Villar-Saint-Pancrace — Wikipédia

Villar-Saint-Pancrace
Villar-Saint-Pancrace
La chapelle Saint-Pancrace.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Hautes-Alpes
Arrondissement Briançon
Intercommunalité Communauté de communes du Briançonnais
Maire
Mandat
Sébastien Fine
2020-2026
Code postal 05100
Code commune 05183
Démographie
Population
municipale
1 449 hab. (2021 en diminution de 0,55 % par rapport à 2015)
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 52′ 25″ nord, 6° 37′ 40″ est
Altitude Min. 1 160 m
Max. 2 903 m
Superficie 42,53 km2
Unité urbaine Briançon
(banlieue)
Aire d'attraction Briançon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Briançon-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Villar-Saint-Pancrace
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Villar-Saint-Pancrace

Villar-Saint-Pancrace (Administrativement)

mais s'orthographie Villard-Saint-Pancrace (Sur place)

(localement connu comme Grand Villar ou le Villar, en occitan alpin local : lo Vialar [l vjæˈra] ou lo Vialar Sant Brancaci [l vjæˈra sø̃m bʀãˈkaʧi]), est une commune française située dans le département des Hautes-Alpes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. C'est l'une des cinq communes formant la banlieue de l'unité urbaine de Briançon.

Ses habitants sont appelés les Viarans ou Vialans (mot occitan).

Géographie[modifier | modifier le code]

Le village de Villar-Saint-Pancrace, situé au confluent de la Durance et du torrent des Ayes, est divisé en plusieurs quartiers et hameaux dont le Villar (ou chef-lieu) est le bourg le plus important. Ces différents quartiers sont: l'Église ou la Chapelle, le Cochy, le Mail, le Chabon pour le bourg, et pour les hameaux épars, Saint-Jean, la Jalasse, le Paroir, la Tour, Soubeyran, Saint-Pancrace, les Mourandes, Sachas, le Pâquier, Champrouët. S'y trouvent aussi de nombreuses chapelles : chapelle des Pénitents (jouxtant l'église), Saint-Pancrace, Saint-Laurent, Sainte-Barbe (en ruine), Saint-Nicolas, Saint-Roch, Saint-Jean et Sainte-Élisabeth.

Il existe aussi, en altitude, plusieurs regroupements de chalets d'alpages où les gens montent s'installer en été (en occitan alpin se meirar ou lo meiratge) : le Mélézin (1 879 m), le Lauzin (1 500 m), le Clot des Prés (1 570 m), les Prés du Vallon (1 720 m), Pied-Sec (1 960 m), les Ayes (1 715 m), Vers-le-Col, l'Orceyrette, l'Orcière, la Taure (2 100 m), l'Alp ou l'Are (2 200 m).

Le Bois des Ayes constitue l'une des plus belles forêts de pin cembro (arolle ou auvièr en patois ; Pinus Cembra) des Alpes françaises. Il s'agit d'une réserve biologique forestière.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 7,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 740 mm, avec 7,3 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 8,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 636,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 36,2 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18 °C, atteinte le [Note 1],[3],[4].

Statistiques 1991-2020 et records VILLAR ST PANCRACE (05) - alt : 1310m, lat : 44°52'49"N, lon : 6°38'25"E
Records établis sur la période du 01-08-2003 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −5,2 −5,1 −2 1,8 4,9 8,5 10,4 9,9 7,1 3,5 −0,7 −4,2 2,4
Température moyenne (°C) 0 0,7 3,9 7,9 11,5 16,2 18,7 18 14,4 9,7 4,4 0,5 8,8
Température maximale moyenne (°C) 5,2 6,6 9,8 14,1 18,1 23,8 27 26,1 21,8 15,8 9,6 5,3 15,3
Record de froid (°C)
date du record
−15,8
30.01.04
−18
05.02.12
−15,4
01.03.05
−8,1
05.04.19
−3,2
17.05.12
−1,5
03.06.06
2,7
25.07.11
1,9
31.08.06
−2,5
27.09.20
−7,6
26.10.03
−14,2
27.11.10
−17,3
18.12.10
−18
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
15,8
30.01.22
20,6
29.02.12
21,7
13.03.12
25
08.04.11
29
22.05.22
35,6
27.06.19
34,9
05.07.15
36,2
23.08.23
33,4
05.09.06
27,3
07.10.09
21,2
10.11.15
15,9
22.12.14
36,2
2023
Ensoleillement (h) 126,2 130,6 164,7 193,1 217,2 244,5 269,5 250,1 178,7 139,4 112,4 109,1 2 135,4
Précipitations (mm) 38,6 31,5 36 55,1 71 51,3 53,2 46,9 44,8 73,6 77,9 56,1 636
Source : « Fiche 5183001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
5,2
−5,2
38,6
 
 
 
6,6
−5,1
31,5
 
 
 
9,8
−2
36
 
 
 
14,1
1,8
55,1
 
 
 
18,1
4,9
71
 
 
 
23,8
8,5
51,3
 
 
 
27
10,4
53,2
 
 
 
26,1
9,9
46,9
 
 
 
21,8
7,1
44,8
 
 
 
15,8
3,5
73,6
 
 
 
9,6
−0,7
77,9
 
 
 
5,3
−4,2
56,1
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[5]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Villar-Saint-Pancrace est une commune urbaine[Note 2],[7]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Briançon, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[10] et 16 683 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Briançon, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 15 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 1,9 % 80
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 5,9 % 251
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 0,1 % 5
Forêts de feuillus 0,6 % 27
Forêts de conifères 46,4 % 1979
Pelouses et pâturages naturels 12,5 % 532
Landes et broussailles 0,6 % 27
Forêt et végétation arbustive en mutation 2,8 % 120
Roches nues 22,2 % 946
Végétation clairsemée 7,0 % 297
Source : Corine Land Cover[15]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Chapelle Saint-Pancrace.

Le nom de la localité est attesté comme Sanctus Pancratius en 1158, et sous les formes Villarus magnus en 1326[16] puis Villari Sanctus Pancratius en 1343 dans la Charte des libertés briançonnaises.

La commune fut rebaptisée Le Grand Villard sous la Révolution, Ce nom peut encore s'entendre de façon officieuse de nos jours, mais l'usage de l'orthographe « Villar » est officiellement et étymologiquement correct.

Lo Vialar Sant Brancaci en occitan.

Villar dérive du latin médiéval villarus sur le mot villa qui désigne le « village », la « maison » ou le « hameau »[16] au Haut Moyen Âge. Il est devenu notre « ville ».

Quant à Pancrace, le village prend le nom de l'église dédiée à son saint protecteur.

Les Morandes désigne le nom d'un quartier, situé sous la cure de la chapelle Saint-Pancrace, où les pèlerins qui se rendaient à la chapelle Saint-Pancrace, ainsi que les bergers qui accompagnaient les troupeaux en transhumance, pouvaient trouver refuge.

Histoire[modifier | modifier le code]

Vue de Villar-Saint-Pancrace dans les années 1960.

Les origines du village remonteraient à l'époque pré-romaine, et fut certainement un établissement ligure. Un « trésor » de pièces romaines fut découvert sous un rocher, qui fut dynamité pour construire une maison. Jusqu'à la Révolution, Villar-Saint-Pancrace fut une communauté de l'Escarton de Briançon.

Existence du château de la Tour appartenant au seigneur de Bayle.

Possibilité d'existence d'une fabrique de bière pour la période du Moyen Âge, à proximité de la chapelle Saint-Pancrace. Des tanneries et plusieurs moulins sont également attestés, dont deux moulins à fouler le chanvre ou paroir. Des migrations saisonnières sont attestées aux XVIIe et XVIIIe siècles, de nombreux habitants de Villar-Saint-Pancrace partaient en effet travailler comme peigneurs de chanvre dans la plaine du Pô, jusqu'en Émilie-Romagne et en Vénétie. Il semble qu'après le Traité d'Utrecht, cette activité se soit reconvertie peu à peu pour former des instituteurs ambulants ou régents d'école comme c'est le cas dans plusieurs villages de la région[17].

Le village connut jusqu'en 1987 diverses mines d'exploitation de charbon. La majorité de celles-ci (en occitan alpin local las charbourièras) étaient tenues par des paysans, à l'exception de celle du lieu-dit la Tour, industrialisée et reliée à la gare de Briançon.

Patois[modifier | modifier le code]

Le parler de Villar-Saint-Pancrace, communément appelé patois ou viaran, est moribond puisqu'il ne compte plus qu'une poignée de locuteurs âgés.

Il s'agit d'une variété d'occitan de type vivaro-alpin et qui fait partie du subdialecte briançonnais occidental.

Ce parler se caractérise par de fortes tendances innovatrices telles que par exemple, la chute de nombreuses consonnes finales, les consonnes -n- et -l- qui deviennent un -r- roulé entre deux voyelles (luro, lune ; laro, laine), la simplification des diphtongues ai, au et ei respectivement en è, o et i ; mais également, par une série de phénomènes morphologiques tels que, le pluriel des adjectifs masculins en -ou, l'utilisation systématique du pronom personnel devant le verbe (a parlou, je parle), ou l'article défini le (souvent élidé) au lieu du traditionnel lo (lou). Ces traits sont partagés avec les parlers des alentours, notamment avec le parler de Cervières, avec les parlers des Puy, avec ceux des vallées de la Clarée, de la Guisane ou encore avec les parlers de la vallée d'Oulx (Bardonnèche, Salbertrand…), du Cluson en Italie, et même, avec ceux des hautes vallées de l'Oisans pourtant isolées derrière les Écrins.

Les parlers de Prelles et de Vallouise sont relativement proches et mêlent des caractéristiques briançonnaises et embrunaises, ce qui les font différer un peu mais l'intercompréhension reste totale.

Noms des quartiers du village en patois : l' Chaboun, le Pâquiè, Chamrouï, Soubiran, Sën-Pancrac

En patois, les habitants du Villard s'appellent les « cachis », diminutif de « Villard san Brincachi ».

Toponymie[modifier | modifier le code]

  • Le Chabon : bout du village, quand on vient du nord-ouest et que l'on prend la direction sud-est.
  • Gachelou : lieu de guet à l'autre extrémité du village.
  • La Potasse : (latin : Puteus) lieu humide .
  • Le Soubeyrand : ancien lieu surélevé en bordure d'un lac, aujourd'hui disparu (Villard sous berges)
  • Le Cochy.
  • La Jallasse : comme son l'indique, endroit le plus le plus froid du village en zone d'habitat permanent.
  • La Vie close : est une rue étroite.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires depuis la Libération
Période Identité Étiquette Qualité
         
1946 1983 Amédée Joseph Cordier PCF  
1983 1989 Vincent Bauvineau DVD  
1989 mars 2001 Eliane Ferraro DVD  
2001 2014 Laurence Fine[18] DVG Ingénieure
mars 2014 En cours Sébastien Fine[19],[20]   Professeur, profession scientifique

Jumelages[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].

En 2021, la commune comptait 1 449 habitants[Note 4], en diminution de 0,55 % par rapport à 2015 (Hautes-Alpes : +0,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9299239051 0241 0451 0871 0099951 069
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0379629669479449591 0001 001983
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0021 0081 071982883881888780770
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
8999601 0231 1171 2871 4101 4591 4591 471
2021 - - - - - - - -
1 449--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Villar-Saint-Pancrace dépend de l'académie d'Aix-Marseille. Les élèves de la commune commencent leur scolarité à l'école primaire du village, qui regroupe 116 enfants[25].

Santé[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Lac de l'Orceyrette.
  • L'église Saint-Pancrace.
  • Les différentes chapelles de la commune : Saint-Pancrace, Saint-Laurent, Saint-Jean, Sainte-Barbe (détruite), Saint-Roch, Saint-Nicolas, Notre-Dame du Lauzin, chapelle des Pénitents jouxtant l'église…
  • Le vallon des Ayes, avec ses chalets d'alpage, la chapelle Sainte-Élisabeth (1 715 m), le site du Lac de l'Orceyrette et le plan du Peyron, la Fònt-que-bulh (la fontaine qui bout), les restes rocheux de glaciations du vallon de l'Orceyrette dont le rocher appelé Garigate ou Galigate (une sorcière légendaire pour effrayer les enfants).
  • Les anciens forts d'altitude de la Croix de Bretagne (2 041 m) et de la Grande Maye (2 310 m), appartenant au déploiement des fortifications de Briançon.
  • De nombreuses fontaines sont présentes, comme au chef-lieu, au Chabon, au Paroir, au Pâquier...
  • Il existe également des fours communaux qui résistent malgré tout.
  • Le Rocher des Aymards, à la sortie du chef-lieu en direction du hameau du Villaret, avec sa pierre à glissade, véritable toboggan sculpté à même la roche (la mémoire se perd quant à son origine).
  • Une des anciennes charbonnières, mines paysannes exploitant l’anthracite de manière légère, a été réhabilitée dans les années 1990[26] et peut aujourd'hui être visitée.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Oronce Fine né à Villar-Saint-Pancrace en 1494 et mort en 1555, mathématicien et cartographe français, qui établit la première carte de la France.
  • Louis Faure, ancien député des Hautes-Alpes. Afin d'expérimenter ses études, il géra une bergerie modèle, de moutons mérinos au Lauzin, près du Mélézin, sur les pentes de Peyre-Eyraute, entre 1807 et 1830.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Briançon - Sestriere : Guide Alpes sans frontières no 10, en collaboration entre IGN, CAF, IGM, CAI, et l'UE (ISBN 2900372240)
  • Jean-Paul Fine, Villar-Saint-Pancrace, naissance et vie d'un village, Ed. du Fournel, 2009
  • Jean-Paul Fine, Patrimoines du Grand Villar, Ed. du Fournel, 2011
  • Jean-Paul Fine, La chapelle Saint-Pancrace, Éditions Transhumances, 2018 (ISBN 978-2-919754-81-6)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Station Météo-France « Villar St Pancrace » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Villar St Pancrace » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  7. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Briançon », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  16. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations dialectales (suite) et françaises, 1998, p. 1437.
  17. Alain Belmont, « L'exemple des peigneurs de chanvre du Briançonnais aux 17e et 18e siècles. », Histoire des Alpes,‎ (lire en ligne).
  18. Site de la préfecture des Hautes-Alpes, consulté le 9 mai 2008 (fichier au format Excel)
  19. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  20. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. école primaire
  26. Jean-Louis Tornatore, « Les mines de charbon du Briançonnais (XVIIIe - XXe siècle). Essai d’anthropologie symétrique », Annales. Histoire, Sciences Sociales 2006/5, 61e année, p. 1190.