Flers-en-Escrebieux — Wikipédia

Flers-en-Escrebieux
Flers-en-Escrebieux
Blason de Flers-en-Escrebieux
Blason
Flers-en-Escrebieux
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Douai
Intercommunalité Douaisis Agglo
Maire
Mandat
Jean-Jacques Peyraud
2020-2026
Code postal 59128
Code commune 59234
Démographie
Gentilé Flersois
Population
municipale
5 642 hab. (2021 en diminution de 4,32 % par rapport à 2015)
Densité 794 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 23′ 55″ nord, 3° 03′ 48″ est
Altitude Min. 18 m
Max. 43 m
Superficie 7,11 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Douai-Lens
(banlieue)
Aire d'attraction Douai
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Douai
Législatives Dix-septième circonscription
Localisation
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Flers-en-Escrebieux
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Flers-en-Escrebieux
Liens
Site web https://www.flers-en-escrebieux.fr/

Flers-en-Escrebieux [flɛʁs ɑ̃.n‿ɛskʁəbjø] est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France. Elle fait partie de l’agglomération du Douaisis.

Les habitants de la commune sont les Flersois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Flers-en-escrebieux est une commune des Hauts de France, située entre Douai et Auby le long de l’autoroute A21 qui relie Aix-Noulette à Douchy-les-Mines. Son altitude moyenne est de 23 mètres environ[1].

Hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

À l’origine trois hameaux distincts, Flers centre, Pont de la Deûle et le Villers aujourd’hui ces hameaux ont été rattachés par Flers-en-Escrebieux .

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de
Flers-en-Escrebieux
Courcelles-lès-Lens Auby
Esquerchin Flers-en-Escrebieux Roost-Warendin
Lauwin-Planque Douai

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est

  • Traversée par l'Escrebieux, affluent de la Scarpe.
  • La Rache, délimite la commune passe par le quartier de Pont de la Deûle limitrophe avec les villes de Auby et Roost-Warendin.
  • Le Fossé de Noire Bredis, délimite la commune par le nord, ce cours d’eau passe dans le parc des Près Loribe
  • le canal de la dérivation de la Scarpe.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 682 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 3 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Flers-en-Escrebieux est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes[11] et 503 966 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (66,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (47,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (34 %), terres arables (33,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (16,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (15,9 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La gare de Pont-de-la-Deûle, sur la ligne de Paris-Nord à Lille, qui se trouve dans la commune, est desservie par le réseau TER Hauts-de-France et permet de relier Lille, Douai et Valenciennes. Depuis la gare de Douai on peut prendre un TGV, et se rendre à Paris en 1 heure, Bruxelles en 1 heure 40.

La commune est desservie par les lignes 2, 5, 6 et 110 du réseau urbain Évéole, la ligne 853 du réseau interurbain Arc-en-Ciel 2 ainsi que par la ligne 413 du réseau interurbain du Pas-de-Calais.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de Flers est attesté au Xe siècle.

Il s'agit d'un type toponymique commun dans le Nord de la France : Flers (Somme), Fles 1030, Flers XIIIe siècle), Flers (Nord II, Fles 1066, Flers 1273), Flers (Pas-de-Calais) et Flers (Orne)[17]. La localisation dans le Nord de la France incite les spécialistes à proposer l’étymon germanique (vieux bas francique) *hlar qui signifie « terrain marécageux, friche ou vaine pâture », à l'origine de l'ancien français larris, d'où le français lairis.

Le déterminant complémentaire de en-Escrebieux, rivière qui traverse la ville du même nom, fut ajouté au début du XXe siècle.

En 1938, Flers est renommée en Flers-en-Escrebieux[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

Flers-en-Escrebieux est depuis longtemps habité. Lors de fouilles archéologiques sur la commune des objets préhistoriques ont été retrouvés. Le plus ancien objet a été découvert en 1884, il s’agit d’une hache de silex poli ou de bronze, emmanché d’un bois de cerf. D’autres objets ont été découverts datant d'avant la création de la ville comme des vases et une urne romaine, un cimetière Gallo-Romain et une nécropole Mérovingienne datant des VIe et VIIe siècles.

Flers fut fondée en 972. La commune était un bourg de terre agricole et de marais.

Au Moyen Âge, la superficie de la commune était plus importante, à cette époque Flers comprenait Lauwin (aujourd’hui Lauwin Planque), Le Bellou aujourd'hui disparu, Auby et le hameau de Bellefouriére aujourd’hui rattaché à la ville de Roost-Warendin. Ce territoire de Flers était découpé en 6 seigneuries, 3 laïques et 3 religieuses.

Au XVIIe siècle, pendant des guerres de Révolution qui opposaient les Français aux Espagnols, Flers fut saccagé par ces deux armées.

En 1710 lors du siège de Douai pendant la guerre de succession d’Espagne, Flers fut pillée par l’armée française du roi Louis XIV.

Grâce à la création de réseaux de drainage (fossés et aqueducs) la superficie marécageuse se fut de plus en plus petite au fil des siècles et laissa de plus en plus de terre exploitables.

Charbonnage à Pont de la Deûle

Au cours des XIXe et XXe siècles, deux nouveaux hameaux voient le jour: Pont de la Deûle et le Villers. Ces hameaux se développent grâce à l’activité de l’industrie charbonnière, en ce qui concerne Pont de la Deûle, grâce au chemin de fer, dont la ligne de Paris-Nord à Lille ouvre en 1846 et à l'exploitation minière (Compagnie des mines de l'Escarpelle) en plus des houillères , de ses canaux et de son marché.

Pendant la Première Guerre mondiale, la ville subit de nombreux dégâts. L’église de la commune est complètement détruite et de nombreuses habitations fut aussi ravagée .

Pendant l’entre deux guerres, une reconstruction de la ville fut engagée. Entre 1923 et 1926, l’église fut entièrement reconstruite.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, comme dans beaucoup de villes et de villages, de nombreuses personnes ont fait acte de résistance. De nombreux flersois et flersoises ont été déportés ou fusillés pendant cette guerre pour des faits de résistance. Des habitants du hameau de Pont de la Deule ont écrit une musique sur le sujet de l’occupation autour du piano d’un bar de ce hameau.

En 1974, l'Imprimerie nationale installe un site sur la commune de Flers-en-Escrebieux

En 1983, l’enseigne Rond-point s’implante sur la commune et quelques années plus tard, Carrefour rachète l'enseigne dans la région et crée une zone commerciale autour de son magasin.

Depuis les années 2000, la création d’une Zone d’Activité a vu le jour sur la commune, à proximité de l’autoroute et des marais des Prés Loribe

Le parc éolien de l'Escrebieux, également sis sur Esquerchin et Courcelles-lès-Lens, est construit à partir d'octobre 2020 pour une mise en service en 2021[19]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Douai du département du Nord. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la dix-septième circonscription du Nord.

Elle faisait partie de 1801 à 1991 du canton de Douay-Ouest, année où elle intègre le canton de Douai-Nord-Est[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Douai.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté d'agglomération du Douaisis, créée en 2002, et qui a pris en 2019 le nom de communication de Douaisis Agglo.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors du premier tour des élections municipales le , vingt-neuf sièges sont à pourvoir ; on dénombre 3 561 inscrits, dont 1 256 votants (35,27 %), 33 votes blancs (2,63 %) et 1 133 suffrages exprimés (90,21 %). La liste conduite par Jean-Jacques Peyraud, étiquetée divers droite, menée par le maire sortant recueille l'intégralité des suffrages exprimés, étant la seule à se présenter[20],[21].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[22][source insuffisante]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
décembre 1792 août 1803 Louis Marquette    
août 1803 avril 1805 Pierre Joseph Raoult    
avril 1805 juin 1816 Charle Desmontier    
juin 1816 août 1825 François Delattre    
août 1825 décembre 1826 Pierre Phillipe Carmin    
décembre 1826 septembre 1830 Ghislain Marquette    
septembre 1830 janvier 1835 Philipe Charles Desmoutier    
janvier 1835 juillet 1852 Ghislain Marquette    
juillet 1852 août 1860 Clovis Aligard    
août 1860 janvier 1873 Grégoire Marquette    
février 1873 mai 1888 Albert Carlier    
mai 1888 mai 1896 Alexandre Marquette    
mai 1896 avril 1898 Mary Amard Voreux    
juin 1898 mai 1900 Alphonse Pasquet    
mai 1900 juillet 1903 Benjamin Sellier    
juillet 1903 mai 1904 Eugène Tilmant    
mai 1904 septembre 1914 Alphonse Pasquet    
septembre 1914 janvier 1919 Louis Carlier   Nommé maire provisoire en raison de la mobilisation du maire titulaire
janvier 1919 décembre 1919 Alphonse Pasquet    
décembre 1919 octobre 1944 Ernest Danat   13 octobre 1944 : Dissolution du Conseil Municipal,
installation d’une délégation Municipale
octobre 1944 mai 1945 Maurice Dapvril SFIO Président de la Délégation Municipale
mai 1945 octobre 1947 Alfred Stiévenard    
octobre 1947 mars 1959 Henri Dapvril    
mars 1959 décembre 1972 Maurice Dapvril SFIO-PS Conseiller général de Douai-Ouest (1967 → 1972)
Décédé en fonctions
janvier 1973 mars 1977 Pierre Pruvost    
mars 1977 mars 1985[Note 3] René Arquin PS Démissionnaire
avril 1985 mars 1989 Agnès Moinardeau    
mars 1989 En cours
(au 2 mars 2019)
Jean-Jacques Peyraud DVD puis
UMPLR
Cadre supérieur hospitalier retraité
Conseiller régional des Hauts-de-France (2015[23] → )
Vice-président de Douaisis Agglo (2014 → )
Réélu pour le mandat 2014-2020[24]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2021, la commune comptait 5 642 habitants[Note 4], en diminution de 4,32 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
701687763794916922947954958
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9941 0241 1491 1451 2551 4241 8312 0522 504
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 9793 1824 0483 9745 7736 3156 0866 0436 432
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
6 1326 6756 4315 4915 3445 5405 3665 3425 769
2017 2021 - - - - - - -
5 8565 642-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 40,2 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,1 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 2 798 hommes pour 3 018 femmes, soit un taux de 51,89 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,8 
5,3 
75-89 ans
9,0 
13,2 
60-74 ans
14,1 
20,2 
45-59 ans
18,1 
19,2 
30-44 ans
18,1 
19,1 
15-29 ans
19,3 
22,5 
0-14 ans
19,7 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Économie et industrie[modifier | modifier le code]

Industrie[modifier | modifier le code]

  • Depuis 1974, important site de INGroupe (ex-Imprimerie nationale), consacré aux titres et plateformes sécurisés (env. 600 p. en 2019)[30].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Le géant[modifier | modifier le code]

Comme beaucoup de villes dans le Nord, Flers-en-Escrebieux possède son géant depuis le 24 mai 1988, il se prénomme Euch Tondier , il a été conçu par des employés communaux de la ville. Euch Tondier mesure 5,15 m et pèse 140 kg[35]. On trouve également l'orthographe Ch'Tondier[36].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de Flers-en-Escrebieux se blasonnent ainsi : "D'argent au chevron de gueules, accompagné d'un annelet du même en pointe" .

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. À la demande de la fédération PS du Nord, René Arquin est poussé à la démission « A Flers-en-Escrebieux (Nord), c'est à la demande de ta fédération du Nord du PS que le maire, M. René Arquin, a démissionné, à la suite de rumeurs selon lesquelles il aurait lourdement endetté sa commune et touché des pots-de-vin. M. Arquin affirme que ta seconde accusation est sans fondement et que les dettes contractées par la commune sont presque totalement remboursées » [1]
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Présentation de Flers-en-Escrebieux »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur flers-en-escrebieux.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Flers-en-Escrebieux et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France., Librairie Guénégaud 1979, p. 291b.
  18. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Julien Gilman, « Le chantier du parc éolien de l'Escrebieux débute le 5 octobre », La Voix du Nord, no 24360,‎ , p. 10 (lire en ligne).
  20. « Élections municipales, Flers-en-Escrebieux », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165,‎ , p. 33.
  21. « Élections municipales 2020 - 1er tour, Flers-en-Escrebieux », L'Observateur du Douaisis, no 897,‎ , p. 9.
  22. « Les maires de Flers-en-Escrebieux », sur francegenweb.org (consulté le ).
  23. « Jean-Jacques Peyraud, maire de Flers-en-Escrebieux, président de la Région pendant… vingt minutes : En sa qualité de doyen d’âge, le maire de Flers-en-Escrebieux a présidé la séance d’installation du conseil régional, ce lundi après-midi. L’occasion de saluer le front républicain qui lui a permis d’être élu, le 13 décembre. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Rappelons que le Douaisis sera représenté au conseil régional par quatre élus de la liste menée par Xavier Bertrand – Jean-Jacques Peyraud, Jean-Paul Fontaine, Frédéric Nihous et Jean-Marc Dujardin – et deux du Front national – Hortense de Méreuil et Chantal Bojanek ».
  24. « Jean-Jacques Peyraud comme au premier jour : Le maire a retrouvé son fauteuil faisant preuve du même enthousiasme qu’à ses débuts », L'Observateur du Douaisis, no 587,‎ , p. 16.
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Flers-en-Escrebieux (59234) », (consulté le ).
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  30. « - À Flers-en-Escrebieux, l’Imprimerie nationale poursuit avec succès sa mutation », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. « Sous-lieutenant d'aviation Albert James Dixon », Mémorial virtuel de guerre du Canada, sur veterans.gc.ca, (consulté le ).
  32. (en) « Private Albert James Dixon », Canadian Great War Project (consulté le ).
  33. Frédéric Stévenot, « MARTIN Marceau : Né le 24 août 1907 à Coutiche (Nord), fusillé comme otage le 14 avril 1942 au fort du Vert-Galant à Wambrechies (Nord) ; mécanicien ou chef de manœuvre à la traction des mines ; résistant communiste OS », Le Maitron en ligne (consulté le ).
  34. « Un documentaire et un dictionnaire biographique des 9 000 déportés au camp de Dora édités par la Coupole d’Helfaut : Jeudi, sur l’écran géant du dôme du planétarium, élus, responsables de la Coupole, invités, enfants de déportés se sont souvenus du voyage de quatre jours effectué en octobre à Dora, en Allemagne », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. « Notre géant "Euch'Tondier" »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur flers-en-escrebieux.fr (consulté le ).
  36. Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596,‎ , p. 14-15