Stéphane Le Foll — Wikipédia

Stéphane Le Foll
Illustration.
Stéphane Le Foll en 2014.
Fonctions
Maire du Mans
En fonction depuis le
(5 ans, 10 mois et 9 jours)
Élection
Réélection
Coalition PS-EÉLV (2018-2021)
PS (depuis 2021)
Prédécesseur Isabelle Sévère (intérim)
Jean-Claude Boulard
Président du Mans Métropole
En fonction depuis le
(5 ans, 10 mois et 9 jours)
Élection
Réélection
Prédécesseur Jean-Claude Boulard
Député français

(1 an et 23 jours)
Réélection 18 juin 2017
Circonscription 4e de la Sarthe
Législature XVe (Cinquième République)
Groupe politique NG
Prédécesseur Sylvie Tolmont
Successeur Sylvie Tolmont

(1 mois et 1 jour)
Élection 17 juin 2012
Circonscription 4e de la Sarthe
Législature XIVe (Cinquième République)
Groupe politique SRC
Prédécesseur Marc Joulaud
Successeur Sylvie Tolmont
Porte-parole du gouvernement

(3 ans, 1 mois et 15 jours)
Président François Hollande
Premier ministre Manuel Valls
Bernard Cazeneuve
Gouvernement Valls I et II
Cazeneuve
Prédécesseur Najat Vallaud-Belkacem
Successeur Christophe Castaner
Ministre de l'Agriculture,
de l'Agroalimentaire et de la Forêt
[N 1]

(5 ans et 1 jour)
Président François Hollande
Premier ministre Jean-Marc Ayrault
Manuel Valls
Bernard Cazeneuve
Gouvernement Ayrault I et II
Valls I et II
Cazeneuve
Prédécesseur Bruno Le Maire
Successeur Jacques Mézard
Député européen

(7 ans, 9 mois et 25 jours)
Élection 13 juin 2004
Réélection 7 juin 2009
Circonscription Ouest (France)
Législature 6e et 7e
Groupe politique PSE (2004-2009)
S&D (2009-2012)
Biographie
Date de naissance (64 ans)
Lieu de naissance Le Mans (France)
Nationalité Français
Parti politique PS
Diplômé de Université de Nantes
Conservatoire national des arts et métiers
Profession Professeur d'économie

Stéphane Le Foll
Maires du Mans
Ministres français de l'Agriculture

Stéphane Le Foll, né le au Mans (Sarthe), est un homme politique français.

Membre du Parti socialiste (PS), député européen de 2004 à 2012, il est élu député de la 4e circonscription de la Sarthe en 2012.

Il est ministre de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt de 2012 à 2017, fonction qu'il cumule avec celle de porte-parole du gouvernement à partir de 2014, sous la présidence de François Hollande.

Réélu député en 2017, il quitte l'Assemblée nationale l’année suivante, après son élection comme maire du Mans. Il est battu par Anne Hidalgo à la primaire socialiste de 2021 en vue de l’élection présidentielle de l’année suivante.

Origines, études et profession[modifier | modifier le code]

Stéphane Le Foll naît le au Mans. Après une carrière à La Poste de Paris, son père, originaire des Monts d'Arrée, est instituteur à Longnes ; sa mère vient des Côtes-d'Armor[1],[2].

Petit-fils d'agriculteur, il est titulaire d'un BTS Tradicopa (transformation, distribution et commercialisation des produits agricoles) obtenu au lycée agricole d'Amiens Le Paraclet[3], d'une maîtrise et d'un DEA d'économie (1988) de l'université de Nantes, ainsi que d'un diplôme professionnel spécialisé au Conservatoire national des arts et métiers (1993)[4],[5].

Il est marié à Marie-Hélène Bourdais, professeure des écoles et artiste-peintre, et a un enfant[6],[7].

Passionné de football, il joue un temps milieu de terrain en division d'honneur[7].

Il est professeur d'économie de 1983 à 1988 au lycée agricole de Rouillon[8] puis au lycée de La Ferté-Bernard, avant d'occuper les fonctions de chargé de cours à l'université de Nantes de 1998 à 1999[4],[9]. Il déclare avoir fait son service militaire en tant que sergent au 1er régiment d'infanterie de marine[10].

Parcours politique[modifier | modifier le code]

Débuts[modifier | modifier le code]

Stéphane Le Foll est élu conseiller municipal de Longnes de 1983 à 1995, puis conseiller municipal du Mans[11] et vice-président de la communauté urbaine Le Mans Métropole, à l'eau et à l'assainissement puis aux finances, à partir de 2001.

En , il est brièvement conseiller technique auprès du ministre de l'Agriculture Louis Le Pensec[11],[1],[2].

Permanent au siège du Parti socialiste à partir de 1991, il rencontre en 1994 François Hollande[2], dont il devient un proche ; il est son directeur du cabinet lors des années de ce dernier à la tête du Parti socialiste de à , membre du Conseil national depuis 2001, secrétaire national à la coordination de 2003 à 2005, membre du Bureau national depuis 2007[12].

Candidat aux élections législatives de 2002 dans la 4e circonscription de la Sarthe, il est battu au premier tour avec 25,2 % des suffrages contre François Fillon, qui obtient 55,2 %.

Député européen[modifier | modifier le code]

Élu député européen dans la circonscription Ouest le , il est membre au Parlement européen de la commission de l'agriculture et du développement rural, ainsi que de la délégation pour les relations avec le Conseil législatif palestinien. Il fait partie de la délégation du Parlement européen aux négociations de l'Organisation mondiale du commerce à Hong Kong en 2005. Réélu député européen le , il est vice-président du groupe de l'Alliance progressiste des socialistes et démocrates au Parlement européen du au .

En 2010, il est l'auteur d'un rapport sur l'agriculture et le changement climatique[13].

En 2006, il crée avec Edgard Pisani et d’autres chercheurs le groupe Saint-Germain, un groupe de réflexion sur les politiques alimentaires et agricoles visant à repenser le projet agricole[13].

Candidat à la députation pour les élections législatives de 2007, il est battu au premier tour, obtenant 30,0 % des suffrages contre 53,4 % pour son concurrent UMP, le Premier ministre François Fillon.

Le , il est élu premier secrétaire fédéral du Parti socialiste de la Sarthe. La même année, il fonde et préside l'association Répondre à gauche, soutenant François Hollande[6].

Lors de la primaire présidentielle socialiste de 2011, Stéphane Le Foll est le directeur de campagne de François Hollande. Le , il est désigné responsable de l’organisation de la campagne de François Hollande pour l'élection présidentielle de 2012.

Candidat aux élections législatives de 2012 pour la troisième fois consécutive dans la 4e circonscription de la Sarthe, il l'emporte au second tour le avec 59,5 % des voix face au candidat sortant de l'UMP Marc Joulaud[14]. Sa nomination en qualité de ministre le conduit à laisser son mandat à sa suppléante, Sylvie Tolmont, adjointe au maire de la commune de Fay[15].

Ministre de l'Agriculture[modifier | modifier le code]

Stéphane Le Foll avec François Hollande et Jean-Yves Le Drian en 2012, à Brest.

Le , il est nommé ministre de l'Agriculture et de l'Agroalimentaire dans le premier gouvernement de Jean-Marc Ayrault.

En , il annonce souhaiter qu'il n'y ait plus de dérogations accordées aux agriculteurs pour l'épandage aérien[16]. Deux ans plus tard toutefois, les épandages sont toujours autorisés dès lors qu'ils présentent un avantage économique pour l'agriculteur et plusieurs associations de défense de l'environnement soupçonnent le ministère de vouloir rendre encore plus facile l'obtention de ces dérogations[17].

En , il signe avec huit autres ministres européens de l'Agriculture une déclaration demandant à la Commission européenne l'autorisation pour les États membres de reprendre les subventions directes à la culture du tabac[18].

Dès 2012, il porte les réformes de la baisse des cotisations sociales pour les agriculteurs (730 millions d'euros par an), un plan de soutien aux filières d'élevages (comprenant l'effacement des dettes sociales et bancaires) ou encore la création d'années blanches bancaires et sociales. Néanmoins, il doit faire face au mouvement des Bonnets rouges en 2013 et à une crise agricole de grande ampleur en 2016[19].

En , le livre Les Cartels du lait[20] révèle qu'il a envoyé le une lettre à Marisol Touraine, ministre de la Santé, afin de la pousser à abandonner le système 5 couleurs[21],[22]. En de la même année, alors que l'interdiction des pesticides néonicotinoïdes pour tous les usages et toutes les cultures, y compris les semences enrobées, s'apprête à être votée en deuxième lecture par l'Assemblée nationale dans le cadre du projet de loi pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, il adresse une lettre aux députés pour les inciter à ne pas se prononcer en faveur d’une interdiction simple et totale[23].

Depuis , il détient le record de longévité au poste de ministre de l'Agriculture depuis la création du ministère en 1836[24].

Porte-parole du gouvernement[modifier | modifier le code]

En tant que porte-parole du gouvernement à partir du , Stéphane Le Foll se déclare à plusieurs reprises opposé à l'organisation d'une primaire à gauche pour l'élection présidentielle de 2017[25].

En , il initie le mouvement Hé oh la gauche, un mouvement politique soutenant François Hollande et sa politique. Selon Le Figaro, il s'agirait d'une première étape en vue de présenter la candidature de François Hollande à l'élection présidentielle de 2017[26].

Il est l'une des six personnalités à avoir participé à l'ensemble des gouvernements sous la présidence de François Hollande[27].

Député de la Sarthe[modifier | modifier le code]

Candidat à sa réélection lors des élections législatives de 2017, il l'emporte à l'issue du second tour. La République en marche choisit de ne pas présenter de candidat face à lui[28]. Après son élection, il se montre peu actif à l’Assemblée nationale[29],[30].

En , Stéphane Le Foll, annonce être candidat à la tête du Parti socialiste et publie un texte d'orientation intitulé Cher.e.s Camarades[31]. Il se désiste ensuite en faveur d'Olivier Faure à la suite des résultats du vote du portant sur l'élection du premier secrétaire, étant largement distancé[32].

Maire du Mans[modifier | modifier le code]

À la suite du décès de Jean-Claude Boulard, les élus socialistes et apparentés de la mairie du Mans choisissent Stéphane Le Foll pour lui succéder, par 12 voix contre 9[33]. Il est élu maire du Mans le [34]. Le jour même, il est élu président de la communauté urbaine Le Mans Métropole[35]. En application de la réglementation sur le cumul des mandats, il démissionne de son mandat de député le , sa suppléante Sylvie Tolmont lui succédant de nouveau à l’Assemblée nationale[36].

En , pour protester contre la décision du Parti socialiste de mener une liste commune avec Place publique aux élections européennes, il démissionne du bureau national du Parti socialiste[37],[38].

Il est tête de liste socialiste aux élections municipales de 2020 au Mans. À l'issue du premier tour, il est en ballottage favorable avec 41,9 % des suffrages exprimés[39],[40]. Il affronte au second tour Marietta Karamanli, députée PS dissidente, qui a recueilli 13 % des voix, tandis que la liste EÉLV est éliminée de justesse alors qu'elle était pronostiquée en seconde position par les observateurs[41]. Dans l'entre-deux-tours, Stéphane Le Foll est soutenu par la grande majorité des écologistes locaux[41]. Il l'emporte au second tour, le , avec 63,1 % des voix[42]. Le suivant, il est réélu maire lors de l'installation du conseil municipal[43],[44]. Peu après, il est reconduit à la tête du Mans Métropole[45].

Il rompt son alliance avec les élus écologistes après les élections départementales de 2021, les accusant de sédition durant la campagne. Il est également opposé à l'idée d'une alliance entre le PS et EÉLV au niveau national[46].

Primaire présidentielle socialiste de 2021[modifier | modifier le code]

En juillet 2021, il se prononce en faveur de l'organisation d'une primaire socialiste en vue de l'élection présidentielle de 2022, à laquelle il se dit « légitime à participer »[47]. Un vote des adhérents socialistes (« primaire fermée ») est organisé en  : Stéphane Le Foll y réunit 27 % des suffrages exprimés face à la maire de Paris, Anne Hidalgo (73 %). Il indique ensuite qu'il ne fera pas campagne pour cette dernière, jugeant que les divergences sont trop importantes entre eux[48].

Il s'oppose après l'élection présidentielle à l'union de la gauche et annonce soutenir les dissidents socialistes qui voudront se présenter aux élections législatives de 2022 contre les candidats investis par la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (NUPES)[49]. Il se propose par la suite de créer une « nouvelle fédération à gauche » avec les déçus du Parti socialiste d'Olivier Faure[50].

Détail des mandats et fonctions[modifier | modifier le code]

Au gouvernement[modifier | modifier le code]

À l’Assemblée nationale[modifier | modifier le code]

  •  : député de la 4e circonscription de la Sarthe.
  •  : député de la 4e circonscription de la Sarthe.

Au Parlement européen[modifier | modifier le code]

Au niveau local[modifier | modifier le code]

  •  : conseiller municipal de Longnes.
  • Depuis le  : conseiller municipal du Mans.
  • Depuis le  : conseiller communautaire du Mans Métropole.
    • 2001-2008 : vice-président du Mans Métropole, chargé de l’eau et de l’assainissement.
    • 2008-2012 : vice-président du Mans Métropole, chargé des finances.
  • Depuis le  : maire du Mans.
  • Depuis le  : président du Mans Métropole.

Synthèse des résultats électoraux[modifier | modifier le code]

Primaire présidentielle[modifier | modifier le code]

Année Parti Unique tour Issue
Voix % Rang
2021[51] PS 5 741 27,40 2e Battu

Élections législatives[modifier | modifier le code]

Année Parti Circonscription 1er tour 2d tour Issue
Voix % Rang Voix % Rang
2002[52] PS 4e de la Sarthe 11 712 25,1 2e Battu
2007[52] 14 592 30,0 2e Battu
2012[52] 21 415 46,0 1er 26 019 59,5 1er Élu
2017[53] 10 954 30,3 1er 16 117 54,9 1er Élu

Élections municipales[modifier | modifier le code]

Les résultats ci-dessous concernent uniquement les élections où il est tête de liste.

Année Parti Commune 1er tour 2d tour Sièges obtenus
Voix % Rang Voix % Rang
2020[39] PS Le Mans 13 492 41,9 1er 14 317 63,1 1er
45  /  55

Ouvrages[modifier | modifier le code]

Dans la fiction[modifier | modifier le code]

Décorations[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Portefeuille de la Forêt rajouté le .

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Catherine Magueur, « Stéphane Le Foll. Le hollandais de toujours sort de l'ombre », Le Télégramme.com,‎ (lire en ligne).
  2. a b et c Valentine Pasquesoone, « Stéphane Le Foll, un fidèle, spécialiste de l'agriculture », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne).
  3. Denis Desbleds, « Stéphane Le Foll: «les Mille vaches, pas mon projet» », Le Courrier picard, (consulté le ).
  4. a et b « Stéphane Le Foll, un des Mousquetaires de François Hollande », Le Point.fr,‎ (lire en ligne).
  5. Sophie Louet, « Stéphane Le Foll, un "roc" à l'Agriculture », Le Nouvel Observateur,‎ (lire en ligne).
  6. a et b « Fiche de Stéphane Le Foll sur WikiPol, établie par Slate.fr » [archive du ].
  7. a et b Luc Le Vaillant, « Ses missions impossibles », Libération,‎ (lire en ligne).
  8. « Des postes dans l'enseignement agricole », sur Le Figaro, .
  9. « Biographie de Stéphane le Foll », sur gouvernement.fr (consulté le ).
  10. Sylvain Chazot, «  Service militaire : Stéphane Le Foll conseille au "tire-au-flanc" Éric Ciotti d'éviter de "donner des leçons"  », sur Le Lab (Europe 1), .
  11. a et b AFP, « Portrait. Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture », Ouest-france.fr,‎ (lire en ligne).
  12. « Fiche de Stéphane Le Foll, sur son site ».
  13. a et b « Stéphane Le Foll nommé ministre de l’agriculture et de l’agroalimentaire, , site du groupe PAC 2013 ».
  14. « 4e circonscription (Le Mans-Sablé). Stéphane Le Foll élu », Ouest-France.fr,‎ (lire en ligne).
  15. « 4e circonscription. La socialiste Sylvie Tolmont sera la suppléante de Stéphane Le Foll », sur legislatives2012.ouest-france.fr, .
  16. « En finir avec l'épandage (Le Foll) », sur Le Figaro, .
  17. Martine Valo, « Pesticides : les épandages aériens vont se poursuivre en France », Le Monde.fr,‎ (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
  18. (en) « Italy leads late bid to boost EU tobacco subsidies », Reuters,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. Anne Rovan, « Un salon de l'agriculture sous tensions pour l'exécutif », Le Figaro, samedi / dimanche , pages 2-3.
  20. Elsa Casalegno, Nicolas Cori et Karl Laske, Les Cartels du lait : Comment ils remodèlent l’agriculture et précipitent la crise., Don Quichotte, , 528 p. (ISBN 978-2-35949-456-3, lire en ligne).
  21. « Étiquetage nutritionnel "5 couleurs" menacé: Rivasi veut faire pression sur Touraine », www.francesoir.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. « «Les Cartels du lait»: Le Foll, ministre sous influence », Mediapart,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. « Le jeu trouble de Stéphane Le Foll sur les pesticides », sur lemonde.fr, .
  24. Sébastien Tronche, « Stéphane Le Foll bat le record de longévité au ministère de l’Agriculture », sur Le Lab d'Europe 1, .
  25. « Stéphane Le Foll contre l'organisation d'une primaire au Parti socialiste », RTL.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Hé oh la gauche ! », l'opération survie des hollandais », sur Le Figaro, (consulté le ).
  27. Cédric Pietralunga, « François Hollande procède à un remaniement a minima », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  28. « Pourquoi En Marche ne présente pas de candidat dans ces circonscriptions », sur lejdd.fr, (consulté le ).
  29. « Ces députés qui boudent (déjà) les bancs de l'Assemblée nationale », sur lexpress.fr, (consulté le ).
  30. « Qui sont les députés les plus actifs à l'Assemblée ? », sur cnews.fr, (consulté le ).
  31. « Cher.e.s camarades, | Répondre à Gauche », sur repondreagauche.fr (consulté le ).
  32. « Stéphane Le Foll se retire au profit d'Olivier Faure », sur RTL.fr, (consulté le ).
  33. « Le Mans: Stéphane Le Foll pourrait devenir le nouveau maire », sur 20 minutes, .
  34. « Stéphane Le Foll élu maire du Mans », sur 20minutes.fr (consulté le ).
  35. Hugues Gesbert, « Le Mans. Stéphane Le Foll, le maire qui sort de l’ombre », sur Ouest-France.fr, (consulté le )
  36. Composition de l'assemblée.
  37. Sophie de Ravinel, « Stéphane Le Foll : « J'ai décidé, et d'autres avec moi, de quitter le bureau national du PS » », sur Le Figaro, (consulté le ).
  38. « PS: Le Foll quitte le Bureau national, en désaccord avec le soutien à la candidature Glucksmann », sur Le Point, (consulté le ).
  39. a et b « Résultats municipales 2020 à Le Mans », sur Le Monde.fr, Le Monde (ISSN 1950-6244, consulté le ).
  40. « Municipales 2020. Au Mans, Stéphane Le Foll en ballotage très favorable face à Marietta Karamanli », sur actu.fr, (consulté le ).
  41. a et b Pauline Graulle, « Municipales: entre écolos et socialistes, l’accord est (presque) la norme », sur Mediapart, (consulté le ).
  42. « Municipales 2020. Résultats du second tour au Mans : Stéphane Le Foll réélu avec 63,14 % des voix », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
  43. « Le Mans. Stéphane Le Foll officiellement installé dans ses fonctions de maire », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
  44. « Stéphane Le Foll élu maire du Mans », sur sweetfm.fr, (consulté le ).
  45. « Le Mans métropole. Le maire du Mans Stéphane Le Foll réélu président », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
  46. Joseph Korda, « Gauche. Au Mans, Le Foll placardise les Verts », sur L'Humanité, (consulté le ).
  47. John Timsit, « Présidentielle 2022 : Stéphane Le Foll réclame une primaire PS », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  48. « Présidentielle : Stéphane Le Foll ne participera pas à la campagne d'Anne Hidalgo, candidate investie par le PS », sur actu.orange.fr, (consulté le ).
  49. « Elections législatives 2022 : les dissidents socialistes en guerre ouverte contre la direction du PS », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  50. Naïm Sakhi, « Au PS, les anti-Nupes tentent de se fédérer », sur L'Humanité,
  51. « Combien de personnes ont voté pour l’investiture d’Anne Hidalgo comme candidate du PS ? », sur liberation.fr, (consulté le ).
  52. a b et c « Tous les jeux de données de 1958 à 2012 au format XLS en une archive », sur data.gouv.fr (consulté le ).
  53. Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections législatives 2017 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  54. in biographie complète, Who's who in France, éditions Lafitte-Hébrard, 2017
  55. « Décret no 2002-88 du 17 janvier 2002 relatif à l'ordre du Mérite maritime », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]