Genech — Wikipédia

Genech
Genech
La mairie.
Blason de Genech
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Lille
Intercommunalité Communauté de communes Pévèle-Carembault
Maire
Mandat
Anne Wauquier
2023-2026
Code postal 59242
Code commune 59258
Démographie
Gentilé Genechois
Population
municipale
2 825 hab. (2021 en augmentation de 5,92 % par rapport à 2015)
Densité 379 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 31′ 53″ nord, 3° 13′ 02″ est
Altitude Min. 29 m
Max. 59 m
Superficie 7,46 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Genech
(ville isolée)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Templeuve-en-Pévèle
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Genech
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Genech
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Genech
Liens
Site web genech.fr

Genech (prononcé [ʒənɛ] ; Genst en flamand[1]) est une commune française, située dans le Pays de Pévèle, dans le département du Nord, dans la région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Genech est proche de la communauté urbaine de Lille Métropole, dans 500 hectares de nature, dont une grande partie boisée, pour une superficie totale de 736 hectares

Elle est en effet à environ 15 km au sud-est de Lille,

Distance par la route d'autres villes :

Vue panoramique de Genech

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Genech
Cysoing Cobrieux
Templeuve-en-Pévèle Genech Mouchin
Nomain

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 696 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cappelle-en-Pévèle à 4 km à vol d'oiseau[4], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 736,6 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Genech est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Genech, une unité urbaine monocommunale[11] de 2 702 habitants en 2017, constituant une ville isolée[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,2 %), prairies (23,5 %), zones urbanisées (21 %), forêts (8,5 %), zones agricoles hétérogènes (0,8 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Ancienne gare de Genech.

Genech est desservie par les lignes 870, 871 et 889 du réseau interurbain Arc-en-Ciel 2. Des bus scolaires en provenance des communes voisines et à destination du lycée Charlotte Perriand et de l'Institut desservent également la commune.

La gare de Genech qui fut construite au début du siècle et toujours desservie aujourd'hui, mais il n'y a ni possibilité de s'abriter ni de se restaurer car la gare fut murée en 1997 à cause des squatteurs qui la dégradaient. Aujourd'hui, c'est un Point d'Arrêt Non-Géré (PANG) sur la ligne de Somain à Halluin (ligne TER Hauts-de-France Orchies > Ascq).

Histoire[modifier | modifier le code]

Avant 1789[modifier | modifier le code]

Pévèle vient du gallo-romain Pabula, dérivé de Pabulus, qui signifie pâturages. L'étymologie du nom de Genech, vient d'un mot grec guné (femme) qui donne gynécée, d'où genech par corruption. Gynécée, sous la domination romaine cette appellation était donnée aux ateliers de femmes chargées de la confection des vêtements militaires.

Au Moyen Âge, Genech dépendait de la baronnie de Cysoing domaine de la Couronne de France, donné en dot par Louis le comte Évrard, duc de Frioul et fondateur de l'Abbaye Saint-Calixte de Cysoing.

Genech est le siège d'une seigneurie, détenue à partir du XVIIe siècle par les Saint-Aldegonde.

Maximilien de Sainte-Aldegonde, seigneur de Genech, restaure vers 1600 le château en partie détruit par un incendie. Il y meurt en 1635.

Vers 1670, Albert-André de Sainte-Aldegonde est baron de Maingoval et seigneur de Genech. Il a épousé 1) Agnès le Machon de Sauch, 2) Anne d'Ongnies (sans doute Oignies). Leur fils Baltazar de Sainte-Aldegonde, écuyer, nait à Genech, devient bourgeois de Lille le , épouse le à Lille Marie Thérèse Françoise de Lannoy (1682-1764), fille de Jean Baptiste François Olivier de Lannoy, chevalier, seigneur de Salomé, bourgeois de Lille , grand bailli de Furnes et de Françoise Henriette de Tramecourt[17].

Balthazar-Alexandre de Saint-Aldegonde, comte de Genech, prend pour femme Marie-Jacqueline-Alexandrine d'Ennetières. Il épouse ensuite en 1750 Marie-Françoise Libert (1717-1758), dame de Quartes, veuve de Charles-Julien Bidé de la Grandville (1717-1747). Née le , elle meurt à Paris le [18].

François-Balthazar-Ignace-Ghislain (1734-1808), comte de Sainte Aldegonde de Noircames, est seigneur de Genech, baron de Rosimbos (sur Fournes-en-Weppes), fils de Balthazar-Alexandre et de Marie-Jacqueline-Alexandrine d'Ennetières. Il nait en 1734, devient mestre de camp d'un régiment de cavalerie portant son nom (Régiment de Sainte-Aldegonde cavalerie), incorporé dans celui de la reine (Régiment de La Reine cavalerie) en 1762, passe maréchal de camp par brevet du 1er mars 1780. Il meurt à Tournai le 21 mai 1808, est enterré à Ascq. Il épouse à Lille le , Marie-Albertine-Amélie Bady (1739-1826), fille de Pierre-Joseph Bady, seigneur d'Aymeries, de Pont, bourgeois de Lille, grand bailli de la ville de Lille, et de Marie-Albertine-Amélie Jacops, dame d'Ascq, baptisée à Lille Saint-Maurice le 1er août 1839, morte à Tournai le 9 mars 1826, enterrée à Ascq[17] . Le couple laissa une postérité[19].

Genech centre avec mairie et église

Avant la Révolution, Genech est un village agricole écoulant ses produits vers l'agglomération lilloise et en 1549 l'« assiette de l'impôt » indique 118 foyers, 262 mesures de labours, 186 mesures de prés, bois, viviers, 1 moulin à blé, 28 chevaux, 223 vaches, 145 moutons.

Période contemporaine[modifier | modifier le code]

Quelques dates : 1853, 1157 habitants, 1872 : création de la gare de Genech. 1894 : fondation de l'école d'agriculture, d'abord centre d'initiation agricole et qui devint très vite un véritable institut d'enseignement théorique et pratique.

L'industrie s'est installée et on compte à la fin du XIXe siècle : 2 tissages, 1 tannerie, 1 brasserie, 1 malterie, 2 moulins ; mais une partie de la population travaille néanmoins à Roubaix-Tourcoing ou Lille.

1914-1918 et 1939-1945 : occupation allemande. 1945 :inauguration de la nouvelle mairie

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de Genech se blasonnent ainsi :" D'hermines à la croix de gueules, chargée de cinq quintefeuilles d'or ".

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Roger Catteau, cadre publicitaire retraité, a été conseiller régional du Nord-Pas-de-Calais.

Maire en 1802-1803 : Louis Lebacq[20].

Maire en 1807 : Martinache[21].

Maire en 1881 : Delezennes[22].

Titulaires de la fonction de maire de GenechVoir et modifier les données sur Wikidata
IdentitéPériodeDuréeÉtiquette
DébutFin
Léon Abraham (d)
(années 1850 - )
6 ans
Octave Laurent (d)20 ans
Jules Brienne (d)
( - )

(mort en cours de mandat)
10 ans
Henri Devaux (d)8 ans
Roger Catteau (d)[23]18 ansGénération écologie
Mouvement écologiste indépendant
Gérard Boutteville (d)[24],[25]
(né en )
7 ans divers droite
Yves Olivier (d)[26]
(né le )
12 ans et 2 mois divers droite
Odile Riga (d)[27]
(née le )
2 ans et 8 mois divers droite
Anne Wauquier (d)Écologisme

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal d'instance de Lille, du tribunal de grande instance de Lille, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Lille, du tribunal de commerce de Tourcoing, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

En 2021, la commune comptait 2 825 habitants[Note 3], en augmentation de 5,92 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8508589279741 1261 1241 1121 1251 157
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1521 1541 1691 1191 1331 1311 1261 0921 131
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1231 0801 1191 0741 1101 0941 0971 1461 109
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 0081 0891 1871 3721 6422 0502 5872 6112 685
2021 - - - - - - - -
2 825--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 43,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,2 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 436 hommes pour 1 332 femmes, soit un taux de 51,88 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,1 
90 ou +
0,7 
3,1 
75-89 ans
5,1 
13,8 
60-74 ans
13,8 
19,9 
45-59 ans
22,8 
16,6 
30-44 ans
17,8 
30,2 
15-29 ans
21,3 
16,5 
0-14 ans
18,5 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Porche de l’École pratique libre d'agriculture

La commune comprend notamment :

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le château de Genech[modifier | modifier le code]

Le château de Genech fut construit dès le XIIIe siècle.

Sa chapelle aurait abrité, jusqu'à la Révolution, une relique insigne : la tête de sainte Hélène, la mère de l'empereur Constantin.

En partie détruit par un incendie, il fut restauré vers 1600 par Maximilien de Sainte-Aldegonde qui y mourut en 1635. Son fils demeura au château. Celui-ci fut habité de manière à peu près continue par les seigneurs de Genech jusqu'en 1737.
Aux époques troublées le château de Genech servit de refuge aux habitants du village, lorsqu'ils étaient en danger.
Le château de Genech fut reconstruit en 1906 par Albert Crespel, industriel lillois, qui meubla le château avec du mobilier venant de la Loire. Il fit aménager le parc et tracer une large allée afin de pouvoir y faire atterrir son avion personnel. En 1939, une tornade emporta la toiture puis, pendant la Seconde Guerre mondiale, le château fut occupé par les Allemands qui causèrent encore bien des déprédations et l'abandonnèrent dans un état pitoyable en 1944. La famille Crespel s'en sépara vers 1950 et l'État s'en rendit acquéreur en 1969.

Le château abrite, depuis 2004, l'administration et le CDI du lycée polyvalent Charlotte-Perriand. Les salles de classe, inaugurées en 2006 en un bâtiment moderne, et l'atelier d'ébénisterie-menuiserie, se trouvent dans ses jardins[34].

L'église Notre-Dame-de-la-Visitation[modifier | modifier le code]

Église Notre-Dame-de-la-Visitation de Genech.

La première mention de l'église de Genech date de 1164.

L'église fut, entièrement reconstruite au milieu du XVIe siècle sous l'impulsion de Mathéas de Barbé, abbé de Cysoing (1526-1565). En effet, Genech faisait partie de l'ancien diocèse de Tournai. Sa vétusté a entraîné une reconstruction quasi totale de l'édifice. Les murs témoignent des remaniements ayant eu lieu de manière économique ; les fenêtres ont notamment été diminuées à l'aide de briques.
Le clocher qui se trouve en façade est un exemple du gothique troubadour représentatif de l'époque de la Restauration.

L'église possède une riche série de tableaux datant du XVIIe siècle. Dans le chœur, le maître-autel et le retable (privé de son tableau en 1900), sont de belles pièces baroques. Les stalles et les boiseries ont été apportées en ce lieu par Albert Crespel, propriétaire du château de Genech.

Dans les nefs latérales, deux autels de bois sculptés du XVIIIe siècle, puis dans les chapelles, deux retables probablement transformés à partir d'œuvres du XVIIIe siècle.

Le tableau le plus beau est un extraordinaire arbre de Jessé, qui est la représentation de la généalogie du Christ d'après les Évangiles. Le triptyque qui se trouve dans la chapelle de droite représente le sacre de saint Martin, ou saint Nicolas. Sur les volets, est représenté Erasme d'Autel, abbé de Cysoing, en compagnie de son saint patron, puis des miracles de saint Nicolas. Aux revers de ceux-ci, sont présents Évrard de Frioul et son épouse Gisèle, petite-fille de Charlemagne, qui sont à l'origine de l'abbaye de Cysoing, représentés devant la tour de ce monastère en cours de construction (1624). Sont également représentés dans la chapelle de gauche, un Dieu de Pitié, sainte Aldegonde et saint Nicolas.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Genech et Cappelle-en-Pévèle », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Cappelle-en-Pev » (commune de Cappelle-en-Pévèle) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Cappelle-en-Pev » (commune de Cappelle-en-Pévèle) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Genech », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b Paul Denis du Péage, « », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12, 1906-1909, p.104-105 .lire en ligne.
  18. Paul (1874-19 ) Auteur du texte Denis Du Péage, Recueil de généalogies lilloises. Tome 2 / par Paul Denis Du Péage,..., 1906-1909 (lire en ligne), p. 467-468.
  19. Etienne Pattou, « Seigneurs de Sainte Aldegonde et Noircarme », sur racineshistoire.free.fr (consulté le )
  20. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.
  21. « Annuaire statistique du département du Nord Année 1807 », sur LillOnum Bibliothèque numérique, p. 132-133 (image 162-163).
  22. « Le Petit Nord : journal politique quotidien ["puis" journal républicain quotidien du matin "puis" journal républicain absolument indépendant] », sur Gallica, (consulté le ), p. 3..
  23. Bernard Dolez (dir.), Annie Laurent (dir.) et Christian-Marie Wallon-Leducq (dir.), La Revanche de la Gauche : Les élections législatives de 1997 dans la région Nord-Pas-de-Calais, Villeneuve-d'Ascq, Presses universitaires du Septentrion, , 193 p. (ISBN 978-2-85939-547-6), p. 75 :

    « Roger Catteau, conseiller régional et maire de Genech »

    Voir et modifier les données sur Wikidata
  24. Annuaire des mairies du Nord (préf. Christian Poncelet et Jean-Louis Debré), Les Éditions Céline, , 282 p. (ISBN 2-35258-159-1), p. 115 :

    « Appartenance politique : DVD »

    Voir et modifier les données sur Wikidata
  25. Guide économique du Nord-Pas-de-Calais, La Voix du Nord, , 320 p. (ISBN 2-84393-090-1), p. 267Voir et modifier les données sur Wikidata
  26. Marie Vandekerkhove, « Yves Olivier, l’« indigène de Genech », tourne la page de la mairie », La Voix du Nord,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :

    « Il ne briguera pas de troisième mandat aux municipales de mars. Yves Olivier, 76 ans, quitte la mairie après 32 ans au service des Genéchois et affirme s’arrêter « sans regrets ». »

    Voir et modifier les données sur Wikidata
  27. « Genech : la maire annonce sa démission lors de ses vœux », La Voix du Nord, (consulté le )
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Genech (59258) », (consulté le ).
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  34. Alice Beganovic - Audrey Blaton, « Le Château de Genech », sur calameo.com, (consulté le )