines de moutons à laine importés clandestinement d'Angleterre dans le but de parvenir à produire une laine comparable à celle d'Outre-Manche. Cette initiative de François Delporte (père), avait valu à sa famille d'être anoblie par Louis XVI en 1776[39]. Cet élevage expérimental donna lieu également à des innovations agronomiques telles que la mise en culture de prairies artificielles à rotation raisonnée et la culture extensive des pommes de terre.
Ce château est aujourd'hui en partie protégé au titre de la législation sur les monuments historiques. L'inscription, par arrêté du [40], protège les façades et les toitures du château, y compris les deux cours anglaises, le parc entourant le château, ses clôtures, ses allées, le bassin et son amenée d'eau ainsi que les deux potagers[41]

Autres lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église du Saint-Esprit.
  • Le manoir de Senlecques.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Pernes-lès-Boulogne Blason
D'argent à une quintefeuille de sable[42].
Détails
Armes de la famille de Pernes, à laquelle appartenaient les premiers seigneurs du lieu.

Création Jean-Yves Lallart, adoptée dans les années 1980.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Distance à vol d'oiseau calculée sur Google Earth
  2. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Wimereux (E5200570 ) » (consulté le )
  4. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  5. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages boulonnais », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre Pernes-lès-Boulogne et Boulogne-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Boulogne-Sem » (commune de Boulogne-sur-Mer) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Boulogne-Sem » (commune de Boulogne-sur-Mer) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  12. « Les espaces protégés. », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « espace protégé FR8000007 - Caps et Marais d'Opale », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF 310007013 - forêt domaniale de Boulogne-sur-Mer et ses lisières », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF 310013294 - Vallée du Wimereux entre Wimille et Belle-et-Houllefort », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « ZNIEFF 310007276 - Le complexe bocager du Bas-Boulonnais et de la Liane », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  19. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Boulogne-sur-Mer », sur insee.fr (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  23. République Française, « Inondations et coulées de boue », Journal officiel de la République française, no 264,‎ , p. 16 (lire en ligne, consulté le ).
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  25. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, (ISBN 978-2-600-02883-7, présentation en ligne), p. 635.
  26. Bertrand Schnerb, Enguerrand de Bournonville et les siens. Un lignage noble du Boulonnais aux XIVe et XVe siècles, Paris, Presses de l'Université de Paris-Sorbonne, coll. « Cultures et civilisations médiévales » (no 14), , 384 p. (ISBN 2-84050-074-4)
  27. « Pernes-les-Boulogne : « Les agriculteurs et les citadins se sont ralliés sur mon nom » », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Pernes-lès-Boulogne : le nouveau conseil municipal est en place », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
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  31. D. B., « Serge Quétu élu nouveau maire de Pernes-lès-Boulogne », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Pernes-lès-Boulogne (62653) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  39. André Wimet et Michel Parenty, Châteaux et maisons de campagne du Boulonnais, tome II-2.
  40. JORF n°71 du 24 mars 2007 page 5504
  41. « château de Conteval », notice no PA62000065, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. « 62653 Pernes-lès-Boulogne (Pas-de-Calais) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).