Gagny — Wikipédia

Gagny
Gagny
L'hôtel de ville.
Blason de Gagny
Blason
Gagny
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-Saint-Denis
Arrondissement Le Raincy
Intercommunalité Métropole du Grand Paris
EPT Grand Paris - Grand Est
Maire
Mandat
Rolin Cranoly (LR)
2020-2026
Code postal 93220
Code commune 93032
Démographie
Gentilé Gabiniens
Population
municipale
40 189 hab. (2021 en augmentation de 1,48 % par rapport à 2015)
Densité 5 884 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 53′ 00″ nord, 2° 32′ 00″ est
Altitude Min. 37 m
Max. 120 m
Superficie 6,83 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Gagny
(bureau centralisateur)
Législatives 8e circonscription de la Seine-Saint-Denis
Localisation
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Gagny
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Gagny
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Gagny
Liens
Site web https://www.gagny.fr/

Gagny est une commune française située dans le département de la Seine-Saint-Denis en région Île-de-France[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
Localisation de Gagny dans la petite couronne.
Localisation de Gagny dans la petite couronne.
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes ; 5 : localisation de Gagny dans la petite couronne.

Gagny est une ville située à 10 km à l'est de Paris (de la porte de Pantin ou de la porte de Bagnolet).

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 681 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Neuilly-sur-Marne à 3 km à vol d'oiseau[4], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 721,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records NEUILLY-SUR-M. (93) - alt : 45m, lat : 48°51'37"N, lon : 2°32'58"E
Records établis sur la période du 01-01-1981 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,1 1,9 4 6,2 9,8 13,1 15,1 14,7 11,2 8,5 5 2,6 7,8
Température moyenne (°C) 4,9 5,4 8,5 11,5 15,1 18,4 20,7 20,4 16,6 12,7 8,1 5,4 12,3
Température maximale moyenne (°C) 7,7 9 13,1 16,8 20,4 23,8 26,2 26,2 22 16,9 11,3 8,1 16,8
Record de froid (°C)
date du record
−17
17.01.1985
−12,5
08.02.1991
−9,5
13.03.13
−4,3
06.04.21
−0,6
06.05.19
4
04.06.01
7,5
31.07.15
5
30.08.1986
1,5
30.09.18
−4,5
30.10.1997
−8,7
24.11.1998
−8,9
29.12.1996
−17
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16,6
28.01.02
21,4
27.02.19
26,9
31.03.21
29,9
20.04.18
33,1
27.05.05
38,3
27.06.11
42,5
25.07.19
40,5
12.08.03
36,3
08.09.23
29,7
03.10.11
22,5
08.11.15
18
07.12.00
42,5
2019
Précipitations (mm) 57,7 50,6 51,5 50,2 72,4 62,4 64,4 60,4 52,2 60,5 62,8 76,1 721,2
Source : « Fiche 93050001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Carte des quartiers.

Typologie[modifier | modifier le code]

Gagny est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[11] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 16 555, alors qu'il était de 16 132 en 2014 et de 15 862 en 2009[I 1].

Parmi ces logements, 93,6 % étaient des résidences principales, 0,7 % des résidences secondaires et 5,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 46,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 53,1 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Gagny en 2019 en comparaison avec celle de la Seine-Saint-Denis et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,7 %) inférieure à celle du département (1,1 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 58,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (60,8 % en 2014), contre 38,9 % pour la Seine-Saint-Denis et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Gagny en 2019.
Typologie Gagny[I 1] Seine-Saint-Denis[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 93,6 92,9 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,7 1,1 9,7
Logements vacants (en %) 5,7 6 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Gare RER du Chénay-Gagny.

La commune est desservie par deux gares du RER (RER)(E) : Gagny et Le Chénay-Gagny.

La ville est aussi desservie par plusieurs lignes de bus des réseaux RATP, Transdev TRA et Terres d'Envol en journée et Noctilien la nuit.

De plus, une navette municipale est mise à la disposition des voyageurs. Elle emprunte deux circuits : l'itinéraire 1 qui dessert la partie sud du territoire communal et l'itinéraire 2, le nord.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Ganiacum, Gaigniacum, Cavaniacum au VIe siècle[16] et en 632, Waniacum ou Waniacus au IXe siècle, Guenniacum en 1228, Guagniacum en 1228, Guagnicum, Gaignia-cum, Guaniacum sous Philippe Auguste, Guegni et Gaigny au XIIIe siècle, Guengni[17].

La villa Ganniacum s'étirait entre la vallée de la Marne et les pentes de Montfermeil, et appartenait à Ganiaco ou Gannios.

Histoire[modifier | modifier le code]

Un taxi de la Marne, Gagny.
Château de Montguichet, à Gagny-Franceville, début du XXe siècle.

Prieuré fondé au XIe siècle par Adèle de Champagne. Seigneurie d'Étienne de Gagny, époux de Béatrice de Montfermeil au XIIIe siècle. Ce prieuré perdura jusqu'en 1771, date de sa suppression par l'autorité religieuse. L'église est du XIIIe siècle.

Gagny avait plusieurs châteaux, dont le plus important, démoli en 1765, appartenait à Dominique de Ferrari, maître d'hôtel ordinaire du roi (1660). Dans ce parc, on pouvait trouver la source Saint-Fiacre, qui alimentait en eau le parc du Raincy, à la fin du XVIIIe siècle.

Le château de Maison-Rouge, de style Louis XIII, est successivement la propriété de Hocquart, marquis de Montfermeil, puis en 1845 de Louis-Philippe, roi des Français, puis en 1864 de Michel-Victor Cruchet, sculpteur et ornemaniste a Paris, en 1894, quelque temps après la mort de son épouse, Michel-Victor Cruchet et ses deux enfants vendent le domaine de Maison Rouge à la communauté religieuse des Rédemptoristes (sœurs Boué). Les Rédemptoristes y installent alors un couvent, Il est ensuite racheté en 1913 par les sœurs d'Étreillis, couturières de renom. À la mort de la deuxième d’entre elles, en 1953, il est acquis par la Ville. Il fut saccagé à la fin de la Seconde Guerre mondiale, abandonné le château a été démoli en 1955.

Durant la Révolution française, l'église, après avoir été désaffectée, est transformée en temple de la Raison.

Gagny est occupé à la fin de l'épopée napoléonienne par les troupes Alliées en 1814-1815, puis par les Prussiens lors du siège de Paris de 1870.

Le , une petite partie du territoire de Gagny est prélevée et adjointe à une partie du territoire de Livry-Gargan et aussi une partie du territoire de Clichy-sous-Bois, pour créer la commune du Raincy.

Épisode des taxis de la Marne : pendant la Première Guerre mondiale (1914-1918) les taxis réquisitionnés à Paris et sa banlieue sont rassemblés devant la mairie.et transportent les soldats jusqu'au front (à proximité de Nanteuil-le-Haudouin) pour repousser l'offensive allemande de la première bataille de la Marne. Un exemplaire du Taxi de la Marne acquis par la Ville est exposé en permanence sur la place Foch dans un écrin de verre.

Maison Blanche[modifier | modifier le code]

Château de Maison-Blanche.

Ce quartier, situé au sud de Gagny et à l'ouest de Chelles, possède au XIXe siècle un grand nombre de villas avec parc. Lors de la guerre franco-allemande de 1870, il est un haut lieu des combats du siège de Paris de 1870. On peut y voir un château restauré et un lac du même nom.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

Jusqu’à la loi du 10 juillet 1964[18], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais à la Seine-Saint-Denis et à son arrondissement du Raincy après un transfert administratif effectif le .

Elle faisait partie de 1801 à 1882 du canton de Gonesse, année où elle est intégrée au Canton du Raincy de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place de la Seine-Saint-Denis, elle devient en 1967 le chef-lieu du canton de Gagny[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Gagny

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la huitième circonscription de la Seine-Saint-Denis.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[20].

Dans le cadre de la mise en place de la métropole du Grand Paris, la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du (Loi NOTRe) prévoit la création d'établissements publics territoriaux (EPT), qui regroupent l'ensemble des communes de la métropole à l'exception de Paris, et assurent des fonctions de proximité en matière de politique de la ville, d'équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs, d'eau et assainissement, de gestion des déchets ménagers et d'action sociale.

La commune a donc également été intégrée le à l'établissement public territorial Grand Paris - Grand Est[21]. Jusqu'à cette date, la commune n'était membre d'aucune intercommunalité.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans la Seine-Saint-Denis, la liste UMP-UDI menée par le maire sortant Michel Teulet a obtenu la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 6 840 voix (61,88 %, 32 conseillers municipaux élus), devançant très largement les listes menées respectivement par[22] :
- Aurélien Berthou (EELV-PS-PCF, 3 245 voix, 29,35 %, 6 conseillers municipaux élus) ;
- Jean-François Thevenot (DVG) 968 voix, 8,75 %, 1 conseiller municipal élu).
Lors de ce scrutin, 49,06 % des électeurs se sont abstenus.

Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans la Seine-Saint-Denis, la liste LR - SL menée par le maire sortant Rolin Cranoly — qui a succédé à Michel Teulet en 2019 après son décès — a obtenu la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 4 452 voix (58,51 %, 31 conseillers municipaux élus, dont 1 métropolitain), devançant très largement les listes menées respectivement par[23],[24] :
- Guillaume Fournier (DVD, 1 875 voix, 24,64 %, 5 conseillers municipaux élus) ;
- Lydia Hornn (PRG - EÉLV - GRS - LFI - PCF - PS - G·s, 1 281 voix, 16,83 %, 3 conseillers municipaux élus.
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 64,01 % des électeurs se sont abstenus.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Compte tenu de l'importance de la population de la commune, le conseil municipal est composé de 39 élus, dont le maire et ses adjoints[25] .

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs depuis la Libération[26]
Période Identité Étiquette Qualité
23 novembre 1944 24 octobre 1947 Émile Fontaine PCF Résistant
24 octobre 1947 20 mars 1959 Xavier Monteny MRP Colonel
20 mars 1959 26 mars 1977 Raymond Valenet[30] UD-Ve puis UDR
puis RPR
Directeur des plâtrières de Livry-Gargan
Député de Seine-et-Oise (11e circ.) (1962 → 1967)
Député de Seine-Saint-Denis (9e circ.) (1967 → 1978)
Conseiller général du Raincy (1961 → 1967)
Conseiller général de Gagny (1967 → 1978)
26 mars 1977 19 mars 1983 Claude Favretto PCF Conseiller général de Gagny (1979 → 1980)
19 mars 1983 18 juin 1995[31] Jean Valenet RPR Directeur du Parc des Princes
Conseiller régional d'Île-de-France (1986 → 1998)
18 juin 1995[32] 24 juillet 2019[33] Michel Teulet[34] RPR puis
UMPLR
Haut-fonctionnaire
Conseiller général de Gagny (1985 → 2015)
Président (2016 → 2019[35]) puis vice-président (2019) de
l'EPT Grand Paris - Grand Est
Décédé en fonction
4 août 2019[36] En cours
(au 6 juillet 2022)
Rolin Cranoly[37] LR Responsable activités de marché
Vice-président de l'EPT Grand Paris - Grand Est (2020 → )
Conseiller départemental de Gagny (2021[38] → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[39]

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

Depuis 2002, la ville de Gagny a quatre fleurs au concours des villes et des villages fleuris de France[40],[41].

Jumelages[modifier | modifier le code]

La commune est jumelée avec[42] :

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école primaire Lavoisier.

Gagny dispose des écoles maternelles suivantes[43]  :

  • École La Fontaine
  • École Louis-Pasteur
  • École Jules-Ferry
  • École Lamartine
  • École Victor-Hugo
  • École Émile-Cote
  • École Louise-Michel
  • École Blaise-Pascal
  • École Michel-Montaigne

Les écoles primaires sont[43] :

  • École Antoine-de-Saint-Exupéry
  • École Blaise-Pascal
  • École Émile-Cote
  • École Lavoisier
  • École Victor-Hugo
  • École Paul-Laguesse
  • École Louis-Pasteur
  • École Charles-Péguy
  • École Marius-Morin
  • École Merkaz Hatorah (Privé)
  • École Sainte Jeanne d'Arc (Privé)

Less collèges de Gagny sont les suivants[44] :

  • Collège Madame-de-Sévigné[Note 4]
  • Collège Pablo-Neruda
  • Collège Théodore-Monod
  • Collège Merkaz Hatorah (Privé)

Les lycées suivants se trouvent à Gagny[45] :

  • Lycée Gustave-Eiffel
  • Lycée Professionnel Jean-Baptiste-Clément
  • Lycée Merkaz Hatorah (Privé).

Équipements culturels[modifier | modifier le code]

Théâtre et cinéma André-Malraux.

La ville met à la disposition de ses habitants quatre espaces culturels, qui offrent de nombreux spectacles tout au long de l'année[46] :

Santé[modifier | modifier le code]

Depuis quelques années[C'est-à-dire ?], Gagny abrite une maison de retraite La Cerisaie[47], un centre médico-social, un centre municipal de santé, un centre de radiologie et un laboratoire d’analyses médicales. En 2006, la commune comptait 22 médecins généralistes, 21 médecins spécialistes, 16 auxiliaires médicaux et 13 pharmacies. La ville est rattachée à l’hôpital intercommunal de Montfermeil.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[48],[Note 5].

En 2021, la commune comptait 40 189 habitants[Note 6], en augmentation de 1,48 % par rapport à 2015 (Seine-Saint-Denis : +4,77 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8287316757989039109489931 084
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1201 3471 4871 7351 9542 3583 0073 2363 670
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
4 0574 9545 9206 7369 73613 25313 49513 78317 255
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
29 00435 78036 77234 86136 05936 71537 72939 37839 148
2021 - - - - - - - -
40 189--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[49].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports[modifier | modifier le code]

La ville abrite une école de perfectionnement multi-sports, offrant de nombreuses activités sportives : expression corporelle, football, gymnastique, judo, roller, tae kwon do, tennis, tennis de table et V.T.T. La section cyclisme de l'Union sportive municipale organise chaque année une braderie du vélo et une bourse aux vélos. La commune est également le siège de l'Association sportive culturelle francophone de Gagny.

Cultes[modifier | modifier le code]

Le Centre Notre-Dame.

Les Gabiniens disposent de lieux de culte catholique, israélite, musulman, orthodoxe et protestant.

  • Culte catholique:
  • Culte israélite :
    • Synagogue consistoriale du Raincy-Villemomble-Gagny
    • Communauté Merkaz Hatorah - Kehilat Yaacov
    • Association consistoriale israélite
    • Association culturelle israélite Clichy-Montfermeil
  • Culte musulman :
    • salle de prière des Dahlias (Association alqalam des Dahlias) ;
    • salle de prière des Peupliers (Association As-Salam) ;
    • salle de prière du Chénay (Association ABCG).
Les mosquées de Gagny sont fédérées par l'UAMG[53]

Le cimetière du Centre et le cimetière de l'Est sont les deux lieux de sépulture communaux.

Économie[modifier | modifier le code]

En bordure du Raincy, d'anciennes carrières où était prélevé le gypse depuis le XVIIe siècle sont toujours visibles. L'exploitation du plâtre fin, dit « de Paris », fut la principale industrie gabinienne jusqu'aux années 1950. Les anciennes carrières Mussat cessèrent leur activité en 1965.

Dès la fin du XIXe siècle, dans certaines carrières désaffectées, on cultivait déjà les champignons de Paris.

Les ex-carrières de Gagny : carrière de gypse remplacée par un grand projet de centre commercial, lui-même remplacé par le bois de l'étoile, une plantation d'arbres. Ce changement radical fait suite à un procès, car la carrière était inconstructible.

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 34 357 [54].

Emploi[modifier | modifier le code]

La ville de Gagny atteignait 36 715 habitants (17 618 hommes et 19 097 femmes) durant le recensement de 1999, la population active comptant 18 027 personnes. Sur cette population active, 14 680 habitants étaient salariés, 1 231 exerçaient une profession à leur compte et 2 058 habitants cherchaient un emploi. Le taux de chômage était relativement faible : 11,4 %, contre 14,1 % pour l’arrondissement et 17,2 % pour le département. Parmi ceux qui avaient un emploi, une petite minorité, 2 158, travaillaient dans la commune ; 13 753 partaient travailler à l’extérieur.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La place Foch, la Mairie, le taxi de la Marne et l'église Saint-Germain.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts et la stèle sous laquelle reposent les cendres de déportés prélevées dans les camps de la mort.
La promenade de la Dhuys était déjà appréciée au début du XXe siècle.

De nombreux parcs et jardins peuvent être visités :

  • l'aqueduc de la Dhuis ;
  • le lac de la Maison-Blanche ;
  • le mail du Chénay ;
  • le parc du château de la Maison-Blanche ;
  • le parc de Gustave-Courbet, rue Contant ;
  • le ru Saint-Roch ;
  • les squares de la place Foch ;
  • le square des Collines ;
  • les étangs de Maison-Rouge ;
  • le parc de l'Hôtel-de-Ville ;
  • l'arboretum du Bois de l'Étoile, chemin du Bois de l'Étoile ;
  • les Jardins des Dahlias (jardins communautaires).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Paul-Adrien Gouny (1852-1926), architecte français, vécut et est mort dans la commune.
  • Marie de Rohan, duchesse de Chevreuse, passa les dernières années de sa vie au château de Maison-Rouge.
  • Domicile d'Antoine Chassepot, inventeur du fusil Chassepot. Se chargeant par la culasse, ce fusil fut grandement utilisé par l'armée française.
  • Valérie Nicolas, ancienne gardienne de but de l'équipe de France féminine de handball, a commencé sa carrière à l'USM Gagny, le club de handball de la ville.
  • Roger Coquoin (Gagny 1897 - Paris 1943), alias Lenormand, résistant, responsable de l'Armée Secrète (AS) pour la région P (Paris), Compagnon de la Libération[58], assassiné par la Gestapo le 29 décembre 1943 à Paris
  • Michel-Victor Cruchet, sculpteur et ornemaniste, il a exercé des fonctions au sein de la paroisse de Gagny. Il y a dirigé le conseil de fabrique, une institution chargée du financement de l’entretien d’une église et de ses biens. C’est sous sa direction que fut construit en 1872 l'autel de l'église de Gagny.
  • Michel Teulet, homme politique français ayant travaillé durant de longues années auprès du cabinet de Jacques Chirac à Matignon et à l'hôtel de Ville de Paris lorsque ce dernier était Premier Ministre et Maire de Paris. Né à Gagny, il en a été le maire de juin 1995 jusqu'à son décès en juillet 2019.
  • Manuel Ferrara, acteur pornographique et réalisateur de films X français. Né au Raincy mais grandit a Gagny
  • Jean-Pierre Mussat (1920-2010), skieur alpin français, natif de Gagny ;
  • Yves Mussat (1921-1995), skieur alpin français, natif de Gagny ;

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Gagny Blason
Écartelé : au premier et au quatrième bandé d'or et d'azur, au deuxième et au troisième d'azur à la fleur de lys d'or ; sur le tout de gueules aux trois roues d'automobile d'argent[59]
Devise
Exierunt mille ad victoriam (Ils partirent mille vers la victoire)
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. À la suite de la révocation de l'ensemble des élus du Parti communiste français en vertu de ce décret pris en réaction au pacte germano-soviétique, les maires communistes sont remplacés par une délégation spéciale.
  4. C’est dans cet établissement qu’a été tourné le film Les Beaux Gosses sorti en 2009.
  5. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2019 à Gagny » (consulté le ).
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  4. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la Seine-Saint-Denis » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

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  18. Journal officiel, Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant sur la réorganisation de la région parisienne.
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  21. Décret n° 2015-1662 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Noisy-le-Grand sur Légifrance.
  22. Résultats officiels pour la commune Gagny
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  32. « Les nouveaux maires tout frais sortis des urnesPedigree express des élus franciliens qui entrent pour la première fois à l'hôtel de ville », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Gagny: Michel Teulet, 53 ans, a devancé Jean Valenet (également RPR), dont il était l'adjoint ».
  33. Sébastien Thomas, « Gagny : le maire Michel Teulet est décédé : Agé de 78 ans, l’élu LR était à la tête de la commune depuis 1995 », Le Parisien, édition Seine-Saint-Denis,‎ (lire en ligne, consulté le ) « L'homme a indiscutablement marqué l'histoire de la Seine-Saint-Denis. Élu, en 1983, premier adjoint à Gagny, il devient maire en 1995 et sera réélu sans discontinuer jusqu'à aujourd'hui. Il a été également conseiller général de 1985 à 2015 ainsi que président du territoire du Grand Paris Grand Est de janvier 2016 à mai 2019. Il fut président de l'association des maires d'Ile-de-France (Amif) de 2010 à 2015 ».
  34. B.S. avec les journalistes du Parisien 93, « Municipales en Seine-Saint-Denis : revivez la soirée du premier tour », Le Parisien, édition de Seine-Saint-Denis,‎ (lire en ligne, consulté le ) « 00 heures. Michel Teulet (UMP) réélu à Gagny avec 61,9 % des voix ».
  35. Sébastien Thomas, « Claude Capillon, élu président de Grand Paris Grand Est : Le maire (LR) de Rosny-sous-Bois, succède à la tête du territoire à Michel Teulet, qui avait démissionné », Le Parisien, édition de Seine-Saint-Denis,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. V.B. (avec S.T.), « Rolin Cranoly est le nouveau maire de Gagny : L'adjoint aux affaires scolaires succède à Michel Teulet, décédé le 24 juillet à l’âge de 78 ans. Sa mission : terminer le mandat de son prédécesseur avant les élections de mars 2020 », Le Parisien, édition de Seine-Saint-Denis,‎ (lire en ligne, consulté le ) « C'est a priori le seul maire ultramarin d'Ile-de-France. Rolin Cranoly (DVD), 43 ans, guadeloupéen, installé dans la commune depuis 1999, a été élu maire de Gagny, ce dimanche. Il succède à Michel Teulet (LR) décédé , le 24 juillet, d'une leucémie foudroyante à l'âge de 78 ans. Ses obsèques ont été célébrées mercredi dernier. Élu depuis onze dans cette ville de quelque 39 000 habitants, maire adjoint aux affaires scolaires jusqu'alors, Rolin Cranoly, seul candidat pour cette période transitoire avant les élections municipales de mars 2020, a recueilli 29 voix (7 contre, un élu n'a pas pris part au vote) du conseil complété par Roland Ferreira ».
  37. « Rolin Cranoly », Le maire et les élus, sur gagny.fr, (consulté le ).
  38. Dorine Goth, « Élections départementales en Seine-Saint-Denis : qui sont les 19 nouveaux élus ? : Après les élections départementales de dimanche 27 juin 2021, 19 nouveaux conseillers départementaux feront leur entrée au sein de l'assemblée. Qui sont-ils ? », Actu Seine-Saint-Denis,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  39. « Rolin Cranoly, premier Guadeloupéen élu maire d’une grande ville d'Île de France : Le 25 mai 2020, le nouveau conseil municipal s’est réuni et a réélu son Maire avec 31 voix sur 39. Ce sont ses deux enfants, Mathilde et Noah qui ont eu l’honneur de lui passer son écharpe de Maire », France-Antilles,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  46. Les loisirs à Gagny
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  49. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  50. Église Sainte-Thérèse
  51. Église Saint-Germain
  52. Le site des clochers de la France: Gagny
  53. uamgagny.fr.
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  56. « Ensemble de six verrières figurées : Vierge à l'Enfant, saint Joseph, saints et saintes de France (baies 1, 2, 3, 4, 9, 10) », notice no IM93000117, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  57. « Ensemble de six verrières figurées : la Vierge, Jésus bénissant les enfants, [[Noces de Cana]], saint Pierre, saint Jean, saint Jacques et saint François d'Assise (baies 5, 6, 7, 8, 11, 12) », notice no IM93000118, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  58. Fiche biographique sur le site de l'Ordre de la Libération
  59. http://www.labanquedublason2.com/lecture_fiche_commune.php3?page=f93032

Annexes[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • A.E. Fossard et A.Hurtret (illustrateur), Le Raincy dans le passé et le présent : essai de monographie cantonale, Noisy-le-Grand, Chez l'auteur, , 177 p. (lire en ligne), p. 47-57, lire en ligne sur Gallica.
  • Georges Guyonnet (préf. Frantz Funck-Brentano), Naguère village, aujourdh'hui ville : Gagny, Auxerre, , 238 p. (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]