Prunières (Hautes-Alpes) — Wikipédia

Prunières
Prunières (Hautes-Alpes)
Le village.
Blason de Prunières
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Hautes-Alpes
Arrondissement Gap
Intercommunalité Communauté de communes Serre-Ponçon
Maire
Mandat
Jean-Luc Verrier
2020-2026
Code postal 05230
Code commune 05106
Démographie
Population
municipale
306 hab. (2021 en augmentation de 2,68 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 32′ 34″ nord, 6° 20′ 03″ est
Altitude Min. 770 m
Max. 2 390 m
Superficie 13,2 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Gap
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chorges
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Prunières
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Prunières
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Alpes
Voir sur la carte topographique des Hautes-Alpes
Prunières
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Voir sur la carte administrative de Provence-Alpes-Côte d'Azur
Prunières
Liens
Site web prunieres.fr

Prunières est une commune française située dans le département des Hautes-Alpes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.Les habitants sont des Pruniérois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Prunières est située sur la rive droite de la Durance, à la hauteur de la retenue de Serre-Ponçon, à 20 kilomètres à l'est de Gap et 15 à l'ouest d'Embrun. La commune s'étend sur 7 kilomètres du nord au sud sur les pentes du pic de Chabrières (altitude 2 403 m) jusqu'à l'ancien lit de la Durance, incluant ainsi une partie du lac de Serre-Ponçon. Aucun cours d'eau significatif n'arrose la commune.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Au cœur du village et sur les pentes sud de Chabrières :

  • les Clots (mairie)
  • l'église (église, cimetière)c: ancien chef lieu (recensement de 1911)
  • Pra Périer
  • Vière (château)
  • les Vignes
  • le Lauguet
  • Champioga (route entre Le Serre et Les Clots)

Au nord, sur les pentes :

  • le Serre
  • les Blanchons
  • les Gourres
  • le Pomeyret
  • l'Adroit (Sous le Serre)
  • l'Espinasse (entre le Serre et la mairie)
  • la Souchonne (vers le Serre, chemin de la Clouisse)
  • les Blancs
  • d'autres petits hameaux disparus :
    • le Thubaneau (hameau situé dans le lac, ancienne gare de Prunières)
    • Saint Michel (hameau près de la Chapelle, aujourd'hui sous le lac)
    • Prérond ?
    • l'Île

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 000 mm, avec 7,8 jours de précipitations en janvier et 5,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Embrun », sur la commune d'Embrun à 13 km à vol d'oiseau[3], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 732,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,1 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Communications[modifier | modifier le code]

La route nationale 94 reliant Gap à Briançon traverse la commune le long de la rive du lac. Trois routes départementales s'en détachent vers les hameaux de la commune situés sur les pentes, et convergent au chef-lieu. La D 109, venant de Chorges, passe au-dessus du chef-lieu et continue vers Saint-Apollinaire et Réallon.

La voie ferrée Gap - Briançon est accolée à la route, mais la halte de Prunières, reconstruite après la déviation de la voie lors de la mise en eau du lac, a été fermée au trafic voyageurs. La gare la plus proche est celle de Chorges, à 5 kilomètres du chef-lieu.

L'aérodrome de Gap - Tallard est à 30 kilomètres au sud-ouest.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Prunières est une commune rurale[Note 2],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gap, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

La commune, bordée par un plan d’eau intérieur d’une superficie supérieure à 1 000 hectares, le lac de Serre-Ponçon, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[13]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (56,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (23,4 %), zones agricoles hétérogènes (20,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (17,7 %), terres arables (13,4 %), eaux continentales[Note 4] (13,4 %), forêts (11,3 %)[16].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

La localité est une paroisse attestée dès 1210 sous la forme latine Pruneri i ; Prugnerii en 1413 ; Prunerii en 1508 ; Prunere en 1516 ; Prunières en 1568[17]

Prunièras en occitan haut-alpin.

Ce toponyme est aisément compréhensible et dérive du pluriel de l'occitan Prunièr (prunier), remplacé tardivement par l'occitan prunièra « prunier »[17], le nom du village provient sûrement d'une présence importante sur ses terres de « pruniers épineux ».

Histoire[modifier | modifier le code]

Le , un bombardier américain B-24, rentrant d'une mission sur l'Allemagne avec ses instruments de navigation hors d'usage et deux moteurs en panne, s'écrase dans un champ à l'ouest de Prunières. Guidés par les habitants, les 11 membres d'équipage américains ont pu rejoindre les maquisards de Réallon[18].

En 1953, la mise en eau de la retenue de Serre-Ponçon a noyé la partie de la commune située au plus près de la Durance, autour de la chapelle Saint-Michel, qui seule est restée émergée, et a fort heureusement échappé à la destruction qui lui était promise. Les restes de familles inhumées dans le cimetière voisin ont été transférés au cimetière du village, proche de l'église[19]. La route nationale 94 et la voie ferrée, noyées elles aussi, ont été reconstruites au-dessus du niveau du lac, qu'elles suivent en corniche. Un arrêt de chemin de fer, désormais inutilisé, remplace l'ancienne gare de Prunières, inondée[20].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des derniers maires
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1896 1929 Jean Derbez    
1929 1942 Ludovic Farnaud    
1942 1947 Marcel Derbez    
1947 mai 1953 Auguste Tourcier   Cultivateur
mai 1953 mars 1959 Ernest Bertrand   Cultivateur au Serre
mars 1959 mars 1983 Auguste Tourcier   Cultivateur
mars 1983 juin 1995 André Clary    
juin 1995 mars 2008 Denise Miny   Fleuriste
mars 2008 mars 2014 René Fusina   Directeur chez EIFFAGE, Ingénieur
mars 2014 mai 2020 Pierre Doussot[21]   Retraité de l'armée, Agriculteur à Pra Perier
mai 2020 En cours Jean-Luc Verrier[21],[22]   Ancien cadre à la Poste

Aux élections municipales de 2008, 10 des 16 candidats ont obtenu la majorité des suffrages exprimés et ont été élus dès le premier tour. On comptait 222 votants sur 258 électeurs inscrits, ce qui représente un taux d'abstentions relativement faible (14 %). Un deuxième tour a eu lieu pour désigner le 11e élu parmi les 4 candidats restants (l'autre s'étant retiré). Le maire sortant ne se représentait pas[23].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Prunières fait partie :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].

En 2021, la commune comptait 306 habitants[Note 5], en augmentation de 2,68 % par rapport à 2015 (Hautes-Alpes : +0,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
416372486428423400406358424
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
390407401372403462363347343
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
335293284273254263254213189
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
154154121138175232276289297
2018 2021 - - - - - - -
298306-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

L'accroissement constaté de la population depuis 1975 est dû à un apport extérieur qui compense une mortalité supérieure aux naissances dans la commune (11,3  contre 6,6  pour la période 1999-2009). Dans le même temps la population vieillit : les moins de 45 ans sont moins nombreux en 2009 qu'en 1999 (44 % contre 51 %), et les plus de 75 ans sont passés de 8 à 13 %. Dans toutes les tranches d'âge, la proportion de personnes vivant seules a augmenté en 10 ans, et le nombre moyen d'occupants par résidence principale est passé de 3 en 1968 à 2 en 2009[29].

Sports[modifier | modifier le code]

Rallye Monte-Carlo[modifier | modifier le code]

Le rallye Monte-Carlo y est passé jusqu'en 2003. Spéciale phare avec sa descente démente et ses 31 km, les organisateurs arrêtèrent cette spéciale après le Monte-Carlo 2003. Cet arrêt ne fit pas des heureux. Heureusement, la spéciale revient en 2015 avec le choc (un passage le matin, un le soir) Ogier-Loeb dans une version de 19 km.[réf. souhaitée]

Vie associative[modifier | modifier le code]

  • Prunières Sports Loisirs (PSL) organise tout au long de l'année des concours de boules, la fête communale de Prunières, et son bal populaire gratuit.
  • La Diane de Rambert, association des chasseurs de la commune de Prunières (ACCA), organise tous les ans un ball-trap.
  • Le Club du Troisième âge organise des jeux de sociétés, et des rencontres festives : en Janvier un gâteaux des rois ouvert à tous, et en juillet un « repas-grillades ».
  • Sport, Culture et Fêtes Toupinoises organise des stages de tir à l'arc, ainsi que diverses animations tout au long de l'année, dont les « marchés nocturnes de Prunières »[30].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Sauveur, récemment rénovée : nef unique avec abside semi-circulaire, autel en marbre, une chapelle latérale au nord consacrée à la Vierge (trois statues, dont une Vierge à l'enfant, plus une icône), tribune, clocher-tour posé contre le flanc nord[31].
  • Le complexe portuaire et le camping en bordure du lac.
  • Le château de Vière, encore habité de nos jours (ne se visite pas).
  • La chapelle attenante au cimetière.
  • L’hélice, montée en stèle sur la route de Chorges, qui rappelle l'avion qui s'est écrasé sur la commune durant la Seconde Guerre mondiale[18].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Charles Troesch, curé de la paroisse de Prunières du à 2022

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Prunières Blason
De gueules à la bande d'or accompagnée en chef d'un gland vêtu, tigé et feuillé du même et en pointe d'un besant d'or, au chef cousu d'azur chargé de trois étoiles d'or[33].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Prunières et Embrun », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Embrun », sur la commune d'Embrun - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Embrun », sur la commune d'Embrun - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « Les communes soumises à la loi littoral », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  14. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Loi relative à l’amenagement, la protection et la mise en valeur du littoral », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  17. a et b Ernest Nègre - 1996 -Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 1329 - (ISBN 2600001336).
  18. a et b « L'Hélice », sur Mairie de Prunières (consulté le )
  19. Photo de la plaque commémorative
  20. « Prunières c’est….. Son village englouti ! », sur Mairie de Prunières (consulté le )
  21. a et b « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le )
  22. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
  23. Site de la mairie, rubrique "Élections municipales 2008"
  24. Direction des libertés publiques et des collectivités locales, « Création de la communauté de communes de Serre-Ponçon par fusion des communautés de communes de l'Embrunais et du Savinois Serre-Ponçon et extension aux communes de Chorges et Pontis » [PDF], Recueil des actes administratifs no 05-2016-015, Préfecture des Hautes-Alpes, (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Dossier local Commune Prunières sur le site de l'Insee
  30. Site de la mairie de Prunières, rubrique « Associations ».
  31. Histoire et description sur le site de la mairie
  32. Page d'accueil du site de la mairie
  33. « Site de la commune de Prunières », sur prunieres.fr (consulté le ).