Carole Delga — Wikipédia

Carole Delga
Illustration.
Carole Delga en 2019.
Fonctions
Présidente des Régions de France
En fonction depuis le
(2 ans, 9 mois et 15 jours)
Élection
Prédécesseur Renaud Muselier
Présidente du conseil régional d’Occitanie
En fonction depuis le
(8 ans, 3 mois et 20 jours)
Élection
Réélection
Législature 2016-2021
2021-2028
Coalition PS-PRG-MRC--EÉLV-
FG-NGS-POC-ERC
(2016-2021)
PS-PCF-PRG-OE-GRS-PP-MR
(2021-)
Prédécesseur Damien Alary (Languedoc-Roussillon)
Martin Malvy (Midi-Pyrénées et intérim)
Députée française

(1 an, 11 mois et 2 jours)
Élection 10 juin 2012
Circonscription 8e de la Haute-Garonne
Législature XIVe (Cinquième République)
Groupe politique SRC (2015-2016)
SER (2016-2017)
Prédécesseur Joël Aviragnet
Successeur Joël Aviragnet

(2 ans et 13 jours)
Élection 10 juin 2012
Circonscription 8e de la Haute-Garonne
Législature XIVe (Cinquième République)
Groupe politique SRC
Prédécesseur Jean-Louis Idiart
Successeur Joël Aviragnet
Secrétaire d'État chargée du Commerce, de l'Artisanat, de la Consommation et de l'Économie sociale et solidaire

(1 an et 14 jours)
Président François Hollande
Premier ministre Manuel Valls
Gouvernement Valls I et II
Prédécesseur Valérie Fourneyron
Successeur Martine Pinville
Vice-présidente du conseil régional
de Midi-Pyrénées
[1]

(2 ans, 5 mois et 11 jours)
Élection 26 mars 2010
Président Martin Malvy
Prédécesseur Alain Beneteau
(TIC)
Successeur Viviane Artigalas
(TIC et ruralité)
Maire de Martres-Tolosane

(6 ans, 3 mois et 18 jours)
Élection 16 mars 2008
Réélection 23 mars 2014
Prédécesseur Brigitte Redinger
Successeur Gilbert Tarraube
Présidente de la Fédération nationale
des élus socialistes et républicains

(9 mois et 18 jours)
Élection
Prédécesseur François Rebsamen
Biographie
Date de naissance (52 ans)
Lieu de naissance Toulouse (France)
Nationalité Française
Parti politique PS (depuis 2004)
Diplômée de Université Toulouse-I
Université de Pau et des pays de l'Adour
Profession Fonctionnaire territoriale
Site web caroledelga-occitanie.fr

Carole Delga
Présidents du conseil régional d'Occitanie

Carole Delga Écouter, née le à Toulouse, est une femme politique française.

Fonctionnaire territoriale, membre du Parti socialiste depuis 2004, elle est maire de Martres-Tolosane entre 2008 et 2014, vice-présidente du conseil régional de Midi-Pyrénées de 2010 à 2012. Élue députée de la 8e circonscription de la Haute-Garonne en 2012, elle est secrétaire d'État chargée du Commerce, de l'Artisanat, de la Consommation et de l'Économie sociale et solidaire de 2014 à 2015. Elle est élue présidente du conseil régional de la nouvelle région Occitanie en 2016, puis réélue en 2021. Elle est également présidente de l'association Régions de France depuis juillet 2021.

Situation personnelle[modifier | modifier le code]

Origines[modifier | modifier le code]

Fille unique, elle est élevée par sa grand-mère et sa mère dans un milieu modeste. Cette dernière exerce la profession de secrétaire, puis femme de ménage à partir de 50 ans[2],[3].

Études[modifier | modifier le code]

Après un baccalauréat scientifique au lycée Bagatelle de Saint-Gaudens, une licence en sciences économiques et un diplôme en sciences juridiques à la faculté des sciences sociales de l'université Toulouse 1, Carole Delga obtient un master en droit des collectivités locales à l'université de Pau et des Pays de l'Adour[4]. Elle réussit le concours d'attachée territoriale en 1994, et l'examen professionnel en 2002[5].

Carrière administrative[modifier | modifier le code]

Fonctionnaire territoriale à la mairie de Limoges de 1994 à 1996, chargée des monuments historiques et archéologiques, elle est ensuite chargée de mission auprès de Dominique Manent[6] dans le cadre des trois syndicats qu'il dirigeait. En 1998, elle devient directrice générale des services du Syndicat des eaux de la Barousse, du Comminges et de la Save jusqu'en 2005. À cette date, elle intègre la région Midi-Pyrénées comme directrice adjointe de l'Aménagement du territoire, où Martin Malvy la remarque. En 2007, elle devient également chargée de mission auprès du directeur général adjoint chargé de l'aménagement du territoire, du développement économique et du développement durable. Elle quitte le conseil régional en 2009.

Parcours politique[modifier | modifier le code]

Maire de Martres-Tolosane[modifier | modifier le code]

Son élection en tant que maire de Martres-Tolosane, en 2008, marque son entrée en politique[7] : sa liste l’avait emporté dès le premier tour, dans la ville de Haute-Garonne dont elle est originaire. Il en est de même aux élections municipales de 2014. Le 4 juillet de cette même année, à la suite de sa nomination au gouvernement en tant que secrétaire d'État au Commerce, à l'Artisanat, à la Consommation et à l'Économie sociale et solidaire, elle démissionne de son mandat de maire pour laisser sa place à Gilbert Tarraube. Elle occupe dès lors la fonction de première adjointe, déléguée à l'administration générale et aux investissements.

Vice-présidente du conseil régional de Midi-Pyrénées[modifier | modifier le code]

Élue sur la liste menée par Martin Malvy aux élections régionales de 2010, elle est élue à la vice-présidence de la région, chargée des questions de ruralité, des services au public en milieu rural et des technologies de l'information et de la communication (TIC). Après son élection à l'Assemblée nationale, elle démissionne de ce poste le 1er septembre 2012, puis du conseil régional le 27 juin 2013[8].

Députée de la Haute-Garonne[modifier | modifier le code]

Investie en 2012 dans la huitième circonscription de la Haute-Garonne, du Comminges-Savès, par le Parti socialiste et ses alliés, pour succéder à Jean-Louis Idiart, elle est élue dès le premier tour, avec 51,62 % des suffrages exprimés.

Pour respecter la loi sur le cumul des mandats, elle renonce à se présenter aux élections législatives de 2017[9].

Au gouvernement sous la présidence Hollande[modifier | modifier le code]

Le , elle est nommée secrétaire d'État déléguée au Commerce, à l'Artisanat, à la Consommation et de l'Économie sociale et solidaire dans le gouvernement Valls I, en remplacement de Valérie Fourneyron, démissionnaire[10].

En juillet 2014, elle fait passer un décret relatif à la mention « fait maison » dans les restaurants[11]. Elle a aussi participé à la création des statuts « artisan-métier d'art »[12], « artisan-cuisinier[12] » et « artisan-fromager[12],[13] », le lancement des Indications géographiques ou encore le lancement du FISO (Fonds d'innovation sociale). En août 2014, elle est reconduite dans ses fonctions dans le deuxième gouvernement Valls.

Le 17 juin 2015, elle quitte le gouvernement afin de lancer la campagne des élections régionales. Elle y est remplacée par Martine Pinville, députée de Charente[14].

Présidente du conseil régional d'Occitanie[modifier | modifier le code]

En janvier 2015, elle déclare être candidate à la primaire PS visant à désigner le candidat du parti pour les élections régionales en région Occitanie[15]. Elle l'emporte à l'issue d'une campagne interne face à l'ancien ministre Jean Glavany et au sénateur Bertrand Auban[16].

Elle lance sa campagne, en tant que candidate tête de liste « Notre Sud en commun », rassemblant plusieurs partis de gauche et écologistes, le 27 juin 2015 à Montpellier. Dans le cadre de cette campagne, elle propose notamment de créer une écotaxe afin de taxer les poids lourds en transit international[17].

La liste qu’elle conduit l’emporte au second tour, le 13 décembre 2015, avec 44,8 % des suffrages exprimés, dans une triangulaire l'opposant au FN et aux Républicains, après une fusion dans l'entre-deux tours de sa liste avec celle d’EELV. Une fois élue, elle choisit de gouverner avec plusieurs partis de gauche : le PS, EELV, le PCF et le PRG. Elle nomme notamment Agnès Langevine, figure régionale d’EELV, troisième vice-présidente, chargée de la transition écologique et énergétique[18],[19].

Première présidente de la région Occitanie, elle doit mettre en œuvre la fusion de Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon, couvrant treize départements et six millions d’habitants. Elle harmonise l'organisation des services et les statuts des agents de la région, qui conserve les deux sites administratifs de Toulouse et Montpellier, sièges partagés de la collectivité. Cette fusion permet des économies de 150 millions d’euros entre 2016 et 2020, mais la hausse des dépenses de fonctionnement de 1,2 % est critiquée en 2018 par la Cour des comptes, qui souligne le niveau d’endettement de la collectivité[20]. La région obtient de la SNCF 72 trains et 37 000 places supplémentaires et met en place des titres de transports à un euro. Elle lance de nouvelles instances démocratiques : un Parlement de la mer, un Parlement de la montagne, une Assemblée des territoires, composée de 158 représentants des anciens « pays » et pôles d’équilibre territoriaux et ruraux (PETR), animée par l'écologiste Gérard Onesta[20].

Au premier tour des élections régionales de 2021 en Occitanie, elle distance largement ses concurrents. Sa liste, réunissant PS, communistes et écologistes en rupture avec EELV, dont Agnès Langevine et José Bové, ne fusionne pas au second tour avec celle d’EELV menée par Antoine Maurice, laquelle est opposée aux projets d’autoroute Toulouse-Castres et de ligne à grande vitesse Toulouse-Bordeaux, ainsi qu'au soutien affiché par Carole Delga aux pêcheurs et aux chasseurs[21]. Le quotidien Le Monde remarque que pendant la campagne Carole Delga « se garde bien d’arborer le signe du Parti socialiste (PS) »[22]. Personnalité ayant obtenu le pourcentage le plus élevé à l’issue du second tour[23], Carole Delga est élue présidente de l'Association des Régions de France le 9 juillet 2021[24]. Elle est la première femme à occuper cette fonction[25].

Au sein du Parti socialiste[modifier | modifier le code]

Campagne de Manuel Valls[modifier | modifier le code]

En 2016, elle rejoint le comité de campagne de Manuel Valls pour la primaire du Parti socialiste[26]. Après la victoire de Benoît Hamon, elle est intégrée au comité de campagne de celui-ci[27] alors que plusieurs ténors socialistes rejoignent Emmanuel Macron[16].

Direction du parti[modifier | modifier le code]

Le , elle intègre la direction collégiale du PS[28]. En vue du congrès d'Aubervilliers de 2018, elle soutient la candidature d'Olivier Faure contre Stéphane Le Foll[29].

Européennes de 2019 et présidentielle de 2022[modifier | modifier le code]

Elle soutient la liste PS-Place publique-Nouvelle Donne, menée par Raphaël Glucksmann, lors des élections européennes de 2019 en France[30].

Elle soutient Anne Hidalgo en vue de l'élection présidentielle de 2022[31]. Elle se montre opposée à toute union de la gauche pour les élections législatives, en particulier avec la France insoumise, jugeant même Jean-Luc Mélenchon « hors de la République »[22]. Elle ne s'en montre pas moins critique envers d'anciens dirigeants du PS s'étant ralliés à Emmanuel Macron, fustigeant les « trahisons » de Manuel Valls, Marisol Touraine ou encore François Rebsamen[32]. Elle remplace ce dernier à la tête de la FNESR en 2022[33].

Malgré l'accord du Parti socialiste au sein de la Nouvelle union populaire écologique et sociale avec les autres partis de gauche qui prévoit que plusieurs circonscriptions d'Occitanie soient réservés à La France insoumise[34], elle soutient les candidatures socialistes dissidentes[35]. Sur les 15 candidatures qu'elle soutient, seul David Taupiac est élu dans la deuxième circonscription du Gers[36].

Congrès de Marseille[modifier | modifier le code]

Lors du congrès de Marseille sous tension[37], elle fait partie des élus prônant une troisième voie entre la direction sortante de Olivier Faure, favorable à la NUPES, et celle de Hélène Geoffroy, également hostile à toute union avec les Insoumis[38],[39], et s'allie en ce sens à Nicolas Mayer-Rossignol et Lamia El Aaraje sous le texte d'orientation Refondations. La direction sortante, au terme d'une vive contestation des résultats, est reconduite de justesse par les militants du PS[40],[41].

2023[modifier | modifier le code]

Dans les mois qui suivent, elle s'oppose à de multiples reprises à Olivier Faure, refusant de respecter l'accord de la NUPES lors des élections législatives partielles en soutenant notamment la candidature dissidente de Martine Froger face à l'insoumise Bénédicte Taurine avec les militants socialistes de l'Ariège[42]. Cette élection a eu lieu peu après les tensions au sein de la Nupes au sujet de la stratégie à suivre contre le passage en force de la loi sur les retraites, qui voit l'aile dite « anti-Nupes » du Parti socialiste, menée par Nicolas Mayer-Rossignol, s'exprimer à plusieurs reprises[43],[44].

Au cours des débats sur cette réforme des retraites, Carole Delga écrit à Emmanuel Macron pour lui demander de prendre « le temps » d'une pause, qui lui est en particulier demandée par le leader de la CFDT Laurent Berger[45].

Le Monde écrit en juin 2023 qu'elle envisagerait d'être candidate à l'élection présidentielle de 2027[7].

Controverses et polémiques[modifier | modifier le code]

Accusations de racisme[modifier | modifier le code]

Elle est critiquée à gauche début juin 2023 pour avoir dit lors d'une interview sur France Info que Yannick Noah et Kylian Mbappé sont des immigrés puis qu'ils sont « originaires d'un autre pays »[46]. Après avoir été accusée de racisme par la sénatrice EELV Mélanie Vogel[47], elle s'excuse de sa sortie le lendemain[48].

Réunions non-mixtes[modifier | modifier le code]

À la suite de l'intrusion de l'Action française dans le conseil régional d'Occitanie, ses propos critiquant les réunions non-mixtes au sein du syndicat étudiant UNEF suscitent une polémique en mars 2021. Carole Delga attaque le syndicat en déclarant : « Il faut cesser de monter les gens les uns contre les autres, au risque de générer une société d’ennemis. Racisme, antisémitisme et discriminations ne reculeront qu’en rassemblant d’abord les Français sur les droits et valeurs de la République ». L'eurodéputé EELV David Cormand l'accuse alors de « mettre un signe égal entre les racistes et leur victime »[49].

Projet de l'autoroute A69[modifier | modifier le code]

L'autoroute A69 est une autoroute en construction qui doit relier la sortie 2 de l'A68 (près de Toulouse) à la rocade de Castres.

Critiqué pour son impact environnemental par plusieurs associations scientifiques (il a reçu des avis défavorables du Conseil national de la protection de la nature et de l’Autorité environnementale), face au militant écologiste Thomas Brail alors en grève de la faim, Carole Delga défend ce projet par une lettre ouverte[50] s'appuyant sur les textes de Julia Cagé et Thomas Piketty, insistant sur la nécessité de développer l'accès aux infrastructures de transport. L'économiste Julia Cagé réagit alors vivement au nom des deux auteurs à cette lettre ouverte, dénonçant notamment la construction d'autoroute en lieu du train, ainsi que l'artificialisation des sols agricoles qui en découle.

Le climatologue et auteur du GIEC Christophe Cassou, après un entretien avec Delga, juge la vision de celle-ci comme condamnant « dès maintenant et pour des décennies, à des modes de vie et à des trajectoires incompatibles avec les objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre visant à limiter les risques pour les sociétés humaines et la biodiversité, dans un climat qui change vite »[51].

Malgré l'avis défavorable de Olivier Faure fin , Carole Delga réitère son soutien à la réalisation de l'A69 pour :

  • une raison économique : désenclaver le sud du Tarn, un territoire très pauvre ;
  • deux raisons politiques :
    • dans le territoire concerné par l'autoroute, une majorité d'électeurs était favorable au Rassemblement national lors de la dernière élection présidentielle ;
    • globalement, au conseil régional, les partis politiques opposés au projet n'ont que 22 élus sur les 109 de la majorité de Delga, sur les 158 élus membres du conseil[52].

Affaires judiciaires[modifier | modifier le code]

En , Carole Delga est condamnée par la cour d’appel de Nîmes à 8 000  d'amende et dommages-intérêts à la commune de Beaucaire pour « discrimination fondée sur des opinions politiques » et « entrave à l’exercice d’une activité économique » après avoir refusé de signer un contrat de ville établi par la municipalité de Beaucaire dirigée par Julien Sanchez, et ne pas avoir choisi cette commune pour accueillir le futur lycée général construit par la région dans le Gard. Carole Delga réagit en dénonçant l'opportunisme du projet, et la campagne de procès judiciaires menées par le RN contre la région[53]. Son pourvoi en cassation est toutefois rejeté[54],[55]. Elle annonce toutefois son intention de saisir la Cour européenne des droits de l'homme[56].

Ouvrage[modifier | modifier le code]

  • Jean Jaurès : les convictions et le courage, Privat, 2022.

Détail des mandats et fonctions[modifier | modifier le code]

Synthèse des résultats électoraux[modifier | modifier le code]

Élections législatives[modifier | modifier le code]

Année Parti Circonscription Premier/unique tour Issue
Voix %
2012[58] PS 8e de la Haute-Garonne 26 351 51,62 Élue

Élections régionales[modifier | modifier le code]

Les résultats ci-dessous concernent uniquement les élections où elle est tête de liste.

Année Liste Région 1er tour 2d tour Sièges obtenus
Voix % Rang Voix % Rang
[59] PS-PRG Occitanie 501 307 24,41 2e 1 092 969 44,81 1re
93  /  158
2021[60] PS-PCF-PRG 597 215 39,57 1re 882 116 57,77 1re
109  /  158

Élections municipales[modifier | modifier le code]

Les résultats ci-dessous concernent uniquement les élections où elle est tête de liste.

Année Liste Commune Premier/unique tour Sièges obtenus
Voix %
[61] PS Martres-Tolosane 857 61,74 NC
[62] 834 64,75
16  /  19

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Chargée des questions de ruralité, des services au public en milieu rural et des TIC.
  2. Laure Bretton, « La midi libre » sur Libération, 14 juin 2015
  3. Emmanuelle Durand-Rodriguez, « La secrétaire d’État Carole Delga candidate à la succession de Martin Malvy, portrait » sur La Tribune, 16 janvier 2015
  4. « Qui est Carole Delga, la nouvelle secrétaire d'État ? », DirectMatin.fr,‎ (lire en ligne)
  5. « Qui est Carole Delga ? », sur France 3 Occitanie (consulté le )
  6. « Carole Delga : Secrétaire d'État chargée du commerce, de l'artisanat et de la consommation », sur LSA-Conso, (consulté le ).
  7. a et b Sandrine Cassini, « Les ambitions présidentielles de Carole Delga », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  8. « Carole Delga (PS) démissionne pour de bon du Conseil régional », Voix du Midi, 27 juin 2013.
  9. « Ces barons locaux qui renoncent au Palais-Bourbon », lexpress.fr, 28 avril 2017.
  10. Décret du 3 juin 2014 relatif à la composition du Gouvernement publié au Journal officiel du 4 juin 2014.
  11. « Carole Delga : "La mention "fait maison" va tirer la qualité de la restauration française vers le haut" », 20minutes.fr, 16 juillet 2014.
  12. a b et c « Le statut d'Artisan crémier-fromager », sur FromagersDeFrance.com (consulté le )
  13. « Le statut d’artisan crémiers-fromagers en vigueur le 1er juillet 2015 », sur Le portail des ministères économiques et financiers (consulté le )
  14. Fabrice Valery, « Carole Delga a quitté le gouvernement et entre en campagne pour les élections régionales » sur France 3 Midi-Pyrénées, 17 juin 2015
  15. Sébastien Tronche, « Candidate aux régionales, la secrétaire d'État Carole Delga assure qu’elle démissionnera du gouvernement pour faire campagne » sur Le Lab (Europe 1), 24 janvier 2015
  16. a et b « Régionales 2021 : en Occitanie, Carole Delga, l’ex-vallsiste convertie à l’écologie modérée », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  17. Carole Delga propose de taxer les poids lourds en transit international, ladepeche.fr, 22 octobre 2015
  18. « Accord entre Carole Delga et Gérard Onesta pour une fusion », sur ladepeche.fr (consulté le )
  19. Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée, « LANGEVINE », sur Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée, (consulté le )
  20. a et b « Nouvelles régions fusionnées : en Occitanie, l’union sans effusions d’un ensemble disparate », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  21. « Régionales 2021 : Carole Delga, la gauche triomphante en Occitanie », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  22. a et b « A Toulouse, vingt ans après le 21 avril 2002, Carole Delga mobilise pour préparer l’avenir du Parti socialiste », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne)
  23. Régionales 2021 en Occitanie : Carole Delga, présidente sortante la mieux réélue, lefigaro.fr, 27 juin 2021, par Dinah Cohen
  24. Astrid de Villaines, « Delga, mieux élue des présidents de région, prend la tête des Régions de France », sur huffingtonpost.fr, (consulté le )
  25. Dominique Albertini, « Delga, première femme présidente... des régions », sur liberation.fr, (consulté le )
  26. « Primaire de la gauche : Carole Delga dans l'équipe de campagne de Manuel Valls », sur actu.fr,
  27. Amokrane et Delga avec Benoît Hamon
  28. « Le Parti socialiste a désigné sa direction collégiale provisoire », lemonde.fr, 8 juillet 2017.
  29. Anthony Assemat, « Présidence du PS. Carole Delga, présidente de la Région Occitanie, soutient Olivier Faure », sur actu.fr, (consulté le ).
  30. « Carole Delga : "Il y a une voie sociale et écologiste pour l’Europe" », sur midilibre.fr (consulté le )
  31. Jannick Alimi, « Présidentielle 2022 : à Villeurbanne, Anne Hidalgo franchit une marche de plus », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  32. Le Point magazine, « « Trahisons » : Carole Delga dézingue ses anciens camarades du PS », sur Le Point,
  33. « Histoire de la FNESR », sur www.maisondeselus.fr (consulté le )
  34. « Législatives : figure de la fronde anti-NUPES, Carole Delga vient en Dordogne soutenir les dissidents PS », sur ici, par France Bleu et France 3, (consulté le )
  35. « Législatives : Carole Delga, cheffe de file des dissidents PS, propose en Dordogne une autre union à gauche », sur ici, par France Bleu et France 3, (consulté le )
  36. Stéphane Thépot, « Législatives: en Occitanie, l’échec du pari socialiste de Carole Delga », sur Libération (consulté le )
  37. « Politique, le choix de la semaine - Congrès PS, le risque de la scission ? », sur RFI, (consulté le )
  38. « Qui veut la peau d'Olivier Faure ? PS, les enjeux d'un congrès déjà tendu », sur LExpress.fr, (consulté le )
  39. Lyon Mag, « Lyon Mag », sur Lyon Mag, (consulté le )
  40. Le Point magazine, « Congrès du PS : un nouveau décompte contesté confirme la victoire d'Olivier Faure », sur Le Point, (consulté le )
  41. « Crise au PS : contestations, invectives, cadres sidérés... le Congrès de Marseille aura-t-il lieu ? », sur ladepeche.fr (consulté le )
  42. « Carole Delga se lance dans la guerre des gauches », sur lejdd.fr (consulté le )
  43. "Retraites : « Une vraie réforme de gauche est possible »", dans Le Monde le 20 février 2023 [1]
  44. "Une tribune d’élus socialistes estime irréalistes la retraite à 60 ans et les 40 ans de cotisation pour tous", dans Public Sénat le 20 février 2023 [https://www.publicsenat.fr/article/politique/une-tribune-d-elus-socialistes-estime-irrealistes-la-retraite-a-60-ans-et-les-40}
  45. Réforme des retraites : Carole Delga écrit à Emmanuel Macron... "Prenez le temps de cette pause qui vous est demandée" [2]
  46. "Carole Delga assimile Kylian Mbappé et Yannick Noah à des immigrés", Paris Match, 7 juin 2023 [3]
  47. « Maladroite sur l’immigration, Carole Delga prise pour cible par les insoumis », sur Libération (consulté le )
  48. "Je regrette" : Carole Delga s'excuse après sa sortie sur Mbappé et Noah "originaires d'autres pays", par Claire Guedon, France Inter le 7 juin 2023 [4]
  49. « Après l'intrusion de l'Action française, Carole Delga s'en prend à l'Unef et divise à gauche », sur Le HuffPost, (consulté le )
  50. « Carole Delga cite leur livre pour justifier le projet de l'autoroute A69, réponse cinglante de Julia Cagé et Thomas Piketty », sur France 3 Occitanie, (consulté le )
  51. Julie Renson Miquel, « Christophe Cassou : «Le projet de l’A69 est emblématique car il coche toutes les cases de ‘‘l’impossible bifurcation’’» », Libération, (consulté le )
  52. Rémi Clément, « Pourquoi Carole Delga, présidente de la région Occitanie, s’accroche à l’A69? », Challenges, no 804,‎ , p. 30 (lire en ligne)
  53. Valérie Luxey, « Beaucaire : Carole Delga condamnée pour discrimination envers le maire RN », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le ).
  54. Agence France-Presse, « Carole Delga (PS) définitivement condamnée pour discrimination envers une mairie dirigée par le Rassemblement national », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  55. « Carole Delga condamnée définitivement pour « discrimination » envers le maire RN de Beaucaire », Les Échos, (consulté le )
  56. La présidente de Région saisit la Cour européenne des Droits de l'Homme
  57. « Carole Delga remplace Valérie Fourneyron au Commerce et à l'Artisanat », MidiLibre.fr,‎ (lire en ligne)
  58. « Résultats des élections législatives 2012 - Haute-Garonne (31) - 8ème circonscription », sur interieur.gouv.fr.
  59. « Résultats des élections régionales 2015 - Languedoc-Roussillon - Midi-Pyrénées », sur interieur.gouv.fr.
  60. « Elections régionales et des assemblées de Corse, Guyane et Martinique 2021 », sur elections.interieur.gouv.fr
  61. « Résultats des élections municipales 2008 - Martres-Tolosane (31220 - Haute-Garonne) », sur lexpress.fr.
  62. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 - Haute-Garonne (31) - Martres-Tolosane », sur interieur.gouv.fr.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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