Marcq-en-Barœul — Wikipédia

Marcq-en-Barœul
Marcq-en-Barœul
La mairie.
Blason de Marcq-en-Barœul
Blason
Marcq-en-Barœul
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Lille
Intercommunalité Métropole européenne de Lille
Maire
Mandat
Bernard Gérard (LR)
2020-2026
Code postal 59700
Code commune 59378
Démographie
Gentilé Marcquois(e)
Population
municipale
39 356 hab. (2021 en augmentation de 0,15 % par rapport à 2015)
Densité 2 803 hab./km2
Population
agglomération
1 058 439 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 50° 40′ 16″ nord, 3° 05′ 50″ est
Altitude Min. 16 m
Max. 51 m
Superficie 14,04 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Lille (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Lille-2
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Liens
Site web marcq-en-baroeul.org

Marcq-en-Barœul est une commune française située dans le département du Nord en région Hauts-de-France, faisant partie de la Métropole européenne de Lille.

C'est une ville résidentielle aisée du département du Nord, classée 17e ville de France pour la proportion de foyers redevables de l'ISF[1]. C'est à Marcq-en-Barœul que les branches du « Grand Boulevard » (artère qui relie Lille à Roubaix et Tourcoing) se rejoignent.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Marcq-en-Barœul est une ville du nord de la banlieue lilloise, située en bordure du pays de Ferrain, en Flandre romane.

Elle est traversée par une rivière canalisée, la Marque.

Le nom de « Marcq » - comme celui de la rivière - signifie à la fois marais et frontière, ce qui n'est pas incompatible car à cette époque, la notion de frontière correspond moins à une ligne arbitraire qu'à des zones relativement désertes entre deux peuples.

Le Barœul est une ancienne région englobant Marcq-en-Barœul, Mons-en-Barœul et une partie de l'actuelle Villeneuve-d'Ascq.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Wasquehal, Villeneuve-d'Ascq, Bondues, Lille, La Madeleine, Marquette-lez-Lille, Mons-en-Barœul et Mouvaux.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 673 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lesquin à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Marcq-en-Barœul est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lille (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 60 communes[11] et 1 058 439 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lille (partie française) est la quatrième de France en nombre d'habitants, derrière celles de Paris, Lyon et Marseille-Aix-en-Provence[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

Marcq-en-Barœul est une ville qui s'est beaucoup développée sur le plan économique dans les années 1980 avec la création de plusieurs parcs d'affaires. Historiquement installée sur la ville depuis son origine, la société Lesaffre, leader mondial de la levure, y emploie près de 500 personnes. La société Holder (boulangeries Paul) est venue la rejoindre, faisant de Marcq-en-Barœul la ville du pain et du levain.

Près de 1 500 entreprises et commerces y sont recensés aujourd'hui.

Le nombre d'habitants a également pris son essor avec de nombreux programmes immobiliers.

Elle fait partie des grandes villes du Nord avec ses 40 000 habitants.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (83,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (73,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (61,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (15,2 %), terres arables (12,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (6,8 %), zones agricoles hétérogènes (4,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Quartiers[modifier | modifier le code]

La ville est découpée en 8 quartiers:

  • Belles terres
  • Bourg - Centre-ville
  • Briquetterie
  • Buisson / May-Four / Pellevoisin
  • Croisé-Laroche / Rouges-Barres
  • Mairie /Quesne
  • Plouich / Clemenceau / Calmette
  • Pont / Montplaisir

Environnement[modifier | modifier le code]

La qualité de l’eau de la Marque s’est fortement améliorée[réf. nécessaire] depuis les records de pollution des années 1970 puisqu'un important chantier de requalification a été engagé pour plus de 40 millions d'euros cofinancés par l'Europe. La gestion de cette rivière canalisée est désormais de la compétence de la Communauté Urbaine de Lille. la ville redécouvre aussi le triangle des rouges-barres, friche ferroviaire et espace de nature spontanée, enclavée sur douze hectares entre trois voies ferrées, qu’elle partage avec la ville de Mons-en-Barœul. L’Agenda 21 communal incite la population et les entreprises à mieux gérer, protéger et restaurer la nature qui est restée très présente à Marcq puisqu'un tiers de son territoire est en zone agricole protégée par le SCOT soit 500 hectares. Après vingt ans de négociation entre l’association du Triangle des Rouges-Barres, RFF (le propriétaire du site) et les deux villes où se situe le terrain, le triangle s’est ouvert au public (sur rendez-vous ou en visites guidées) en . Les visiteurs peuvent ainsi prendre connaissance des mesures de gestion restauratoire, écologique et donc différenciée mises en place (prairie pâturée par des poneys, restauration de la roselière, mare…) avec la contribution d’associations de protection de la nature et du site.

L’usine Lesaffre se trouve en plein cœur de la ville. La fabrication de levure se fait par fermentation. C’était une source de pollution olfactive qui a été largement maitrisée[réf. nécessaire] grâce à des travaux importants.

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

Le , le Grand Boulevard est ouvert entre Lille, Roubaix et Tourcoing. Marcq-en-Barœul se situe sur le nœud du boulevard. La commune est également traversée par l'autoroute A22 et la RN356.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

En étant sur le nœud du tramway d'Alfred Mongy, Marcq-en-Barœul est desservie par les deux lignes (Roubaix et Tourcoing). Le tramway s'arrête sur cinq stations de commune soit : Saint-Maur, Buisson, Brossolette, Clemenceau - Hippodrome et Croisé Laroche. Cette dernière station fait le nœud entre les deux lignes. En allant vers Tourcoing, la ligne T s'arrête également à Foch, Le Quesne, Cerisaie - Centre d'affaires et Château Rouge. Seule la station Acacias est desservie sur la ligne R, en allant vers Roubaix.

La commune est également desservie par les lignes de bus du réseau Ilévia : Lianes 5 et 91, lignes 50, 86, 88, C10A, C10B et Corolle 3.

Transports ferroviaires[modifier | modifier le code]

Même si la commune est traversée par les lignes de Fives à Mouscron (frontière) et de Lille aux Fontinettes, elle n'a pas de gare. La plus proche est celle de La Madeleine.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Issue du germanique marko, « marécage ». Le nom de Marcq renvoie aux notions de marais et de frontière[17].

Marck-bij-Rijsel en flamand[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

La ville fut au début une zone peu habitée entre les peuples Atrébates et Ménapiens. Puis, après la conquête romaine de Jules César, la ville fut colonisée comme le prouve la découverte d'une villa gallo-romaine mise au jour près de la Marque (la rivière devenue aujourd'hui canal) en 1965. La ville, comme le reste de la région, fut ensuite envahie par les peuples germaniques.

Au Moyen Âge, la commune devint le territoire de chasse des rois carolingiens. Puis la ville devint un centre dans lequel la bourgeoisie s'installa et déteindra sur le pouvoir local pendant quelque temps à l'aide du suffrage censitaire ou encore sous le Consulat et l'Empire. La Révolution et les évènements qui l'ont suivie ou encore la guerre de 1870 n'auront pas d'incidence sur la vie de la commune d'environ 2 700 habitants.

La garnison de Menin brûla la plus grande partie des maisons de ce village en 1580.

En 1667, Louis XIV logea à Marcq, au château dit la Tour-de-Marcq. La Bonne-Maison des Ladres était un hôpital qui rendit de grands services au XIIIe siècle ; en , Walter, évêque de Tournai, fit un règlement qui établit que les frères et sœurs de cette maison auraient à demeurer séparés les uns des autres, et que les frères auraient soin des hommes malades, et les sœurs des femmes et filles, ce qui fut approuvé par la comtesse Jeanne. Les biens de cette maison passèrent, par arrêt du Conseil du , à l'hôpital Saint-Sauveur de Lille pour l'indemniser des pertes que cet établissement avait essuyées.

En mai 1682, des lettres données à Saint-Cloud confirment le titre de comte pour Pierre de Croix, chevalier, seigneur de Wasquehal,Marcq-en-Barœul, Mourbecque, Flers, Escou, Belsage, Esquesme, etc., colonel du régiment royal de cavalerie wallonne en 1673, puis brigadier des armées du roi en 1676, puis commandant de cavalerie dans la place de Saint-Omer, et dans celle d'Aire (Aire-sur-la-Lys), Bergues, Dunkerque, Gravelines, Furnes, Bourbourg, Cassel et Ypres. Il obtient également de décorer ses armes d'une couronne de marquis et la faculté d'appliquer le titre de comte sur la terre de son choix[19].

Jacques Legroux fut curé de Marcq de 1730 à 1734 ; il est auteur de plusieurs ouvrages, dont un seul a été imprimé sous le titre suivant : Summa statutorum Synodalium cumprœvia sinopsi vitœ episeoporum Tornacensium. On voit son épitaphe dans la chapelle de gauche de l'église de Marcq-en-Barœul.

Des implantations d'industries ont lieu à la fin du XIXe-début XXe, avec les risques inhérents à ce genre d'activité : le , la fabrique de feux d'artifice de la Rianderie explose et fait trois morts[20].

Les guerres mondiales vont l'affaiblir comme les autres villes de la région, mais grâce à l'industrie, la ville à la sortie de la guerre ou pendant l'entre-deux-guerres voit son économie et sa population exploser pour stagner depuis les années 1970. Pour exemple, la construction d'infrastructures comme l'hippodrome des Flandres en 1931.

C'est à Marcq-en-Barœul que la chocolaterie Delespaul-Havez a fabriqué le premier Carambar en 1954.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Marcq-en-Barœul dans son canton et son arrondissement.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1945 Délégation municipale   Comité de libération nationale
mai 1945 octobre 1947 Léon Robichez[23] MRP Journaliste, directeur de Nord Éclair
Conseiller général de Tourcoing-Sud (1945 → 1964)
octobre 1947 mai 1948 Albert Bailly[21]    
mai 1948 mars 1959 Léon Robichez[23] MRP Directeur commercial d'une imprimerie
Conseiller général de Tourcoing-Sud (1945 → 1964)
mars 1959 août 1968 Georges Lambrecq UNR puis UDR Conseiller général de Marcq-en-Barœul (1964 → 1968)
Décédé en fonction
août 1968 septembre 1994 Serge Charles UDR puis RPR Dessinateur industriel
Député du Nord (9e circ. (1978 → 1994)
Décédé en fonction
septembre 1994 novembre 2001 Jean-René Lecerf RPR Enseignant du supérieur
Sénateur du Nord (2001 → 2015)
Conseiller général de Marcq-en-Barœul (1988 → 2013)
Président du conseil départemental du Nord (2015 → 2021)
Démissionnaire
novembre 2001 En cours
(au 6 octobre 2023)
Bernard Gérard RPR puis UMP-LR Avocat
Député du Nord (9e circ.) (2007 → 2017)
Conseiller régional des Hauts-de-France (2021 → )
Vice-président de la Métropole européenne de Lille
Président de l'Association des maires du Nord (2023 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

  • La ville a également mis en place une prime vélo et une aide à l'achat d'une trottinette électrique[25].
  • Dans le cadre d'un projet (forêt urbaine), la Ville propose à des habitants volontaires un arbre à planter à leur domicile. L'enjeu est 6 000 nouveaux arbres plantés entre 2020 et 2026.[1]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[27],[Note 3].

En 2021, la commune comptait 39 356 habitants[Note 4], en augmentation de 0,15 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 6482 6132 7062 9253 1323 3483 5863 9373 989
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
4 6175 9227 3357 5488 4119 2669 4189 75210 392
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
11 14211 52012 14912 71316 14519 16321 32222 27124 564
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
29 23435 13636 12635 27836 60137 17738 93939 59138 805
2021 - - - - - - - -
39 356--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,0 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 18 122 hommes pour 20 448 femmes, soit un taux de 53,02 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,0 
90 ou +
2,3 
6,6 
75-89 ans
9,9 
15,4 
60-74 ans
16,6 
19,8 
45-59 ans
19,7 
19,5 
30-44 ans
18,8 
18,1 
15-29 ans
16,2 
19,7 
0-14 ans
16,6 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune de Marcq-en-Barœul fait partie de l'académie de Lille.

  • Éducation
    • Groupes scolaires (école élémentaire et école maternelle) :
      • Publics
        • École élémentaire Jules Ferry
        • École élémentaire Marcel Pagnol
        • École maternelle Marie Curie
        • École maternelle Henri Matisse
        • École élémentaire Victor Hugo
        • École maternelle Georges Méliès
        • École élémentaire Charles Péguy
        • École maternelle Françoise Dolto
        • École élémentaire Raymond Derain
        • École maternelle Blaise Pascal
        • École maternelle Cognacq Jay
        • École élémentaire Louis Pasteur
        • Groupe Scolaire "Arbre Vert"
        • Groupe Scolaire Léonard de Vinci (anciennement Ecole élémentaire Montaigne et Ecole maternelle Desrousseaux)
        • Groupe scolaire Niki de Saint Phalle (anciennement Ecole élémentaire Paul Langevin)
        • École européenne Lille Métropole
      • Privés
        • Notre Dame de Lourdes (Maternelle + élémentaire)
        • École élémentaire Jean Bosco
        • École maternelle Notre Dame des Jeunes
        • École Saint Aignan (Maternelle + élémentaire)
        • École Saint Christophe (Maternelle + élémentaire)
    • Cinq collèges
      • Collège Rouges Barres (public)
      • Collège du Lazaro (public)
      • École européenne Lille métropole (public)
      • Collège privé de Marcq (privé)
      • École Jeannine-Manuel (privé)
    • Quatre lycées
    • CEPI Management de la Chambre de commerce et d'industrie de Lille Métropole.
    • Un institut médico-éducatif, Le Mesnil de la Beuvrecque, géré par l'Association des Papillons Blancs de Roubaix Tourcoing

Sports[modifier | modifier le code]

Hippisme[modifier | modifier le code]

Hippodrome Serges Charles.

La ville de Marcq-en-Barœul possède un champ de courses hippiques : l'hippodrome Serge-Charles, le seul en activité dans le département du Nord. Construit en 1931, cet espace vert de trente hectares est ouvert au public et est un des plus beaux de l'agglomération. Il comporte :

  • une piste intérieure en herbe, réservée aux galopeurs, longue de 1 500 mètres et dotée d'une ligne droite finale de 350 mètres ;
  • une piste extérieure en cendrée, réservée aux trotteurs, développant 1 665 mètres et dotée d'une ligne droite d'arrivée longue de 380 mètres.

En son centre est aménagé le Golf des Flandres.

Golf[modifier | modifier le code]

La ville compte deux golfs :

Rugby[modifier | modifier le code]

La ville de Marcq-en-Barœul héberge un club de rugby à XV, l'Olympique Marcquois Rugby. Créé en 1971, le club a accédé en Fédérale 2 en fin de saison 2016/2017. Il compte 600 licenciés et appartient au Comité des Flandres ; son école de rugby est classée première des Flandres et première au Nord de Paris.

Le club bénéficie d'un parrainage avec le Stade toulousain depuis 1999, grâce à Gérard Labbe, ancien président de la section amateur du Stade Toulousain et Marcquois de naissance. Les rencontres ont lieu au stade Georges Defrance, qui en fut son premier président. En 2012, les minimes de l'OMR ont organisé et gagné le Super Challenge de France Espoirs, qui oppose les clubs de fédérale.

Depuis le début de la saison 2017-2018, l'équipe sénior joue les matchs à domicile au Stadium Nord à Villeneuve-d'Ascq

Hockey sur Gazon[modifier | modifier le code]

  • Le PHC (Polo Hockey Club)

Volley-ball[modifier | modifier le code]

Le Volley Club Marcq-en-Barœul joue en première division durant deux ans au début des années 2000. Le club évolue actuellement en Ligue A Féminine, la première division nationale.

Tennis[modifier | modifier le code]

La Ligue des Flandres de tennis, qui dépend de la Fédération française de tennis, a son siège sur le territoire de la commune et a accueilli sur ce site des compétitions d'envergure nationale et internationale[32]. La ville accueille en 1987, le premier tour de la Coupe Davis où l'équipe de France bat la Corée du Sud par 5 victoires à zéro[33]. En 2014 puis en 2017, l'équipe de France s'entraîne à Marcq-en-Barœul afin de préparer la finale de Coupe Davis qui se joue au stade Pierre-Mauroy[34].

Handball[modifier | modifier le code]

En 1970 naît l'Olympique Marcquois Handball qui sera dissous en 1991 pour donner naissance au club de Marcq Handball. Ce dernier augmente en nombre de licenciés, donne naissance à de multiples équipes qui évolueront en championnat départemental et se voit mettre à disposition un éducateur sportif par la mairie. À partir de 2000, l'accent est mis sur la professionnalisation et le club étend ses ambitions au niveau régional. En 2009, le MHB organise son premier tournoi international qui deviendra annuel, accueillant des équipes venues de tout l'Europe. Un an plus tard, le Cécihand est créé au sein du club. En 2011, l’association dirigée par Didier Vanhuys compte 260 licenciés et 13 équipes qui évoluent dans les championnats départementaux et régionaux.

Football

L'Olympique Marcquois de Football, crée en 1921 évolu en Championnat de France de football de National 3, et joue au stade Georges Niquet (2500 places), et parfois au Stadium Lille Métropole.

Sports aériens[modifier | modifier le code]

Bien que non situé sur son territoire mais contigu, l'aérodrome du nord de la métropole lilloise porte le nom d'aérodrome de Lille - Marcq-en-Baroeul. La ville fait partie des 4 communes qui gère l'aérodrome.

L'aérodrome propose de nombreuses activités aériennes : aviation légère, planeur, parachutisme, ULM, aéromodélisme, montgolfière... Au total 12 clubs sont présents.

L'aérodrome propose également une piste de BMX homologuée[35] et des circuits de randonnées[36]

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2020, le revenu fiscal médian par ménage était de 28 390 €, bien supérieur à la médiane départementale (20 750€) et nationale (22 400€)[37],[38],[39].

Marcq-en-Barœul est la commune de plus de 20 000 habitants la plus riche du département du Nord[40].

Emploi[modifier | modifier le code]

Le taux de chômage de la commune s'élevait, en 2020, à 9,9 %, un chiffre inférieur à la moyenne nationale (12,7 %) et très largement inférieur à la moyenne départementale (16,3 %)[41].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

L'usine Lesaffre.

Au cœur de la Métropole Lilloise, Marcq-en-Barœul fait partie de la « couronne nord » de la Communauté urbaine de Lille Métropole qui regroupe plus de 1 500 unités économiques (dont 500 commerces et services). 80 % d'entre elles font partie du secteur tertiaire avec la communication, les banques, l'informatique, les professions libérales, les NTIC...

Il existe aussi de grands groupes industriels dans l'agroalimentaire comme le Groupe Lesaffre (leader mondial de la levure), Eurocandy (fabricant du Carambar), Groupe Holder (PAUL, Ladurée…) ou encore Union Biscuits, ils rendent la ville plus connue, de même que les usines et bureaux d'autres enseignes réputées comme Kiloutou, Promod, KPMG, Alcatel, Cap Gemini, Altima, Ilévia, Franfinance, CGI-CGL...

En 2009, L'olivier - assurance auto y ouvre son premier centre d'appels[42].

Ces infrastructures sont réparties dans les zones industrielles suivantes :

Domaine du Buisson, Espace République, Parc de la Campagnerie, Parc d'Affaires du Château Rouge, Parc du Cheval Blanc, Parc Europe, Parc des Rouges Barres, Parc de la Marque, Parc d’entreprises de la Pilaterie.

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Hôtel de Ville, construit en 1936 et inauguré le , les architectes René Gobillon et Gaston Trannoy.
  • La maison Art-Déco Jules Notelaers, 21 avenue Foch, réalisée en 1933 par l'architecte belge R. Vandenheede, inscrite à l'inventaire des monuments historiques en 1995[43].
  • L'hôtel classique, situé avenue de la République, a été réalisé par l'architecte Maillard. Il a été construit entre 1926 et 1929, à la demande d'Ernest Desurmont, un industriel parisien, auteur du pneu de vélo entoilé. L'hôtel classique détient un jardin à la Française. Aujourd'hui, il abrite le Conservatoire communal de Marcq-en-Barœul.
  • La maison Duprez, construite en 1933 par l'architecte Paul Duprez, se situe à l'angle de la rue Delcenserie, fait partie d’un groupe de quatre. Celle-ci accroche le regard par sa forme complexe. La façade principale, celle de l’entrée, se détache telle une tour. Le décor se compose de frises en mosaïque représentant des feuilles de chênes-houx, nom affiché de cette maison[44].
  • Une ancienne forge, située dans le bourg de la ville, daterait du XIXe siècle, et est faite entièrement de briques à l'extérieur, et à l’intérieur, les murs sont à rouges-barres. Aujourd'hui, on peut voir une partie consacrée à l’ancienne forge, et le reste est une librairie.
  • Le patrimoine ferroviaire de l'ancien dépôt de tramway de Ilévia, dont plusieurs machines sont classées monument historique.

Lieux de cultes et de piété[modifier | modifier le code]

Catholiques[modifier | modifier le code]

Oratoire Saint-Maur.
  • L'église Saint-Vincent, place du Général De Gaulle, du XVIe siècle, inscrite à l'inventaire des monuments historiques en 1987[45]. Elle renferme notamment deux toiles de Pharaon de Winter de 1881 (Les saintes femmes au tombeau et L'adoration des bergers). Elle fait partie de la paroisse de la Bonne Nouvelle.[2]
  • L'église Saint-Louis, rue Pasteur. Elle fait partie de la paroisse Jean XXIII.
  • L'église Saint-Paul, est de style flamand, et se situe du Général Gallieni. Elle fait partie de la paroisse Jean XXIII.
  • L'église Notre-Dame-des-victoires, rue Jacquard, construite en 1976-1977, par l'architecte Paul Dessauvages, de facture moderne. Elle fait partie de la paroisse Jean XXIII. Depuis juin 2020, l'église a la spécificité d’accueillir une paroisse particulière: la paroisse Mar Charbel, du nom du saint moine éponyme. À la suite du souhait de plusieurs familles, libanaises, franco-libanaises et irakiennes, un prêtre maronite, envoyé par Mgr Nasser Gemayel, officie au moins une fois par mois, en français, en arabe et en syriaque[46]. En accord avec l'archevêque lillois, la paroisse Mar Charbel (signifiant Saint Charbel) dépend donc l'éparchie maronite de France et d’Europe. Cette création s'inscrit aussi dans des liens de fraternité et de solidarité antérieurs puisque la paroisse Jean XXIII est jumelée, depuis 2007, avec la paroisse libanaise Saint-Élie à Antélias.
  • L'église du Sacré-Cœur, rue de l'Abbé Lemire, construite en 1986, et consacrée le 21 juin 1987. L'église fait partie de la paroisse de la Bonne Nouvelle.
  • La Chapelle Saint-Jean du Quesne , rue Hélène Boucher, qui fait partie de la paroisse de la Bonne Nouvelle.
  • L'église Notre-Dame-de-Pellevoisin de Lille, appartenant au doyenné de Marcq-en-Barœul mais située sur le sol de la commune de Lille.
  • Les calvaires Destombes (pavé stratégique) et Breton (avenue de la Marne).
  • La Chapelle du Collège et lycée privé de Marcq, chemin du Collège, réalisée par l'architecte Charles Leroy (sauf le clocher).
  • La Chapelle du Lazaro, rue du Lazaro, classée monument historique en 1951[47].
  • La Chapelle de la maison de retraite Saint-Maur, rue Christophe Collomb.
  • La chapelle carrière Dal, construite en 1888.
  • L'oratoire Saint-Maur. Ce dernier fut construit par les Sœurs de l'Enfant-Jésus en 1871.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Culture et animations[modifier | modifier le code]

  • Un cinéma, le Colisée-Lumière équipé des dernières technologies (3D).
  • Une médiathèque, La Corderie (Elle tient son nom de l'ancienne corderie Delobel dans laquelle elle a été construite). Elle possède également un hall d'exposition.
  • Une école de musique, d'art dramatique et de danse.
  • Un orchestre à cordes Arcangelo.
  • Plusieurs salles d'expositions.
  • Deux théâtres
    • Théâtre Charcot
    • Théâtre de la Rianderie
  • Le Musée régional des télécommunications en Flandres

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de Marcq-en-Barœul se blasonnent ainsi : « D'argent à la croix d'azur. »

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Où vivent les riches en France ? », sur journaldunet.com, JDN, (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Marcq-en-Barœul et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Lille-Lesquin » (commune de Lesquin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Lille-Lesquin » (commune de Lesquin) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Lille (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « 2000 ans d'histoire Vie Administrative et Politique Le nom de Marcq », sur marcq-en-baroeul.org (consulté le ).
  18. « proussel.voila.net/pages/noms_… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  19. Amédée le Boucq de Ternas, op. cit., p. 347.
  20. Cent ans de vie dans la région, tome 1 : 1900-1914, La Voix du Nord éditions, 1998, page 37
  21. a et b « Sur les traces des anciens maires : Albert Bailly à Marcq-en-Barœul », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant).
  22. « Journal officiel de la République française. Lois et décrets » Accès libre, sur Gallica, (consulté le ).
  23. a et b André Caudron, « Notice ROBICHEZ Léon, Benoît, Marie, Joseph », sur Le Maitron en ligne, .
  24. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Marcq-en-Barœul, consultée le 7 novembre 2017
  25. https://www.marcq-en-baroeul.org/votre-ville-en-action/developpement-durable/1166-la-ville-offre-une-aide-a-l-achat-d-une-trottinette-electrique
  26. a b c et d « marcq-en-baroeul.org - Villes jumelées », sur marcq-en-baroeul.org (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Marcq-en-Barœul (59378) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  32. Benjamin Waldbaum, « La ligue organisatrice de la phase finale - Les Flandres récidivent ! », sur fft.fr, Fédération française de tennis, .
  33. Sébastien Petit, « France-Suisse, ce sera bien à Lille », sur eurosport.fr, .
  34. Coupe Davis : les Bleus dans leur bulle avant la finale, l'Equipe du 15/11/2017
  35. « VTT-Vélo-BMX », sur aerodromedeloisirs.fr (consulté le ).
  36. « Nature », sur aerodromedeloisirs.fr (consulté le ).
  37. « Dossier complet − Commune de Marcq-en-Barœul (59378) | Insee », sur insee.fr (consulté le ).
  38. « Dossier complet − Département du Nord (59) | Insee », sur insee.fr (consulté le ).
  39. « Dossier complet − France métropolitaine | Insee », sur insee.fr (consulté le ).
  40. Éric Dussart, « Où vivent les riches ? Pas de surprise, mais des chiffres », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
  41. « Comparateur de territoires − Commune de Marcq-en-Barœul (59378) | Insee », sur insee.fr (consulté le ).
  42. « L’olivier Assurances s’enracine dans la métropole », sur eco121.fr.
  43. Notice no PA00135489, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. « Marcq-en-baroeul.org - 9 - Chêne-houx »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur marcq-en-baroeul.org (consulté le ).
  45. Notice no PA00107738, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. Nouvelles des paroisses catholiques de l'Armentiérois n°68 (pages 20 et 21), journal paroissial trimestriel, mars 2021.
  47. Notice no PA00107737, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Paul Delsalle, Histoire de Marcq-en-Baroeul, Éditions des Beffrois,
  • Patrick Ansar, Chapelles, calvaires et oratoires de Marcq-en-Barœul

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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