Rieulay — Wikipédia

Rieulay
Rieulay
La mairie en juillet 2018.
Blason de Rieulay
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Douai
Intercommunalité Communauté de communes Cœur d'Ostrevent
Maire
Mandat
Marc Delecluse
2020-2026
Code postal 59870
Code commune 59501
Démographie
Population
municipale
1 243 hab. (2021 en diminution de 8,87 % par rapport à 2015)
Densité 171 hab./km2
Population
agglomération
333 383 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 50° 22′ 50″ nord, 3° 15′ 28″ est
Altitude Min. 16 m
Max. 27 m
Superficie 7,29 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Valenciennes (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sin-le-Noble
Législatives Seizième circonscription
Localisation
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Rieulay
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Rieulay
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Rieulay

Rieulay Écouter est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France. Elle absorbe en 1946 la commune de Marchiennes-Campagne.

Géographie[modifier | modifier le code]

Rieulay dans son ancien canton et son arrondissement.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

La commune de Rieulay est entourée par Marchiennes, Wandignies-Hamage, Fenain, Somain, Bruille-lez-Marchiennes, Pecquencourt et Vred.

Carte
Communes limitrophes de Rieulay.

,

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 701 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 13 km à vol d'oiseau[3], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Rieulay est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Valenciennes (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 56 communes[10] et 333 383 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (64,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,9 %), zones humides intérieures (15,7 %), zones agricoles hétérogènes (14,2 %), mines, décharges et chantiers (11,6 %), zones urbanisées (9,8 %), prairies (3,5 %), forêts (2,2 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la ligne 19 du réseau urbain Évéole ainsi que par la ligne 851 du réseau interurbain Arc-en-Ciel 2.

Histoire[modifier | modifier le code]

La rue Suzanne-Lanoy porte le nom d'une résistante, elle se nommait avant rue de Bruille[16].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de Rieulay se blasonnent ainsi : "D'hermines à la croix de gueules, chargée de cinq roses d'or."

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors du premier tour des élections municipales le , quinze sièges sont à pourvoir ; on dénombre 1 023 inscrits, dont 494 votants (48,29 %), 8 votes blancs (1,62 %) et 480 suffrages exprimés (97,17 %). La liste Ensemble pour Rieulay, notre village menée par le maire sortant Marc Delécluse[17] recueille 320 voix (66,67 %) et remporte ainsi treize sièges au conseil municipal contre deux pour la liste Union démocratique pour l'avenir de Rieulay menée par Luc Dupuich avec 160 voix (33,33 %)[18],[19].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Daniel Mio, conseiller municipal dès 1971, a été, entre autres mandats, conseiller régional du Nord-Pas-de-Calais de 1982 à 1992 et de 1997 à 2004, président du parc naturel régional Scarpe-Escaut de 1989 à 2012 et président du centre historique minier de Lewarde jusque 2008[20]. Laurent Houllier a été conseiller général du canton de Douai-Sud de 2004 à 2011.

Ève Bruniau, historienne de Rieulay, dresse ainsi la liste des maires de la commune jusque 1900[21]. Elle indique également que Ghislain Villain et Henri Descloquemant semblent avoir été maires des deux communes de Rieulay et Marchiennes-Campagne en même temps[22].

Titulaires de la fonction de maire de RieulayVoir et modifier les données sur Wikidata
IdentitéPériodeDuréeÉtiquette
DébutFin
Michel Lemaire (d)
Joachim Groulez (d)[23]
( - )

(mort en cours de mandat)
2 ans
Bonaventure Dussart (d)27 ans
Honoré Lemaire (d)1 an
Michel Lemaire (d)
(mort le )
3 ans
Pierre-François Lesens (d)14 ans
Michel Lemaire (d)
(mort le )
3 ans, 4 mois et 2 jours
François Wilbaut (d)10 ans, 11 mois et 9 jours
Louis Villain (d)3 ans, 4 mois et 9 jours
Pierre Gambiez (d)4 ans, 1 mois et 6 jours
Alexis Houseaux (d)
( - )
10 ans
Ghislain Villain (d)8 ans
Henri Descloquemant (d)
( - )
24 ans
Louis Dellesmes (d)[24]
( - )
années 1960années 1970
Daniel Mio[25],[26],[27]
( - )

(démission)
29 ans Parti socialiste
Laurent Houllier (d)[28]
(né le )

(démission)
11 ans Parti socialiste
Marc Delécluse (d)[29],[30],[31],[32],[33],[34]
(né le )
En cours6 ans, 2 mois et 25 jours Parti socialiste
indépendant

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].

En 2021, la commune comptait 1 243 habitants[Note 3], en diminution de 8,87 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
223303283364387400400405416
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
440459467484503514492510513
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
521664675549546513496999971
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 0711 0341 0881 2711 2781 4231 4501 4331 397
2014 2019 2021 - - - - - -
1 3791 2611 243------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 35,5 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 621 hommes pour 673 femmes, soit un taux de 52,01 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
2,0 
90 ou +
4,0 
7,2 
75-89 ans
13,9 
20,7 
60-74 ans
22,6 
20,3 
45-59 ans
19,4 
17,7 
30-44 ans
14,7 
15,7 
15-29 ans
12,2 
16,4 
0-14 ans
13,1 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Économie[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Environnement[modifier | modifier le code]

« Terril des argales »[41], à Rieulay, en cours de réhabilitation écologique (Renaturation) avec l'EPF, fin mars 2007.

Site des Argales[modifier | modifier le code]

Rieulay - Terril no  144.

Il s'agit d'une ancienne tourbière et de quelques prairies transformées dans les années 1900 en vaste domaine industriel ; les Houillères du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais y ont - du début des années 1900 à 1975 - accumulé une très grande quantité de stériles miniers (essentiellement constitués de grès et de schistes noirs), qui en profondeur deviennent peu à peu rouges sous l'action de la chaleur auto-entretenue dans le terril par un phénomène de combustion lente[41],[42],[43]

En 1975, alors que le terril s'étendait sur 140 ha (sur la commune de Rieulay, mais aussi en partie sur la commune de Pecquencourt[41], les houillères ont décidé d'exploiter les restes de charbons qui se trouvaient encore dans le terril, activité qui a cessé en 1988, laissant un site déstructuré par l'exploitation et un vaste bac à schlamms (bassin de décantation des schlamms, boues noires issues du lavage des restes de charbons).

Le site a ensuite fait l'objet d'un programme de paysagement, d'un classement en Espaces Naturels Sensibles (par le Conseil général du Nord et de réhabilitation écologique qui a permis d'en faire un cœur de nature et de le réintégrer dans le paysage et le cadre de vie de la commune. Comme c'est le cas de la plupart des ENS, le site est en partie ouvert à certains loisirs et à la découverte de la nature : une partie des zones humides est ouverte à la pratique de la pêche et de la voile. Une autre partie est ouverte aux loisirs équestres et au VTT (sur les pistes réservées à cet effet), un parking et la Maison du terril de Rieulay accueillant les visiteurs qui peuvent trouver des informations et des visites guidées[41].

Le terril dans sa partie la plus récente.

Le reste du site est consacré à la nature et au paysage culturel que constitue ce site. Le remodelage (mise en sécurité) et la réhabilitation du terril et de ses dépressions humides ont permis de l'intégrer (comme élément renaturé) dans les éléments paysagers, naturels et culturels (Patrimoine mondial de l'Unesco) du Parc naturel régional Scarpe-Escaut puis de la Trame verte et bleue régionale et nationale. Des techniques de génie écologique adapté au substrat particulier y ont été mises en œuvre à grande échelle sous l'égide de l'Etablissement Public Foncier du Nord-Pas-de-Calais, durant plusieurs décennies et se prolongeront dans les « plans de gestion » successif qui visent à y favoriser ou préserver la biodiversité, tout en conservant au site une vocation de loisirs et de découverte. L’EPF puis le gestionnaire encouragent la renaturation du site, avec le retour d’un boisement (bouleaux, l’espèce pionnière typique de ces milieux), tout en le contrôlant pour conserver des espaces ouverts de schistes noir très propices aux espèces pionnières et aux espèces thermophiles (qui apprécie la chaleur du substrat noir qui accumule bien la chaleur du soleil)[41].

Si l’origine du site est artificielle, les processus de recolonisation qui s’y déroulent sont bien l’expression de la naturalité et ils contribuent à la biodiversité. 25 ha sont traités en réserve ornithologique, le site étant devenu un lieu majeur pour l’hivernage des oiseaux d’eau dans la région[41]. Une gestion différentiée et restauratoire est assurée par les gardes du Conseil général, basée sur des opérations de fauchage, le pâturage extensif ou le scrappage, de manière à conserver une mosaïque de milieux adaptée à une grande partie de la biodiversité potentielle du site.

Cette réhabilitation n’est pas une mesure compensatoire financée par les houillères (qui ne payaient pas non plus de taxes professionnelle), mais une opération résultant de la volonté et des financements de la commune du parc naturel et du département et de la région. Le dernier exploitant a contribué au remodelage et aux premiers aménagements.

Ce n'est pas le terril le plus haut d'Europe (qui est situé non loin de là à Loos-en-Gohelle, mais c'est celui dont la base a la plus grande étendue (si l'on prend en compte que le terril double de Germinies (près de Lallaing) qui cumule 200 ha de surface est en réalité séparés par la Scarpe et constitue donc deux terrils (qui portent d'ailleurs deux numéros différents ; n° 143 « Germinies Sud » et 143A « Germinies Nord »)[41].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Aureily en septembre 2021.

Folklore[modifier | modifier le code]

Rieulay a pour géante Aureily[44], son nom étant l'anagramme de celui de la commune. Créée en 2000, elle mesure 4,20 mètres, pèse quatre-vingt-dix kilogrammes et est mariée depuis septembre 2002 avec La Guerliche d'Erchin.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Rieulay et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Valenciennes (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Jules Deleforge, « En moins d'un siècle trois communes de l'arrondissement de Douai ont cessé d'être des communes », ?,‎
  17. « Une équipe motivée pour faire vivre le village », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24162,‎ , p. 20.
  18. « Élections municipales, Rieulay », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165,‎ , p. 36.
  19. « Élections municipales 2020 - 1er tour, Rieulay », L'Observateur du Douaisis, no 897,‎ , p. 10.
  20. [PDF] « Discours de Jean-Louis Joseph, président de la Fédération des Parcs naturels régionaux de France pour la remise des insignes d’Officier dans l’Ordre National du Mérite », sur pnr-scarpe-escaut.fr, Parc naturel régional Scarpe-Escaut, .
  21. Bruniau 2019, p. 80.
  22. Bruniau 2019, p. 81.
  23. Sébastien Bottin, Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République, Douai, Imprimerie de Marlier, , 306 p. (lire en ligne), p. 279 :

    « Rieulay, Groulé. »

    Voir et modifier les données sur Wikidata
  24. Ève Bruniau, Les dates nous mènent : Rieulay de 1217 à 1900, , 115 p., p. 112Voir et modifier les données sur Wikidata
  25. « Parc naturel régional Scarpe-Escaut, présidence : Érick Charton succède à Daniel Mio », La Voix du Nord,  : « Daniel Mio qui a aussi été maire de Rieulay de 1977 à 2008 a abandonné ses fonctions en cours de mandat pour des raisons de santé. »
  26. Victor Gobert (préf. Claude Durut), Somain, tome II, 1950-1980, vol. 2, Éditions Alan Sutton, , 128 p. (ISBN 2-84253-735-1), p. 101Voir et modifier les données sur Wikidata
  27. Marie-Caroline Debaene, « Le père du terril des Argales, Daniel Mio, est décédé », La Voix du Nord,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :

    « L’ancien maire de Rieulay, Daniel Mio, est décédé jeudi à l’âge de 80 ans. »

    Voir et modifier les données sur Wikidata
  28. « Rieulay : les derniers vœux de Laurent Houllier, ému et amer », La Voix du Nord,  : « Également à ranger dans le registre des regrets, le mandat inachevé qu’il souhaitait mener à son terme, et dont l’arrêt prématuré résulte de circonstances imprévues, la déception due à un sentiment de trahison. »
  29. Jean-Luc Rochat, « À l'issue d'une élection serrée, le nouveau maire est Marc Delécluse », La Voix du Nord,  : « La liste « Ensemble pour Rieulay, notre village », conduite par l’ancien premier adjoint de Laurent Houllier s’est imposée face à Luc Dupuich, conseiller municipal d’opposition. Une victoire serrée obtenue par vingt voix d’écart. »
  30. Bruno Place, « Rieulay : la liste de Marc Delécluse élue au premier tour », L'Observateur du Douaisis,  : « Avec 20 voix de différence, la liste menée par Marc Delécluse (Ensemble pour Rieulay, notre village) remporte ces élections (301 voix soit 51,72 % des suffrages exprimés) devant la liste menée par Luc Dupuich (Union démocratique pour l’avenir de Rieulay) qui a rassemblé 281 voix (48,28 %) »
  31. Marie-Caroline Debaene, « Sans surprise, Marc Delécluse officiellement installé dans le fauteuil du maire. », La Voix du Nord,  : « Marc Delécluse, l’ancien premier adjoint de Laurent Houllier, qui s’est imposé dimanche face à la liste de Luc Dupuich, conseiller municipal d’opposition, a été élu maire de Rieulay par douze voix sur quinze. »
  32. Marie-Caroline Debaene, « Orchésis : à un an des municipales, votre maire se représente-t-il ? », La Voix du Nord,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428) :

    « Rieulay. Marc Delécluse, 70 ans, qui a été élu en janvier 2018 après des élections partielles, avait déjà annoncé sa candidature à ses vœux. »

    Voir et modifier les données sur Wikidata
  33. Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant (infographie), « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord, no 24270,‎ , p. 10 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :

    « Rieulay : sans étiquette »

    Voir et modifier les données sur Wikidata
  34. Bruno Place, « Cœur d’Ostrevent : le président Frédéric Delannoy s’entoure de 14 vice-présidents », L'Observateur du Douaisis,‎ (ISSN 0183-8415 et 1639-2221, lire en ligne) :

    « 10e vice-président : Marc Delécluse, maire de Rieulay, délégué au développement et à la promotion du tourisme »

    Voir et modifier les données sur Wikidata
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Rieulay (59501) », (consulté le ).
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  41. a b c d e f et g CG 59, présentation du terril des Argales
  42. PNR, Vidéo sur les Argales de Grégory Smellinckx , photographe animalier]
  43. Les Argales, sur Wikimapia
  44. Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596,‎ , p. 14-15

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Ève Bruniau en septembre 2019.
  • Ève Bruniau, Les dates nous mènent : Rieulay de 1217 à 1900, , 115 p. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'articleVoir et modifier les données sur Wikidata

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]