Thélus — Wikipédia

Thélus
Thélus
Le centre de la commune.
Blason de Thélus
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité Communauté urbaine d'Arras
Maire
Mandat
Bernard Milleville
2020-2026
Code postal 62580
Code commune 62810
Démographie
Population
municipale
1 271 hab. (2021 en augmentation de 4,87 % par rapport à 2015)
Densité 141 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 21′ 20″ nord, 2° 48′ 05″ est
Altitude Min. 88 m
Max. 143 m
Superficie 8,99 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Arras
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Arras-2
Législatives [2e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Liens
Site web http://www.commune-thelus.fr/

Thélus est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté urbaine d'Arras qui regroupe 46 communes et compte 109 592 habitants en 2020.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 8,99 km2 ; son altitude varie de 88 à 143 mètres[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 757 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Wancourt à 13 km à vol d'oiseau[5], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 711,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1] : la forêt domaniale de Vimy, le coteau boisé de Farbus et le bois de l’Abîme. Ce site présente de nombreux boisements et des points de vue sur la plaine de la Gohelle et le bassin minier. Plusieurs vestiges de la Première Guerre mondiale, comme les trous de bombes et les tranchées, sont encore visibles[9].

Carte de la ZNIEFF sur la commune.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Thélus est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (84,3 %), zones urbanisées (6,6 %), zones agricoles hétérogènes (4,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,2 %), forêts (1,7 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Theuludum (680) ; Teuludum (1031) ; Teuludium (1091) ; Theulut (1098) ; Tyulut, Tyulud (1167) ; Tiulut (1167) ; Thelut (1169) ; Thyluz, Tyulut, Tyulud, Tyulutz, Thielu (XIIe siècle) ; Tieuleu (1256) ; Tielu (1261) ; Tuluch (1268) ; Thulut (1296) ; Tillut (XIIIe siècle) ; Tieullu (XIIIe siècle) ; Tilluc (XIIIe siècle) ; Thiulluc (1303) ; Thielluch (1304) ; Teluche (1316) ; Thiulu (1325) ; Tiuliu (1327) ; Telu (1329) ; Tulu (1332) ; Telue (1365) ; Thelu (1370) ; Telluch (1515) ; Théluch (XVIe siècle)[16].

Le nom pourrait correspondre au germanique teuli (« touffes d'arbres », buisson)[17].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté urbaine d'Arras.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée au canton d'Arras-2.

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la deuxième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
    Eugène Deligne    
  1988 André Fremaux    
1988 juin 1995 Pierre Barras    
juin 1995 En cours
(au 13 juillet 2020)
Bernard Milleville DVG Ancien cadre[18]
Vice-président de la communauté urbaine d'Arras (2018 → )
Réélu pour le mandat 2014-2020[19],[20]
Réélu pour le mandat 2020-2026[21],[22]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Espaces publics[modifier | modifier le code]

La commune fait partie des villages labellisés Village Patrimoine[23], qui œuvrent à mettre en avant leurs patrimoines matériels et/ou immatériels (historique, culturel, naturel, architectural, etc.).

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].

En 2021, la commune comptait 1 271 habitants[Note 4], en augmentation de 4,87 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
526563632677775814835865865
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
828844886866819781771781811
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
773827835395593633612634664
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
6597038538879981 0221 1891 2341 209
2021 - - - - - - - -
1 271--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,5 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 578 hommes pour 629 femmes, soit un taux de 52,11 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
0,7 
7,0 
75-89 ans
9,8 
15,3 
60-74 ans
17,9 
24,2 
45-59 ans
21,6 
20,9 
30-44 ans
19,9 
13,4 
15-29 ans
11,4 
18,9 
0-14 ans
18,8 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le monument commémoratif des artilleurs canadiens en 1920.

Au cœur de la bataille d'Arras, par les Britanniques et de la bataille de la crête de Vimy par les Canadiens, la commune de Thélus compte pas moins cinq cimetières militaires alliés, dont le Bois-Carré British Cemetery. Plus de 1 200 soldats venus, pour la majorité, de l'autre rive de l'Atlantique, reposent sur la commune. Deux de ces cimetières (Zivi et Lichfield) sont appelés cratères.

À l'entrée du village est implanté le monument commémoratif des artilleurs canadiens, qui a la particularité d'avoir été érigé avant la fin du conflit. Il fut inauguré par le général Byng en avril 1918, route nationale 25 (devenue depuis route nationale 17), cette dernière ayant été baptisée « rue des Artilleurs-Canadiens » le en présence de :

À l'extrémité est du village (cote 135), un autre monument militaire, aux dimensions moins imposantes, a lui la particularité d'avoir été dressé par les soldats canadiens à Noël 1917, en pleine guerre.

Pendant le conflit, les bombardements furent intenses et une légende locale affirme qu’il serait tombé un obus au centimètre carré. L’état major canadien quant à lui estimait à 500 000 le nombre d’obus de tous calibre tirés lors des huit jours que dura la préparation d’artillerie de la bataille de la crête de Vimy, 200 000 en feu roulant lors de l’attaque du et ensuite 500 000 autres durant les jours suivants. On comprend donc aisément qu'absolument rien de ce que fut le village avant 1914 ne subsiste aujourd'hui. Pour l'anecdote, on note qu'une station du télégraphe Chappe, par laquelle fut annoncée le , la défaite de Waterloo, fut rasée lors de ces bombardements.

Le village de Thélus fut cité à l'ordre de l'armée en 1918.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Saint Ranulphe : il n'apparaît pas sur les listes habituelles de saints. Cependant, on le trouve dans le dictionnaire des dix mille saints des Actes des saints [29].
    Selon la documentation trouvée en l'église de Farbus, saint Ranulphe était censier, père de saint Hadulphe, l'un des premiers évêques d'Arras.
    Toujours selon la légende, le saint homme traversait souvent le village de Farbus pour se rendre à Vimy. Un jour, accablé par la chaleur, il demanda à boire un peu d'eau à une habitante qui le lui refusa. Poursuivant son chemin, il planta son bâton à mi-parcours entre les deux villages ; une source se mit à sourdre, lui permettant de se désaltérer, tandis que le bâton se garnissait de feuilles et devenait un jeune arbre. Celui-ci couvre toujours de son ombre la source qui ne se tarit jamais.
    Saint Ranulphe serait mort martyr vers 700 et d’abord enterré en l’église de Thélus ; son corps fut exhumé et transféré dans l’église de l’abbaye Saint-Vaast près d’Arras en 1188 en présence de l’ancien abbé de Clairvaux, Henri de Marcy, devenu cardinal et légat (envoyé spécial) du pape ainsi qu'une inscription en latin nous l’apprenait. On ignore la cause et les circonstances de son martyre, et on ne peut avoir une idée de sa date que parce que son fils Hadulphe devint évêque d’Arras et de Cambrai. Son fils est mort vers 728.
    On le fête le , qui serait la date de découverte de ses ossements.
  • De fin au , date où il fut blessé, le caporal Adolf Hitler, alors messager au 16e RI bavarois, était présent sur le territoire de la commune (PC de Farbus). Cette présence explique sa volonté, de passage en France en 1940 de visiter le mémorial canadien de Vimy[30].
    Cette blessure lui valut l'attribution de la croix de fer, remise par un officier juif.
  • À cette même époque, dans les airs au-dessus de Thélus, passait très régulièrement un pilote de chasse mondialement célèbre, Manfred von Richthofen, l’as des as de l’armée allemande (80 victoires homologuées) et plus connu sous le pseudonyme de « Baron rouge »[31]. Durant le premier semestre 1917, il était basé à Douai (Vitry, 11e escadrille de chasse). C'est là qu'il eut l'idée de peindre son appareil en rouge, en réponse aux ordres d'utiliser les couleurs dites « camouflages ».
    On rapporte qu’en particulier le 01/02/1917 vers 16 h, le Baron rouge abattit sa 19e victime, un BE2D britannique au sud-ouest du village[32].
    Dans cette même escadrille servait aussi un pilote au comportement moins chevaleresque, appelé lui aussi à connaître, hélas, la célébrité, Hermann Göring.

Thélus dans les arts[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :
d'or à la croix ancrée de gueules chargée d'une branche écotée d'argent posée en fasce et d'une crosse contournée du même posée en pal et brochant sur la branche.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Thélus et Wancourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « ZNIEFF 310013754 - Forêt domaniale de Vimy, coteau boisé de Farbus et bois de l’Abîme », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Arras », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 366.
  17. Marianne Mulon, L’Onomastique, témoin des langues disparues : Survivance du latin LUCUS dans la toponymie du domaine de langue d’oïl, vol. 3, coll. « Actes des colloques de la Société française d'onomastique », (lire en ligne), p. 177.
  18. Benoît Fauconnier, « Le bilan des maires à Thélus : des aménagements sur les axes routiers pour juguler la vitesse jugée excessive : Bernard Milleville a fêté cette année ses trente ans de conseil municipal. Il est maire depuis 1995. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Thélus : Bernard Milleville reconduit sans surprise au poste de maire », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. « Les projets des maires - Thélus - Bernard Milleville: « Aller de l’avant, mutualiser, prendre des initiatives...» : Bernard Milleville gère une commune qui compte 1280 habitants 560 maisons et d’une superficie de 1 000 hectares. Le contexte économique et le désengagement de l’État l’obligera à être inventif. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. Au. D., « Bernard Milleville reste maire de Thélus avec 36 voix d’avance : Second tour serré pour le maire sortant de Thélus qui avait face à lui une liste résultant d’une fusion de deux listes présentes au premier tour », L'Avenir de l'Artois,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le maire âgé de 71 ans se présentait face aux électeurs pour un cinquième mandat. Entre les deux tours, les deux listes adverses ont fusionné, et avaient choisi Sébastien Legrand comme tête de liste. Le quadragénaire dont c’était la première campagne électorale a tenu tête au maire puisqu’il n’est battu qu’avec 36 voix d’écart ».
  22. René Jacques, « À Thélus, Bernard Milleville entame son dernier mandat de maire : Vendredi soir, à la salle des fêtes, s’est déroulée l’installation du nouveau conseil municipal. Le maire sortant a été reconduit dans ses fonctions après sa victoire aux municipales face à Sébastien Legrand », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. « Huit «Village patrimoine» en Pays d’Artois | La Gazette Nord-Pas de Calais », sur www.gazettenpdc.fr (consulté le )
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Thélus (62810) », (consulté le ).
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  29. Acta sanctorum) écrits par les jésuites bollandistes (au nom de Bollandus qui entreprit avec d'autres jésuites d’écrire la vie de tous les saints au XVIIIe siècle.
  30. Signal
  31. (en) « Waffenhq.de », sur waffenhq.de (consulté le ).
  32. source : http://membres.multimania.fr/asduciel/baron.htm