Phalempin — Wikipédia

Phalempin
Phalempin
L'hôtel de ville.
Blason de Phalempin
Blason
Phalempin
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Lille
Intercommunalité Communauté de communes Pévèle-Carembault
Maire
Mandat
Thierry Lazaro
2020-2026
Code postal 59133
Code commune 59462
Démographie
Gentilé Phalempinois, Phalempinoises
Population
municipale
4 849 hab. (2021 en augmentation de 4,57 % par rapport à 2015)
Densité 611 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 31′ 03″ nord, 3° 01′ 02″ est
Altitude Min. 24 m
Max. 65 m
Superficie 7,93 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Phalempin
(ville isolée)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Annœullin
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Phalempin
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Phalempin

Phalempin est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Capitale historique du Carembault, Phalempin se situe en Flandre romane à 12,7 km au sud de Lille et 16,5 km au nord de Lens sur la RD 62.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

L'église de Phalempin.

Forêt de Phalempin[modifier | modifier le code]

La forêt de Phalempin bien que d'une taille modeste (670 hectares) a longtemps été un des haut-lieux naturalistes du nord de la France ; ainsi en 1851, l'entomologiste et spécialiste des arbres M. Macquart écrivait-il :

« j'allais souvent visiter la petite forêt de Phalempin (2) près de Lille et du champ de bataille de Mons-en Pevèle (3). C'est un site précieux pour les entomologistes et qui fait pardonner à la plaine lilloise sa pauvreté sous ce rapport. Les petits coléoptères y abondent surtout, et l'on trouve assez souvent des espèces rares ailleurs »[1].

En particulier jusqu'après la Seconde Guerre mondiale, cette forêt pourtant intensivement exploitée pendant plusieurs siècles était particulièrement riche en Ichneumonidés. Il semble que sa traversée par l'Autoroute A1 (sans écoduc ni mesure compensatoire) et la pollution générale de l'environnement agricole par les pesticides ait contribué à y faire fortement régresser la biodiversité[réf. nécessaire]. Bien que localement surfréquentée en raison de la proximité de la conurbation lilloise et du bassin minier, cette forêt est un élément important de la trame verte régionale et nationale. Elle pourrait à l'avenir être un des « ponts » ou « gué » entre la trame verte de la métropole lilloise et celle du proche bassin minier du Nord-Pas-de-Calais pour les espèces forestières et de lisières.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 688 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cappelle-en-Pévèle à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 736,6 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Phalempin est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Phalempin, une unité urbaine monocommunale[11] de 4 729 habitants en 2017, constituant une ville isolée[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (44,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (50 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (44,1 %), forêts (31,1 %), zones urbanisées (24,7 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponyme[modifier | modifier le code]

Noms anciens : Phalempin, en 1039, titre de fondation de l'abbaye de Phalempin (Mirœus), 1090, charte de Robert, comte de Flandre (id.). Falempin, Fanopinemis ecclesia, Fanum pini.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le village de Phalempin apparaît au Moyen Âge. Si l'on se réfère à son étymologie incertaine (fanum pini = le temple du pin), il y aurait eu un lieu de culte dédié au pin dans la forêt de l'endroit. Une légende contant les amours de Gautier et d'Éleyne est également associée au site.

Néanmoins, l'existence est historiquement attestée par la fondation de l'Abbaye Saint-Christophe de Phalempin au XIe siècle par le châtelain de Lille Saswalon et par la présence du château du Plouich, fief des châtelains de Lille, dont la nécropole se situait à l'abbaye.

Ce lieu est remarquable pour avoir été le premier fief des châtelains de Lille - Saswalon, premier châtelain de Lille connu, fonda, en l'honneur de St-Christophe, en 1039, un chapitre qui se transforma peu après en une abbaye ; elle fut d'abord composée de clercs séculiers, mais leur administration la ruina. Elle portait : d'or, à une aigle à deux têtes de sable. Le châtelain Roger, et Ogine, sa femme, y établirent, en 1108, pour reconstituer cette abbaye, des chanoines réguliers de Tordre de St-Augustin, de la congrégation d'Arrouaise (Van der Haer, Châtelains de Lille, 152, 19). Phalempin était le fief principal du châtelain de Lille, lequel était, comme possesseur de cette terre, l'un des quatre hauts-justiciers de la châtellenie. Le château du Plouich appartenait aux châtelains de Lille, qui y Pont-à-Marcq résidaient ; plusieurs d'entr'eux portèrent ce nom et y moururent. Ce château fut attaqué, en 1646, à trois reprises, par les Lorrains, qui voulaient le piller. La tradition rapporte que ce village fut converti au christianisme par St Martin (Gazet. 259). La terre du Bos, tenue du châtelain de Lille, était située à Phalempin ; elle a donné son nom à la famille du Bois, branche de la famille de Fiennes. Plusieurs châtelains furent inhumés dans l'église de l'abbaye. -Un chanoine de l'abbaye de Phalempin, François Piétin, mort en 1576 a laissé une très intéressante chronique sur cette Maison et un cahier de notes sur la châtellenie de Lille qui fut depuis très souvent consulté par les historiens.

Le fief passe par héritage aux Luxembourg-Saint-Pol, puis aux Bourbons, pour faire partie de l'héritage de Henri IV alors que les Pays-Bas sont sous domination espagnole. L'abbaye perdure jusqu'à la Révolution, au cours de laquelle les derniers moines sont chassés et les bâtiments démantelés et vendus comme biens nationaux.

L'industrialisation voit s'installer à Phalempin une moutarderie, une corderie, une chaudronnerie et une tuilerie.

Durant la Première Guerre mondiale, Phalempin est occupée. Un résistant de l'époque, Achille Péchon (1860-1915), est même pris comme otage et fusillé par les Allemands.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, Phalempin a été un haut lieu de la résistance organisée par Albert Hermant qui fut tué par les Allemands lors de la Libération, en bordure de la forêt. Il est enterré dans le carré militaire du cimetière de Phalempin. Après l'occupation 1940-1944, le village est libéré le .

La tuilerie reste encore en activité de nos jours, auprès de quelques fermes qui gèrent un territoire encore agricole, malgré une urbanisation de plus en plus grandissante. Une zone d'activité, accueillant notamment le marché européen de l'endive, se développe à l'une des entrées de la ville, dans le cadre de la communauté de communes du Carembault. La proximité de l'agglomération lilloise - 30 minutes de trajet en voiture par l'autoroute A1, qui relie Paris à Lille, les dimanches et plus d'une heure de trajet en semaine, en particulier aux heures de pointe - et la facilité des communications avec elle - fin de desserte des TER en partance pour l'agglomération lilloise à 09h41 le matin en semaine et les samedis; fin de desserte à 09h41 le dimanche; dernier train desservant la gare de Phalempin au départ de la gare Lille Flandres à 21h35, quel que soit le jour de la semaine. Plus de précisions sur : le site des TER en Hauts-de-France - transforment peu à peu un village rural en ville dortoir.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de Phalempin se blasonnent ainsi : « De gueules au chef d'or. »[17]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1793 Antoine Flinois    
1793 1796 Germain-Joseph Hottin    
1796 1797 Charles-Antoine Lohier    
1797 1799 Antoine Flinois    
1799 1801 Jean-Baptiste Delval    
1801 1802 Antoine Flinois    
1802 1808 Charles-Antoine Lohier    
1808 1816 Jean-Baptiste Coget    
1816 1827 M. Nollet    
1827 1834 Jean-Baptiste Coget    
1834 1847 M. Baudoux   Notaire
1847 1870 Louis Dillies    
1870 1913 Jean-Baptiste Coget Républicain Distillateur
Député de la 5e circonscription de Lille (1893 → 1898)
1913 1919 M. Desmazières    
1919 1934 M. Delcroix    
1934 1945 Jean Pipelart Droite Conseiller d'arrondissement de Pont-à-Marcq (1934 → 1940)
1945 1950 Raymond Péchon   Résistant
1950 1959 Édouard Lancel    
1959 mars 1971 Maurice Watrelot    
mars 1971 1991 Louis Flinois   Agriculteur
1991 juillet 2000 Albert Lefebvre[18] DVD Agriculteur
Chevalier du Mérite agricole
Démissionnaire
juillet 2000 En cours Thierry Lazaro RPR puis
UMP-LR
Contrôleur des impôts
Député du Nord (6e circ.) (1993 → 2017)
Conseiller général de Pont-à-Marcq (1992 → 1998)
Député honoraire (2017 → 2019)

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[20].

En 2021, la commune comptait 4 849 habitants[Note 3], en augmentation de 4,57 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0141 0251 0901 1491 3111 3461 3751 3761 361
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3891 4421 4871 4631 4821 4341 4811 5551 647
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 7731 9002 0862 1282 2522 5442 5972 5092 739
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
3 0013 4574 0704 3774 6784 6154 3904 4464 757
2021 - - - - - - - -
4 849--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,7 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 2 272 hommes pour 2 508 femmes, soit un taux de 52,47 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[23]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,9 
5,5 
75-89 ans
9,1 
17,8 
60-74 ans
18,3 
20,3 
45-59 ans
19,9 
20,2 
30-44 ans
19,3 
16,9 
15-29 ans
16,4 
18,7 
0-14 ans
15,2 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[24]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Lieux, monuments et culture[modifier | modifier le code]

  • Frontière nord de la zone des terrils, Phalempin est surtout connu pour le bois de Phalempin. Mal desservi par le train, qui subit de perpétuels retards, suppression ou incidents (ruptures de caténaire, accidents sur les voies, incendies, coupures électriques, etc.), c'était le principal poumon de verdure en venant de Lille, jusqu'au milieu du XXe siècle. Des demeures cossues furent érigées à cette époque. À présent que chacun a une voiture, et du fait de sa faible superficie, il est moins à la mode.
  • Le monument aux morts érigé en 1921 devant l'église. Il est surmonté de la statue La Victoire en chantant, réalisée par Charles Édouard Richefeu.
  • Chaque année, le semi-marathon attire jusqu'à 3500 participants.
  • De son histoire, Phalempin conserve l'encadrement d'un portail de l'abbaye Saint-Christophe de Phalempin (dans un jardin privé), un caveau, dit « Caveau des moines », deux chapiteaux de l'ancienne église (brûlée) qui servent de bénitiers dans l'église actuelle (1904). Au musée des Beaux-Arts de Lille sont conservés un portail de l'abbaye (non visible) et un bas-relief provenant d'un tombeau (collections médiévales). La mairie est sise dans le château Melchior.
  • Phalempin est très active sur le plan associatif, notamment par la présence d'une maison des jeunes et de la culture (MJC) en son centre, créée en 1967, qui propose de nombreuses activités sportives, culturelles et artistiques, telles que le Bistouline Festival, toutes payantes. La commune a également rasé depuis de nombreuses années le terrain d'entrainement des skate-boarders locaux pour y établir de nouvelles habitations et sa propre gendarmerie, qu'accompagne une caserne. Enfin, la ville se préoccupe de ses résidents seniors et leur offre tous les ans un colis de Noël à chacun, quel que soit le montant de leurs ressources. Les colis non réclamés sont alors redistribués aux nécessiteux de la Commune, quel que soit leur âge. Pour en savoir plus: Les activités des aînés à Phalempin

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Répertoire de la Société historique de Phalempin, édition 1995.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. , Arbres et arbrisseaux d'Europe et leurs insectes, par J. Macquart, Membre résident dans les Mémoires de la Société des sciences de l'agriculture et des arts de Lille, 1851 (page 195)
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Phalempin et Cappelle-en-Pévèle », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Cappelle-en-Pev » (commune de Cappelle-en-Pévèle) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Cappelle-en-Pev » (commune de Cappelle-en-Pévèle) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Phalempin », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « 59462 Phalempin (Nord) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
  18. « Albert Lefebvre, ancien maire de Phalempin, est décédé : Maire sans étiquette de Phalempin de 1991 à 2000, Albert Lefebvre est décédé à l’âge de 74 ans. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant).
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Phalempin (59462) », (consulté le ).
  24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).