Marcoing — Wikipédia

Marcoing
Marcoing
La mairie et le monument aux morts.
Blason de Marcoing
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Cambrai
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Cambrai
Maire
Mandat
Jean-Claude Guinet
2020-2026
Code postal 59159
Code commune 59377
Démographie
Gentilé Marconiens, Marconiennes
Population
municipale
1 888 hab. (2021 en augmentation de 0,69 % par rapport à 2015)
Densité 125 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 07′ 14″ nord, 3° 10′ 22″ est
Altitude Min. 51 m
Max. 127 m
Superficie 15,11 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Masnières
(ville-centre)
Aire d'attraction Cambrai
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Cateau-Cambrésis
Législatives Dix-huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Marcoing
Géolocalisation sur la carte : France
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Marcoing
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Marcoing
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Marcoing

Marcoing est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Ses habitants sont appelés les Marconiens[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Marcoing est située dans la région Hauts-de-France, dans le sud du département du Nord, à la frontière de quatre départements : le Nord, le Pas-de-Calais, l'Aisne et la Somme. À vol d'oiseau, la commune est à 7,8 km de Cambrai, 31,3 km de Saint-Quentin et 34,4 km d'Arras. La capitale régionale, Lille, est à 57,1 km[2].

Géologie et relief, hydrographie[modifier | modifier le code]

Le canal de Saint-Quentin à Marcoing
La rivière Eauette vue depuis le pont de la rue de la Mairie.

La commune est située dans la vallée de l'Escaut. L'Eauette et le "Riot" traversent le village avant de se jeter dans l'Escaut par la rive gauche[3].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 690 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 29 km à vol d'oiseau[6], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Marcoing est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Masnières, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[13] et 6 163 habitants en 2020, dont elle est ville-centre[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cambrai, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79,2 %), zones urbanisées (8,3 %), forêts (6,2 %), prairies (4,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,1 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transport[modifier | modifier le code]

La commune est au croisement des routes départementales D 15, D 29 et D 56. L'autoroute A26 Calais-Reims traverse le territoire communal, sans échangeur.

Marcoing est située sur la ligne ferroviaire de Saint-Just-en-Chaussée à Douai, désormais fermée au trafic voyageurs au sud de Cambrai. La gare SNCF la plus proche est à Cambrai.

Le canal de Saint-Quentin, inauguré en 1810, traverse la commune.

Marcoing est desservie par le réseau de transports urbains de la communauté d'agglomération de Cambrai appelé TUC (Transports Urbains du Cambrésis). La ligne 5 est la ligne structurante d'agglomération qui dessert Rumilly-en-Cambrésis, Masnières et Marcoing depuis le quartier Saint-Roch de Cambrai, en traversant toute la ville en ligne droite par la D644. La ligne dessert ces villes toutes les heures, toute l'année, de h 0 à 18 h 0 dans les deux sens. Des passages supplémentaires sont également assurés à certains moments de la journée pour absorber les flux scolaires et de travailleurs par la ligne 14[19],[20]. Enfin, la ligne S110 dessert le collège de secteur à Masnières. Cela fait de Marcoing l'une des communes de l'agglomération la mieux desservie, la rendant très attractive.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le village est mentionné entre les XIe et XIVe siècles sous les noms de Marcoing, Marconium, Marcoeng, Marcœngt, Marcon, Marcoien, Markoing, Marcungn, Marquoing. Selon Boniface[21] la racine Marc- pourrait désigner une terre proche d'un marais, ou une « marche », une borne ou limite. Il s'agirait donc d'une « habitation près d'un marais » ou d'une « habitation de la limite ». Marcoing étant situé sur l'Escaut, zone à la fois inondable et frontière après le traité de Verdun, les deux explications semblent plausibles.

Histoire[modifier | modifier le code]

Marcoing était l'une des 12 pairies du Cambrésis. Son blasonnement était celui-ci : .

Le canal de Saint-Quentin, parallèle à l'Escaut, fut inauguré en 1810 par l'empereur Napoléon Ier et l'impératrice Marie-Louise d'Autriche. Il a connu un trafic intense jusqu'aux années 1960, notamment avant l'ouverture du canal du Nord en 1965, servant principalement au transport de charbon, de céréales et de sucre entre le Nord, la Belgique et Paris. En 1902 on décida la construction d'un port, qui fut ouvert au commerce en 1905, les travaux étant partagés pour moitié par la commune et par la Société anonyme française des amidonneries Hoffman[22]. Durant la Première Guerre mondiale il fut occupé par les troupes allemandes et intégré, dès 1917, à la ligne Hindenburg. Les destructions sur le canal furent très importantes, mais son rôle économique étant vital, il fut remis en service dès 1919.

Le a lieu l'ouverture de la ligne ferroviaire d'Épehy à Cambrai, via Marcoing, sur une longueur de 23,428 km. Cette section de voie s'intègre à la ligne de Saint-Just-en-Chaussée à Douai.

Le , vu par John Nash.

Durant la Guerre de 14-18, à la suite de la bataille de Cambrai, le 1er bataillon du régiment Artists Rifles se lance le dans la Welsh-Ridge counter-attack après un raid meurtrier des Allemands (qui, vu la neige, avaient attaqué camouflés sous des toiles blanches) sur le saillant de Marcoing ; les Artists seront pratiquement anéantis, mais les Allemands ne peuvent consolider leur avantage.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La commune comptant entre 1 500 habitants et 2 500 habitants en 2008, le nombre de conseillers municipaux est de 19. Marcoing est membre de la Communauté d'agglomération de Cambrai, qui comprend 55 communes et 81 739 habitants en 2018. C'est la 8eme commune la plus peuplée de la communauté d'agglomération après Cambrai, Neuville Saint-Remy, Iwuy, Escaudoeuvres, Proville, Masnières et Raillecourt-Saint-Olle.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Maire en 1802-1803 : Ph. Jos. Dufresnoy[23].

Maire en 1807 : Delabre[24].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1934 1944 Roger Wilmot    
1945 1948 Marcel Morel    
1948 1965 Édouard Carré Divers Droite  
1965 1977 Maurice Girard Divers  
1977 mai 1985 Maurice Niguet PCF  
1985 mars 2001 Marguerite Laude Apparenté PCF  
mars 2001 mai 2020 Didier Drieux DVD Conseiller général du Canton de Marcoing
Réélu pour le mandat 2014-2020[25]
mai 2020 En cours Jean-Claude Guinet[26] DVG  
Les données manquantes sont à compléter.

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Marcoing est située dans l'arrondissement de Cambrai. La commune était le chef-lieu d'un canton, supprimé à la suite du redécoupage cantonal de 2014. Marcoing relève maintenant du canton du Cateau-Cambrésis et est rattachée à la dix-huitième circonscription du Nord.

Marcoing relève du tribunal d'instance de Cambrai, du tribunal de grande instance de Cambrai, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Cambrai, du conseil de prud'hommes de Cambrai, du tribunal de commerce de Douai, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai[27].

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

La protection et la mise en valeur de l'environnement font partie des compétences optionnelles de la communauté d'agglomération de Cambrai à laquelle appartient Marcoing[28].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Plaque commémorative dans l'église.

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

En 2021, la commune comptait 1 888 habitants[Note 3], en augmentation de 0,69 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1001 1751 2401 2601 5081 4901 6311 7091 608
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6581 8111 7821 8511 9481 9361 9151 9592 001
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 0631 9281 9341 7701 9071 9291 8461 7422 006
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
2 1281 8392 0152 1322 1041 9321 8731 8561 857
2018 2021 - - - - - - -
1 8941 888-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,7 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 909 hommes pour 985 femmes, soit un taux de 52,01 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
1,2 
5,6 
75-89 ans
8,2 
17,1 
60-74 ans
18,7 
20,4 
45-59 ans
19,6 
19,0 
30-44 ans
19,0 
19,3 
15-29 ans
14,6 
18,4 
0-14 ans
18,7 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Marcoing est rattachée à la circonscription de Cambrai-sud de l'inspection académique du Nord dans l'académie de Lille.

La commune gère deux écoles publiques : l'école maternelle Le Châtaignier et l'école élémentaire[35].

Le collège Jacques-Prévert de Masnières est le plus proche de la commune[36].

Cultes[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Pierre.
  • Église Saint-Pierre. Cette église dépend de la paroisse « Saint-Paul du Haut-Escaut » rattachée à l'archidiocèse de Cambrai
  • Deux chapelles sont présentes dans le village.
  • Une messe annuelle est organisée autour du calvaire.

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 30 112 , ce qui plaçait Marcoing au 15 632e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[37].

Population active et emploi[modifier | modifier le code]

Entreprises[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le château de Talma fut construit en 1664. Appartenant autrefois à la branche des seigneurs de Haynin de Talma, parfois orthographiée Talema, il fut reconverti en ferme au XIXe siècle avant d'être racheté par les amidonneries Hoffman. Il a conservé ses poutres de chêne d'origine mais a perdu sa tour lors d'une reconstruction. Cinq puits artésiens alimentaient une douve aujourd'hui disparue[38]. Converti en sanatorium, fermé en 1994, le château de Talma a été reconverti en logements[39].
  • L'église Saint Pierre a été construite (ou reconstruite) en 1763, sur les plans de Richard Antoine-François. La construction du clocher s'est étendue sur un siècle, de 1685 à 1785. Elle fut détruite pendant la Première Guerre mondiale, et reconstruite à partir de 1936. L'église a été restaurée à partir de 2012[40]. Elle est rattachée à la paroisse Saint-Paul du Haut-Escaut du diocèse de Cambrai.
  • L'hôtel de ville, de style flamand, date de 1932[39].
  • Les deux cimetières militaires britanniques situés sur le territoire de la commune :

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Gustave Dron, né le à Marcoing et mort le à Tourcoing, est un médecin et homme politique français.
  • John Nash () est un peintre anglais ayant servi dans le régiment des Artists' Rifles. Sa plus célèbre toile, Over the top, montre une contre-attaque à laquelle il prit part le à Marcoing, dont seuls 12 hommes sur 80 revinrent indemnes.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de Marcoing se blasonnent ainsi : "De sable fretté d'argent[41]."

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Louis Boniface, Etude sur la signification des noms topographiques de l'arrondissement de Cambrai, Valenciennes, Impr. Louis Henry, (lire en ligne)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Nord », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
  2. Calcul de l'orthodromie sur le site Lion1906
  3. « Hydro » sur Géoportail (consulté le 25 janvier 2018.)..
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Marcoing et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Masnières », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cambrai », sur insee.fr (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. « Horaires lignes de bus TUC », sur tuc-cambresis.fr (consulté le ).
  20. « Plan du réseau TUC » [PDF], sur tuc-cambresis.fr, (consulté le ).
  21. Boniface 1866, p. 191.
  22. « Le canal de Saint Quentin », sur Le site de la mairie de Marcoing (consulté le ).
  23. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 275, lire en ligne.
  24. « Annuaire statistique du département du Nord Année 1807 », p. 140-141 (images 170-171)..
  25. « Le maire et les adjoints entrent en fonction », L'Observateur du Cambresis, no 1331,‎ , p. 20.
  26. https://reader.cafeyn.co/fr/1978716/21599238
  27. « Liste des juridictions compétentes pour une commune », sur le site du ministère de la Justice et des libertés (consulté le ).
  28. « Présentation de l'institution »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de la communauté d'Agglomération de Cambrai (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Marcoing (59377) », (consulté le ).
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  35. « L'annuaire »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Education nationale (consulté le ).
  36. « L'annuaire »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Education nationale (consulté le ).
  37. « Fichier RFDM2011COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2011 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  38. « Le château de Talma », sur le site de la mairie de Marcoing (consulté le ).
  39. a et b « Canton de Marcoing », sur le site « France, le trésor des régions » (consulté le ).
  40. « Notre église », sur le site de la mairie de Marcoing (consulté le ).
  41. Source: Le généalogiste fou