Thun-Saint-Martin — Wikipédia

Thun-Saint-Martin
Thun-Saint-Martin
La mairie.
Blason de Thun-Saint-Martin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Cambrai
Intercommunalité CA de Cambrai
Maire
Mandat
Marie-Claude Urbain
2023-2026
Code postal 59141
Code commune 59595
Démographie
Gentilé Martiniens
Population
municipale
541 hab. (2021 en augmentation de 3,44 % par rapport à 2015)
Densité 90 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 13′ 31″ nord, 3° 17′ 49″ est
Altitude Min. 36 m
Max. 72 m
Superficie 6,03 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cambrai
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cambrai
Législatives 18e circonscription du Nord
Localisation
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Thun-Saint-Martin
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Thun-Saint-Martin

Thun-Saint-Martin est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Thun-Saint-Martin est un village du Cambrésis situé à 7 km au nord-est de Cambrai, 22 km au sud-est de Douai, 30 km au nord de la frontière franco-belge, 21 km au nord-ouest de Valenciennes et 52 km de Mons et 15 km à l'ouest de Solesmes

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Iwuy, Escaudœuvres, Naves et Thun-l'Évêque.

Communes limitrophes de Thun-Saint-Martin
Thun-l'Évêque Iwuy
Thun-Saint-Martin
Escaudœuvres Naves

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par le Canal de l'Escaut (ou Escault canalisée, et comprend de nombreux ruisseaux, étangs et marais qui parsèment son territoire. La commune est ainsi surnommée la « petite Venise du Nord »[1].

L'Erclin y conflue.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 685 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 22 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Thun-Saint-Martin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cambrai, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69,2 %), prairies (16,3 %), zones urbanisées (9,1 %), zones humides intérieures (4,7 %), forêts (0,7 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 240, alors qu'il était de 223 en 2015 et de 217 en 2010[I 1].

Parmi ces logements, 87,8 % étaient des résidences principales, 4,4 % des résidences secondaires et 7,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,9 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Thun-Saint-Martin en 2020 en comparaison avec celle du Nord et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,4 %) supérieure à celle du département (1,7 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 84,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (85,2 % en 2015), contre 54,5 % pour le Nord et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Thun-Saint-Martin en 2020.
Typologie Thun-Saint-Martin[I 1] Nord[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 87,8 90,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,4 1,7 9,7
Logements vacants (en %) 7,8 7,7 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Thun-Saint-Martin est traversé par l'ancienne Route nationale 30 (actuelle RD 630) et est aisément accessible depuis l'autoroute A2

La commune est desservie par le réseau de transports urbains de la Communauté d'agglomération de Cambrai appelé TUC (Transports Urbains du Cambrésis), par la ligne 9[14],[15]. La ligne S130 permet de rejoindre le collège de secteur à Iwuy.

Elle est traversée par la ligne de Busigny à Somain, mais la station de chemin de fer la plus proche est la gare d'Iwuy, une halte où s'arrentent des trains TER Hauts-de-France qui effectuent des missions entre les gares de Cambrai et de Valenciennes.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Il est probable que le village était à l'origine une dépendance de Thun-l'Évêque, sur l'autre rive de l'Escaut, et qu'il en fut détaché. Son église est dédiée à saint Martin. Il est mentionné en 1232 comme Thuni Sancti Martini[16].

Mannier rapproche Thun de l'anglo-saxon tun (enclos, habitation fermée), tandis que Boniface[17] voit dans les étymologies romanes, latines ou celtes une colline, un tertre, une forteresse. Le nom, qui s'appliquait au village plus ancien de Thun-l'Évêque, pourrait donc signifier un lieu fortifié, sur une hauteur[18],[19].

Durant la Révolution française, la commune porte le nom de Thun-les-Marais[20].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

En 878, le village fait partie du domaine de la collégiale Saint-Géry de Cambrai[1].

Thun-Saint-Martin est le siège d'une seigneurie.

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Au XVIIe siècle, elle est détenue par Robert De Belleforière, chevalier, (mort en 1670), également seigneur de Maynile-le-Grand, Maynile-le-Petit, fils de Maximilien, chevalier, capitaine d'une compagnie de cavalerie, et de Louise de Bernemicourt. Il épouse à Tournai le Catherine Françoise de Tenremonde (1607-1670), née à Tournai le , dame de Merchain, morte le . Elle est fille de Jacques de Tenremonde (1561 ou 1562-1633), chevalier, seigneur de Bercus (sur Mouchin) et de Mouchin, homme d'armes de la compagnie du marquis d'Havré, et de Marguerite de Boubais. Robert et Catherine sont enterrés dans l'église de Thun avec leurs deux filles mortes jeunes. le couple a fait plusieurs donations dans l'église (deux messes par semaine, deux obits par an avec distribution d'argent à des pauvres,...)[21].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

En 1851 est construite la sucrerie[1].

Une importante pollution de l'Escault a lieu le à la suite d'une rupture de la digue du bassin de décantation de la sucrerie Tereos[22],[23]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Cambrai du département du Nord.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Cambrai-Est[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Cambrai

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dix-huitième circonscription du Nord.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Thun-Saint-Martin était membre de la petite communauté de communes de Sensescaut, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1993 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du , qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, cette intercommunalité a fusionné le au sein de la communauté d'agglomération de Cambrai, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
avant 1802-1803[24]   Mart. Grenez    
avant 1881[25]   M. Miroux    
         
1982 juin 2023[26] Henri Després[27],[28]   Cadre retraité
Mort en fonction
septembre 2023[29] En cours
(au 30 novembre 2023)
Marie-Claude Urbain   Employée retraitée

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants sont appelés les Martiniens[30].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

En 2021, la commune comptait 541 habitants[Note 3], en augmentation de 3,44 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
505603741814817882865919870
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
833867848864850852792751720
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
701648607464457445422430455
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
429451445421475460522531527
2017 2021 - - - - - - -
518541-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,0 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 270 hommes pour 254 femmes, soit un taux de 51,53 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 6]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,8 
3,8 
75-89 ans
6,8 
19,6 
60-74 ans
20,8 
21,0 
45-59 ans
18,4 
21,0 
30-44 ans
20,6 
13,5 
15-29 ans
13,5 
20,8 
0-14 ans
19,0 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Cultes[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Château seigneurial de la famille d'Herbais de Thun
  • Église Saint-Martin (XVe siècle)

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Thun-Saint-Martin Blason
D'argent, au lion de gueules couronné d'or à l'antique et accompagné de six coquilles d'azur[40].
Détails
Différences entre dessin et blasonnement : Selon le blasonnement, les coquilles devraient être ordonnées 3, 2 et 1.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2020 à Thun-Saint-Martin » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Thun-Saint-Martin - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Thun-Saint-Martin - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans le Nord » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).
  6. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Thun-Saint-Martin (59595) », (consulté le ).

Autres références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d « Thun-Saint-Martin », Communes, sur https://www.tourisme-cambresis.fr/ (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Thun-Saint-Martin et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cambrai », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Horaires lignes de bus TUC », sur tuc-cambresis.fr (consulté le ).
  15. « Plan du réseau TUC » [PDF], sur tuc-cambresis.fr, (consulté le ).
  16. Mannier 1861, p. 311.
  17. Boniface 1866, p. 295.
  18. Eugène Mannier, Études étymologiques, historiques et comparatives sur les noms des villes, bourgs et villages du département du Nord, Paris, Auguste Aubry, Libraire-Éditeur, (lire en ligne)
  19. Louis Boniface, Etude sur la signification des noms topographiques de l'arrondissement de Cambrai, Valenciennes, Impr. Louis Henry, (lire en ligne)
  20. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Amédée le Boucq de Ternas et Henri Fremaux, Histoire généalogique de la famille de Tenrémonde, originaire de la Flandre-Wallonne, 1268 à 1864, Douai, 1870, p. 46.
  22. « Le canal de l’Escaut frappé par « une catastrophe écologique » jusqu’en Belgique : Combien de poissons sont morts, faute d’oxygène dans l’Escaut, depuis la rupture de la digue du sucrier Tereos à Thun-Saint-Martin ? Depuis lundi soir, le phénomène s’étend à la Belgique. L’Office français de la biodiversité dénonce « une atteinte durable et grave » au milieu naturel. « Une catastrophe écologique » », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  23. « Rupture de la digue du bassin de Tereos: la fuite avait débuté le 9 avril à Thun-Saint-Martin : La digue du bassin de décantation de la sucrerie de Tereos s’est rompue le jeudi 9 avril vers 23 h 45. Onze heures plus tôt, des riverains donnaient l’alerte en découvrant chez eux de l’eau noire se répandant dans un cours d’eau. Récit d’une propagation à grande échelle », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  24. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 275, lire en ligne.
  25. « Le Petit Nord : journal politique quotidien ["puis" journal républicain quotidien du matin "puis" journal républicain absolument indépendant] », sur Gallica, (consulté le ), p. 3..
  26. « Thun-Saint-Martin : Le maire, Henri Després, est décédé », L'Observateur,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Le conseil municipal a désigné le maire », L'Observateur du Cambresis, no 1331,‎ , p. 19.
  28. Réélu pour le mandat 2020-2026 : « Thun-Saint-Martin : Henri Desprès a été réélu maire : Ce dimanche, le conseil municipal élu s’est réuni à huis clos dans le but de désigner le maire et ses adjoints », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  29. Antoine Swietlicki, « Thun-Saint-Martin : Marie-Claude Urbain, élue maire du village », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Cette dernière était d’ailleurs la seule à se présenter pour le poste de maire et a été élue à l’unanimité ».
  30. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  35. « Pourquoi un prêtre allemand a donné son nom à la paroisse Carl-en-Cambrésis : La paroisse Bienheureux Carl-en-Cambrésis… Ce prénom qui rassemble une dizaine de clochers du Cambrésis, peu savent qu’il a été choisi en hommage à un jeune prêtre allemand. Lequel sera, ce samedi, l’objet d’une conférence au sanctuaire de l’unité », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  36. « Quatre jours de mission au sein de la paroisse Carl-en-Cambrésis : Les paroissiens des différents clochers de la paroisse sont invités à participer, jusqu’à dimanche, à des rencontres et/ou des temps de prières. Avec des temps forts pour les futurs mariés, les jeunes, les parents… », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  37. « Il sera question de Schoenstatt tout ce week-end, à la cathédrale de Cambrai, puis au sanctuaire de l’Unité : Une messe particulière sera célébrée ce samedi dans la cathédrale. Il y sera question de Joseph Engling, ce jeune séminariste allemand décédé à Thun-Saint-Martin, et du père Adelin Gacukuzi, installé recteur du sanctuaire de Schoenstatt. Où une seconde messe sera proposée dimanche », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  38. « Le renouveau du Sanctuaire de l’unité, à Thun-Saint-Martin, assuré par un troisième père de Schoenstatt : La nomination d’un recteur, il y a deux ans quasi jour pour jour, avait déjà été décrite comme une grande chance pour le développement du Sanctuaire de l’unité, à Thun-Saint-Martin. Mais avec l’arrivée ces derniers mois de deux nouveaux chapelains, c’est toute une nouvelle dynamique qui va naître autour de la chapelle de Schoenstatt », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  39. « Un rassemblement international pour le centenaire du décès de Joseph Engling : Cinq semaines avant l’Armistice, le jeune soldat allemand Joseph Engling est tombé au front sur le territoire communal. Il s’agit d’un jeune séminariste, cofondateur du mouvement marial de Schoenstatt. Plusieurs manifestations sont organisées ces jours-ci pour célébrer le centenaire de sa disparition », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  40. Banque du blason