Lallaing — Wikipédia

Lallaing
Lallaing
L'hôtel de ville.
Blason de Lallaing
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Douai
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Douaisis
Maire
Mandat
Jean-Paul Fontaine
2020-2026
Code postal 59167
Code commune 59327
Démographie
Gentilé Lallinois
Population
municipale
6 250 hab. (2021 en augmentation de 1 % par rapport à 2015)
Densité 1 043 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 23′ 27″ nord, 3° 10′ 09″ est
Altitude Min. 16 m
Max. 30 m
Superficie 5,99 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Douai-Lens
(banlieue)
Aire d'attraction Douai
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sin-le-Noble
Législatives Seizième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Lallaing
Géolocalisation sur la carte : France
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Lallaing
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Lallaing
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Lallaing

Lallaing est une commune française, située dans le département du Nord (59) en région Hauts-de-France. La Compagnie des mines d'Aniche y a ouvert la fosse Bonnel.

Géographie[modifier | modifier le code]

La géographie explique les origines du village.

L'emplacement de Lallaing en bordure de la Scarpe a déterminé ses origines, son développement et marque encore sa vie. Les circonstances physiques ont imposé un remodelage par l'homme pour drainer, assainir et permettre sa mise en culture. Originellement, dans cette plaine très humide, seule une petite partie des terrains en bordure de Scarpe était à peu près sèche et dégagée (elle correspond actuellement à la place et ses environs immédiats).

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est limitée au nord par la Scarpe et comprend plusieurs étangs.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 687 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 7 km à vol d'oiseau[3], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lallaing est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes[10] et 503 966 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (61,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (54,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (43,8 %), terres arables (31,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (15,7 %), prairies (6,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,9 %), forêts (0,3 %), zones humides intérieures (0,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les lignes 3, 17 et 118 du réseau de transport Évéole.

Toponymie[modifier | modifier le code]

La ville de Lallaing doit son nom à Lug Lúaith, qui chez les celtes signifiait Lugus rapide. Au niveau de Lallaing se trouvait un gué sur la Scarpe, il était en permanence défendu par un ou plusieurs hommes en armes qui protégeaient ainsi la région lilloise, les plus grands champions de leur époque, les plus rapides à manier le glaive ou le javelot.

Histoire[modifier | modifier le code]

C'est sur cette partie de terre ferme que s'est installé, à une date très reculée, une communauté qui, en 1365, date du premier dénombrement connu, rassemblait déjà 60 « feux » soit 250 personnes environ. Mais cette situation au bord d'une rivière, lorsque l'absence de route imposait le recours à la voie d'eau, a très vite été considérée comme stratégique car la rivière servait de frontière entre les possessions de la Flandre et celles du Hainaut.

Dès 1184, il existait un château féodal sur une motte naturelle partiellement aménagée de 50 ares, puisque le comte de Hainaut y avait placé une forte garnison. C'est sans doute peu avant cette date que s'était installée à Lallaing une famille de seigneurs venus de Forest-sur-Marque, dans la région Lilloise, les Forest, qui prirent ensuite le nom de Lalaing quand ils se détachèrent de leur lieu d'origine.

En 1285, Jacques Bretel cite Simon et Simars de Lalaing parmi les invités du comte de Chiny, venus au tournoi de Chauvency-le-Château, en compagnie des Hondschoote, Ligne, Haussy, Montigny et des fils des comtes de Hainaut et Flandres

Le , la France lance l'ordre de mobilisation générale. A Lallaing, comme à Aniche, dans le cadre de la fièvre patriotique, des mineurs refusent de descendre avec les mineurs allemands et polonais originaires des territoires allemands. Certains de ces Polonais demandent à s'engager dans l'armée française[16]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Douai du département du Nord. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la seizième circonscription du Nord.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Douai-Nord[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Douai.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté d'agglomération du Douaisis, créée en 2002, et qui succédait au SMAEZI (syndicat mixte d'aménagement et d'équipement des zones industrielles). Depuis 2019, la communauté d'agglomération du Douaisis est devenue Douaisis Agglo.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors des élections municipales de 2014, la liste du maire sortant Thierry Dancoine (PCF) est battue par celle de Francis Dureux (DVD), distancée de onze voix.

Lors du premier tour des élections municipales le , vingt-neuf sièges sont à pourvoir ; on dénombre 4 676 inscrits, dont 2 263 votants (48,40 %), 32 votes blancs (1,41 %) et 2 189 suffrages exprimés (96,73 %). Quatre listes sont présentes :

  • la liste Lallaing 2020 : pour vous, avec vous ! menée par le maire sortant Jean-Paul Fontaine recueille 1 135 voix (51,85 %) et remporte vingt-trois sièges ;
  • la liste divers droite Un nouveau cap pour Lallaing menée par l'ancienne première adjointe Nacéra Soltani[18] recueille 694 voix (31,70 %) et remporte quatre sièges ;
  • la liste divers gauche L'avenir de Lallaing menée par le conseiller municipal d'opposition Bruno Robin[19] recueille 202 voix (9,23 %) et remporte un siège ;
  • la liste divers gauche Objectif Lallaing menée par Joël Lenglin recueille 158 voix (7,22 %) et remporte un siège[20],[21].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1944 mai 1953 Alphonse Caudron[26]
(1878-1956)
PCF Ancien ouvrier mineur
mai 1953 mars 1971 Georges Vandenabeele
(1914-1996)
MRP puis CDS Médecin
mars 1971 octobre 1994 Émile Roger PCF Mineur, responsable syndical
Député du Nord (14e circ.) (1967 → 1986)
Décédé en fonction
octobre 1994 juin 1995 Roland Caron
(1931-2005)
PCF Maire par intérim
juin 1995 mars 2008 Francis Dureux
(1947-2015)
DVD Chef d'entreprise
Chevalier de l'Ordre national du Mérite (2005)
mars 2008 avril 2014 Thierry Dancoine PCF Retraité, maire honoraire
avril 2014[27],[28] 13 août 2015[29] Francis Dureux
(1947-2015)
DVD Chef d'entreprise retraité
Décédé en fonction
4 septembre 2015[30] En cours
(au 28 septembre 2023)
Jean-Paul Fontaine UDI-PRV Professeur des écoles en détachement
Adjoint au maire (2014 → 2015)
Conseiller régional des Hauts-de-France (2015 → )
Vice-président de Douaisis Agglo (2014 → )
Réélu pour la mandat 2020-2026[31]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Carte
Jumelages et partenariats de Lallaing.Voir et modifier les données sur Wikidata
Jumelages et partenariats de Lallaing.Voir et modifier les données sur Wikidata
VillePaysPériode
Écaussinnes-LalaingBelgiquedepuis le

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

En 2021, la commune comptait 6 250 habitants[Note 3], en augmentation de 1 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2181 1081 2171 3891 5591 6121 6921 8371 831
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 9111 9912 0812 0992 0722 0632 0252 0012 059
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 2172 3282 7122 5763 6833 6323 5403 9374 658
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
7 6318 7958 3998 1748 0016 9996 6316 5386 521
2014 2019 2021 - - - - - -
6 2226 3646 250------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,2 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 2 894 hommes pour 3 403 femmes, soit un taux de 54,04 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
2,7 
6,9 
75-89 ans
12,0 
15,9 
60-74 ans
17,6 
18,6 
45-59 ans
17,4 
20,3 
30-44 ans
17,6 
16,9 
15-29 ans
14,9 
20,6 
0-14 ans
17,8 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église.
  • L'église Sainte-Aldegonde
  • Brasserie, malterie Charles Dufour, renommée Dufour-Dumont en 1927, puis Dufour Delhaye en 1946, construite en 1905 par Charles Dufour[37].
Elle a cessé de fonctionner à la fin des années 1970 et est actuellement désaffectée. En 1927 la production s'élevait à 8000 hectolitres de bière conditionnée en bouteilles ; en 1946 la production de bière de fermentation haute et conditionnée en bouteilles atteignait les 5000 hectolitres.
On y trouve : un atelier de fabrication à deux étages carrés sous un même toit (à longs pans brisés, couvert d'ardoises) que le logement patronal qui comprend sous-sol, un étage carré et étage de comble ; une pièce de séchage à trois étages carrés est couverte d'une terrasse ; un germoir à un étage carré avec toit à croupe ; passage couvert avec charpente métallique apparente ; et bureau au rez-de-chaussée.
Construite au XVIIe siècle il s'agit d'une des plus vielles fermes du Nord, et située près du pont de Germignies sur la Scarpe
La borne de Quéviron à Lallaing.
  • La borne de Quéviron, située à 500 m de la ferme de Germignies au lieu-dit « Marais des Six Villes, a été placée là en 1288 pour marquer les territoires des échevins de Douai et de l'abbaye de Marchiennes afin de délimiter leurs territoires et éviter des différents de chasses et de pêche[40].
Bloc de grès brut de 2,30 mètres de hauteur dont chacune de ces 4 faces représentent une paroisse Flines-lez-Raches, Lallaing, Marchiennes et Pecquencourt).
  • Le château de Lallaing
Au XIIe siècle le site est occupé évoluant vers une motte castrale puis une forteresse.
Au XIIIe siècle les seigneurs de Lallaing possède le château dont le mur d’enceinte intègre l’église.
Dans les Albums de Croÿ, trois gouaches donnent une vue précise du lieu à cette époque.
Au XVIIe siècle le fief passe à la maison d'Arenberg. Après les guerres de Louis XIV le château se détériore rapidement. En 1904 la princesse d'Arenberg le vend à M. Morel, ses successeurs en 1943 le cède à la compagnie des mines d'Aniche.
En 1959 la ville achète le bien et l’architecte douaisien M. Coisne conçoit le nouvel Hôtel-de-Ville sur l’emplacement du château. Les derniers éléments sont ainsi déconstruits. Il subsiste le pont et la porte d’entrée ainsi que dans le parc un pilori[41].
  • Musée d’histoire et du patrimoine lallinois[Note 4], inauguré en et situé dans l'ancien presbytère, qui présente les travaux de la société historique locale[42].
Les tombes du Commonwealth.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Stèle funéraire du baron Scalfort au porche de l'église de Lallaing.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes d'Isigny-sur-Mer

De gueules à dix losanges d'argent accolés et aboutés, trois, trois, trois et un.
Ce blason est bien visible sur l'aquarelle de l'albums de Croÿ consacrée à Lallaing[44].
De plus, l'armorial Lalaing lui-même (1560-1570)[45] donne ce blasonnement.

Famille de Lalaing

Description des armoiries dans l'armorial du Tournoi de Chauvency.

Folklore[modifier | modifier le code]

Lallaing a pour géants Scalfort et Gordaine[46]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Le musée est ouvert, gratuitement, en 2018 les jeudi de 14h à 17h et samedi de 9h à 12h.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Lallaing et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Cent ans de vie dans la région, Tome 1 : 1900-1914, éditions la Voix du Nord, 1998, page 61
  17. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Jean-Luc Rochat, « Nacéra Soltani veut que les habitants soient entendus », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24162,‎ , p. 21.
  19. Nello Benedetti, « Bruno Robin veut rendre Lallaing à ses habitants », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24162,‎ , A.
  20. « Élections municipales, Lallaing », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165,‎ , p. 33.
  21. « Élections municipales 2020 - 1er tour, Lallaing », L'Observateur du Douaisis, no 897,‎ , p. 9.
  22. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 278, lire en ligne.
  23. « Annuaire statistique Département du Nord Année 1807 », p. 136/ Image 166..
  24. « Félix, Edmond, Hyacinthe Lambrecht (1819-1871) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
  25. Reçu major de l'École Polytechnique (promotion X-1838).
  26. a b et c Notice CAUDRON Alphonse, Henri par Yves Le Maner, version mise en ligne le 4 novembre 2010, dernière modification le 4 novembre 2010
  27. Rémi Siniarski, « 80 personnes pour assister au premier conseil municipal », L'Observateur du Douaisis, no 59,‎ , p. 17.
  28. « Résultats Municipales 2014 - Lallaing », Données du Monde, sur lemonde.fr (consulté le ).
  29. « Francis Dureux, le maire de Lallaing, est décédé ce matin », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant).
  30. « Sans surprise, Jean-Paul Fontaine élu maire de Lallaing : Il n’y avait aucun suspense à attendre de cette élection qui s’est déroulée en fin d’après-midi, jeudi. Jean-Paul Fontaine a succédé à Francis Dureux comme attendu, facilement. Mais la lutte qui l’a opposé à Jocelyne Dubois pour cette succession et les changements opérés dans la liste d’adjoints ont laissé quelques traces », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Les résultats ont été clairs et M. Fontaine bien applaudi. Mais ils ont montré qu’il restait des traces de la lutte qui a opposé, au sein de la majorité, M. Fontaine à Jocelyne Dubois, la 1re adjointe de M. Dureux. M. Fontaine a obtenu 17 voix mais Mme Dubois, qui n’était pas candidate, en a obtenu 3. M. Dancoine a obtenu les 5 voix de son groupe, M. Robin les 2 du sien. Avec un bulletin nul, on est arrivé au bon compte de 28 votants. M. Fontaine a donc été élu avec 17 voix quand il aurait pu en espérer 21 ».
  31. « Lallaing : Jean-Paul Fontaine conforté dans sa fonction de maire : Élu maire en septembre 2015 à la suite du décès de Francis Dureux qu’il avait rejoint en 2008, Jean-Paul Fontaine (50 ans) a conservé le fauteuil majoral à l’issue du conseil municipal qui s’est tenu mardi dans la salle des fêtes de l’hôtel de ville en mode distanciation sanitaire. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lallaing (59327) », (consulté le ).
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  37. « Brasserie Dufour Dumont, puis Dufour Delhaye », notice no IA59000142, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. « Aménagement expérimental du terril de Germinies », Présentation de la ville, sur lallaing.com, (consulté le ).
  39. « Lallaing : une visite du terril de Germignies-sud instructive », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. « Borne au Queviron, sise au Marais-des-Six-Villes », notice no PA00107559, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. « Ancien château des comtes de Lallaing », notice no PA59000093, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. « Inauguration du musée d'histoire locale - Pour mettre en valeur l’histoire locale : Les travaux de la société historique locale n’avaient pas de lieu pour être montrés au public. Le musée va permettre à tous d’en profiter... gratuitement », L'Observateur du Douaisis, no 807,‎ , p. 16.
  43. Page ii - Notice historique et généalogique ancienne et illustre famille et comtes du nom de Lalaing par Félix Brassrt -Publié par Adam d'Aubers en 1847 archivé à l'Université de Gand numérisé par Google Books
  44. « http://douaisis.ifrance.com/page_523/lallaing.jpg »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  45. Armorial de Lallaing, conservé la Bibliothèque Nationale de France, ms. fr. 24049 (ancienne collection Gaignières); in 4°, 81 ff. papier, [lire en ligne] sur Gallica.
  46. Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596,‎ , p. 14-15