Sport à Pau — Wikipédia

Le circuit de Pau emprunte les rues de la ville, et ressemble par différents aspects au Grand Prix de Monaco.

Ville depuis toujours très sportive, Pau est dotée de nombreuses infrastructures importantes et de plusieurs clubs de sport de haut niveau.

Histoire[modifier | modifier le code]

Selon la légende, c'est à Gaston IV de Béarn que l'on doit le début des courses hippiques en Béarn[1].

Au XIXe siècle, l'influence de la population anglaise à Pau a tenu un rôle important dans la diffusion et l'organisation du sport moderne : golf, équitation (concours complet, course hippique)...

Les hivernants, curistes et expatriés de la haute société britannique principalement, dont faisait partie le père d'Henry Russell, importent avec eux de nombreux sports en vogue à la Belle Époque et contribuent à la mode du pyrénéisme.

Le polo, les courses d’obstacles et la chasse au renard sont alors très prisés dans la capitale béarnaise, le Pau Hunt Drag voyant le jour en 1840[2].

L’hippodrome du Pont-Long, créé en 1842 accueille le meeting de Pau qui devient rapidement le point culminant de la saison hivernale pour les parieurs britanniques[3]. Le haras national de Gelos, près de Pau a contribué à la sélection de la race de cheval Anglo-arabe, à partir du cheval navarrin.

Les hivernants, souvent devenus résidents, menés par Lord Hamilton, les colonels Hutchinson et Anstruther, le major Pontifex et l'archidiacre Sapte fondent en 1856 le Pau Golf Club.

Inspiré du légendaire Royal and Ancient Golf Club of St Andrews en Écosse, le Pau Golf Club est le plus ancien de toute l'Europe continentale (en dehors des îles britanniques)[4]. Le parcours est conçu par la référence incontestée de l'époque William Dunn Sr, sur un site où l'on pratiquait déjà le jeu de mail sous le règne du roi Henri IV [5],[6].

La réputation de Pau est alors bien établie dans le monde anglo-saxon, et la cité mérite alors ses galons de « Reine des sports », décernés par la plume de l'américain James Gordon Bennett junior dans le journal qu'il avait fondé, le International Herald Tribune. Homme d'affaires avisé et féru d'aéronautique, Bennett décrit la cité comme étant « le centre du sport mondial » (« Pau is the hub of the sporting world ») et a ses habitudes dans les hôtels et villas fastueuses du boulevard des Pyrénées et du Quartier Trespoey[7]. Bennett exploite ainsi le boom de l'aviation en Béarn piloté par les frères Wright et Louis Blériot, qui attire les rois Alphonse XIII et Édouard VII en 1909 afin d'assister au premier vol de Wilbur Wright au-dessus de la plaine du Pont-Long.

Bennett passe à la postérité en donnant son nom à la coupe aéronautique Gordon Bennett[8],[9]. Par ailleurs, la presse nationale et le quotidien sportif L'Auto en particulier écrivent des chroniques régulières sur les nouvelles du sport palois [10].

Toutefois, les Béarnais ont longtemps considéré que le jeu de paume, ancêtre du tennis et de la pelote basque, sous la forme de paume au rebot, était leur véritable sport national. Selon la légende, c'est à Pau que le roi Henri IV avait acquis un goût si prononcé pour le jeu de paume qu’il continua toujours à jouer lorsqu'il devint roi de France, sans doute la raison pour laquelle la pelote basque est toujours si populaire en Béarn[11].

Le jeu de paume de jardin ou lawn tennis était pratiqué à la Haute-Plante et à la plaine de Billère, sur les pelouses des luxueuses villas. En 1887, un groupe d’amateurs et de commerçants fait construire une salle semblable à celle de la terrasse des Feuillants dans le jardin des Tuileries[12],[11]. Ce bâtiment historique est achevé en 1889, avec un plan identique au jeu de paume des Tuileries et une tribune supérieure pour le public comme dans les trinquets de pelote basque. Des tournois internationaux y sont organisés, attirant le gratin des joueurs de l'époque : Jacques Brugnon, George Lyttleton-Rogers chez les hommes ou Simonne Mathieu chez les femmes[13],[14].

Au début du XXe siècle, la municipalité veut dynamiser la partie basse de la ville en se servant de l'actuel stade Philippe Tissié. Il est aménagé en vélodrome à la demande du Véloce-Club Béarnais, fondé en 1883, qui ne pouvait plus occuper son vélodrome du parc Beaumont [15]. Ils s'installent dans les lieux au début du XXe siècle[16],[17],[18]. Le vélodrome a accueilli la crème des cyclistes de l'époque, le danois Thorvald Ellegaard y a notamment couru en 1922 [19].

Officiellement inauguré en 1902, ce complexe imaginé par Jules-Antoine Noutary, futur architecte du stade de la Croix du Prince et de l'ancien hôtel de France, comprend un ensemble d'équipements avec un vélodrome, des terrains de lawn-tennis, de croquet et d'un jeu essentiellement béarnais : les quilles de neuf.

Le vélodrome sera peu à peu délaissé au profit des courses sur route.

Dans les années 30, le maire Verdenal évoque la possibilité d'y construire un véritable « Parc des Sports »[20]. Dans les années 40, c'est Charles Lagarde, l'ancien athlète devenu président emblématique de la Section paloise qui reprend le flambeau[21].

Après 1950, l'ancien vélodrome est graduellement transformé en stade municipal, renommé stade Philippe Tissié en hommage au palois fondateur des lendits scolaires et initiateur de la gymnastique suédoise en France.

Le stade Philippe Tissié accueille désormais le sport scolaire et devient chaque année le cœur du circuit du Grand Prix automobile de Pau.

En effet, les sports mécaniques ne sont pas en reste, pratiqués en Béarn depuis 1898, date de la fondation de l'Automobile Club basco-béarnais[22]. Le Grand Prix de Pau, né sous le nom de « Grand Prix du Sud-Ouest » en 1901, s'est forgé une solide réputation grâce à son circuit urbain, inchangé depuis 1935, considéré comme particulièrement difficile et relevé par de nombreux pilotes[23],[24]. Les pionniers des courses automobiles y ont couru : René de Knyff remporte en 1900 le Grand Prix de Pau avec sa Panhard munie de pneus Michelin à une vitesse moyenne de 70 km/h [22]. En 1949, Juan Manuel Fangio remportait le GP et lançait sa carrière en bouclant en tête 110 tours, soit 305 km[25].

Néanmoins, en dépit de cette anglophilie et de la promotion de sports d'origine britannique, aucun club de football ne voit le jour sous l'impulsion des citoyens de la couronne de Sa Majesté, comme ce fut le cas à Paris et dans le Nord de la France.

La pratique du Football-Association en Béarn et en Gascogne plus généralement reste confidentielle[26]. Le rugby, quant à lui, draine les foules dans son temple de la Croix du Prince[27],[28]. C'est la raison pour laquelle des joueurs de Football-Association béarnais, à l’image de Jean Batmale, milieu défensif de l'équipe de France aux Jeux olympiques en 1920 et 1924, doivent s'exiler en région parisienne ou en Bretagne pour pouvoir pratiquer ce sport, quasi inexistant à l'époque dans les Pays de l'Adour[29].

Implantation durable du rugby au XXe siècle[modifier | modifier le code]

Coquelicots de Pau au début du XXe siècle

Si l'arrivée du football est tardive, l'implantation du rugby à XV à Pau et en Béarn est bien plus précoce, portée par les nombreux expatriés britanniques que compte la ville. En effet, avec Bordeaux, Pau est la seconde ville en dehors de Paris à accueillir du rugby. Dès 1890, les Coquelicots de Pau disputent des matches amicaux face aux Montagnards de Bayonne et à la Pyrénéenne de Tarbes[30].

Images externes
Coquelicots de Pau - Montagnards de Bayonne, 27 février 1898 à la Haute-Plante 30Fi64 (consultation sur archives.agglo-pau.fr)
Coquelicots de Pau - Montagnards de Bayonne, 27 février 1898 à la Haute-Plante 30Fi64 (consultation sur archives.agglo-pau.fr)
Défilé Final Coquelicots de Pau - Montagnards de Bayonne, 27 février 1898 à la Haute-Plante 30Fi64 (consultation sur archives.agglo-pau.fr)
Portrait des Coquelicots du lycée Louis-Barthou vers 1910, avec leur entraineur Louis Péguilhan) (consultation sur archives.agglo-pau.fr)

Les Coquelicots sont l'association sportive du lycée de Pau, et ont pris la suite de l'Avenir palois, société de gymnastique fondée en 1886[31],[32]. Joseph Peyré, l'écrivain béarnais, a porté le maillot des Coquelicots[33],[34]

Le premier club de rugby à voir le jour est le Stade Palois, fondé dès 1899[35].

Images externes
Stade Palois le 3 avril 1902 33Fi452 (consultation sur archives.agglo-pau.fr)
Stade Palois lors de l'inauguration de la Pelouse des Jeux / champ Bourda 22Fi5582 (consultation sur archives.agglo-pau.fr)

Il en va de même dans la région des Pays de l'Adour, le rugby s'implante durablement [36],[37].

Les expatriés britanniques jouent un rôle majeur dans l'implantation de ce sport puisque l'Écossais J. J. Shearer œuvre pour le développement du rugby à Bordeaux et le Gallois Owen Roe à celui de l'Aviron bayonnais et du rugby à Bayonne[38],[39].

Tom Potter à Pau en 1912.
Tom Potter à Pau en 1912.

La Section Paloise, qui a abandonné la pratique de la barette promue par le Docteur Tissié en 1905 après avoir absorbé le stade, se consacre alors au Football-Rugby, futur rugby à XV. Le club, capitalisant sur l'afflux des hivernants, accueille des joueurs britanniques tels que les gallois Crockwell dès 1907 et Tom Potter, ancien officier de l'Army en provenance des Harlequins à partir de 1912[40].

L'arrivée de ces talents étrangers et le vivier de joueurs béarnais contribue à faire de la Section Paloise une place forte du rugby français, avec 3 titres de champion de France, un challenge Yves du Manoir et un titre en Challenge Européen[41].

Ce succès du rugby en Béarn et Gascogne s'explique également par l'antagonisme entre les patronages laïcs des abbayes laïques, largement représentés dans le Sud-Ouest et les patronages catholiques, qui a certainement contribué à favoriser la pratique du rugby. Protestant et aristocratique en Angleterre, le rugby français sera géographiquement occitan, politiquement républicain et laïc et sociologiquement non élitiste[42].

En effet, l'Église catholique désapprouvait la pratique du Football-Rugby en raison des fréquents contacts entre les joueurs, et militait pour le développement du Football-Association ou du basket-ball. C'est ainsi qu'au début du XXe siècle, les catholiques béarnais, par l’action de la Fédération gymnastique et sportive des patronages de France (FGSPF), font du football et du basket-ball leurs sports phares, le rugby étant jugé trop républicain et laïc.

Ce contexte a favorisé l'émergence de véritables clubs de rugby, et non de patronages catholiques. Les républicains et anticléricaux se rangent derrière le ballon ovale, et l'implantation du football se fait plus sporadiquement[43].

Le rugby représentait donc certainement une forme de résistance face à l'Église catholique, le Béarn ayant été historiquement une terre protestante, seul État protestant d'Europe du Sud avant l'annexion militaire de Louis XIII, qui imposa la religion catholique comme religion officielle.

Enfin, l'impérialisme linguistique de la Troisième République, se traduisant par la politique de francisation forcée, provoqua un mouvement de défense du béarnais (voir Linguicide et Vergonha) dans cet ancien État indépendant.

Ainsi, le Béarn est à la Belle Époque une terre rebelle à l'État jacobin, farouchement éprise de liberté, que l'annexion à la France et l'affirmation des États-Nations a privé de son rôle clé transpyrénéen, expliquant sans doute l'anglomanie de Pau à la fin du XIXe siècle[42].

Football et patronages catholiques[modifier | modifier le code]

Dans ce contexte défavorable au développement du football en Béarn et dans les Pays de l'Adour de manière plus générale, l'implantation de ce sport sera donc l'œuvre de l'Église et des patronages paroissiaux. Ainsi, la grande majorité des clubs de football des Pays de l'Adour (Béarn et Gascogne, dont Landes, Armagnac, Bigorre ainsi que du Pays basque français) tirent leurs origines des différents patronages catholiques locaux[44].

En effet, la propagation du football dans cette terre acquise au Rugby Football ne débute réellement qu'au début du XXe siècle lorsque des équipes voient le jour en Béarn et Pays basque français sous l'égide des patronages issus des paroisses de quartiers des villes et villages.

La pratique du football à Pau est attestée en 1902, date de la première partie de football disputée à la JAB de Pau, patro historiquement tourné vers la formation. Ce club, issu du patronage Saint-Martin a son siège au 29 Rue de Gontaut Biron, près du Parlement de Navarre (Pau) [45]. La JAB a formé de nombreux joueurs professionnels comme Jean-Michel Larqué, Jean-François Larios ou Dominique Vésir.

C'est toutefois le Football-Association Bourbaki qui dispute la première véritable saison de football en 1904, et sera le club de football phare de la ville jusque dans les années 1950. Ce patronage est celui de la paroisse Saint-Jacques de Pau, qui a été fondé en 1888 par l'abbé Lafourcade[46]. Quelques années plus tard en 1896, le patronage acquiert un terrain situé au 8 rue Bourbaki à Pau et prend ainsi indirectement le nom de Charles-Denis Bourbaki, général natif de la ville connu pour avoir commandé l'armée de l'Est lors de la guerre de 1870[47]. C'est l'un des patronages les plus importants de l'Union Pyrénéenne.

XXIe siècle[modifier | modifier le code]

Pau est labellisée « Ville Européenne du Sport 2018[48] ».

Calendrier sportif palois[modifier | modifier le code]

Aujourd'hui, le calendrier sportif palois compte :

Le calendrier sportif est complété par celui des clubs de sports collectifs. Football, basket-ball, rugby à XV sont pratiqués à Pau au plus haut niveau national, voire européen (basket-ball depuis trente ans bientôt consécutivement et rugby à XV entre 1998 et 2004).

Les principaux équipements sportifs palois[modifier | modifier le code]

Sports aquatiques[modifier | modifier le code]

Deux grands équipements sont destinés aux sports aquatiques : le stade nautique et le stade d'eaux-vives. Le stade nautique Pyrénéo, inauguré en 2014 et remplaçant l'ancien stade rue Nitot construit en 1964[49], peut accueillir 1 420 personnes en même temps[50]. La piscine extérieure abrite deux bassins, dont un olympique, et une fosse à plongeon. La piscine intérieure comporte un bassin d'apprentissage de 12 m et un bassin ludique de 20 m[M 1].

Le stade d’eaux vives Pau Béarn Pyrénées, après une période de rodage d’un an, a ouvert ses portes à l’occasion de la Coupe du monde de canoë-kayak slalom de 2009. Il est équipé d’un bassin de départ en eau plate de 5 000 m2, d'un parcours en eaux-vives de 300 m de long et 15 m de largeur moyenne, sur un dénivelé de 5 m avec une pente de 2 %, et d'un bassin d’arrivée de 1 800 m2[51].

Sports de salles et stades[modifier | modifier le code]

Le Palais des Sports de Pau est, avec 7 707 places assises dont 500 en loges, lors de son inauguration en 1991, la deuxième plus grande salle en France derrière le Palais omnisports de Paris-Bercy. Siège de l'Élan béarnais, il sert également aux épreuves de Coupe Davis et aux championnats du monde de handball féminin[52].

Divers stades permettent la pratique des sports d'extérieur : le stade du Hameau, stade de 18 324 places situé à l'est de la ville et siège de la Section paloise rugby et du Pau Football Club, le stade de la Croix du Prince, stade de rugby, siège historique de la Section paloise et où jouent aujourd'hui les équipes espoirs, le stade André-Lavie, stade d'athlétisme de Pau et lieu d'entraînement des équipes sportives universitaires.

Le Jaï-alaï de Pau, complexe de pelote basque, inauguré en 2006, est la plus grande salle de pelote basque en Europe et la seule (en France) où se déroulent des paris sportifs[53]. Il réunit toutes les aires de jeux nécessaires aux 23 spécialités de la pelote dont 14 sont reconnues au niveau international : à l’extérieur un fronton en place libre et à l'intérieur un trinquet, un jaï alaï et un mur à gauche, dotés de tribunes d’une capacité de plus de 2 000 places[54].

Sports équestres[modifier | modifier le code]

L'hippodrome du Pont-Long, créé en 1842, est le deuxième centre hippique de France, derrière l'hippodrome d'Auteuil. Il comprend des pistes intérieures et extérieures de haies et de steeple-chase, une piste en huit de steeple-chase, un parcours de cross country et une piste plate en sable fibré de 2 250 m et large de 20 m avec une ligne droite de 400 m. Il est complété par le centre d'entraînement de Sers abritant six cents chevaux à l'année[55],[56]. Par ailleurs, dans le domaine de l'équitation de loisir, le centre équestre Cheval détente des berges du Gave, créé en 1994 et initialement conçu comme centre de promenade à cheval et à poney, est devenu une école française d’équitation labellisée[57].

Autres équipements[modifier | modifier le code]

Deux golfs se situent près de Pau : le golf d'Artiguelouve[58] et le Pau Golf Club 1856, situé à Billère. Créé par des Écossais en 1856, ce dernier fut le premier du continent et un des plus anciens du monde. Il offre un parcours de 18 trous et son club-house de style victorien abrite un restaurant et un bar à l'ambiance britannique[59].

Le plantier de Pau permet le jeu de quilles de 9, ancêtre du bowling. Le sport se pratique avec une boule de 6,2 kg et neuf quilles de 96 cm[60],[61].

Officiellement inauguré le 18 mai 1902, le vélodrome imaginé par Jules-Antoine Noutary, futur architecte du stade de la Croix du Prince est utilisé par le Véloce-Club Béarnais, fondé en 1883 qui utilisait les lieux au début du XXe siècle[16],[17],[18].

Le vélodrome est peu à peu délaissé au profit des courses sur route. Après 1950, l'ancien vélodrome est graduellement transformé en stade municipal, renommé stade Philippe Tissié en hommage au palois fondateur des Lendits scolaires et initiateur de la gymnastique suédoise en France.

Le Stade Philippe Tissié accueille désormais le sport scolaire et devient chaque année le cœur du circuit du Grand Prix automobile de Pau.

[62]

Sélection d'équipements sportifs

Les clubs sportifs[modifier | modifier le code]

Médias sportifs palois[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Un piscine pour toutes les pratiques » (consulté le )

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « Un vieux béarnais du Béarn », sur Gallica, L'Indépendant des Basses-Pyrénées, (consulté le )
  2. « La chasse à courre », La Vie au grand air : revue illustrée de tous les sports,‎ , p. 214 (lire en ligne)
  3. « Aux courses de Pau », La Vie au grand air : revue illustrée de tous les sports,‎ , p. 260 (lire en ligne)
  4. « Golf », La Vie au grand air : revue illustrée de tous les sports,‎ , p. 22 (lire en ligne)
  5. « L'histoire du Club - Pau Golf Club 1856 », sur www.paugolfclub.com (consulté le )
  6. Caillé, Yves, Pau Golf-Club : le St Andrews du continent, Pau, J & D, , 141 p. (ISBN 2-906483-37-0 et 978-2-906483-37-8, OCLC 463120995, lire en ligne)
  7. « Quand Pau était aussi une ville américaine », Sud-Ouest,‎ (lire en ligne)
  8. « Pau et l'aviation: une passion partagée depuis plus de 100 ans », sur www.espace-pau-aviation.fr
  9. José Cubero, L'invention des Pyrénées, Pau, Éditions Cairn, , 240 p. (ISBN 978-2-35068-346-1 et 2-35068-346-X, lire en ligne)
  10. « Les sports à Pau », sur Gallica, L'Auto, (consulté le )
  11. a et b « Jeu de Paume », sur L'Avenir de Pau, (consulté le )
  12. Richard Travers, Le jeu de paume à Pau, Pau, Marrimpouey, 4e trimestre 2019, 118 p. (ISBN 978-2-85302-173-9), p. 33 à 35
  13. « Classique tournois international du Lawn-Tennis Club de Pau », sur Gallica, Figaro, (consulté le )
  14. « Championnat des Pyrénées », sur Gallica, L'Auto, (consulté le )
  15. [archives communautaires de la ville de Pau]
  16. a et b « Cyclisme », sur L'Indépendant des Basses-Pyrénées, (consulté le )
  17. a et b « Le Parc de la Gare », sur L'Indépendant des Basses-Pyrénées, (consulté le )
  18. a et b « Course de vélocipèdes », sur Gallica, Le Moniteur des Pyrénées, (consulté le )
  19. « Au Vélodrome du parc de la Gare », sur Gallica, L'Indépendant des Basses-Pyrénées, (consulté le )
  20. « Pour un Parc des Sports », sur Gallica, L'Indépendant des Basses-Pyrénées, (consulté le )
  21. Charles Lagarde, « Propos sportifs palois », sur Gallica, L'Indépendant des Basses-Pyrénées, (consulté le )
  22. a et b « La Vie au grand air : revue illustrée de tous les sports », sur Gallica, (consulté le )
  23. « Pau-Bayonne-Pau », La Vie au grand air : revue illustrée de tous les sports,‎ (lire en ligne)
  24. « La Pratique automobile vulgarisée / dir. Mortimer-Mégret », sur Gallica, (consulté le )
  25. « Pau 1949 : la légende Fangio est en route, Mai 2019 : Pau fête El Maestro ! », sur Grand Prix de Pau, (consulté le )
  26. Loïc Ravenel, La géographie du football en France, Presses universitaires de France, (ISBN 978-2-13-049403-4, lire en ligne)
  27. Marcel de Laborderie, « Pau - Bayonne, certainement un des plus grands matches de la saison de rugby », Le Miroir des sports,‎ , p. 375 (lire en ligne)
  28. « Le Sud triomphe des probables par 8 à 3 », Excelsior,‎ , p. 3 (lire en ligne)
  29. « DE HUGUES À COSTIL : L’HISTOIRE DES RENNAIS EN ÉQUIPE DE FRANCE », BFM,‎ (lire en ligne)
  30. Louis Sallenave, Un siècle à Pau et en Béarn, Presse et éditions de l'Adour, (ISBN 978-2-84394-328-7, lire en ligne)
  31. « Les sociétés de gymnastique et l'Avenir Palois », L'Indépendant des Basses-Pyrénées,‎ (lire en ligne)
  32. Société de Borda, Bulletin trimestriel de la Société de Borda, Société de Borda, (lire en ligne)
  33. C. Lagarde, Au pays du roi Henri, pays de beau rugby: cinquante ans à la Section Paloise, Pau, , p. 15
  34. Société des amis du Musée pyrénéen Auteur du texte, « Pyrénées : organe officiel du Musée pyrénéen du Château-fort de Lourdes, de la Fédération franco-espagnole des sociétés pyrénéistes, du G.P.H.M. / Société des amis du Musée pyrénéen », sur Gallica, (consulté le )
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  36. « Le développement du Rugby en France », sur Gallica, Le Miroir des sports : publication hebdomadaire illustrée, (consulté le )
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  41. (en) Philip Dine, French Rugby Football: A Cultural History, Bloomsbury Publishing, (ISBN 978-1-84788-032-1, lire en ligne)
  42. a et b Frédéric Bonnet, « Les origines de l’invention du rugby », sur rugby-en-melee.com,
  43. Olivier Chovaux, Rugby : un monde à part ?: Énigmes et intrigues d’une culture atypoque, Artois Presses Université, (ISBN 978-2-84832-405-0, lire en ligne)
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  49. V.C., « Stade nautique de Pau : «la plus belle piscine de la région» », sur http://www.larepubliquedespyrenees.fr, (consulté le )
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  63. « Shock of Street, première association de Parkour à Pau »

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Jean-Christophe Coulom, La dynamique structurante des sports de nature pour les territoires urbains. Le cas Palois, Pau, Université de Pau et des Pays de l’Adour, (lire en ligne)

Liens externes[modifier | modifier le code]