Marc Wilmots — Wikipédia

Marc Wilmots
Image illustrative de l’article Marc Wilmots
Marc Wilmots le .
Biographie
Nom Marc Robert Wilmots
Nationalité Belge
Naissance (55 ans)
Jodoigne (Belgique)
Taille 1,84 m (6 0)[1]
Période pro. 19872003
Poste Attaquant, entraîneur, sélectionneur
Parcours junior
Années Club
1980-1985 JS Jodoigne
Parcours senior1
AnnéesClub 0M.0(B.)
1985-1988 Saint-Trond VV 071 0(33)
1988-1991 FC Malines 115 0(30)
1991-1996 Standard de Liège 163 0(80)
1996-2000 Schalke 04 131 0(31)
2000-2001 Girondins de Bordeaux 038 0(11)
2001-2003 Schalke 04 047 00(7)
Total 465 (192)
Sélections en équipe nationale2
AnnéesÉquipe 0M.0(B.)
1986-1987 Belgique -19 ans 009 00(3)
1987-1989 Belgique espoirs 009 00(6)
1987 Belgique olympique 003 00(0)
1990-2002 Belgique 070 0(29)
Parcours entraîneur
AnnéesÉquipe Stats
2003 Schalke 04 03v 1n 04d
2004-2005 Saint-Trond VV 05v 6n 13d
2009-2012 Belgique (adjoint)
2012-2016 Belgique 34v 8n 09d
2017 Côte d'Ivoire 02v 1n 04d
2019 Iran 03v 1n 02d
2021-2022 Raja Club Athletic 04v 4n 02d
2024- Schalke 04 (dir. sportif)
1 Compétitions officielles nationales et internationales.
2 Matchs officiels (amicaux validés par la FIFA compris).
Dernière mise à jour :

Marc Wilmots
Illustration.
Fonctions
Sénateur de Belgique

(4 ans et 23 jours)
Législature 2003-2007
Biographie
Nom de naissance Marc Robert Wilmots
Date de naissance (55 ans)
Lieu de naissance Dongelberg (Belgique)
Nationalité Belge
Parti politique MR
Conjoint Katrien Lambeets
Enfants Marten Wilmots
Reno Wilmots
Athena-Lena Wilmots
Profession Footballeur
Entraîneur
Consultant

Marc Wilmots, né le à Dongelberg en Belgique, est un ancien footballeur international belge devenu entraîneur. Il a également exercé les fonctions de sénateur et de consultant[réf. nécessaire].

Au début de sa carrière, on le surnomme « Le Taureau de Dongelberg », en référence à ses origines, son gabarit et sa combativité qu'il met en exergue dans les cinq clubs professionnels où il a joué. Après son transfert à Schalke 04, le surnom qui lui est le plus souvent appliqué est "Willy" ou "Willie".

Avec l'équipe de Belgique, il compte 70 sélections et 29 buts au poste d'attaquant[2] ou de soutien d'attaque, ce qui le place au rang de cinquième meilleur buteur de l'histoire des Diables rouges.

De à , il occupe le poste d'entraîneur de l'équipe nationale belge de football et devient le premier entraineur à conduire les Diables rouges à la première place du classement mondial de la FIFA en novembre 2015. L'Union belge de football décide de se séparer de lui à la suite de la défaite contre le Pays de Galles durant l'Euro 2016[3].

Biographie[modifier | modifier le code]

Joueur[modifier | modifier le code]

En club[modifier | modifier le code]

Saint-Trond[modifier | modifier le code]

Débutant au CS Jodoigne, le club de la ville la plus proche de son domicile de Dongelberg, il rejoint Saint-Trond VV en 1986 et remporte dès sa première année le titre du champion de Belgique de deuxième division en 1987. Il poursuit sa carrière chez les Canaris pendant une saison supplémentaire en division 1.

FC Malines[modifier | modifier le code]

Il rejoint ensuite le FC Malines à l'été 1988 avec lequel il remporte le titre de champion de Belgique en 1989 se positionnant dans l'équipe derrière le duo d'attaquants néerlandais Bosman-den Boer. Équipier aussi de Michel Preud'homme, il joue encore deux saisons chez les Sang et Or où l'équipe se classe troisième puis deuxième des championnats suivants.

Standard de Liège[modifier | modifier le code]

En 1991, Marc Wilmots rejoint le Standard de Liège où il remporte un trophée : la coupe de Belgique 1993 en battant le Sporting Charleroi [4]. Il reste cinq saisons en bord de Meuse où ses qualités de joueur (80 buts inscrits), son dynamisme et sa mentalité le rendent très populaire auprès des supporters rouges et blancs. Durant ces cinq années, le Standard est deux fois vice-champion de Belgique en 1993 et 1995 et une fois troisième (en 1992). Il inscrit un total de 27 buts pendant la saison 1992-1993 dont 22 en championnat de Belgique.

Schalke 04[modifier | modifier le code]

En 1996, il est transféré dans le club allemand du FC Schalke 04. Il devient vite un chouchou du public. Sa combativité est très appréciée outre-Rhin. Il souffre de plusieurs graves blessures dont il se remettra à chaque fois à une vitesse impressionnante. Il y remporte son trophée le plus important en gagnant la coupe UEFA 1996-1997 lors d'une finale disputée en matches aller et retour contre l'Inter Milan. Il inscrit le seul but du match à l'aller (1-0) mais Schalke est battu par le même score lors du match retour à Milan. La prolongation ne changeant pas le résultat, la finale se joue aux tirs au but. Les Allemands l'emportent 1-4 et le dernier tir, synonyme de victoire, est marqué par Marc Wilmots.

Girondins de Bordeaux[modifier | modifier le code]

Le 1er juillet 2000, il rejoint le club français des Girondins de Bordeaux où il reste une saison en étant très souvent titulaire. Le club se classe à la quatrième place du championnat et se qualifie pour le premier tour de la coupe UEFA 2001-2002. Auteur de onze buts et trois assists, il réalise une bonne saison mais devient moins indispensable en fin de saison et retourne à Schalke 04.

Retour et fin de carrière à Schalke 04[modifier | modifier le code]

De retour en Bundesliga et à Schalke 04 à l'été 2001, il est régulièrement aligné lors de la première saison et remporte la coupe d'Allemagne 2022 mais, victime de blessures, il joue moins la saison suivante et est contraint de mettre un terme à sa carrière de joueur le dans un match contre Munich 1860, entré au jeu en remplacement de son compatriote Sven Vermant et dont le but du match pour Schalke (1-1) a été inscrit par un autre Belge : Émile Mpenza. Dès le match suivant, il se retrouve entraineur en remplacement de Frank Neubarth.

En équipe nationale[modifier | modifier le code]

Marc Wilmots a 70 capes à son actif avec l'équipe de Belgique. Il a également inscrit 29 buts[5].

Ses deux premières phases finales de coupe du monde en 1990 en Italie et 1994 aux États-Unis ne lui sont guère favorables. Bien que repris dans les sélections belges, Guy Thys ne l'aligne pas du tout en 1990 et Paul Van Himst, en 1994, ne le fait jouer qu'une partie du match contre l'Arabie Saoudite (défaite 1-0) alors que la Belgique est déjà qualifiée pour les huitièmes de finale. Par contre, pour la coupe du monde 1998 en France, Georges Leekens lui procure un temps de jeu maximal mais les Diables rouges sont éliminés en poules après trois matches nuls et trois buts inscrits dont deux (contre le Mexique) par Marc Wilmots.

Sa participation à la Coupe du monde 2002 où il joue l'entièreté des quatre matches des Belges sous le coaching de Robert Waseige lui vaut une nomination au Ballon d'or européen. Tout le monde en Belgique se souvient encore de son but contre le Brésil en huitièmes de finale, annulé sans raison par Peter Prendergast, l'arbitre de la rencontre, alors que le marquoir indiquait 0-0[6]. Après cette coupe du monde, il met fin à sa carrière en équipe nationale.

Entraineur[modifier | modifier le code]

Schalke 04[modifier | modifier le code]

En 2003, il met un terme à sa carrière de joueur et entame sa carrière d'entraineur dans son club du FC Schalke 04 de mars à .

Saint-Trond[modifier | modifier le code]

En 2004, il revient au Saint-Trond VV comme entraîneur. L'expérience a été peu concluante : il a été licencié avant la fin de la saison, huit mois après son arrivée[7].

Équipe nationale de Belgique[modifier | modifier le code]

comme adjoint en 2009[modifier | modifier le code]

En 2008, il refuse de devenir l'entraîneur adjoint de René Vandereycken à la tête de l'équipe nationale belge. Dick Advocaat devient le sélectionneur de l'équipe nationale belge lors du limogeage de René Vandereycken en 2009 ; le , Marc Wilmots le rejoint en tant qu'entraîneur adjoint.

Le , Dick Advocaat, plus intéressé par "le défi sportif" que lui propose la Russie[8], annonce à l'Union belge de football qu'il quitte les Diables Rouges avec effet immédiat, ce que lui reproche vivement l'Union Belge[9]. Advocaat déclare à cette occasion qu'il n'a « pas perdu son temps en un an et les Diables Rouges non plus », ajoutant qu'il considère Marc Wilmots comme « le successeur idéal »[10]. Mais c'est Georges Leekens qui devient alors entraîneur de l'équipe belge et Marc Wilmots reste entraîneur adjoint. La Belgique ne réussit pas à se qualifier pour la phase finale de l'Euro 2012 organisée en Pologne et en Ukraine en terminant troisième de son groupe éliminatoire derrière l'Allemagne et la Turquie et en totalisant 15 points sur 30.

comme T1 en 2012[modifier | modifier le code]

En , Georges Leekens n'ayant obtenu que des résultats décevants avec l'équipe nationale et ayant délaissé cette dernière au profit du Club de Bruges, Marc Wilmots devient sélectionneur fédéral des Diables Rouges. Initialement entraîneur pour deux rencontres amicales dont la première face au Monténégro le (2-2), il signe finalement un contrat de deux ans le [3]. Depuis le début de son mandat, les Diables Rouges semblent transcendés. Non seulement les résultats sont présents mais un style de jeu dominateur, spectaculaire et efficace semble émerger. En effet selon beaucoup d'observateurs, Marc Wilmots arrive à tirer la quintessence du groupe grâce à une fine psychologie et un style qui n'appartiennent qu'à lui.[réf. nécessaire]

Coupe du Monde 2014[modifier | modifier le code]

Le , la Belgique se qualifie aisément en survolant son groupe éliminatoire (26 points sur 30) pour la Coupe du monde 2014 au Brésil, où elle gagne ses quatre premiers matches et atteint les quarts de finale où elle est éliminée 1-0 par l'Argentine de Lionel Messi, future équipe finaliste du tournoi. Il est crédité pour avoir « su fédérer une équipe et lui donner une âme »[11].

Marc Wilmots devient le premier entraineur à conduire l'équipe nationale belge à la place de numéro 1 du classement mondial de la FIFA entre le (après avoir battu Israël en qualifications pour l'Euro 2016) et le alors que cette équipe était classée à la 41e place de ce ranking FIFA à la fin de l'année 2011, soit un peu plus de quatre mois avant le début de son coaching comme T1.

Euro 2016[modifier | modifier le code]

Il qualifie facilement les Diables rouges pour l'Euro 2016 qui aura lieu en France en remportant le groupe B (23 points sur 30). Après trois matchs de préparation jugés peu convaincants, voire calamiteux, par la presse internationale et belge alors qu'ils se soldent pourtant par deux victoires et un match nul[12],[13],[14],[15], les Diables Rouges s'inclinent 2-0 contre l'Italie en poules mais alignent ensuite trois victoires et empilent huit buts sans en encaisser (3-0 contre l'Irlande et 1-0 contre la Suède en poules puis 4-0 contre la Hongrie en huitièmes de finale).

Défaite fatale contre le Pays de Galles[modifier | modifier le code]

Alors que les observateurs voyaient les Belges aller loin dans ce tournoi grâce à un tableau final évitant les grandes nations européennes, les Diables rouges sont toutefois éliminés par la surprenante équipe du Pays de Galles en quarts de finale de l'Euro 2016 battus à Lille 3-1 après avoir mené 0-1 puis réalisé une mauvaise seconde mi-temps. La tactique est pour beaucoup de personnalités dont le gardien de but Thibaut Courtois[16] la cause principale de cet échec et certains éditorialistes de la presse belge et principalement néerlandophone (Het Nieuwsblad, Het Laatste Nieuws) invitent Wilmots à se retirer[17],[18].

Le vendredi , d'un commun accord, Marc Wilmots est remercié par l'Union belge qui se déclare à la recherche d'un nouvel entraîneur.

Son bilan à la tête de l'équipe nationale de 34 victoires sur un total de 51 matchs joués soit 66,67 % de victoires est le meilleur qu'un entraineur ait jamais réalisé.

Équipe nationale de Côte d'Ivoire[modifier | modifier le code]

Le , il est nommé sélectionneur de la Côte d'Ivoire. Il quitte de commun accord la sélection ivoirienne le à la suite de la non-qualification de celle-ci à la coupe du monde 2018.

Équipe nationale d'Iran[modifier | modifier le code]

Le , le président de la Fédération d'Iran de football annonce que Marc Wilmots sera le sélectionneur de l'équipe nationale iranienne jusqu'à la Coupe du monde de football 2022. Il devient officiellement le nouveau sélectionneur de l'équipe iranienne le .

Le , Marc Wilmots a démissionné de son poste de sélectionneur de l'Iran[19].

Raja Club Athletic[modifier | modifier le code]

Le 11 novembre 2021, le Raja Club Athletic annonce la signature d'un contrat de deux saisons et demi avec Marc Wilmots, deux jours après avoir remercié le tunisien Lassaad Chabbi. Wilmots est le troisième entraîneur belge de l'histoire du club, après Jean Thissen en 1994 et Walter Meeuws en 2002[20],[21]. Il touche un salaire mensuel de 40 000 dollars. À Casablanca, Wilmots va forcément découvrir un style et une culture du football totalement différents de ce qu'il a pu connaître en Allemagne ou en Belgique, même si le Raja a toujours adopté un style de jeu collectif fait de passes courtes et rapides[22].

Le , le comité directeur du Raja CA décide à l'unanimité de démettre Marc Wilmots de ses fonctions. Le belge, qui était arrivé trois mois auparavant, s'en va sur un bilan de 4 victoires, 4 nuls et 2 défaites (dont la Supercoupe d'Afrique perdue aux tirs au but)[23].

Schalke 04 (directeur sportif)[modifier | modifier le code]

Le 4 janvier 2024, il est nommé directeur sportif de Schalke 04 entraîné par son compatriote Karel Geraerts et évoluant en 2. Bundesliga (division 2 allemande). Il a signé un "contrat à longue durée"[24].

Carrière politique[modifier | modifier le code]

Il est élu sénateur en 2003 sur la liste du MR de son ami et concitoyen Louis Michel. Il récolte 109 955 voix de préférence personnelles[25].

Accaparé par d'autres occupations, notamment son travail d'entraîneur de football et n'ayant plus à ce titre la possibilité de remplir effectivement son mandat électif, il annonce en été 2005 son souhait de ne plus toucher de rémunération tout en gardant son mandat : n'ayant plus de suppléant pour reprendre son siège, sa démission signifierait la perte d'un siège pour son parti. Le bureau du Sénat refuse cette demande au motif que la responsabilité et la dignité que représente une élection au suffrage universel dépassent l'enjeu salarial. Marc Wilmots continua de percevoir un traitement dont il annonça qu'il reverserait le montant après impôts à des œuvres caritatives.

Consultant sportif[modifier | modifier le code]

En septembre 2022, Marc Wilmots devient consultant pour l'émission hebdomadaire La Tribune. En 2023, il commente pour la RTBF les directs télévisés de quelques matches, toujours en tant que consultant[26].

Vie privée[modifier | modifier le code]

Marc Wilmots est marié depuis à Katrien Lambeets, fille de l'ancien président du club de Saint-Trond, Guy Lambeets. Il habite Bordeaux. Il a trois enfants : Marten, Reno et Athena-Lena. Il parle parfaitement les trois langues officielles de la Belgique : le français, l'allemand et le néerlandais.

Palmarès[modifier | modifier le code]

En tant que joueur[modifier | modifier le code]

En club[modifier | modifier le code]

En équipe de Belgique[modifier | modifier le code]

  • 70 sélections et 28 buts entre 1990 et 2002
  • Participation à la Coupe du Monde en 1994 (1/8 de finaliste)
  • Participation à la Coupe du Monde de 1998, en France, où la Belgique fut éliminée au premier tour.
  • Participation, en tant que capitaine de la sélection, à la Coupe du Monde en 2002 (1/8 de finaliste)

En tant qu'entraîneur[modifier | modifier le code]

Avec l'équipe de Belgique[modifier | modifier le code]

Distinctions individuelles[modifier | modifier le code]

Statistiques de joueur[modifier | modifier le code]

En club[modifier | modifier le code]

Saison Club Pays Championnat Coupe C1 C2 C3 SC
Matchs Buts Matchs Buts Matchs Buts Matchs Buts Matchs Buts Matchs Buts
1985 - 1987 RAS Jodoigne LS Drapeau de la Belgique Belgique
1987 - 1988 K Saint-Trond VV Drapeau de la Belgique Belgique 30 9 1 0
1988 - 1989 FC Malines Drapeau de la Belgique Belgique 29 4 6 2
1989 - 1990 FC Malines Drapeau de la Belgique Belgique 26 10 4 0
1990 - 1991 FC Malines Drapeau de la Belgique Belgique 32 8 2 0
1991 - 1992 Standard de Liège Drapeau de la Belgique Belgique 33 10
1992 - 1993 Standard de Liège Drapeau de la Belgique Belgique 25 22 1 0 6 2
1993 - 1994 Standard de Liège Drapeau de la Belgique Belgique 28 11 4 3
1994 - 1995 Standard de Liège Drapeau de la Belgique Belgique 24 10
1995 - 1996 Standard de Liège Drapeau de la Belgique Belgique 26 14
1996 - 1997 FC Schalke 04 Drapeau de l'Allemagne Allemagne 29 6 2 1 11 5
1997 - 1998 FC Schalke 04 Drapeau de l'Allemagne Allemagne 31 7 2 1 7 2
1998 - 1999 FC Schalke 04 Drapeau de l'Allemagne Allemagne 12 1 1 0 2 1
1999 - 2000 FC Schalke 04 Drapeau de l'Allemagne Allemagne 32 7 2 0
2000 - 2001 Girondins de Bordeaux Drapeau de la France France 30 8 5 2
2001 - 2002 FC Schalke 04 Drapeau de l'Allemagne Allemagne 24 6 6 0 3 0
2002 - 2003 FC Schalke 04 Drapeau de l'Allemagne Allemagne 10 0 1 0 3 1

Sources : L'équipe.fr[27]

En sélection[modifier | modifier le code]

Dernière mise à jour le

Marc Wilmots a fait partie de l'équipe nationale belge de 1990 à 2002.

Statistiques en matchs officiels :

  • 70 sélections en équipe A ; 28 buts[5].
But Date Stade, ville, pays Adversaire Résultat Match, compétition
1er Parc des Princes, Paris, France France N 3-3 Match amical
2e Stade Roi Baudouin, Bruxelles, Belgique Chypre V 1-0 Éliminatoire Coupe du monde 1994
3e Svangaskard, Toftir, Îles Féroé Îles Féroé V 0-3
4e
5e Stade Roi Baudouin, Bruxelles, Belgique Îles Féroé V 3-0
6e
7e Stade Roi Baudouin, Bruxelles, Belgique Gabon V 2-1 Match amical
8e
9e Stade Roi Baudouin, Bruxelles, Belgique Pays de Galles V 3-2 Éliminatoire Coupe du monde 1998
10e Stade Roi Baudouin, Bruxelles, Belgique Norvège N 2-2 Match amical
11e Stade Roi Baudouin, Bruxelles, Belgique Colombie V 2-0
12e Stade Chaban-Delmas, Bordeaux, France Mexique N 2-2 Coupe du monde 1998
13e
14e Stade Jan Breydel, Bruges, Belgique Finlande D 3-4 Match amical
15e Feijenoord Stadion, Rotterdam, Pays-Bas Pays-Bas N 5-5
16e Stade Via del Mare, Lecce, Italie Italie V 1-3
17e Parken Stadium, Copenhague, Danemark Danemark N 2-2
18e Skonto stadions, Riga, Lettonie Lettonie V 0-4 Éliminatoire Coupe du monde 2002
19e Stade Roi Baudouin, Bruxelles, Belgique Saint-Marin V 10-1
20e Hughenden Stadium, Glasgow, Écosse Écosse N 2-2
21e Stade Roi Baudouin, Bruxelles, Belgique Lettonie V 3-1
22e Stadio Olimpico (Serravalle), Serravalle, Saint-Marin Saint-Marin V 1-4
23e
24e Stadion Eden, Prague, République tchèque Tchéquie V 3-1 Match amical
25e Stade de France, Paris, France France V 1-2
26e Stade Saitama 2002, Saitama, Japon Japon N 2-2 Coupe du monde 2002
27e Stade d'Oita, Oita, Japon Tunisie N 1-1
28e Stade Ecopa de Shizuoka, Shizuoka, Japon Russie V 3-2

Entraîneur[modifier | modifier le code]

Mis à jour le 11/11/2021.

Club Début Fin Résultats
M V N D % Victoires
Schalke 04 2003 2003 8 3 1 4 37.50
K Saint-Trond VV 2004 2005 22 5 6 11 22.73
Belgique 2012 2016 51 34 8 9 66,67
Côte d'Ivoire 2017 2017 7 2 1 4 28,57
Iran 2019 2019 6 3 1 2 50
Raja Club Athletic 2021 - 0 0 0 0 0
Total 94 47 17 30 50

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche de Marc Wilmots », sur transfermarkt.fr
  2. Michel Lecomte, sur La Première en radio (émission du 11/10/2014).
  3. a et b « Wilmots entraînera les Diables Rouges jusqu'au Mondial 2014 », sur RTL sport (consulté le ).
  4. Carrière du joueur au Standard de Liège sur le site standard.be
  5. a et b « Fiche de Marc Wilmots », sur RBFA.be
  6. Biographie de Marc Wilmots sur le site infosports.be évoquant son but annulé contre le Brésil en 2002
  7. « Marc Wilmots n'a pas résisté à la défaite à Ostende REPÈRES Déjà six entraîneurs limogés », sur Le Soir (consulté le )
  8. « Advocaat: le ressort était un peu cassé », sur Le Soir (lesoir.be), Bruxelles: Rossel, (consulté le )
  9. URBSFA, « Réaction de l'URBSFA suite au départ d'Advocaat » [archive du ], sur URBSFA (footbel.com), (consulté le )
  10. « Advocaat: Wilmots est mon successeur idéal », sur Le Soir (lesoir.be), Bruxelles : Rossel, (consulté le )
  11. Jean-Pierre Stroobants, « Football : la Belgique fête le retour de ses Diables Rouges au Mondial », Le Monde, (consulté le )
  12. « Une ultime répétition laborieuse mais victorieuse pour les Diables », sur RTBF Sport, (consulté le ).
  13. « Belgique - Finlande: "On va donc a l'euro avec 9 chèvres et 2 backs ou... 2 bacs ?"... Les supporters ne digèrent pas le spectacle consternant ! », La Dernière Heure/Les Sports,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  14. Grégory Ienco, « Belgique-Finlande (1-1): Lukaku a évité l’humiliation aux Diables rouges », Le Soir,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le ).
  15. « Euro 2016 (préparation) : La Belgique renverse la Norvège… sans convaincre », sur RMC SPORT, RMC SPORT (consulté le ).
  16. « Clash après pays de Galles-Belgique entre Courtois et Wilmots: voici ce qui s’est dit... », sur sudinfo.be, (consulté le )
  17. « La presse flamande veut la tête de Wilmots: « La catastrophe de Lille » doit être son dernier acte », sur lavenir.net, (consulté le )
  18. « La presse belge réclame le départ de Wilmots », sur 7sur7.be, (consulté le )
  19. (en-US) « Iran: Marc Wilmots resigns from his position as coach - Football News 24 », Football News 24,‎ (lire en ligne, consulté le )
  20. Youssef Moutmaine, LE MATIN, « Le Matin - Raja de Casablanca : Lassaad Chabbi remercié malgré un bilan positif », sur Le Matin (consulté le )
  21. {{|Lien web |langue=fr |titre=Marc Wilmots nouvel entraîneur du Raja Casablanca |url=https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Marc-wilmots-nouvel-entraineur-du-raja-casablanca/1298253 |site=L'Équipe |consulté le=2021-11-11}}
  22. Mehdi Ouassat, « Marc Wilmots ressuscitera-t-il grâce aux Verts ? », sur Libération (consulté le )
  23. DH Les Sports+, « Marc Wilmots démis de ses fonctions au Raja Casablanca », sur DH Les Sports +, (consulté le )
  24. Sudinfo.be, « C’est officiel : Marc Wilmots est le nouveau directeur sportif de Schalke 04 », sur Sudinfo.be, (consulté le )
  25. V.d.W., « Des vestiaires de St-Trond au Sénat », sur La Libre Belgique (consulté le ).
  26. « Marc Wilmots, nouveau consultant de La Tribune », sur rtbf.be (consulté le )
  27. a b c d e et f « Fiche de Marc Wilmots », sur L'Équipe.fr
  28. « Marc Wilmots élu meilleur entraîneur de l’année au Globe Soccer Awards » le 27 décembre 2015 sur lesoir.be. (Consulté le 29/12/2015)

Liens externes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Carette, Christian. Marc Wilmots, diable d'homme. Bruxelles: Luc Pire, 2003. (ISBN 2-87415-322-2).