Plaisir (Yvelines) — Wikipédia

Plaisir
Plaisir (Yvelines)
L'hôtel de ville.
Blason de Plaisir
Blason
Plaisir (Yvelines)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Versailles
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Saint Quentin en Yvelines
Maire
Mandat
Joséphine Kollmannsberger (LR)
2020-2026
Code postal 78370
Code commune 78490
Démographie
Gentilé Plaisirois
Population
municipale
31 375 hab. (2021 en diminution de 1,51 % par rapport à 2015)
Densité 1 680 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 49′ 06″ nord, 1° 56′ 50″ est
Altitude Min. 92 m
Max. 173 m
Superficie 18,68 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Plaisir
(bureau centralisateur)
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Liens
Site web ville-plaisir.fr

Plaisir est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Position de Plaisir dans les Yvelines.

Situation[modifier | modifier le code]

Plaisir est située dans la grande banlieue ouest de Paris, à 30 km de la Porte d'Auteuil et à 13 km à l'ouest de Versailles, dans la plaine de Versailles.

La moitié du territoire communal est constituée de forêts et de terres agricoles.

La commune est constituée de plusieurs hameaux répartis sur deux plateaux séparés, d'est en ouest, par la forêt domaniale de Bois-d'Arcy et son extrémité ouest dite bois de la Cranne, le parc du château de Plaisir et la forêt de Sainte-Apolline.


Sur le plateau le plus élevé, au sud du territoire communal et au nord d'une étendue appelée plaine de Neauphle traversée par la RN 12, se trouvent le hameau de la Mare-aux-Saules jouxtant Élancourt et le hameau de Sainte-Apolline, tous deux au sud de cette nationale, et les hameaux des Gâtines, du Buisson et de la Chaîne, tous trois alignés d'est en ouest au nord de ladite nationale.

Sur le plateau inférieur, au nord de la commune, se trouvent le vieux village, entouré, d'est en ouest, des quartiers ou hameaux de la Brétechelle, de l'Aqueduc de l'Avre, des Ébisoires, des Petits-Prés et de l'écart relativement peuplé de la Boissière.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée du sud au nord par le ru Maldroit qui prend sa source à Trappes, au lieu-dit du Puits à Loup à proximité de la porte de Pissaloup. Il traverse la plaine de Neauphle, passe à l'extrémité est du hameau des Gâtines, alimente le bassin de retenue du bois de la Cranne. Ensuite il traverse sous la RD 30, se divise en deux branches traversant le parc du château et de l'hôtel de ville, le vieux village. Il est rejoint par le ru de Sainte-Apolline avant de parcourir les deux hôpitaux, où il est partiellement canalisé et enterré, serpente dans une petite vallée entre Thiverval et Saint-Germain-de-la-Grange et se jette dans la Mauldre à Beynes. La ville compte également un étang dans la forêt de Sainte-Apolline.

La commune de Plaisir est située intégralement dans le sous-bassin du Maldroit inclus dans le bassin versant de la Mauldre géré depuis 1992 par le COBAHMA (comité de bassin hydrographique de la Mauldre et de ses affluents) sous l'égide du conseil général des Yvelines et pour lequel un schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) a été mis en œuvre (arrêté préfectoral du ).

Le quartier de l'aqueduc de l'Avre doit son nom à l'aqueduc qui alimente Paris en eau potable et traverse la ville d'ouest en est.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 663 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Trappes à 6 km à vol d'oiseau[3], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 686,3 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Transports et voies de communications[modifier | modifier le code]

Réseau routier[modifier | modifier le code]

La gare de Plaisir - Grignon.
La gare de Plaisir - Grignon.
La gare de Plaisir - Les Clayes.
La gare de Plaisir - Les Clayes.
La gare routière de la gare de Plaisir - Grignon.
La gare routière de la gare de Plaisir - Grignon.

La commune est desservie par la route nationale N 12 (Paris-Brest), via Dreux (à caractéristiques autoroutières). Elle est traversée dans un « axe nord-sud » (ainsi qu'elle est appelée localement) par la route départementale D 30 qui relie Poissy et Feucherolles au nord au lieu-dit des Gâtines et prolongée au sud vers Élancourt et Saint-Quentin-en-Yvelines par la route départementale D 58. Dans l'axe est-ouest, Plaisir est traversée par la route départementale D 11 qui mène aux Clayes-sous-Bois et Saint-Cyr-l'École vers l'est et à Neauphle-le-Château vers l'ouest.

Desserte ferroviaire[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par deux gares de la ligne N du Transilien :

Les trains semi-directs permettent de rejoindre Paris en 25 minutes.

Bus[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les lignes 6, 8, 9, 10, 20, 44, 50, AQ, BL, JV, TG du réseau de bus de Saint-Quentin-en-Yvelines, par les lignes 7, 12, 19, 27 et M du réseau de bus Centre et Sud Yvelines, par les lignes 4, 15, 17, 78 et 475 du réseau de bus Île-de-France Ouest et par la ligne 100 du réseau de bus de Poissy - Les Mureaux. De plus, la ville assure un transport individuel intra-muros pour les personnes handicapées en véhicule adapté pour le prix d'un ticket de bus.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Plaisir est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[10] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[13],[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Placidio au VIIe siècle, Placicium au VIIIe siècle[15], Pleassiacum dès 1236. La forme latine Pleassiacum dure jusqu'à la fin du XVe siècle. Pendant qu'en vieux français, il passe de Plesiz en 1351, à Plesir en 1470, se maintient définitivement sous la forme de Plaisir au XVIIe siècle.[réf. nécessaire]

Il pourrait dériver du latin placicium, il plaît, ou bien de plescicium, place forte.

L'origine du lieu-dit est très ancienne. Placidio peut signifier le domaine de Placidius et remonterait ainsi à l'époque gallo-romaine. Aucune trouvaille ne vient confirmer cette hypothèse.[réf. souhaitée]

Autres hypothèses : rapprocher Plaisir de Plessis (du bas latin plexiacum, signifiant enclos, qui a donné plaissié au Moyen Âge, signifiant lieu fortifié). Plaissier–, 'courber, ployer', "entourer de clôtures de branches entrelacées": c'était là un moyen assez primitif d'enfermer le château dans un système défensif et des seigneurs de plus ou moins d'importance l'ont utilisé[16].

Plaisais, clairière où les terres cultivées sont délimitées par une ceinture d’arbres ou de buissons pour se protéger des animaux sauvages. Le Roman de Renard décrit ainsi la ferme d’un riche paysan : « La maison sise au milieu d’un plaisais (clôture faite de buissons entrelacés) est richement pourvue de tous les biens de la terre : vaches et bœufs, brebis, lait et œufs, et toutes sortes de nourriture ; de poules et de chapons y avait-il à foison. Renard y trouvera de quoi se satisfaire, si seulement il y peut entrer. Mais, je crois, et même je parie, qu’il cherchera longtemps. Car tout était entièrement clos, et le jardin, et la maison, de pieux aigus et gros et longs ; un ruisseau courait tout autour. Au dedans étaient arbrisseaux de toutes espèces. Vraiment, c’était une belle demeure » (cité par M.T. Lorrain : La France au XIIIe siècle, Paris, Nathan, 1975).

Philippe de France, Monsieur le frère du Roi Louis XIV, venait y prendre ses plaisirs.[réf. souhaitée]

Histoire[modifier | modifier le code]

Jusqu'au XXe siècle : un bourg agricole et ses sept hameaux[modifier | modifier le code]

Pont de chemin de fer à proximité de la gare de Plaisir-Grignon.
  • À la fin du XVIIIe siècle, la population compte environ un millier d'habitants sur sept hameaux : la Bretéchelle, la Boissière, le Buisson, la Chaîne, le Village, les Petits-Prés et les Gâtines[19]. Le centre du village de Plaisir se situe à la conjonction de deux ruisseaux, le ru Maldroit et le ru Sainte-Apolline.
La vue générale de l'asile.
  • En 1862, le chemin de fer apparaît à Plaisir ainsi qu'un dépôt de mendicité à la ferme des « Petits-Prés » qui appartenait au comte de Pontchartrain. L'asile fonctionnait de manière autonome, les nonnes y jouaient un rôle prépondérant. « Elles occupaient des fonctions administratives et d'infirmerie, étaient responsables de la lingerie, des cuisines et des tâches ménagères »[20]. Celui-ci se transformera rapidement en asile départemental pour toute la Seine-et-Oise, puis en hôpital gérontologique et médico-social. La ville accueille un deuxième hôpital psychiatrique, Charcot.
  • En 1900, le petit village agricole de Plaisir dépasse à peine le millier d'habitants, soit autant qu'au XVIIIe siècle. Sa population double dans la première moitié du XXe siècle grâce aux capacités d'accueil des asiles psychiatriques.

Explosion urbaine depuis les années 1960[modifier | modifier le code]

Une étude d'urbanisme explique : « À la fin de la deuxième guerre mondiale, Plaisir n'est encore qu'un petit village agricole constitué de plusieurs hameaux. »[21]. Au début des années 1960, la commune est encore éclatée entre le bourg de Plaisir et ses sept hameaux agricoles « éloignés les uns des autres et vivant sur eux-mêmes ».

À partir des années 1960, Plaisir subit une explosion de l'urbanisation. Celle-ci est attribuée à la création de la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines[22] et au premier schéma directeur d'aménagement et d'urbanisme de la région parisienne (SDAURP) de 1965. Pour Plaisir, le SDAURP se concrétise par la création de la zone opérationnelle d'habitat (ZOH, qui deviendra une ZAC) de Plaisir-Les Clayes (1966) qui prévoit l'implantation de 7 500 logements, des activités industrielles dans les quartiers des Ébisoires et Vicomtes et commerciales dont l'embryon de l'actuel centre commercial régional « Grand Plaisir ». À partir de 1965, les promoteurs privés achètent des terrains pour les lotir. La population de Plaisir est alors multipliée par sept en 15 ans (cf. démographie).

Cette urbanisation se déroule en plusieurs vagues spatio-temporelles :

  • 1968-1975
    • Plusieurs lotissements de pavillons « à l'américaine », espaces verts devant la maison et jardins à l'arrière, habités par des cadres travaillant à Paris ou dans les entreprises des environs (Bull aux Clayes-sous-Bois, etc.) se développent à la Mare aux Saules (235 maisons bâties en 1970), aux Gâtines et à la Bataille (700 logements en 1971, appelée au début « opération Bréguet »).
    • Dans le cadre de la ZOH, l'OPHLM construit de petits immeubles habités par une clientèle populaire, le quartier du Valibout. En 2006, ce quartier abritait 4 000 personnes dans plus de 1 000 logements sociaux[23]. Il fait l'objet d'une opération de rénovation urbaine (2006).
    • Au centre bourg, ce sont la résidence Gabrièle (250 logements collectifs en 1971, promoteur Rivaud) et la résidence des Peupliers (170 logements en 1972).
    • Plus au nord, sont également réalisées les constructions d'immeubles ou de petites maisons créant les résidences Danielle (promoteur Rivaud), Brigitte avec son centre commercial (Rivaud), la Haise, le Vieux Moulin, les Ébisoires, le Petit Bontemps.
    • À l'est, le domaine de la Bretéchelle (promoteur Carlton) voit le jour.
    • À l'ouest, est réalisé le domaine de la Boissière (1972) dans le hameau éponyme.
  • 1980-1990
    • une bonne part des espaces est urbanisée par des lotissements de maisons de plus petites tailles destinées aux classes moyennes notamment la ZAC de l'aqueduc de l'Avre en 1985.
    • Sur le plan juridique, un temps rattachée à Saint-Quentin-en-Yvelines, Plaisir quittera la ville nouvelle en 1983 en cédant la Clef-de-Saint-Pierre à Élancourt et Trappes[17] « afin d'échapper à une urbanisation massive qui prévoyait 80 000 habitants à Plaisir. »[24].

Depuis les années 2000, la Ville souhaite stabiliser son urbanisation. Les chiffres des derniers recensements prouvent le ralentissement de l'évolution démographique et la maîtrise de l'urbanisation est désormais intégrée au PLU[25].

Problématiques sociologique et environnementale

Finalement, cette urbanisation s'est faite essentiellement entre le château et les lignes SNCF. Le nord est plus dense et le sud plus pavillonnaire. Des quartiers au sud et à l'ouest sont considérés comme « déconnectés du reste de la ville (la Mare aux Saules, les Gâtines, la Boissière). Leur fonctionnement est soit autarcique, soit tourné vers les communes limitrophes. », ce qui prolonge en fait le schéma ancien avec un bourg et des hameaux éclatés.

L'urbanisation s'est faite « sous la forme de ZAC juxtaposées les unes aux autres, sans lien entre elles, ni avec le centre-ville. »[26]. Il en résulte une nette séparation spatiale des classes sociales. Une étude menée pour le PLU en 2006 constate ainsi que Plaisir est « une ville patchwork où les quartiers se tournent le dos, et où il manque un centre-ville structuré et structurant. »[27].

Le fort développement du centre commercial Grand Plaisir procure d'importantes recettes fiscales à la ville, mais génère aussi quelques nuisances :

  • le déclin des petits commerces de l'ancien centre-ville[22], que la création d'une halle de marché en 1989 n'a pas suffi à enrayer.
  • un fort trafic automobile saturant « l'axe nord-sud » à certaines heures. L'élargissement de la route départementale 30 à quatre voies a été terminé début .

En 2006, une étude estime que, malgré l'urbanisation, Plaisir conserve « de vastes espaces agricoles et boisés [ayant] conservé leur aspect naturel », qui représentent 50 % du territoire de la commune et font de cette dernière « une ville à la campagne »[22]. Cependant, ces espaces verts sont « disséminés » sur la commune et « menacés par le mitage urbain »[28].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

L'ancienne mairie devenue mairie annexe.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1971 Roland Reuillé SFIO
puis PS
Suppléant de la députée Jacqueline Thome-Patenôtre
1971 1973 Victor Marc PS  
1973 1993
(démission)
Jean Mouton PS  
1993 Jacky Lecourtiller PS Chef d'entreprise, ancien adjoint

(démission)
Joël Regnault RPR
puis UMP
Agriculteur
Député des Yvelines (12e circ.) (2011 → 2012)
Conseiller général de Plaisir (1998 → 2004)
En cours Joséphine Kollmannsberger UMP-LR Comédienne et metteuse en scène
Conseillère départementale de Plaisir (2015 → )
4e vice-présidente du conseil départemental (2015 → )
1re vice-présidente de Saint-Quentin-en-Yvelines CA (2016 → )

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Le parc de l'Hôtel-de-Ville.

Pour inciter les Plaisirois, particuliers et entreprises, à augmenter et préserver ce capital, elle organise chaque année un « Concours des jardins et balcons fleuris » en partenariat avec la société Truffaut et l'établissement horticole Arriat.

  • L'Agenda 21 local, lancé le , a pour objectif la participation active des habitants à la préservation et l'amélioration de leur environnement. Les actions envisagées concernent notamment la circulation, le patrimoine bâti avec la réhabilitation des anciens lavoirs et l'air.
  • Une action remarquée
    • 2006 : trophée de bronze[30] au concours «Défi pour la Terre», catégorie communes entre 5 000 et 50 000 habitants, pour ses actions de sensibilisation tout au long de l'année : « Les Recycladines »
    • 2005 : mention spéciale au 9e Grand prix de l'environnement pour la sensibilisation au tri des déchets et propreté urbaine dans le quartier du Valibout
    • 2004 : trophée de l'agence de l'eau de Seine-Normandie dans la catégorie « information et participation du public »
  • Les déchets

La ville a mis en place le tri sélectif depuis plus de 10 ans et cherche à l'améliorer régulièrement aussi bien par la sensibilisation du public que par la distribution de composteurs pour les particuliers. La société SEPUR, basée sur Plaisir depuis 1965, est chargée du ramassage des ordures ménagères deux fois par semaine ainsi que de chaque poubelle de recyclage une fois par semaine. La déchèterie ainsi que l'usine d'incinération des ordures ménagères sont situées sur la commune limitrophe de Thiverval-Grignon. De par la proximité de la société et des installations, les déplacements sont ainsi limités et les horaires de ramassage adaptés afin de limiter les nuisances sonores.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Carte
Villes jumelées avec Plaisir.Voir et modifier les données sur Wikidata
Villes jumelées avec Plaisir.Voir et modifier les données sur Wikidata
VillePaysPériode
Bad Aussee[31]Autrichedepuis
Baixa da Banheira (d)[32]Portugaldepuis
Geesthacht[33]Allemagnedepuis
Lowestoft[34]Royaume-Unidepuis
Moita[32]Portugaldepuis

[Note 3]

Population et société[modifier | modifier le code]

Les habitants sont appelés les Plaisirois.

Démographie[modifier | modifier le code]

Plaisir est la septième commune des Yvelines par sa population estimée à environ 32 000 habitants lors des recensements depuis 2004. Les Plaisirois constituent une population jeune et active : 30 % de ses habitants ont moins de 19 ans[35] et son taux de chômage n'est que de 8,2 % avec plus de 50 % d'actifs.

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[36],[Note 4].

En 2021, la commune comptait 31 375 habitants[Note 5], en diminution de 1,51 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2601 3131 2911 2601 2151 2741 2591 1781 095
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1171 1821 2251 2651 3741 4691 5791 6151 636
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6521 7291 8941 9002 0852 1672 2242 3982 683
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
3 8506 86921 25922 59325 87731 04531 53931 07431 680
2021 - - - - - - - -
31 375--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,5 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 14 642 hommes pour 16 371 femmes, soit un taux de 52,79 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
0,5 
4,2 
75-89 ans
9,1 
12,3 
60-74 ans
12,6 
21,3 
45-59 ans
19,2 
21,6 
30-44 ans
20,8 
18,1 
15-29 ans
17,7 
22,4 
0-14 ans
20,2 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune relève de l'académie de Versailles.

  • Enseignement primaire
    • Les écoles maternelles : 17
    • Les écoles élémentaires : 13
  • Enseignement secondaire
    • Deux collèges : collège Guillaume-Apollinaire et collège - SEGPA Blaise-Pascal. Selon la carte scolaire, les élèves de Plaisir peuvent également être scolarisés aux collèges des Clayes-sous-Bois ou d'Élancourt.
    • Lycée Jean-Vilar.
  • Enseignement spécialisé

Sports[modifier | modifier le code]

De par sa population jeune, Plaisir abrite 32 associations sportives très variées. Les disciplines proposées vont des plus classiques : football, athlétisme, basket-ball… aux plus originales : Omkido, cerf-volant. Ultimate

Le Palais des Sports, inauguré en 2006, est un complexe omnisports qui a été bâti en lieu et place de l’ancien gymnase Pierre-de-Coubertin détruit par un incendie en . Il a été conçu pour accueillir les associations plaisiroises et les établissements scolaires de la ville. Avec une superficie totale de 6 139 m2, ce gymnase s’étend sur deux niveaux et est composé de sept salles, dont une salle multisports pouvant accueillir jusqu’à plus de 1 200 personnes, des salles de gymnastique, agrès et sol, de gymnastique volontaire, de boxe, de taekwondo, de karaté, de judo et jujitsu.

Ce Palais des Sports peut dorénavant accueillir des compétitions internationales et notamment en , la coupe du Président du Mondial de handball féminin[41].

La construction d’un terrain de football à sept, d'un couloir d’athlétisme ainsi que d’un plateau d’évolution de handball et de basket-ball, a également été réalisé derrière le palais des sports de la ville.

L'équipement sportif de la ville est donc le suivant :

4 gymnases :

Le Parc des sports et ses deux stades : Robert-Barran et Bernard-Giroux, complètent cet équipement pour la pratique notamment du football ou du rugby.

Une piscine intercommunale, située sur la commune des Clayes-sous-Bois où se pratiquent natation, aquagym et plongée sous-marine.

Un tennis-club de 16 courts en centre ville.

Le golf privé Isabella, de dix-huit trous, se trouve à l'extrémité ouest du hameau de Sainte-Apolline, au sud et le long de la RD 912, dans la partie de la forêt qui surplombe le hameau d'Ergal de Jouars-Pontchartrain.

Les activités de plein air suivantes sont pratiquées à Plaisir :

  • le cerf-volant sportif en intérieur ou en extérieur (parc des Quatre-Saisons) ;
  • la pétanque dans le parc du château ;
  • et la pêche dans les différents étangs de Plaisir.

D'autres sports sont pratiqués par les Plaisirois et encadrés par les associations de la ville : le bowling, le cyclotourisme et le VTT, l'équitation, la marche nordique, la randonnée, le paintball, la voile.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Juin : Festival des arts du monde, « Escales d’ailleurs » depuis 2002, organisé dans le parc du château.
  • Novembre : Grand Prix de la Ville de Plaisir de pétanque depuis 1985.
  •  : Du 6 au , les matchs de classement de la 19e à la 24e place de la coupe du monde de handball féminin se sont déroulés au palais des sports.

Cultes[modifier | modifier le code]

Trois cultes sont pratiqués sur Plaisir :

  • le culte catholique : les messes sont organisées à l'église Saint-Pierre les samedis et dimanches. L'église, fermée depuis le pour d'importants travaux de rénovation lancés par la commune, ouvre à nouveau ses portes pour le culte le . La paroisse de Plaisir relève du doyenné de Plaisir, Villepreux, Les Clayes-sous-Bois, Fontenay-le-Fleury, Bois d'Arcy, Saint-Cyr-l'École et du diocèse de Versailles ;
  • le culte protestant avec l'église réformée de France et l'église protestante évangélique ;
  • le culte musulman : la mosquée de la rue du Valibout a rouvert en 2008.

La ville ne compte qu'un seul cimetière. Celui-ci étant arrivé à saturation, la municipalité a acquis en 2002 l'ancien cimetière de l'hôpital gérontologique de Plaisir-Grignon de 4 450 m2. Après réunification et réhabilitation, le nouveau cimetière a été inauguré le .

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

La commune compte six zones d'activités industrielles et commerciales, qui accueillent des entreprises de toutes tailles, ainsi que certains sièges sociaux, notamment ceux de Ikea France et JCDecaux.

Six centres commerciaux sont répartis sur la commune dont un régional : « Grand Plaisir ». Situé dans le nord de la commune et à proximité de la gare de Plaisir - Les Clayes, il couvre une superficie de plus de 100 000 m2. Fort d'une centaine de commerces variés (alimentation, vêtements, coiffeur, bijouterie, restauration, pharmacie de garde…), il accueille notamment Auchan, Ikea et Décathlon.

La ville regroupe sur son territoire :

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 37 286 , ce qui plaçait Plaisir au 4 306e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[42].

Ce chiffre est inférieur à la moyenne départementale (40 650 )[42].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le château (XVIIe – XVIIIe siècles), façade ouest.
Église Saint-Pierre.
  • Le château de Plaisir, qui date du XVIIe siècle, a été classé au titre des monuments historiques en 1961[43] et été racheté par la commune en 1976. Il a été réaménagé par la famille Le Tellier au XVIIIe siècle notamment par l'ajout de deux ailes basses et des bâtiments annexes à vocation agricole.
  • Le parc du château, remarquable par son bassin et ses arbres est également classé MH depuis 1961[44].
  • L'église Saint-Pierre de style roman, construite entre 1260 et 1263, est restaurée entre 1855 et 1859, et inscrite à l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques le  ; elle est à nouveau restaurée en 2012 et rouverte au public le [45],[46],[47].
  • L'église abrite trois bas reliefs, l'un du XVIe siècle en pierre, les deux autres du XVIIIe siècle en bois sculpté qui ont été classés MH au titre objets en 1969 ainsi qu'une statue de Vierge à l'enfant du XIVe siècle en pierre qui a été classée en 1914[48].
  • Le Prieuré, petit manoir abritant la mairie depuis 1971, fut construit à la fin du XIXe siècle sur l'emplacement d'un prieuré bénédictin, rappelé par une locution latine sur le dessus de la grille d'entrée : « Hic fuit benedictorum Prioratus » (ici, il y eut un prieuré de bénédictins).
  • La commune possède trois lavoirs. Cependant ils ont connu un manque d'entretien depuis les années 1960, voire des dégradations : l'un semble servir d'entrepôt à un particulier (lavoir de la sente Buffon) et l'autre avait été incendié et était couvert de graffiti (lavoir de la rue Alexandre-Dumas).

Dans le cadre de l'agenda 21 local et de son atelier « Patrimoine bâti remarquable », les lavoirs sont aujourd'hui rénovés ou en cours de l'être. Ainsi, le lavoir de la rue Alexandre-Dumas fut remis en état en 2005[49] et le lavoir du bois de la Cranne au lieu-dit « le Petit Trou » en 2006[50].

En 2019 a lieu la découverte d’une fontaine enfouie dans le jardin de la mairie. La fontaine, un bassin d’environ 3 mètres de diamètre en béton, et dont le fond est couvert de petites mosaïques blanches, daterait de l’époque contemporaine. Non loin de la fontaine, les ouvriers ont également mis au jour un petit moulin de pierre, caché sous le lierre[51].

Équipements culturels[modifier | modifier le code]

  • Le théâtre Robert-Manuel, anciennement théâtre de la Grange, comporte 178 places assises et est situé dans les communs du château de Plaisir.
  • Le Conservatoire à Rayonnement Communal - CRC - Conservatoire agréé musique, danse, art dramatique est installé dans le château de Plaisir. Des enseignements arts plastiques et ateliers sciences sont également proposés (www.Ville-plaisir/Conservatoire)
  • Le théâtre Espace Coluche, rénové et rouvert le , comprend une salle de spectacle de 868 places assises.
  • La Clef des Champs est une salle de 300 places debout destinée aux musiques amplifiées. Le lieu comporte également l’accès aux salles de danse du Conservatoire de la ville.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Plaisir

Les armes de Plaisir se blasonnent ainsi :

d'azur aux deux lions affrontés d'argent supportant en chef une fleur de lys d'or.

Ce blason, créé après guerre et enregistré par la commission départementale d'héraldique de Seine-et-Oise, s'inspire d'un sceau utilisé par la municipalité de Plaisir pendant la Révolution[56].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les communes de Baixa da Banheira et de Moita sont voisines
  4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Plaisir et Trappes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Trappes » (commune de Trappes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Trappes » (commune de Trappes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. Vigot 1994.
  16. – Marianne Mulon –Noms de lieux d’Île-de-France, Bonneton, Paris, 1997 (ISBN 2862532207)[réf. nécessaire].
  17. a et b site internet de la ville
  18. « site »
  19. Cercle Généalogique de Versailles et des Yvelines, Paysages d'Yvelines à la fin du XVIIIe siècle : Le cadastre de Bertier de Sauvigny, Archives départementales des Yvelines, .
  20. L'essentiel de Plaisir, février 2005, p. 11.
  21. [PDF] Étude d'élaboration du PLU, janvier 2006, Préambule, point B, page 4
  22. a b et c Étude du PLU, idem
  23. [PDF] Bulletin municipal, octobre 2006, p. 24.
  24. [PDF] Bulletin municipal, octobre 2006, p. 24, avis d'un élu.
  25. Étude PLU, p. 8.
  26. Étude PLU, idem, p. 4.
  27. Étude PLU, idem, tableau p. 5.
  28. Étude PLU, idem, p. 5.
  29. Palmarès du Concours des villes et villages fleuris dans les Yvelines
  30. Résultats du concours "Défi pour la Terre des collectivités
  31. « https://www.ville-plaisir.fr/territoire/intercommunalite/villes-jumelles/bad-aussee »
  32. a et b « https://www.ville-plaisir.fr/territoire/intercommunalite/villes-jumelles/baixa-da-banheira-et-moita »
  33. « https://www.ville-plaisir.fr/territoire/intercommunalite/villes-jumelles/geesthacht »
  34. « https://www.ville-plaisir.fr/territoire/intercommunalite/villes-jumelles/lowestoft »
  35. Chiffres clés du recensement depuis 2004 (Insee).
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Plaisir (78490) », (consulté le ).
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  41. « Mondial de handball féminin » sur le site de la commune
  42. a et b « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur insee.fr (consulté le ).
  43. « Notice MH du château », notice no PA00087565, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 21 février 2010.
  44. « Notice d'inventaire du parc du château », notice no IA78000878, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 21 février 2010.
  45. « Notice MH de l'église Saint-Pierre », notice no PA00087566, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 21 février 2010.
  46. « Église Saint-Pierre », sur Observatoire du Patrimoine Religieux (consulté le ).
  47. « Plaisir, église Saint-Pierre »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Archives départementales des Yvelines (consulté le ).
  48. « Notices MH des œuvres de l'église Saint-Pierre », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consulté le 21 février 2010.
  49. « L'essentiel de Plaisir », septembre 2005, p. 6.
  50. « L'essentiel de Plaisir », février 2006, p. 21.
  51. « Découverte d’une fontaine enfouie dans le jardin de la mairie », La Gazette de Saint-Quentin-en-Yvelines, 20 février 2019.
  52. « Lenôtre, un traiteur nommé Plaisir », Le Figaro, 27 décembre 2007, p. 29.
  53. « Camila Giorgi, la perle italienne », Le Parisien, 17 novembre 2005.
  54. « Décès d'un ex-gagnant de Star Academy », La Presse, .
  55. Juliette Hochberg, « Grégory Lemarchal, une étoile à la voix d'or », marieclaire.fr, consulté le 16 novembre 2021.
  56. Jacques Levron et Robert Louis, Les armoiries des communes de Seine-et-Oise : tome III, Troyes, éditions La Renaissance, .

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Henri Vigot, Plaisir, des Carnutes aux Franciliens, Ville de Plaisir, (ISBN 978-2-9509031-0-5)
  • Daniel Broudieu et Marie Solignat, Plaisir en cartes postales, Éditions Alan Sutton, 2012 (ISBN 978-2-8138-0538-6)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]