Louvroil — Wikipédia

Louvroil
Louvroil
La mairie.
Blason de Louvroil
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Avesnes-sur-Helpe
Intercommunalité CA Maubeuge Val de Sambre
Maire
Mandat
Giuseppe Ascone
2020-2026
Code postal 59720
Code commune 59365
Démographie
Gentilé Louvroiliens, Louvroiliennes
Population
municipale
6 357 hab. (2021 en diminution de 4,42 % par rapport à 2015)
Densité 1 077 hab./km2
Population
agglomération
109 457 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 50° 15′ 56″ nord, 3° 57′ 39″ est
Altitude Min. 122 m
Max. 175 m
Superficie 5,9 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Maubeuge (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Maubeuge (partie française)
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Maubeuge
Législatives 3e circonscription du Nord
Localisation
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Liens
Site web https://www.louvroil.fr/

Louvroil [luvʁwal] est une commune française située dans le département du Nord (59), en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Commune contiguë à Maubeuge au sud-ouest, c'était autrefois, quand Maubeuge était confinée dans son enceinte fortifiée par Vauban, une commune rurale de l'Avesnois.

C'est l'expansion urbaine des deux communes et celle de Hautmont qui les a réunies dans une agglomération.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 883 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 9,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe à 15 km à vol d'oiseau[3], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 802,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Louvroil est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Maubeuge (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 22 communes[10] et 109 457 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française), dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (65,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (54,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (32,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (30,8 %), prairies (20,3 %), terres arables (14,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,9 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 2 858, alors qu'il était de 2 803 en 2013 et de 2 670 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 87 % étaient des résidences principales, 0,2 % des résidences secondaires et 12,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 64,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 34,6 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Louvroil en 2018 en comparaison avec celle du Nord et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,2 %) inférieure à celle du département (1,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 41,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (42,7 % en 2013), contre 54,7 % pour le Nord et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Louvroil en 2018.
Typologie Louvroil[I 1] Nord[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 87 90,8 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,2 1,6 9,7
Logements vacants (en %) 12,8 7,7 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La gare de Louvroil est une halte de chemin de fer de la ligne de Creil à Jeumont desservie par des trains TER Hauts-de-France qui effectuent des missions entre les gares : d'Aulnoye-Aymeries et de Maubeuge, ou de Jeumont ; de Lille-Flandres et de Jeumont.

La commune est desservie, en 2024, par les lignes A, B, C, 21, 24, 57, 61, 63 et 64 du réseau Stibus[16]. Elle est également desservie par les lignes 952, 979 et 986 du réseau interurbain Arc-en-Ciel 4[17].

Toponymie[modifier | modifier le code]

C'est en 884 qu'apparaît pour la première fois le nom de Louvroil (Loveruva).

« Louvroil » viendrait de loup, témoignant que son noyau villageois était isolé dans le bocage avesnois.

Histoire[modifier | modifier le code]

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

À partir de 1158 et pendant plus de six siècles, le village est rattaché à l'Abbaye de Hautmont. Lors de la Révolution française, en 1789, les paysans de Louvroil réclament l'abolition des privilèges et la fin de la tutelle hautmontoise.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Au XIXe siècle, la révolution industrielle transforme le petit village agricole en petite ville industrielle : de 812 habitants en 1845, Louvroil passe à 2 185 habitants en 1881. Au début du XXe siècle, avec la métallurgie, la canalisation de la Sambre, l'arrivée du chemin de fer et le développement des activités sidérurgiques, la ville connaît une croissance ininterrompue, passant successivement à 4 750 habitants en 1906 et à 5 251 en 1914.

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Durant la Première Guerre mondiale, Louvroil subit les bombardements allemands : le pont Michaux et 150 maisons sont détruits, le centre-ville est durement touché. La guerre terminée, la ville reprend sa croissance pour atteindre rapidement les 8 000 habitants.

La commune a été décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [18].

Entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]

La crise de 1929 frappe durement la région, entrainant ralentissement économique, extension de la pauvreté, tensions sur le monde du travail. La solidarité demeure toutefois présente dans le monde ouvrier : le , une grève des ouvriers des Forges et Aciéries du Nord-Est, qui va durer un mois, est soutenue par une grève d'un jour des écoliers de Louvroil et de Sous-le-Bois (à Maubeuge)[19].

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

La Seconde Guerre mondiale entraîne l'entrée de la ville dans une période de résistance ; la 27e compagnie de Francs-Tireurs et Partisans empêche alors les Allemands de détruire le pont Michaux, permettant ainsi aux troupes alliées de foncer sur Mons[réf. nécessaire].

L'après-guerre, les Trente glorieuses et la désindustrialisation[modifier | modifier le code]

La Libération marque le début d'une période de reconstruction cruciale et doublement bénéfique pour la ville. Les industries tournent à plein rendement pour assurer la production de matériaux et la population augmente encore.

Toutefois, la fin des Trente Glorieuses est particulièrement difficile pour la région, et les années 1970 et 1980 voient de douloureuses restructurations industrielles et une explosion du chômage. La situation catastrophique de l'époque s'est depuis améliorée, mais la ville possède toujours un des taux de chômage les plus élevés de la région, pourtant déjà défavorisée.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe du département du Nord.

Elle faisait partie de 1793 à 1910 du canton de Maubeuge, année où il est scindé et la commune rattachée au canton de Maubeuge-Sud[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Maubeuge, constitué de 14 communes

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription du Nord.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Louvroil est membre fondateur de la communauté d'agglomération Maubeuge Val de Sambre, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans le Nord, la liste PS-PCF-EELV menée par la maire sortante Annick Mattighello obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 298 voix (57,86 %, 23 conseillers municipaux élus dont 3 communautaires), devançant très largement celles menées respectivement par[21] :
- Daniel Despeghel (DVD, 505 voix, 22,51 %, 3 conseillers municipaux élus) ;
- Richard Meunier (DVD, 440 voix, 19,61 %, 3 conseillers municipaux élus).
Lors de ce scrutin, 55,83 % des électeurs se sont abstenus.

Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans le Nord, la liste UG-PCF menée par le maire sortant Giuseppe Ascone[22] — qui a succédé à Annick Mattighello en 2018 après sa démission — obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 050 voix (68,98 %, 25 conseillers municipaux élus dont 3 communautaires), devançant très largement celles menées respectivement par[23] :
- Ettoré Tami[24] (DVD, 336 voix, 22,07 %, 3 conseillers municipaux élus) ;
- Richard Meunier[25] (DVC, 136 voix, 8,93 %, 1 conseiller municipal élu).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 57,21 % des électeurs se sont abstenus.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1802-1803[26]   René Mention    
avant 1907[27]   M. Gillet    
Les données manquantes sont à compléter.
1947 mars 1977 Michel Laloux   Médecin
Chevalier de la Légion d'honneur
mars 1977 mars 2001 André Boquet[28] PCF Ancien agent de maîtrise
Conseiller général de Maubeuge-Sud (1992 → 1998)
mars 2001 février 2018[29],[30] Annick Mattighello[31] PCF Monteuse chez Thomson Lesquin
Conseillère générale de Maubeuge-Sud (1998 → 2004)
Conseillère régionale (1992 → 2001 et 2004 → 2015)
Démissionnaire
février 2018[32],[33] En cours
(au 16 décembre 2022)
Giuseppe Ascone PCF[34] Salarié chez MCA
9e vice-président de la CA Maubeuge Val de Sambre
Réélu pour le mandat 2020-2026[35]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].

En 2021, la commune comptait 6 357 habitants[Note 3], en diminution de 4,42 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
352409513549670727722812822
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0071 4681 7182 1852 6213 4773 4353 8234 389
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
4 7744 7505 2514 4015 2985 5175 2955 0375 763
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
6 3136 8918 0058 2087 3497 2516 9596 8496 574
2018 2021 - - - - - - -
6 4056 357-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 45,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,7 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 3 148 hommes pour 3 257 femmes, soit un taux de 50,85 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
0,8 
5,5 
75-89 ans
7,2 
12,7 
60-74 ans
14,8 
16,1 
45-59 ans
16,9 
17,2 
30-44 ans
17,5 
22,2 
15-29 ans
19,1 
26,0 
0-14 ans
23,8 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Louvroil Blason
D'or à l'aigle à deux têtes de sable, becquée et membrée d'or, languée de gueules[42]
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1914-1918
Détails
Armes traditionnelles de la ville
Alias
Alias du blason de Louvroil
Alias du blason de Louvroil
'D'azur à l'aigle à deux têtes d'or.'
Armes actuelles utilisées par la mairie.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Louvroil et Saint-Hilaire-sur-Helpe », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « St-hilaire-sur-helpe » (commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « St-hilaire-sur-helpe » (commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Maubeuge (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. « Plan du réseau Stibus 2023-2024 » [PDF], sur stibus.fr, (consulté le ).
  17. « Plan du périmètre Avesnois », sur arcenciel.hautsdefrance.fr (consulté le ).
  18. Journal officiel du 16 avril 1924, p. 3544.
  19. Cent ans de vie dans la région, Tome II : 1914-1939, La Voix du Nord éditions, n° hors série du 17 février 1999, p. 57
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Résultats officiels pour la commune Louvroil
  22. « Louvroil - Giuseppe Ascone sera candidat aux prochaines élections municipales », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
  23. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 - Résultats par commune - Nord (59) - Louvroil », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  24. « Louvroil: Ettore Tami se lance dans la course aux municipales », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
  25. « Louvroil: Richard Meunier sera bien candidat aux élections municipales », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
  26. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 277, lire en ligne.
  27. « Annuaire statistique du département du Nord Année 1807 », p. 138-139 (images 168-169)..
  28. « Louvroil : Maire pendant près de 25 ans, André Boquet est décédé », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  29. Maxime Pedrero, « Annick Mattighello annonce sa démission : Maire de Louvroil depuis 2001, Annick Mattighello a annoncé ce dimanche matin, lors de sa cérémonie de vœux, son souhait de passer la main. Une décision dictée par des problèmes de santé chroniques », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. JB avec Laura Lévy, « Ouvrière, militante, engagée, la maire de Louvroil Annick Mattighello tire sa révérence : À 67 ans, Annick Mattighello, la maire communiste de Louvroil depuis 2001, tire sa révérence. Elle avait annoncé il y a un mois sa démission "pour raisons de santé" après une vie de combats politiques », France 3 Hauts-de-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. Réélue pour le mandat 2014-2020 : « Un 3e mandat pour Annick Mattighello avec une équipe remaniée : Deux nouveaux prennent une place d’adjoint : Mustapha El Hadani et Mariam Piérard, anciens conseillers délégués. », La Sambre La Frontière, no 1921,‎ , p. 18.
  32. Florence Delsinne, « Élection surprise de Giuseppe Ascone au poste de maire : En janvier, Annick Mattighello, maire, depuis avait fait connaître sa volonté de démissionner pour raisons de santé. La femme politique avait préparé sa succession, dans les moindres détails, désignant son héritier en la personne de Patrick Viltart, premier adjoint. Dimanche matin, le scénario a été tout autre. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. Florence Delsinne, « Qui est le nouveau maire Giuseppe Ascone ? : « Je suis un inconnu méconnu », lance-t-il en boutade avant de rappeler, droit dans ses bottes, un parcours politique de 17 années aux côtés d’Annick Mattighello, « une grande dame » dont il va devoir gérer l’héritage. À la tête d’un des communes les plus jeunes et les plus pauvres des Hauts-de-France, il veut s’inscrire dans ses pas, mais à sa façon. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. « Le PCF remporte plus de mairie que LREM, EELV et le RN réunis » « Louvroil (59) : Giuseppe "Pino" Ascone (PCF) réélu avec 68,98% des voix »
  35. « Louvroil : Giuseppe Ascone élu maire par le conseil municipal : Le conseil municipal a été installé ce dimanche. Les conseillers ont élu leur maire. Giuseppe Ascone, seul candidat, retrouve son fauteuil. Il sera entouré de huit adjoints. Article réservé aux abonnés », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Louvroil (59365) », (consulté le ).
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  41. « À Louvroil, un hôtel particulier du XIXe siècle bientôt rasé pour laisser place à une enseigne Aldi », sur LEFIGARO, (consulté le ).
  42. http://www.labanquedublason2.com/lecture_fiche_commune.php3?page=f59365 « Copie archivée » (version du sur Internet Archive).