Villepreux — Wikipédia

Villepreux
Villepreux
L'hôtel de ville.
Blason de Villepreux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Versailles
Intercommunalité CA de Saint Quentin en Yvelines
Maire
Mandat
Jean-Baptiste Hamonic
2020-2026
Code postal 78450
Code commune 78674
Démographie
Gentilé Villepreusiens
Population
municipale
11 150 hab. (2021 en augmentation de 11,5 % par rapport à 2015)
Densité 1 072 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 49′ 51″ nord, 2° 00′ 11″ est
Altitude Min. 82 m
Max. 155 m
Superficie 10,40 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Saint-Cyr-l'École
Législatives 3e circonscription des Yvelines
Localisation
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Villepreux
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Villepreux
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Villepreux
Liens
Site web http://www.villepreux.fr/

Villepreux est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France, en France, située à environ 40 kilomètres au sud-ouest de Paris, au cœur de la plaine de Versailles.

Ses habitants sont appelés les Villepreusiens.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Villepreux se trouve à environ 9 km à l'ouest de Versailles, dans la plaine de Versailles dans le prolongement de la perspective des jardins de Versailles, telle que dessinée par André Le Nôtre, pratiquement dans l'axe de la perspective du Grand Canal (un axe qui correspond à l'Allée royale de Villepreux) même si cet axe a été quelque peu oublié après la Révolution de 1789 et le déménagement à Paris de la famille royale.

La commune est localisée à 24 kilomètres à l'ouest de la cathédrale Notre-Dame de Paris, point zéro des routes de France, et à 18 kilomètres au sud-ouest de la porte de Saint-Cloud.


Position de Villepreux dans les Yvelines.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Saint-Nom-la-Bretèche au nord, Noisy-le-Roi au nord-est sur environ 800 m, Rennemoulin à l'est, Fontenay-le-Fleury au sud-est, Bois-d'Arcy au sud, Les Clayes-sous-Bois au sud-ouest et Chavenay au nord-ouest.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le territoire communal, au relief peu accentué, est marqué dans sa partie nord par la dépression de la vallée du ru de Gally, et de ses affluents, le ru de l'Oisemont et le ru de l'Arcy.

L’essentiel de la commune est implanté dans un terrain géologique de sables et de grès, caractéristique de la vallée du ru de Gally, à une altitude variant entre 100 et 115 m d’altitude[1].

L’ancien château et la ferme de Val Joyeux sont sur les versants sud de la vallée, à une altitude un peu plus haute (au-dessus de 127 mètres), avec un terrain différent : des marnes et des gypses du Bartonien[1].

Hydrologie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par plusieurs cours d’eau dont notamment le ru de Gally, dont la vallée est au cœur de la plaine de Versailles, et le ru de l’Arcy, qui alimente les plans d’eau autour du château. Elle est également traversée dans sa partie sud-est (Val Joyeux) par l'aqueduc de l'Avre, ouvrage souterrain qui alimente Paris grâce au réservoir de Saint-Cloud.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 659 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Trappes à 6 km à vol d'oiseau[4], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 686,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Réseau routier[modifier | modifier le code]

Plaque d'entrée.

La commune est desservie par deux axes routiers principaux :

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Cette ligne SNCF coupe quasiment en deux la ville en isolant le quartier du Val Joyeux, qui se retrouve ainsi davantage lié aux Clayes-sous-Bois qu'à Villepreux même.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Villepreux est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[11] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 18,9 % 197
Espaces verts urbains 6,9 % 71,5
Équipements sportifs et de loisirs 0,6 % 6
Terres arables hors périmètres d'irrigation 69,2 % 721,5
Forêts de feuillus 4,4 % 46
Source : Corine Land Cover[16]

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

L’habitat de la commune de Villepreux comprend à la fois un noyau villageois ancien, témoin de l'histoire de la commune, et des zones bâties plus récemment, dans la seconde moitié du XXe siècle.

Le territoire communal est encore essentiellement rural. L'urbanisation s'est développée dans la partie sud, en proximité des Clayes-sous-Bois dans le secteur desservi par la voie ferrée venant de Paris et Versailles.

Villepreux présente plusieurs facettes : tout d'abord un cœur de village historique établi autour du château du XVIIIe siècle construit par la famille Francini et appartenant de nos jours à la famille des comtes de Saint-Seine.

C'est ensuite des zones bâties plus récemment, dans la seconde moitié du XXe siècle, plus au sud, vers la gare SNCF, le quartier de la Haie-Bergerie, lotissement créé par Jacques Riboud et son architecte Roland Prédiéri — qui devient ensuite maire — au début des années 1960. Les maisons mitoyennes ont depuis été réhabilitées par de nouvelles générations de propriétaires.

C'est aussi, à l'ouest, un nouveau pôle appelé Trianon, près du quartier de la Pointe-à-l'Ange, aménagé en pavillons-immeubles de qualité en bordure des champs, à la limite du territoire communal de Chavenay.

C'est également le quartier du Val Joyeux, un lotissement de 400 pavillons, datant de l'après-guerre, ainsi qu'une petite résidence plus récente de pavillons et d'appartements en lisière de la forêt de Bois-d'Arcy.

Le centre-ville s'est déplacé du vieux village vers les quartiers nouveaux.

Occupation des sols simplifiée[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune se compose en 2017 de 73,45 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 6,88 % d'espaces ouverts artificialisés et 19,67 % d'espaces construits artificialisés[17]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Villa Perosa en 1030, Villa Pirorum en 1094[18],[19], Villaperor en 1108[20], Villeperose en 1164[20], Villa Pirosa vers 1205[20],[19], Villa Pero ou Villaperor en 1259[19], Ville Pereur en 1295[20], Villa Petrosa en 1352[20].

Il s'agirait d'une formation toponymique médiévale en ville- au sens ancien de « village »[20], suivi d'un dérivé en -osa du latin petra> pierre, c'est-à-dire ancien français perreuse[20], refait plus tardivement en pierreuse[21] (cf. Landepéreuse), d'où le sens global de « village pierreux ». La forme du second élément -preux est liée à l'attraction de l'ancien français preu « vaillant, bon »[20].

La première mention écrite sur Villepreux remonte à une charte de Charles-le-Chauve, en 856, et rédigée à l'occasion d'un échange de terres entre les abbayes de Saint-Maur-des-Fossés et de Saint-Germain-des-Prés[22].

Histoire[modifier | modifier le code]

Origines[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Germain au cœur du vieux village, façade ouest.

Si la première mention écrite sur Villepreux remonte à une charte de Charles-le-Chauve datée de 856[22], cela n’exclut pas l’existence d’habitants avant cette époque comme l’atteste la découverte d’un cimetière mérovingien en haut de la pépinière de l’école d’horticulture Le Nôtre, à la fin du XIXe siècle (aujourd’hui Centre de formation professionnelle).

Seigneurs de Villepreux[modifier | modifier le code]

Du XIe siècle à 1789, Villepreux compte 34 seigneurs successifs. Beaucoup d'entre eux relient l'histoire de la ville à la « Grande Histoire »[23],[24].

  • On admet traditionnellement que les Montmorency puis leur branche cadette des sires de Montlhéry et Bray-sur-Seine, sont les premiers seigneurs de Villepreux aux Xe et XIe siècle (Thibaud File-Étoupe qui élève Montlhéry étant considéré comme le fils cadet de Bouchard Ier de Montmorency). Par mariage, ils deviennent aussi seigneurs en partie de Gometz (Essonne), Bures et La Ferté-Alais. Leur descendante Alix de Montlhéry apporte vers 1070 Villepreux à son mari Hugues Ier « Blavons » du Puiset (famille issue des Breteuil, vicomtes de Chartres). Leur fils cadet Guy, sire de Villepreux, épouse Liesse vicomtesse d'Étampes et dame de Méréville : leur fils Evrard Ier épouse Julienne héritière de La Ferté-Ernault/Arnaud au XIIe siècle.
  • Les sires du Puiset furent, dans le cadre des croisades, comtes de Jaffa et seigneurs de Bira (al Bîra alias Bîrejik, sur l’Euphrate).
  • Constance de Courtenay, dame de Villepreux (morte en 1231) par son union avec un des petits-fils d'Evrard et Julienne, Guillaume II (fils d'Ernaud Ier), était petite-fille de Louis le Gros et sœur de l'empereur latin de Constantinople, Pierre II de Courtenay. Guillaume et Constance ont trois fils, morts jeunes, et semble-t-il une fille, Alix, qui transmet La Ferté-Arnaud à son mari Hervé de Brezolles (des seigneurs de Châteauneuf-en-Thymerais). Succède à Villepreux le frère de Guillaume : Evrard II, dont les descendants auront Villepreux (notamment à la fin du XIIIe siècle puis au début du XIVe siècle, deux frères sont co-seigneurs de Villepreux : Hervé et Robert, fils d'Evrard III (le fils d'Evrard II), puis leurs propres fils Pierre et Jean). Finalement, ce sont les descendants de Pierre qui porteront Villepreux (et peut-être La Ferté-Arnaud). Pierre "de Villepreux" ou "de La Ferté" était aussi appelé "de Maizelan" (ou Mésalent, Mézelan...), aux alentours de 1300. Il était aussi dit "de Richebourg", du nom de sa première femme, Eve de Richebourg de Civry-la-Forêt.
  • La succession de Pierre vint de son deuxième mariage avec Mahaut de Poissy, sœur de Robert IV de Poissy seigneur de Fresne(s) : leur fille Philippa de Mézelan dame de Villepreux (et aussi de Fresne en partie et de La Ferté-Arnaud ?) épouse Jean de Vendôme-Montoire (branche des seigneurs de La Châtre-sur-le-Loir), d'où Amaury de Vendôme époux de Marie de Dreux, héritière en partie des seigneurs de Châteauneuf-en-Thymerais, vicomtes de Dreux), dame de Dampierre-sur-Blévy à Maillebois, qui lui transmet peut-être La Ferté-Arnaud (à moins que cette dernière vienne de la lignée du Puiset < Mésalent < Vendôme ?). Alors que le fils d'Amaury et Marie, Robert de Vendôme, continue la lignée des sires de La Ferté (renommée La Ferté-Vidame à la suite de son mariage avec Jeanne héritière du vidamé de Chartres), leur fille Jeanne de Vendôme épouse Jean ou Yves de Vieuxpont de Courville, et leur fille Jacqueline de Vieuxpont épouse Jehan Hutin Le Baveux de Garencières, seigneur de Fresne par son premier mariage avec Mathilde de Poissy. Leur fille Jeanne « La Baveuse » transmet Fresne aux d'O, ayant épousé Robert d'O (mort en 1415 à Azincourt), mais elle vend en 1473 Villepreux à Nicolas (La) Balue.
  • Désormais le frère du cardinal Jean de la Balue, celui que l’imagerie populaire représente emprisonné par Louis XI dans une cage suspendue, est seigneur de Villepreux. Lui succèdent au XVIe siècle son fils Jean et son petit-fils Claude. En 1573, la veuve de Claude vend à Albert de Gondi maréchal-duc de Retz. Saint Vincent de Paul vécut longtemps à Villepreux étant précepteur des Gondi, et il y fit venir Louise de Marillac. Les Gondi tiennent Villepreux jusqu'au cardinal de Retz, petit-fils d'Albert, qui vend à Clémence Francini en 1664. Mais celle-ci doit revendre en 1673 à Édouard-François Colbert, comte de Maulévrier, frère du grand Colbert. Villepreux passe ensuite à son fils François-Edouard puis à sa nièce Jeanne-Marie (fille du grand Colbert), épouse de Charles-Honoré d'Albert duc de Luynes et de Chevreuse, qui vend à Louis XIV en 1705.
  • Celui-ci cède en 1706 au neveu de Clémence Francini, Pierre-François Francine (1er comte de Villepreux en 1707). Les Francine (Francini), comtes de Villepreux en 1707, sont les fontainiers du roi, intendants des eaux et fontaines de France et créateurs des jeux d’eau du château de Versailles. François-Henri et Thomas-François, les fils et petit-fils de Pierre-François, sont les 2e et 3e comtes de Villepreux, mais Thomas vend en 1768 à Louis XV. Il vend en 1773 à Didier Mesnard comte de Chouzy, mais Louis XVI retrouve Villepreux dès 1776.

La Haie Bergerie[modifier | modifier le code]

La conception de l'ensemble appelé la « Haie Bergerie » constitue un témoignage d'expérience urbanistique apparue en France au début des années 1960.

Ce quartier fait en effet partie du schéma directeur de la région Île-de-France mis en place par le général de Gaulle et Georges Pompidou en 1966. C'est sous l'égide de Paul Delouvrier que Jacques Riboud entreprend la réalisation du quartier de la Haie Bergerie. Dès sa conception, des artistes (Robert Lesbounit pour les fresques et Gérard Ramon pour les sculptures) ont participé à la décoration de la ville. À une époque où on préférait les collectifs à étages pour les villes, les promoteurs et concepteurs de la Haie Bergerie se sont plutôt inspirés des constructions qui se faisaient en Angleterre, axées sur les maisons individuelles, en essayant de satisfaire l'urbaniste et l'habitant, et ont tenté de corriger les inconvénients liés aux grands ensembles. Des édifices publics ont également été construits, alors qu'ils faisaient souvent défaut dans les grands ensembles.

Afin de réduire les coûts de construction, l'église de Villepreux est encastrée dans des bandes de logements individuels à trois niveaux, l'éclairage de la façade est assuré par des sheds décorés à la manière des vitraux. Le théâtre de 370 m2, encadré par 15 logements individuels, a été construit suivant le même principe. Il peut recevoir 400 spectateurs et être utilisé pour les réunions et les sports couverts (basket, volley-ball). L'hôtel de ville est également conçu suivant les mêmes principes. Les édifices utilitaires sont, à cette époque, souvent disgracieux, c'est pourquoi dans le quartier de la Haie Bergerie une solution fut recherchée pour embellir la vue des passants. Le transformateur de la Haie Bergerie de 175 m2 possède une décoration, de Robert Lesbounit, en bas-relief, réalisé au moyen d'un enduit de ciment épais, découpé et taillé en creux avant d'être peint ton sur ton. Les quatre côtés ont respectivement pour thème : l'Énergie, le Pétrole, la Construction et l'Électricité. Au-delà des lieux de réunion, pour apporter une contribution à la vie de la communauté des cafés combinant la formule du café français et du drugstore américain ont été construits. Le café comporte un bar, une terrasse et un comptoir où sont vendus des objets d'usage courant[25].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

Antérieurement à la loi du [26], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Saint-Germain-en-Laye, après un transfert administratif effectif au . Le , la commune est rattachée à l'arrondissement de Versailles[27].

Rattachements électoraux

Pour l’élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription des Yvelines.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Marly-le-Roi du département de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, elle est rattachée en 1967 au canton de Saint-Nom-la-Bretèche[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton de Saint-Cyr-l'École.

Les personnalités exerçant une fonction élective dont le mandat est en cours et en lien direct avec le territoire de Villepreux sont les suivantes :

Élection Territoire Titre Nom Tendance politique Début de mandat Fin de mandat
Municipales 2020 Commune de Villepreux Maire de Villepreux Jean-Baptiste Hamonic MoDem
Départementales 2015 Canton de Saint-Cyr-l'École Conseillers départementaux Philippe Benassaya et Sonia Brau LR
Législatives 2017 3e circonscription des Yvelines Députée Béatrice Piron LREM

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La ville fait partie avec 11 autres communes de la communauté d'agglomération de Saint Quentin en Yvelines depuis 2016.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Élections présidentielles

Résultats des deuxièmes tours :

Élections législatives

Résultats des deuxièmes tours :

Élections européennes

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections régionales

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections départementales

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections municipales

Résultats des deuxièmes tours ou du premier tour si dépassement de 50 % :

Politique locale[modifier | modifier le code]

Stéphane Mirambeau, élu maire depuis 2008 et, en 2019, le seul maire LREM des Yvelines, a annoncé à l'été 2019 sa mise en retrait pour burn-out[39]. Mis en cause par plusieurs plaintes pour harcèlement sexuel[40], et contesté à l'automne 2019 au sein de son conseil municipal, il annonce qu'il ne briguera pas de troisième mandat[41].

En 2020, Jean-Baptiste Hamonic, issu du MoDem remporte au second tour l'élection municipale. L'ancien maire, battu, ne siège pas au conseil municipal.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1946 Edouard Faure    
1946 mars 1971 Jacques Gillet SFIO puis PS Horticulteur et paysagiste
Conseiller général de Saint-Nom-la-Bretèche (1970 → 1971)
mars 1971 mars 1983 Roland Prédiéri PS Architecte-urbaniste
Conseiller régional d'Île-de-France
mars 1983 juin 1995 Michel Roulin RPR  
juin 1995 octobre 1998
(démission)
Jacques Rohrbacher PS Chef d'entreprise
octobre 1998 mars 2008 Michèle Valladon PS Retraitée de l'Éducation nationale
Première adjointe au maire (1995 → 1998)
Conseillère régionale d'Île-de-France (1998 → 2010)
mars 2008 juillet 2020 Stéphane Mirambeau UMPLR
puis DVD
puis LREM[42]
Cadre supérieur
Vice-président de CA Saint-Quentin-en-Yvelines (2016 → 2020)
juillet 2020[43] ,[44] En cours
(au 4 juillet 2020)
Jean-Baptiste Hamonic MoDem Attaché parlementaire de Bruno Millienne

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

En 2010, la commune de Villepreux a été récompensée par le label « Ville Internet @@ »[45].

En 2011, elle a été récompensée par le label « Ville Internet @@@ »[46] et par le troisième prix des villes fleuries des Yvelines sur les communes de même strate.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Carte
Ville jumelée avec VillepreuxVoir et modifier les données sur Wikidata
Ville jumelée avec VillepreuxVoir et modifier les données sur Wikidata
VillePays
FulpmesAutriche

Ce jumelage est établi depuis 1967[47].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[48],[Note 3].

En 2021, la commune comptait 11 150 habitants[Note 4], en augmentation de 11,5 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
856801805810599690669646638
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
577581588570651716692677693
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
632607641621665710708714853
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2011
2 7146 9268 3777 3988 7769 6019 8359 8599 888
2016 2021 - - - - - - -
10 85811 150-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[49].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,1 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 5 361 hommes pour 5 614 femmes, soit un taux de 51,15 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[50]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
0,7 
4,8 
75-89 ans
7,1 
12,2 
60-74 ans
12,9 
21,7 
45-59 ans
21,5 
19,7 
30-44 ans
20,3 
18,3 
15-29 ans
16,4 
22,7 
0-14 ans
21,2 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[51]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Enseignement[modifier | modifier le code]

École maternelle du Val-Joyeux.

La commune relève de l'académie de Versailles. Les écoles sont gérées par l’inspection générale de l'inspection départementale de l’Éducation nationale de Versailles.

Villepreux reste une commune de taille moyenne dotée d'une quantité adaptée d'écoles maternelles et primaires, de son propre collège et d'un lycée[réf. nécessaire] :

  • Enseignement primaire
    • Écoles maternelles : 3
    • Écoles primaires : 4
  • Enseignement secondaire

Des sections internationales sont également implantées à Montigny-le-Bretonneux (École japonaise de Paris), Saint-Germain-en-Laye (Lycée international de Saint-Germain-en-Laye) et Buc (Lycée franco-allemand de Buc). Les établissements universitaires sont situés à Paris et Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines.

Sports[modifier | modifier le code]

  • Villepreux football club[52]

Économie[modifier | modifier le code]

  • Ville à dominante résidentielle
  • Les commerces de proximité et le marché, dit « marché de la Plaine », donnent à la ville un attrait particulier, à moins d'une heure de Paris.
  • Entreprises du secteur tertiaire et activités « vertes » (équitation, gastronomie, arts de la table, etc.).
  • Agriculture (grande culture céréalière).

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le pavillon d'entrée du château des Gondi.
Le château de Grand'Maisons.
Le hangar agricole de Grand'Maisons.
Construit à partir de 1720 pour la famille Francini, créateurs des jeux d’eau de Saint-Germain-en-Laye, Fontainebleau et Versailles  ; il fut achevé au XIXe siècle.
  • Le château des Gondi.
De l'ancien château du XVIIe siècle ayant appartenu à la famille Gondi ne reste plus que la grille et un pavillon d'entrée à la Mansart.
Il est reconstruit en 1885 par Georges Nagelmackers, directeur de la Compagnie internationale des wagons-lits.
  • La ferme de Grand'Maisons.
C'est aujourd'hui un centre de séminaires.
Située dans le vieux village, ancienne demeure à encorbellement et colombages, elle fut la deuxième maison des Filles de la Charité, fondée par Saint Vincent de Paul et est aujourd'hui un lieu d'expositions, d'animations et de rencontres.
Construite entre 1964 et 1968 par les architectes urbanistes Jacques Riboud et Roland Prédiéri. Son décor de façade en sgraffite est dû à Robert Lesbounit ; il met en scène la vie de saint Vincent de Paul[59].
  • Statuettes de la rue Pierre-Curie.
Au-dessus de l'ancienne boulangerie, la statuette de saint Honoré, patron des boulangers et, en face, celles de saint Côme et saint Damien, martyrs chrétiens décapités à Tyr, respectivement patrons des chirurgiens et des pharmaciens.
  • Plusieurs fresques de Robert Lesbounit faites dans les années 1960 sur certains bâtiments ou carrefours publics dispersées dans les quartiers de l'époque (Haie Bergerie, Marché, etc.).
  • Hangar agricole cylindrique, Logo monument historique Inscrit MH (2010)[60].
Construction en voile de béton armé posé sur un unique appui central (1953) d'Alfred Hardy.
  • L'« Orme à la blonde », situé à proximité immédiate de l'hôtel de ville, était un arbre sous lequel le roi François Ier rencontrait, nous dit-on, une de ses maîtresses, une jeune femme blonde[réf. nécessaire].
  • La commune dispose de deux cimetières : l'ancien, près de la mairie, en face duquel se trouve le monument aux morts, et le cimetière du Val-de-Gally[61].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Square Guillaume-Colletet.
  • Georges Bonjean (1848-1918), juge et philanthrope, mort en cette ville où il fonde à partir de 1912 « La Jeune France », œuvre sociale et artistique, sur un vaste domaine, La Villa Médicis Libre.
  • Stanislas Brunet, professionnel de l'animation, a passé son enfance à Villepreux.
  • Guillaume Colletet (1598-1659), poète. Il possédait un petit domaine au hameau du Val-Joyeux[62],[63]. Un square porte son nom depuis 2000, inauguré par Pierre Rosenberg, titulaire, comme Guillaume Colletet, du fauteuil no 23 de l'Académie française.
  • La famille des Francini, créateurs des jeux d’eau de Saint-Germain-en-Laye, Fontainebleau et Versailles.
  • Charles Géronimi (1895-1918), international français de football, né à Villepreux, mort à Souilly (Meuse) le (1 sélection le contre le Luxembourg)
  • Emmanuel de Gondi.
  • Joseph Guinard (1770-1839), député au Conseil des Cinq-Cents, né et mort à Villepreux.
  • Robert Lesbounit (1904-1989), peintre et sculpteur. Il avait son atelier à Saint-Julien-du-Sault proche de Joigny et du château des Gondi ou Vincent de Paul était précepteur des enfants de Philippe Emmanuel de Gondi, comte de Joigny, général des galères.
  • Georges Nagelmackers (1845-1905), créateur de la Compagnie internationale des wagons-lits, fit construire le nouveau château de Villepreux ; il y est décédé.
  • Alexandre Okinczyc (1839-1886), médecin des pauvres ; il y mourut.
  • Roland Prédiéri, (1927-2020), architecte et urbaniste français il a assisté Jacques Riboud et participé aux développement de Villepreux, Maurepas et Donges, où il a conçu les maisons du quartier de Trélagot qui seront assemblées par les habitants eux-mêmes.
  • Jacques Riboud Industriel, créateur de l'Ecu, il fut aussi urbaniste et promoteur notamment du quartier de la Haie bergerie.
  • Auguste Bertin de Veaux (1799-1879), général, y est mort.
  • Saint Vincent de Paul fut précepteur dans la famille d'Emmanuel de Gondi dans l'ancien château de Villepreux et habita à Villepreux (1607-1617 ?).
  • Joseph Bohdan Zaleski (1802-1886), poète romantique polonais ; il y mourut.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Villepreux

Les armes de Villepreux se blasonnent ainsi :
écartelé, au premier et au quatrième de gueules aux trois besants d'argent, au deuxième et troisième d'or aux deux masses d'armes de sable passées en sautoir, liées de gueules.

Ce blason est constitué à partir des armes de la famille de Gondi (d'or, à deux masses d'armes de sable, passées en sautoir et liées de gueules)[64] et de celles de Guillaume de Villepreux - XIIIe siècle (de gueules à trois besants d'argent)[65].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Villepreux
  • Villepreux 1867-1886 : Alexandre Okinczyc, son médecin des pauvres, Association de défense du vieux Villepreux (ADVV), 1989, (ISBN 2-9504166-0-8).
  • Michel Roulin et Janine Michondard, Villepreux, un siècle d’images, Ville de Villepreux, 1993.
Yvelines
Administration
  • Agence Karine Ruelland et Agence Trans-Faire environnement, Commune de Villepreux. Plan local d’urbanisme (PLU). Justifications du projet et incidences sur l’environnement, (lire en ligne).
  • DAT Conseils Georgette Tacquard, Guide patrimonial et paysager pour la gestion du site classé de la plaine de Versailles, DRIEE Île de France, (lire en ligne).
  • Marie Naurois, « Plaine de Versailles : quelle gouvernance après la réforme territoriale ?. », Pour, vol. 2, nos 209-210,‎ (DOI 10.3917/pour.209.0205, lire en ligne).
Autres
  • Marie-Joëlle Guillaume, Vincent de Paul, EDI8, (lire en ligne)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b DAT Conseils Georgette Tacquard 2011, p. 6.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Villepreux et Trappes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Trappes » (commune de Trappes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Trappes » (commune de Trappes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  17. [PDF]Fiche communale d'occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) sur le site cartoviz.iau-idf.fr
  18. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, Genève, 1991, p. 1428 (lire en ligne) [1]
  19. a b et c Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, préface de Paul-Louis Tenaillon, Librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328), page 242.
  20. a b c d e f g et h Ernest Nègre, op. cit..
  21. Site du CNRTL : étymologie de pierreux
  22. a et b Jean Lebeuf, Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris, vol. 5, Culture et civilisation, , p. 351.
  23. « Villepreux et ses 34 seigneurs ».
  24. « Villepreux », sur Société d'Histoire de Villepreux.
  25. Expérience d'Urbanisme provincial, de Jacques Riboud, préface de Louis Armand de l'Institut, Éditions Mazarine, Paris, 1961.
  26. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  27. « Villepreux », Code officiel géographique, INSEE, (consulté le ).
  28. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. « Résultat de l'élection présidentielle de 2012 à Villepreux », sur le site du ministère de l’intérieur.
  30. « Résultat de l'élection présidentielle de 2017 à Villepreux », sur le site du ministère de l’intérieur.
  31. « Résultat de l'élection législative de 2012 à Villepreux », sur le site du ministère de l’intérieur.
  32. « Résultat de l'élection législative de 2017 à Villepreux », sur le site du ministère de l’intérieur.
  33. « Résultat de l'élection européenne de 2014 à Villepreux », sur le site du ministère de l’intérieur.
  34. « Résultat de l'élection européenne de 2019 à Villepreux », sur le site du ministère de l’intérieur.
  35. « Résultat de l'élection régionale de 2015 à Villepreux », sur le site du ministère de l’intérieur.
  36. « Résultat de l'élection départementale de 2015 à Villepreux », sur le site du ministère de l’intérieur.
  37. « Résultat de l'élection municipale de 2014 à Villepreux », sur le Monde.
  38. « Résultat de l'élection municipale de 2020 à Villepreux », sur le Monde.
  39. Aurélie Foulon, « Villepreux : en burn-out, le maire se met en retrait : Son premier adjoint Thierry Essling assurera l’intérim de Stéphane Mirambeau le temps de sa convalescence », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. R.Bx. avec AFP, « Yvelines : le maire de Villepreux visé par une enquête pour harcèlement sexuel : Le maire de Villepreux, Stéphane Mirambeau, avait lié son départ à un « burn-out ». L’élu est visé par deux plaintes de femmes », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  41. Sébastien Birden, « A Villepreux, la majorité municipale, dirigée par le seul maire LREM des Yvelines, en plein chaos : Une violente crise s’est installée à Villepreux où Stéphane Mirambeau, le seul maire LREM des Yvelines, est aujourd’hui totalement isolé. Il ne briguera pas un troisième mandat », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  42. Corentin Lesueur, « Villepreux : le maire se met En Marche : Stéphane Mirambeau vient d’annoncer son ralliement au parti d’Emmanuel Macron… et sa candidature aux municipales de 2020 », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « 17 mois. C’est le temps qu’il a fallu au maire, jusqu’ici catalogué « divers droite », de Villepreux pour rendre public son adhésion au parti LREM (La république en marche) ».
  43. Sébastien Birden, « Villepreux : Jean-Baptiste Hamonic dans la course à la mairie : Le délégué départemental du MoDem est candidat dans sa ville à la tête d’une liste « plurielle », dans laquelle on retrouve onze élus sortants », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Initialement, c'est en effet Stéphane Mirambeau, le maire LREM sortant, qui aurait dû porter la liste. Mais l'eau coulée ces derniers mois sous les ponts a finalement eu raison de l'élu, accusé de harcèlement sexuel et complètement lâché par l'ancienne majorité ».
  44. Yves Fossey, « Poursuivi pour harcèlement sexuel, le maire sortant de Villepreux démissionne du conseil municipal : Sévèrement battu lors du second tour, Stéphane Mirambeau ne siégera pas au conseil municipal. Jean-Baptiste Hamonic, 28 ans, a été élu maire », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Au terme d'une campagne tendue, Jean-Baptiste Hamonic (MoDem), 28 ans, a remporté le scrutin avec 55,7 % des voix. Il a été élu maire, ce samedi, avec 31 voix sur 33 -deux bulletins blancs ont été déposés. Sa majorité compte 27 élus ».
  45. Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 19/12/2009.
  46. Palmarès 2011 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 19/12/2009.
  47. Städtepartnerschaft Site web de la commune de Fulpmes, consulté le 5 avril 2019.
  48. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  49. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  50. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Villepreux (78674) », (consulté le ).
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  52. http://www.villepreuxfc.com Club de football amateur
  53. « Objets mobiliers de l'église », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  54. Patrice Darras, « Mémoire concernant l'intérêt patrimonial et la sauvegarde des collections du château de Villepreux – La Tribune de l'Art », sur La Tribune de l'Art, (consulté le ).
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  56. « Château de Grand'Maison », notice no PA00087783, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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  58. « Église Saint-Vincent-de-Paul », notice no PA78000486, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  59. « Villepreux. L'église Saint-Vincent-de-Paul rejoint les Monuments historiques », sur lagazette-sqy.fr, (consulté le ).
  60. « Hangar agricole de Grand'Maisons », notice no PA78000031, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  61. « Infos pratiques », sur villepreux.fr (consulté le ).
  62. Antoine Adam, Histoire de la littérature française au XVIIe, volume 1, 1997, p. 349-352.
  63. Société d'histoire de Villepreux.
  64. Michel Popoff et préface d'Hervé Pinoteau, Armorial de l'Ordre du Saint-Esprit : d'après l'œuvre du père Anselme et ses continuateurs, Paris, Le Léopard d'or, , 204 p. (ISBN 2-86377-140-X).
  65. Armoiries de Villepreux - Société d'Histoire et d'Archéologie de Villepreux et du Val de Gally.