Saint-Genès-Champanelle — Wikipédia

Saint-Genès-Champanelle
Saint-Genès-Champanelle
Le hameau de Nadaillat.
Blason de Saint-Genès-Champanelle
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Clermont-Ferrand
Intercommunalité Clermont Auvergne Métropole
Maire
Mandat
Christophe Vial
2020-2026
Code postal 63122
Code commune 63345
Démographie
Gentilé Champanellois
Population
municipale
3 883 hab. (2021 en augmentation de 12,94 % par rapport à 2015)
Densité 75 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 43′ 13″ nord, 3° 01′ 06″ est
Altitude Min. 660 m
Max. 1 252 m
Superficie 51,58 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Clermont-Ferrand
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Beaumont
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.saint-genes-champanelle.fr

Saint-Genès-Champanelle (en occitan : Sent Genès de Champanela) est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Elle fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand et est adhérente du parc naturel régional des Volcans d'Auvergne.

Ses habitants, au nombre de 3 883 au recensement de 2021, sont appelés les Champanellois et les Champanelloises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Village de Beaune-le-Chaud
Hameau de Beaune-le-Chaud.

La commune est située au centre du département du Puy-de-Dôme, à l'ouest de Clermont Auvergne Métropole dont elle fait partie. Elle est composée de douze hameaux et le hameau central qui a donné le nom à la commune est historiquement le plus petit d'entre les douze. Il est constitué de quelques habitations qui entourent les nombreux et importants équipements communaux (mairie, groupe scolaire, crèche, médiathèque, salle des fêtes, gymnase et équipements sportifs, caserne de pompiers, poste, etc.). La vocation résidentielle de la commune s'est affirmée au cours des dernières décennies et les centres anciens des hameaux se sont entourés d'une couronne de constructions nouvelles.

Liste des hameaux (entre parenthèses le gentilé adopté lors du conseil municipal du jeudi 25 mars 1999) :

  • Beaune-le-Chaud (Beaunois) ;
  • Berzet (Berzétois) ;
  • Champeaux (Champeaunois) ;
  • Chatrat (Chatradiens) ;
  • Fontfreyde (Fontfreydois) ;
  • Laschamps (Laschampois) ;
  • Manson (Mansonnais) ;
  • Nadaillat (Nadaillatois) ;
  • Pardon (Pardonnais) ;
  • Saint-Genès-Champanelle (Champanellois) ;
  • Thèdes (Thédésiens) ;
  • Theix (Theixois).

Elle est au cœur de la chaîne des Puys et plusieurs de ceux-ci sont sur son territoire : puy de la Vache, puy de Lassolas, puy de Mercœur, etc. De nombreux sentiers de petite randonnée la parcourent et elle est traversée par le sentier de grande randonnée 4.

Neuf communes jouxtent Saint-Genès-Champanelle[1] :

Communes limitrophes de Saint-Genès-Champanelle
Ceyssat Orcines Royat
Nébouzat Saint-Genès-Champanelle Ceyrat,
Romagnat
Aydat Chanonat,
Saint-Saturnin

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune s'étend sur 5 158 hectares[2].

La mairie se trouve à 880 mètres d'altitude. L'altitude de la commune varie de 660 mètres[2], dans la vallée qui part sous le hameau de Nadaillat, à 1 252 mètres[2], au sommet de la montagne de Laschamps (volcan).

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Plusieurs ruisseaux naissent sur la commune. Certains forment l'Auzon, d'autres l'Artière, et les derniers, mais dans une moindre mesure, la Tiretaine. L'ensemble finit dans l'Allier.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

Les deux principales routes traversant la commune sont les routes départementales 2089 (anciennement RN 89, reliant Clermont-Ferrand à Tulle et Bordeaux et traversant le hameau de Theix) et 942 (anciennement RD 941a et RN 141a à Laschamps, à l'ouest de la commune).

Les autres routes assurent un maillage local des différents hameaux de la commune[1] :

  • la RD 5 dessert Thèdes et de Chatrat, continuant vers le sud-ouest jusqu'au carrefour avec les routes menant au Mont-Dore (RD 983), avec deux antennes : la RD 5f permettant de rejoindre Royat et la RD 5g desservant Charade (hameau de Royat);
  • la RD 52, en provenance de Ceyssat à l'ouest, passant par Laschamps, le bourg, Theix, puis après un tronc commun avec la RD 2089, cette route mène en direction de Chanonat (par le hameau de Varennes) ;
  • la RD 90, en provenance de Fontanas (hameau d'Orcines) au nord, passant par Manson, Thèdes, le bourg, puis Fontfreyde, avec une antenne, la RD 90n, reliant Fontfreyde à la RD 2089 en direction de la Cassière (hameau d'Aydat) ;
  • la RD 96, reliant Theix (au carrefour avec la RD 2089) à Saint-Saturnin ;
  • la RD 133, reliant le bourg à Ceyrat en passant par Berzet ;
  • la RD 145, reliant Nadaillat à Rouillas-Haut et Rouillas-Bas (hameaux d'Aydat) ;
  • la RD 767, reliant Laschamps au quartier de Boisséjour de Ceyrat en passant par Manson et en longeant le circuit de Charade par le nord ; cette route possède deux antennes :
    • la RD 767a reliant la RD 942 à Laschamps,
    • la RD 767b déviant Manson par l'est ;
  • la RD 778 reliant Beaune-le-Chaud à Fontfreyde.

Transports ferroviaires[modifier | modifier le code]

Il n'y a jamais eu de ligne de chemin de fer sur la commune.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Genès-Champanelle est desservie par le transport à la demande du réseau T2C. Le service assure des correspondances avec les lignes majeures du réseau, notamment le tramway et la ligne B[3].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Ouest et nord-ouest du Massif Central » et « Nord-est du Massif Central »[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 093 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Fontaine-du-Ber_sapc », sur la commune d'Orcines à 7 km à vol d'oiseau[6], est de 8,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 023,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Genès-Champanelle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (52,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41,1 %), prairies (28,8 %), zones agricoles hétérogènes (12,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10 %), zones urbanisées (6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,5 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Zonages d'études[modifier | modifier le code]

Selon les zonages d'étude définis par l'Insee, Saint-Genès-Champanelle dépend également de la zone d'emploi et du bassin de vie de Clermont-Ferrand[16].

Morphologie urbaine et villages[modifier | modifier le code]

Beaune-le-Chaud[modifier | modifier le code]

Beaune-le-Chaud (45° 43′ 37″ N, 2° 59′ 28″ E) est située à trois kilomètres à l'ouest du chef-lieu, par la route départementale 52. Village rural, son nom est dû à l'exposition sud-sud-est du puy de Chatrat, au nord[SGC 1].

Berzet[modifier | modifier le code]

Berzet (45° 43′ 26″ N, 3° 02′ 42″ E) est située sur la route de Saint-Genès à Ceyrat par la route départementale 133, dominé par le puy de Berzet au bord de la faille de la Limagne[SGC 2].

Champeaux[modifier | modifier le code]

Champeaux (45° 44′ 24″ N, 3° 02′ 28″ E), petit village au nord-est de la commune et accessible par la route départementale 767 depuis Boisséjour (commune de Ceyrat), est composé de Champeaux Bas, avec des anciennes fermes, et Champeaux Haut, avec un habitat plus moderne[SGC 3].

Chatrat[modifier | modifier le code]

Chatrat (45° 43′ 37″ N, 3° 00′ 22″ E), à l'écart des routes principales de la commune (accès le plus proche par la D 5), est le point de départ de nombreux chemins de randonnée[SGC 4].

Fontfreyde[modifier | modifier le code]

Fontfreyde (45° 42′ 11″ N, 3° 00′ 11″ E) est située au sud de la commune, près de la route de Clermont-Ferrand à Bordeaux (D 2089), à la limite avec Aydat. Les carrières attenant à la cheire de Mercoeur, exploitées jusqu'au milieu du XXe siècle, ont servi à la construction des maisons du village[SGC 5].

Laschamps[modifier | modifier le code]

Situé au nord-ouest de la commune, Laschamps (45° 44′ 29″ N, 2° 58′ 01″ E) est aussi le village le plus haut. La proximité du puy de Dôme et de Vulcania font de ce village le point de départ de circuits de randonnée[SGC 6]. Le 17 septembre 1865, le village est ravagé en grande partie par un incendie dévastateur[17] qui fit plusieurs victimes et de nombreux dégâts matériels[18],[19].

Manson[modifier | modifier le code]

Manson (45° 44′ 42″ N, 3° 00′ 50″ E) est située au nord de la commune. Elle conserve une activité agricole importante parallèlement à l'arrivée de nouveaux habitants[SGC 7].

Nadaillat[modifier | modifier le code]

Nadaillat (45° 41′ 28″ N, 3° 02′ 02″ E) est situé « sur les flancs d'une coulée basaltique » à une altitude de 900 mètres, au pied de la montagne de la Serre. Elle dépendait de la paroisse de Chanonat jusqu'à la Révolution, puis à celle de Saint-Genès sous Napoléon Ier. L'habitat se caractérise par des « maisons à étages », des « escaliers en pierre » et des rues étroites[SGC 8].

Pardon[modifier | modifier le code]

Pardon (45° 43′ 08″ N, 3° 00′ 14″ E), située à un kilomètre à l'ouest du chef-lieu par la D 52, témoigne d'une « ancienne vie rurale, pastorale et communautaire active »[SGC 9].

Saint-Genès (chef-lieu)[modifier | modifier le code]

Thèdes[modifier | modifier le code]

Thèdes (45° 44′ 13″ N, 3° 01′ 26″ E) est située au nord-est de la commune. Orthographiée Thedde en 1326 ou Theylde en 1336[SGC 10].

Theix[modifier | modifier le code]

Theix (45° 42′ 18″ N, 3° 01′ 19″ E) est traversée par la route départementale 2089 (route du Mont-Dore), où sont implantés des commerces ainsi qu'une station-service. Quelques centaines de mètres à l'est, le Plat d'Auzat est un quartier résidentiel[SGC 11].

Logement[modifier | modifier le code]

En 2017, la commune comptait 1 682 logements, contre 1 507 en 2012 et 1 308 en 2007. Parmi ces logements, 85,2 % étaient des résidences principales, 4,4 % des résidences secondaires et 10,4 % des logements vacants (3,5 % en 2007). Ces logements étaient pour 96 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,8 % des appartements[a 1].

La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 85,5 %, en baisse sensible par rapport à 2012 (86,3 %) mais en hausse par rapport à 2007 (84,5 %). La part de logements HLM loués vides était de 4,5 % (contre 2,1 % en 2012 et 2007)[a 2].

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est soumise aux risques de feu de forêt, de phénomènes liés à l'atmosphère, de phénomènes météorologiques, et de séisme (zone de sismicité de niveau 3)[20]. Un DICRIM a été établi par la commune[SGC 12].

Le séisme le plus violent ressenti dans la région de Clermont-Ferrand date du . Un sismomètre vélocimétrique est implanté dans la commune, au Petit Puy de Manson[21]. Le dernier séisme ressenti dans la commune date du , son épicentre est localisé à Pont-du-Château, dans la plaine de la Limagne[SGC 12].

Une cavité souterraine est présente entre Fontfreyde et la Cassière (lieu-dit de la commune d'Aydat) : l'ancien tunnel routier de la Cassière présente des risques d'effondrement[SGC 12].

Deux installations industrielles sont implantées, une au chef-lieu (Société MICHEL TERRASSEMENT), une autre à Theix (Société Laitière des Volcans d'Auvergne)[20].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La commune s'est orthographiée Saint Genest de Champanelle sur la carte de Cassini (XVIIIe siècle), Saint Genest Champanelle sous l'an II, Saint-Geneix-Champanelle au Bulletin des lois et s'orthographie Saint-Genès-Champanelle actuellement[22].

Genès est un martyr chrétien, un disciple de Syrénat, compagnon d'Austremoine de Clermont, et évangélisateur de la région au IIIe siècle ou au début du IVe siècle. L'Office du Saint le dit originaire de Mycènes mais d'autres sources le font naître dans la région. Reconnu comme chrétien, il aurait été, si l'on en croit la tradition thiernoise (voir Église Saint-Genès de Thiers), décapité par un soldat romain sur un rocher (dit aujourd'hui rocher Saint-Genès) situé juste en dessous de l'actuel cimetière Saint-Jean de Thiers.

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

Saint-Genès-Champanelle fait partie de l'arrondissement de Clermont-Ferrand.

En 1793, la commune était rattachée au canton de Beaumont, puis au canton de Clermont-Ferrand-Sud-Ouest en 1801. Un décret de 1982 replace la commune dans le canton de Beaumont[22], lequel n'a pas été modifié par le redécoupage des cantons du département de 2014[23].

Entre 1790 et 1794, elle absorbe la commune de La Champ. Les deux communes formaient ainsi une municipalité de Saint Genest Champanelle Theix et La Champ[22]. nota : la fiche sur le site de l'EHESS est erronée et est en cours de rectification à propos de Leix.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Aux élections législatives de 2012, la députée Danielle Auroi, élue dans la 3e circonscription, a recueilli 60,57 % des suffrages exprimés. 68,09 % des électeurs ont voté, soit 1 786 votants sur 2 623 inscrits[24].

Seul candidat à s'être représenté aux élections municipales de 2014, Roger Gardes a été réélu au premier tour. Le taux de participation est de 61,03 % (1 665 votants sur 2 728 inscrits)[25].

Aux élections départementales de 2015, le binôme constitué de Jean-Paul Cuzin et d'Anne-Marie Picard, élu dans le canton de Beaumont, n'est pas arrivé en tête au second tour (43,89 % des voix) contrairement au premier tour (26,52 %). L'autre binôme (Éric Egli et Dominique Molle), d'une liste union de la gauche, a recueilli 56,11 % des voix au second tour ; au premier tour il atteignait 24,26 % des voix, à égalité avec un binôme divers gauche. 53,90 % des électeurs ont voté au second tour, soit 1 472 votants sur 2 731 inscrits[26].

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Lors des élections municipales de 2020, le seuil de 3 500 habitants a été franchi. Le conseil municipal est composé de vingt-sept membres, dont sept adjoints et trois conseillers délégués[SGC 13].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[27]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1864 1906 Franck Chauvassaigne   Conseiller général
1906 1912 Antoine Chaucot    
1912 1919 Antoine Gauthier    
1919 1944 Jean Toury    
1945 1947 Claude Martin Chirent    
1947 1954 Jean Joseph Cissoire    
1954 1971 Raymond Toury    
1971 1977 Claude Gauthier    
1977 1989 Paul Gauthier PS  
1989 2020 Roger Gardes[28] PS Président du parc naturel régional des volcans d'Auvergne
3e vice-président de Clermont Auvergne Métropole
chargé de l'urbanisme, des espaces naturels, des cours d'eau, du tourisme et des partenariats institutionnels (en 2017)[29]
2020 En cours
(au 7 septembre 2020)
Christophe Vial[30] PS Chargé d'études dans une collectivité territoriale[31]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Une déchèterie, gérée par Clermont Auvergne Métropole, est implantée sur le territoire communal[32].

Jumelages[modifier | modifier le code]

Saint-Genès-Champanelle est jumelée avec :

Le comité de jumelage organise tout au long de l'année des manifestations en collaboration avec ses villes jumelles (rencontres citoyennes, marché de Noël, repas à thème, concerts, tables rondes…).

Population et société[modifier | modifier le code]

La richesse de la vie associative et la création récente d'équipements collectifs de qualité permettent de satisfaire une grande partie des besoins de la population en matière culturelle et sportive.

Par ailleurs, la beauté et la variété des paysages attirent de plus en plus d'amoureux de la nature.

Ainsi se développe une économie nouvelle basée sur l'accueil touristique et les loisirs sportifs : randonnées pédestres et équestres, VTT, parapente, etc.

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

En 2021, la commune comptait 3 883 habitants[Note 3], en augmentation de 12,94 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 9501 7022 1692 2172 1262 0402 0192 1192 119
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 0012 0291 8781 9021 8881 9091 9091 9021 760
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 7711 6781 6291 4201 5491 3731 3021 1541 173
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 2131 4061 5922 0082 4652 6883 0033 0443 277
2017 2021 - - - - - - -
3 6123 883-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (34,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,3 % la même année, alors qu'il est de 27,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 833 hommes pour 1 808 femmes, soit un taux de 50,34 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,4 
4,2 
75-89 ans
5,1 
18,5 
60-74 ans
15,9 
20,5 
45-59 ans
22,5 
22,1 
30-44 ans
21,6 
11,7 
15-29 ans
12,1 
22,5 
0-14 ans
22,3 
Pyramide des âges du département du Puy-de-Dôme en 2020 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
7,2 
75-89 ans
10,1 
17,7 
60-74 ans
18,4 
20,3 
45-59 ans
19,4 
18,4 
30-44 ans
17,4 
18,6 
15-29 ans
17,2 
17,1 
0-14 ans
15,4 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Saint-Genès-Champanelle dépend de l'académie de Clermont-Ferrand.

Les élèves commencent leur scolarité dans le groupe scolaire public Les Volcans composé d'une école maternelle et d'une école élémentaire[38], géré par la commune.

Ils la poursuivent au collège Molière, à Beaumont[39], puis à Clermont-Ferrand, aux lycées lycée Jeanne-d'Arc ou Blaise-Pascal[40].

Sports[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2017, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 2 249 personnes, parmi lesquelles on comptait 78 % d'actifs dont 74 % ayant un emploi et 4 % de chômeurs[a 3].

On comptait 1 084 emplois dans la zone d'emploi. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone étant de 1 674, l'indicateur de concentration d'emploi s'élève à 64,8 %, ce qui signifie que la commune offre moins d'un emploi par habitant actif[a 4].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Au , la commune comptait 190 entreprises, dont 40 dans le commerce de gros et de détail, et autant dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien[a 5].

En outre, elle comptait 202 établissements[a 6].

La Société laitière des volcans d'Auvergne y emploie 160 personnes dans sa laiterie de Theix[42] et l'Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (INRAE) y a installé un important centre de recherche (entre les hameaux de Theix et de Saint-Genès).

Les commerces sont implantés dans les villages de Theix (une boulangerie-pâtisserie, un magasin de fruits et légumes et un bar-tabac-presse) et de Fontfreyde (commerce de détail de boissons)[SGC 14].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Au , la commune comptait deux hôtels non classés, totalisant 21 chambres[a 7]. Le site de la mairie mentionne, entre autres, un hôtel quatre étoiles à Beaune-le-Chaud et un hôtel trois étoiles à Laschamps[SGC 15].

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Outre les églises et chapelles des villages, on trouve sur la commune les lieux suivants :

  • Agglomération romaine du col de Ceyssat, sur les communes de Ceyssat, Orcines et Saint-Genès-Champanelle
  • À Theix, un château remanié à plusieurs époques se situe au milieu d'un grand parc. Entre 1939 et 1945, le pavillon sainte Marguerite, résidence du régisseur de château, est réquisitionné par les autorités Clermontoises[43]. Les documents évacués de la Bibliothèque Nationale et Universitaire de Strasbourg sont stockés au château des Quayres, de Cordès et de Theix[44]. Après la deuxième guerre mondiale, la propriété est partagée entre les 4 enfants du propriétaire[43]. En 1951, la Caisse d'allocations familiales du Puy-de-Dôme achète le domaine[43]. À partir de 2001, le château est occupé par Cap' Vacances, loué à partir de 2008 par Temps Jeunes[43]. Il appartient depuis août 2014 à l'association de colonies de vacances Temps Jeunes.
  • Sur le territoire du village de Laschamps, entre les départementales 942 et 767a, se trouve une stèle en hommage à Étienne Michelin, sur le lieu de son crash[45].
  • Le village de Fontfreyde possède une chapelle construite en 1870, dédiée à saint Georges, abritant une stèle portant l'inscription « Mgr Jean CHAUCOT / partit de Fontfreyde le 10 septembre / missionnaire en Amérique / il s'est embarqué à Brest / en compagnie de 50 jeunes / missionnaires il y a 120 ans / ( don 20 novembre 1987 ) ».
  • Le village de Laschamp, situé en limite d'une coulée de lave, possède au moins deux sites où l'inversion du champ magnétique terrestre se manifeste, l'un à proximité du village et l'autre à Roche Merle. L'excursion de Laschamp, datée de 41 000 ans, est une référence internationale dans l'échelle des inversions du magnétisme terrestre.
  • Plantée au milieu des pâturages de Manson, quasi à mi-chemin de Laschamps, se trouve la chapelle Saint-Aubin. Construite en 1954, à côté des fondations d'un ancien oratoire, elle abrite la source dite miraculeuse de La Chabana. Les fresques intérieures, peintes par André Siramy, illustrent les légendes liées à la source qui guérirait les maladies des yeux.
  • La chapelle de Thèdes
    La chapelle de Thèdes
    À Thèdes, Benoît Gonod, professeur au collège de Clermont-Ferrand et bibliothécaire de la ville, fait construire au milieu du XIXe siècle un tombeau pour lui et sa femme dans le village où ils avaient une villégiature. C'est une chapelle ronde, ornée de quatre vitraux et meublée d'un autel et d'une statue, dans laquelle les habitants du village pouvaient venir se recueillir. Lors de sa construction, des sarcophages de pierre, datant des Mérovingiens, furent exhumés.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Béatrice Boudet, Thèdes, sur le sentier de son histoire, Saint-Genès-Champanelle, (présentation en ligne)
  • Béatrice Boudet, Saint-Genès-Champanelle, un bourg, un chef-lieu, Saint-Genès-Champanelle, (présentation en ligne)
  • Béatrice Boudet, Chatrat s'abreuve à la source du passé, Saint-Genès-Champanelle, (présentation en ligne)
  • Béatrice Boudet, Nadaillat... sur le chemin du temps qui passe..., Saint-Genès-Champanelle,
  • Béatrice Boudet, Lapchamps : de tradition en renommée,
  • Béatrice Boudet, Pardon au fil des mots,
  • Béatrice Boudet, Manson se souvient,
  • Béatrice Boudet, Fontfreyde et ses mémoires, Saint-Genès-Champanelle, , 70 p.
  • Béatrice Boudet, Regard sur Baune-le-Chaud,
  • Béatrice Boudet, Le Piare raconte Berzet, Saint-Genès-Champanelle, Comité des fêtes de Berzet,
  • Béatrice Boudet, Theix d'hier et d'aujourd'hui, Comité des fêtes de Theix et Office Champanellois,
  • Encyclopédie historique Champanelloise : ou histoire des familles et des villages de Saint Genès Champanelle, 2011 : plusieurs éditions depuis 2006
  • Béatrice Boudet, Eglise de Laschamps,
  • Jean-Claude Quesne, La Bergerie de Saint-Genès-Champanelle, 80 p.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Références Insee[modifier | modifier le code]

Dossier relatif à la commune

  1. LOG T2 – Catégories et types de logements.
  2. LOG T7 – Résidences principales selon le statut d'occupation.
  3. EMP T1 – Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
  4. EMP T5 – Emploi et activité.
  5. DEN T3 – Nombre d'unités légales par secteur d'activité au .
  6. DEN T5 – Nombre d'établissements par secteur d'activité au .
  7. TOU T1 – Nombre et capacité des hôtels au .

Site de la mairie[modifier | modifier le code]

  1. « Beaune-le-Chaud » (consulté le ).
  2. « Berzet » (consulté le ).
  3. « Champeaux » (consulté le ).
  4. « Chatrat » (consulté le ).
  5. « Fontfreyde » (consulté le ).
  6. « Laschamps » (consulté le ).
  7. « Manson » (consulté le ).
  8. « Nadaillat » (consulté le ).
  9. « Pardon » (consulté le ).
  10. « Thèdes » (consulté le ).
  11. « Theix » (consulté le ).
  12. a b et c « DICRIM Document d'Information Communal sur les Risques Majeurs. Les risques à Saint-Genès-Champanelle » [PDF] (consulté le ).
  13. « Le Conseil municipal » (consulté le ).
  14. « Commerces » (consulté le ).
  15. « Hébergement en gîtes - Hôtels » (consulté le ).

Autres références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Carte de Saint-Genès-Champanelle sur le site Géoportail de l'IGN.
  2. a b et c « Répertoire géographique des communes », Institut national de l'information géographique et forestière.
  3. « Service transport à la demande régulier », sur t2c.fr (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Saint-Genès-Champanelle et Orcines », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Fontaine-du-Ber_sapc », sur la commune d'Orcines - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Fontaine-du-Ber_sapc », sur la commune d'Orcines - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. « Commune de Saint-Genès-Champanelle (63345) », sur insee.fr (consulté le ).
  17. « L'incendie du 17 septembre 1865 », sur cghc.free.fr, Cercle Généalogie et Historique Champanellois, (consulté le ).
  18. Laschamps, de traditions en renommée, Office Champanellois, .
  19. « Le village de Laschamps révèle ses mystères », sur lamontagne.fr, (consulté le ).
  20. a et b « Les risques près de chez moi », sur georisques.gouv.fr, Ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
  21. « Dossier départemental sur les risques majeurs dans le Puy-de-Dôme » [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ), p. 65.
  22. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Décret no 2014-210 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Puy-de-Dôme, sur Légifrance.
  24. « Résultats des élections législatives 2012 », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  25. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  26. « Résultats des élections départementales 2015 », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  27. « Les maires de Saint-Genès-Champanelle », sur MairesGenWeb (consulté le ).
  28. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme » [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  29. « GARDES ROGER », Clermont Auvergne Métropole (consulté le ).
  30. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme », sur amr63.asso.fr, Association des maires ruraux du Puy-de-Dôme (consulté le ).
  31. Supplément « Annuaire des maires Puy-de-Dôme », La Montagne, , p. 33 (édition du Puy-de-Dôme).
  32. « Déchetterie de Saint-Genès-Champanelle », Clermont Auvergne Métropole (consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Genès-Champanelle (63345) », (consulté le ).
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Puy-de-Dôme (63) », (consulté le ).
  38. « Puy-de-Dôme (63), Saint-Genès-Champanelle, écoles », Annuaire, Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  39. « Sectorisation Puy-de-Dôme », sur puy-de-dome.fr, Conseil départemental du Puy-de-Dôme (consulté le ). Dans le champ de recherche « Saisir votre commune », taper « Saint-Genès-Champanelle ».
  40. Service académique d'information et d'orientation, « Arrêté rectoral en date du relatif à la répartition des districts scolaires des lycées des départements de l'Allier, du Cantal, de la Haute-Loire et du Puy-de-Dôme » [PDF], Académie de Clermont-Ferrand (consulté le ), p. 35.
  41. Frantz Reichel, « La coupe Gordon-Bennett : l'éliminatoire française », Le Figaro,‎ , p. 3 (lire en ligne, consulté le ).
  42. Site SLVA (consulté le 17 mai 2017).
  43. a b c et d Béatrice Boudet, Theix d'hier et d'aujourd'hui, Comité des fêtes de Theix et Office Champanellois, , p. 11-12
  44. Georges Bischoff, « Strasbourg – Clermont 1939-1945. L’Université de la Résistance », Revue d'Histoire et de Philosophie religieuses, vol. 91, no 3,‎ , p. 339–351 (DOI 10.3406/rhpr.2011.1566, lire en ligne, consulté le )
  45. « Etienne Michelin », sur Aérostèles, lieux de mémoire aéronautique (consulté le ).