Pontgibaud — Wikipédia

Pontgibaud
Pontgibaud
Château des Dauphins d'Auvergne.
Blason de Pontgibaud
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Riom
Intercommunalité Communauté de communes Chavanon Combrailles et Volcans
Maire
Mandat
Jean-Jacques Lassalas
2020-2026
Code postal 63230
Code commune 63285
Démographie
Gentilé Gibaldipontin
Population
municipale
731 hab. (2021 en diminution de 0,95 % par rapport à 2015)
Densité 159 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 49′ 59″ nord, 2° 51′ 04″ est
Altitude Min. 639 m
Max. 779 m
Superficie 4,59 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Clermont-Ferrand
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Ours
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Pontgibaud
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Pontgibaud
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Pontgibaud
Liens
Site web www.ville-pontgibaud.fr

Pontgibaud est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont appelés les Gibaldipontins[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

La Sioule à Pontgibaud.

Incluse dans l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand[2], et située dans la partie ouest du département du Puy-de-Dôme, la commune de Pontgibaud est traversée du sud vers le nord par la Sioule, un affluent de l'Allier.

L'altitude minimale, 639 mètres, se trouve à l'extrême nord, là où la Sioule quitte le territoire communal et sert de limite à ceux de Bromont-Lamothe et de Saint-Ours. L'altitude maximale avec 779 mètres est localisée à l'est, sur la cheire de Pontgibaud, en limite de la commune de Saint-Ours.

Établi en rive droite de la Sioule, le long de la route départementale (RD) 943, le bourg de Pontgibaud se situe en distances orthodromiques, 19 kilomètres au nord-ouest du centre-ville de Clermont-Ferrand.

La gare de Pontgibaud se trouve sur la ligne ferroviaire d'Eygurande - Merlines à Clermont-Ferrand. Le territoire communal est également desservi par les RD 986, qui marque la limite ouest de la commune, et 578. L'autoroute A89 passe à proximité immédiate, à l'ouest, sur la commune limitrophe de Bromont-Lamothe, où se trouve l'échangeur no 26.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Pontgibaud
Saint-Ours
Bromont-Lamothe Pontgibaud
Saint-Pierre-le-Chastel

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 979 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gelles », sur la commune de Gelles à 10 km à vol d'oiseau[5], est de 9,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 026,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Pontgibaud est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Les Grottes de Prunal près de Pontgibaud, vers 1890
Armand Guillaumin
Musée des Beaux-Arts de Gand

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (43,3 %), forêts (30,8 %), zones agricoles hétérogènes (16,3 %), zones urbanisées (9,6 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attesté à l'époque médiévale sous le nom Pons Gibaldi, littéralement le Pont de Gibaud, qui aurait été construit par Giwald, voire par son père le comte d'Auvergne Sigewald[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Une mine de plomb-argent est exploitée à l'époque gallo-romaine sur le territoire de la commune de Pontgibaud[16].

Époque médiévale[modifier | modifier le code]

Dauphiné d'Auvergne aux XIIe et XIIIe siècles.

La ville de Pontgibaud est à l'époque médiévale une des principales villes du Dauphiné d'Auvergne et une place forte des Dauphins d'Auvergne, qui firent dans ce but construire le Château-Dauphin. Le 1er mars 1490, la ville, l'église et le château sont fortement touchés par un important séisme dont l'épicentre se situait à proximité[17]. De nombreux habitants auraient péri dans l'écroulement de leurs maisons.

Époque moderne[modifier | modifier le code]

L'histoire de Pontgibaud est marquée par l'exploitation minière, en particulier celle du plomb argentifère, la commune et ses voisines, comme Saint-Pierre-le-Chastel, sont en effet située sur une importante zone polymétallique. Les filons furent exploités dès l'époque romaine[18]. L'époque de plus grande exploitation se situe dans la seconde moitié du XIXe siècle ; la mine, qui emploie 800 personnes en 1880, est la plus importante mine d'argent en France. Sa fermeture en 1898 est une catastrophe pour l'économie locale[18]. Le paysage de la commune et de ses environs reste marqué par cette activité : présence de trous de mines et de ruines de bâtiments miniers, présence d'importants terrils stériles.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

L'hôtel de ville.

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Pontgibaud est membre de la communauté de communes Chavanon Combrailles et Volcans[2], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Pontaumur. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[19]. Jusqu'en 2016, elle était le siège de la communauté de communes Pontgibaud Sioule et Volcans[20].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Riom, à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[2]. Avant , elle était chef-lieu de canton[21].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Ours pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[2], et de la deuxième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010 (sixième circonscription avant 2010)[21].

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Élections de 2020[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal de Pontgibaud, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[22] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[23]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15. Sur les 43 candidats en lice, aucun n'a été élu au premier tour, le , malgré un taux de participation de 75,66 %. Les quinze conseillers à élire ont été élus au second tour, qui se tient le du fait de la pandémie de Covid-19, avec un taux de participation de 74,04 %[24].

Chronologie des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1803 1808 André Imbert[25]    
1808 1815 Jean Baptise Enjelvin[25]    
1815 1848 Gilbert Annet Sersiron[25]    
1849   Alphonse Pallu[25]   Conseiller général
1854   François Benoit Boutarel[25]    
1865 1867 Pierre Ratoin[25]    
1867 1870 André Barnicaud[25]    
1870 1874 Jean Baptiste Johannel[25]    
1874 1878 Gabriel Biard[25]    
1878   Jean Baptiste Johannel[25]    
1881 1882 Jean Baptiste Langlais[25]    
1882   Guillaume Boutarel[25]    
1885 1888 Jean Baptiste Langlais[25]    
1888 1905 Guillaume Boutarel[25]    
1905   Comte de Pontgibaud[25]    
         
Gaston Matarin ? puis UMP Fonctionnaire des Finances
Jean-Pierre Ouachem[26]    
En cours
(au )
Jean-Jacques Lassalas[27]   Responsable sécurité[28]

Pontgibaud possède une gendarmerie.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].

En 2021, la commune comptait 731 habitants[Note 3], en diminution de 0,95 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
612624814745847940937930986
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1011 0871 1161 1921 2611 1621 1571 0671 004
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
868800783860812782762878755
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
654724723750801776768716755
2021 - - - - - - - -
731--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Benoit des XIIIe et XIXe siècles.
  • Le Château-Dauphin de Pontgibaud a été construit au XIIIe siècle et complété jusqu'au XVe siècle. L'ensemble du domaine comprenant également une chapelle, des communs et un potager, est classé au titre des monuments historiques depuis 1995[33].
  • Au sud-ouest immédiat du Château-Dauphin et lui faisant face, une porte de l'ancienne enceinte de la ville date du XVe siècle. Elle est également classée au titre des monuments historiques, depuis 1886[34].
  • À proximité de l'hôtel de ville, à l'angle de la rue de la Gendarmerie et de la place de la Chabanne, un immeuble du XVe siècle présente une fenêtre à meneaux et une échauguette, appelée « tour aux Chausses[35] ». L'immeuble est inscrit au titre des monuments historiques, depuis 1973[36].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Antoine de La Fayette, seigneur de Pontgibault, École française (XIXe siècle), musée de l'Armée (Paris).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Noms des habitants de Pontgibaud sur le site Habitants.fr (consulté le ).
  2. a b c et d « Commune de Pontgibaud (63285) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Pontgibaud et Gelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Gelles », sur la commune de Gelles - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Gelles », sur la commune de Gelles - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  15. Henry Pierret et Édouard Decaudin-Labesse, Notre pays de France : En cheminant : Auvergne, Paris, Librairie Ducrocq, (lire en ligne).
  16. Béatrice Cauuet, L'Or des Celtes du Limousin, Limoges : Culture et patrimoine en Limousin, coll. Archéologie, 2004, (ISBN 2-911167-37-6), p. 57.
  17. Séismes du 29 juin 1477 et du 1er mars 1490 en Auvergne.
  18. a et b B. Cauuet, C. Domergue et M. Urteaga « Mines et métallurgies en Aquitaine et en Hispanie septentrionale sous les Julio-claudiens », dans L’Aquitaine et l’Hispanie septentrionale à l’époque Julio-claudienne. Organisation et exploitation des espaces provinciaux. Colloque Aquitania Saintes, 11-13 septembre 2003, Aquitania, suppl. 13, Bordeaux, 2005, p. 430.
  19. « CC Chavanon Combrailles et Volcans (No SIREN : 200071215) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  20. « CC Pontgibaud Sioule et Volcans (No SIREN : 200023331) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  21. a et b « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
  22. Article L. 252 du Code électoral.
  23. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1 000 habitants », sur vie-publique.fr, .
  24. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  25. a b c d e f g h i j k l m n et o Source : registres d'état civil.
  26. Liste des maires 2014 [PDF], site de la préfecture du Puy-de-Dôme (consulté le 13 juillet 2014).
  27. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme » [PDF], sur mairesruraux63.fr, Association des maires ruraux du Puy-de-Dôme (consulté le ), p. 6.
  28. Supplément « Annuaire des maires Puy-de-Dôme », La Montagne, , p. 32 (édition du Puy-de-Dôme).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Domaine du Château-Dauphin », notice no PA00092249, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 20 janvier 2014.
  34. « Restes de l'enceinte de la ville », notice no PA00092250, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 20 janvier 2014.
  35. Panneau « Tour aux Chausses XVème siècle, apposé sous l'échauguette, vu le 27 juin 2013.
  36. « Maison à échauguette », notice no PA00092251, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 20 janvier 2014.
  37. Jean Roux, De la renaissance d'une langue occitane littéraire en Auvergne au début du XXe siècle, perspectives et avenir (Thèse en études occitanes sous la direction d'Hervé Lieutard), Montpellier, Université Paul-Valéry, soutenue en 2020 (lire en ligne), « 5.2. Le parler de Pontgibaud (p. 194-216) ».