Vallourec — Wikipédia

Vallourec
logo de Vallourec
illustration de Vallourec
Tubes Vallourec exportés par le port de Rouen.

Création 1957
Dates clés Années 1890, création des sociétés fondatrices

1899 : Introduction à la Bourse de Paris de la Société métallurgique de Montbard
1930 : Apparition du nom Vallourec
1997 : Création de Vallourec & Mannesmann Tubes (V & M Tubes)
2006 : Entrée au CAC 40
2014 : Sortie du CAC 40

Forme juridique Société anonyme à directoire et conseil de surveillance
Action Euronext : VK
Siège social Meudon
Drapeau de la France France
Direction Philippe Guillemot[1] (président du directoire)
Actionnaires Apollo Global Management (26,9 %)[2]
Activité Ingénierie et biens d'équipements industriels
Produits tubes en acier sans soudure et solutions tubulaires premium
Effectif 16 025 (2021)[3]
SIREN 552142200[4]Voir et modifier les données sur Wikidata
TVA européenne FR01552142200[5]Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web www.vallourec.com/fr

Capitalisation en augmentation 3 112 millions d'euros ()[6]
Dette en diminution 570 millions d'euros (2023)[réf. nécessaire]
Chiffre d'affaires en augmentation 3 442 millions d'euros (2021)[7]
Résultat net en augmentation 500 millions d'euros (2023)[réf. nécessaire]

Vallourec est une entreprise métallurgique d'origine française fabricant des tubes en acier sans soudure et d'autres produits tubulaires spécifiques, destinés principalement aux marchés du pétrole et du gaz, mais historiquement aussi à d'autres industries (mécanique, automobile et construction)[8]. Société implantée mondialement, le groupe Vallourec est coté à la Bourse de Paris.

Historique[modifier | modifier le code]

Origines[modifier | modifier le code]

Les origines industrielles de ce qui deviendra ultérieurement le groupe Vallourec remontent à la fin du XIXe siècle en Allemagne, quand les frères Mannesmann découvrent un procédé de laminage de tubes en acier sans soudure. Les fabricants de tubes français commencent à adopter ce procédé de fabrication et des sites industriels sont créés dans le Nord et en Bourgogne. La Société française des corps creux, située à Montbard, constitue l’un des piliers historiques du groupe. Elle est rebaptisée Société métallurgique de Montbard et introduite à la Bourse de Paris en 1899[9].

Au cours des années 1920-1930 a lieu une concentration et une spécialisation du secteur de l'industrie du tube d'acier. En 1931, naît un partenariat industriel et commercial entre les établissements de Valenciennes, Louvroil et Recquignies gérés par une nouvelle société, dont le nom, Vallourec, résulte des premières syllabes de ces trois villes. Suit la fusion de la Société des tubes de Valenciennes et de la Société Louvroil-Montbard-Aulnoye. Ce groupe devient le deuxième fabricant de tubes en acier en France et est introduit à la Bourse de Paris en 1957 sous le nom Vallourec[10], tandis que la société créée sous ce nom en 1930 prend la nouvelle dénomination de Sogestra.

Au cours des années 1960 est lancé le joint VAM (pour Vallourec Alexandre Madrelle) qui deviendra un produit phare du groupe.

En 1967, Vallourec reprend l’ensemble des activités tubes de son principal concurrent, Lorraine-Escaut.

En 1968, Vallourec consolide sa position en achetant à Sidélor son usine de tubes de Déville-lès-Rouen, ainsi que 51 % de sa participation dans la Compagnie Industrielle et Commerciale des Tubes. Avec 17 usines produisant près de 1 Mt/an, l'entreprise a un quasi monopole de la production française de tubes sans soudure, mais un ensemble industriel très disparate[11].

Durant les années 1970, Vallourec construit l’aciérie intégrée et la tuberie de Saint-Saulve près de Valenciennes[12]. En 1988, l'usine de Saint-Saulve produit 300 000 t des 420 000 t de la division tubes de Vallourec. Par rapport à 1981, les coûts ont été réduits de 40 % et la production est réalisée avec 59 % des 10 000 employés de l'époque[13].

L'entreprise noue des partenariats industriels et R&D, notamment avec le producteur de tubes japonais Sumitomo (aujourd’hui Nippon Steel & Sumitomo Metal Corporation - NSSMC). Le , l'usine Vallourec de Saint-Saulve arrête définitivement sa production et envoie ses derniers tubes laminés en Corée[14].

Vallourec & Mannesmann[modifier | modifier le code]

L'année 1997 marque un vrai tournant pour le groupe. Grâce à la coentreprise Vallourec & Mannesmann Tubes (V & M Tubes), née de l’alliance avec l'allemand Mannesmann-Röhrenwerke, il devient le leader mondial du tube en acier sans soudure. Le groupe poursuit ensuite son internationalisation avec notamment des acquisitions majeures au Brésil et aux États-Unis[15].

En juin 2005, Vallourec prend le contrôle total de V&M Tubes grâce à l’acquisition de la participation de 45 % détenue par Mannesmannröhren-Werke (de).

En 2006, le groupe fait son entrée au CAC 40[16].

Le groupe continue à développer ses activités pétrole et gaz, à renforcer sa présence en Chine et au Moyen-Orient et à investir dans son activité de tubes pour centrales nucléaires[17].

L’histoire récente de Vallourec est marquée par deux investissements majeurs : la construction d’une nouvelle usine intégrée à Jeceaba au Brésil[18], avec son partenaire historique Sumitomo (Nippon Steel & Sumitomo Metal Corporation - NSSMC), et la construction d’une nouvelle tuberie à Youngstown (Ohio, États-Unis) servant les forages d’hydrocarbures non conventionnels aux États-Unis[19].

Crises et fermetures de sites[modifier | modifier le code]

L'ancien siège au 27 av. du Général-Leclerc, Boulogne-Billancourt[20].

Au printemps 2015, Vallourec annonce la suppression de deux mille postes dans le monde, du fait du contexte de baisse d'investissement dans l'industrie pétrolière et gazière lié à la baisse des cours dont plusieurs centaines en France[21],[22].

En , Vallourec annonce un partenariat stratégique avec Technip, l'un des leaders mondiaux dans la gestion de projets et l'ingénierie pour l'énergie. Technip prend une participation dans Serimax, une filiale à 100 % de Vallourec spécialisée dans le soudage[23].
En , Vallourec annonce une augmentation de capital d'un milliard d'euros souscrits par Bpifrance et Nippon Steel qui prennent par ce fait une participation de 15 % chacun dans l'entreprise. Dans le même temps, Vallourec augmente sa participation dans l'entreprise chinoise Tianda Oil Pipe (TOP)[24] passant d'une participation de 19 % à 70 % puis 99,03 % en décembre de la même année[25]. Le groupe annonce une suppression de mille postes dans un contexte de chute du prix de pétrole et de faible demande pour les équipements para-pétroliers[26],[27].

Fin , le groupe annonce qu'il suspend ses prévisions économiques de 2020 en raison de l'épidémie de Covid-19, mais qu'il maintient son projet d'augmenter son capital de 800 millions d'euros, dès que les conditions le permettront[28],[29],[30]. Le , lors d'une assemblée générale extraordinaire, Vallourec a décidé de restructurer son capital non motivé par des pertes au titre de l'article 225-204 du code de commerce.

Début , le groupe annonce un plan de réduction drastique de ses effectifs en Amérique du Nord[31]. Au total, plus de 900 emplois devraient être supprimés, soit le tiers des postes qui existent dans cette zone[32].

Début , Vallourec annonce le lancement de sa restructuration financière[33]. Plombé par la crise liée au Covid-19, le projet d'augmentation de capital de 800 millions d'euros ne pourra pas se faire, la faute d'un effondrement du marché pétrolier et des investissements des compagnies[34]. Vallourec doit donc désormais négocier avec ses créanciers obligataires dans le but de réussir son plan de sauvetage[35]. En 2020 la fermeture de l'usine de Reisholz (tubes sans soudure de grand diamètre) et du traitement thermique de Déville-lès-Rouen (dont le laminoir a été fermé en 2016) sont annoncés, marquant le déclin des activités industrielles en Europe au profit d'autres continents. En 2021, la mise en vente du site industriel historique de Montbard (Vallourec Bearing Tubes) est annoncée[36].

En février 2021, les perspectives de reprise de l'activité à court terme dans les secteurs gazier et pétrolier demeurent très improbables et le poids de la dette devient écrasant. Vallourec, dans le cadre d'un plan de sauvetage, est contraint de transformer 1,3 milliard d'euros sur les 3,5 milliards que compte sa dette en capital, cédant ainsi le contrôle de la société à deux fonds d'investissement, Apollo et SVP, qui deviennent les deux plus importants actionnaires. Le plan de sauvetage comprend aussi une augmentation de capital supplémentaire de 300 millions d'euros et un abandon de créance de 170 millions de la part des banques créancières de la société[37],[38].

Début juin 2021, la dernière étape de la restructuration financière de Vallourec permet une augmentation de capital de 300 millions d'euros[39]. Le titre bondit ainsi de plus de 40 % le vendredi 4 juin 2021 à la bourse de Paris[40]. L'action a ainsi grimpé de 22,49 %, à 11,73 €[41]. L'augmentation de capital devrait se poursuivre jusqu'au 21 juin.

Le le groupe annonce sa volonté de cession ou, le cas échéant, de fermetures des usines allemandes restantes de Mülheim-an-der-Ruhr et Düsseldorf-Rath[42] (ce sera la fermeture, annoncée en mai 2022[43]). Parallèlement la joint-venture avec l'ukrainien Interpipe Group, lancée en 2018, est abandonnée en décembre 2021[44].

En 2022, un barrage de la mine de Pau Branco dans la ville de Nova Lima, près de Belo Horizonte au Brésil, propriété du groupe Vallourec, transborde et inonde une autoroute. En conséquence, la justice brésilienne condamne le groupe à une amende de 288 millions de réaux (45 M€)[45].

Sur l'ensemble de l'année 2021, Vallourec annonce avoir accumulé un bénéfice net de 40 millions d'euros, élevant son chiffre d'affaires à 3,44 milliards, soit une hausse de 6,1 % par rapport à 2020[46]. En , Vallourec annonce la suppression de 2 950 emplois (soit près de 20% des effectifs du groupe), dont 320 en France[47].

Activité[modifier | modifier le code]

Vallourec est fournisseur de tubes sans soudure pour les industries du pétrole et du gaz, de l'énergie électrique[réf. nécessaire], de la pétrochimie, de la mécanique et de la construction automobile[réf. nécessaire]. Le groupe est spécialisé dans les applications complexes adaptées à des conditions extrêmes.

Pétrole et gaz[modifier | modifier le code]

Chargement de tubes Vallourec dans le port de Rouen.

Pour le marché du pétrole et du gaz, Vallourec produit des solutions tubulaires pour l’exploration et la production (casing et tubing, connexions et risers), pour le transport des hydrocarbures (tubes de conduites et solutions de soudage intégrés), des services pour l’industrie pétrolière et des tubes pour raffineries. Vallourec est spécialisé dans les produits pour conditions extrêmes, telles que les puits profonds, les environnements corrosifs, les puits déviés, la haute pression et haute température.

Les clients de Vallourec dans ce domaine sont les compagnies pétrolières, les sociétés d'ingénierie ou les distributeurs.

Énergie électrique[modifier | modifier le code]

Pour le marché de l’énergie électrique, Vallourec a dans le passé décidé de produire des tubes résistant aux températures bien souvent très élevées et qui sont conçus pour résister à des pressions élevées pour les centrales, classiques ou nucléaires. Les clients de Vallourec dans ce domaine étaient les fabricants de chaudières pour centrales thermiques et les producteurs de générateurs de vapeur pour centrales nucléaires. Depuis 2019 Vallourec se retire du segment des tubes-chaudières, fermant l'usine de Düsseldorf-Reisholz — spécialisée dans les tubes de grand diamètres employés comme collecteurs — et les départements de vente liés.

Industrie[modifier | modifier le code]

Vallourec produit également des tubes pour les secteurs des industries mécanique, automobile ou la construction.

Vallourec fabrique des tubes de structure utilisés dans le secteur mécanique (engins de levage, machines agricoles, vérins hydrauliques, grues, etc.) et fournit les grands constructeurs et équipementiers automobiles en tubes et composants.

Dans le domaine de la construction, Vallourec fabrique des tubes de structures utilisés dans des projets architecturaux, d’équipements industriels ou collectifs et de bâtiments privés. Vallourec a fourni des tubes pour la construction de l'ossature métallique du Soccer City Stadium de Johannesburg en Afrique du Sud, ainsi que le Stade de France, la Grande Arche de la Défense, Wembley Stadium à Londres, l’aéroport de Bangkok en Thaïlande ou encore des composants nécessaires à la construction du sommet de la tour de 541 mètres de haut (1 776 pieds) du One World Trade Center.

Février 2018 : l'usine Vallourec de Déville-les-Rouen et son chemin de fer industriel privé fermés en 2021.

Répartition du chiffre d’affaires en 2021[48][modifier | modifier le code]

  • Pétrole et gaz : 60 %
  • Industrie et autres : 36 %
  • Énergie électrique : 4 %

Innovation et R&D[modifier | modifier le code]

La R&D de Vallourec compte cinq cents ingénieurs et techniciens, répartis sur les sites de production et dans cinq centres de recherche situés en France (Aulnoye-Aymeries) en Allemagne (Riesa), au Brésil (Rio de Janeiro et Belo Horizonte) et aux États-Unis (Houston).[réf. nécessaire]

En 2019, le Groupe a dédié 45 millions d’euros à ce département.

Implantation internationale[modifier | modifier le code]

Vallourec est présent dans plus de vingt pays[49] et dispose de cinquante sites de production[50].

Depuis une quinzaine d’années, Vallourec a accru sa présence industrielle en Asie (Chine et Indonésie), au Brésil et au Moyen-Orient au détriment de l'Europe par l’augmentation de la part locale de la production[51].

Répartition du chiffre d’affaires par zone géographique en 2021[48] :

  • Amérique du Sud : 31,3 % ;
  • Amérique du Nord : 24,3 % ;
  • Asie et Moyen-Orient : 22,2 % ;
  • Europe : 15,4 % ;
  • Reste du monde : 6,8 %.

Données financières[modifier | modifier le code]

Données financières en millions d'euros[52]
Année 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021
Chiffre d'affaires 2 376 3 038 4 307 5 542 6 141 6 437 4 465 4 491 5 296 5 326 5 578 5 700 3 803 2 965 3 750 3 921 5 381 3 242 3 442
Résultat net 967 518 410 401 217 262 (923) (865) (758) (537) (502) (64) (1 206) 40
Effectifs (au 31/12) 17 507 17 484 17 542 18 217 16 874 18 561 18 567 20 561 22 204 23 177 24 053 23 709 20 964 18 325 20 093 19 164 18 827 15 962 16 025

Actionnaires[modifier | modifier le code]

Au [53].

Apollo Global Management 28,5%[54]
Strategic Value Partners 12,3%
Monarch Alternative Capital (en) 5,05%
Luxor Capital Group 4,98%
Nippon Steel Corporation 3,43%
Bpifrance 2,27%
The Vanguard Group 1,78%
Alken Asset Management 1,59%
Norges Bank Investment Management 1,46%
Victory Capital Management 0,74%

Références[modifier | modifier le code]

  1. Voir sur usinenouvelle.com.
  2. « Le fonds Apollo renforce sa participation dans Vallourec à 26,9% - AMF », sur Les Échos, (consulté le ).
  3. « Document d’enregistrement universel 2021 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], sur vallourec.com (consulté le ).
  4. Sirene, (base de données)Voir et modifier les données sur Wikidata
  5. « https://amadeus.bvdinfo.com/version-2019829/ », sous le nom VALLOUREC (consulté le )
  6. « VALLOUREC Cours Action VK, Cotation Bourse Euronext Paris - Boursorama », sur Boursorama (consulté le ).
  7. « Vallourec publie un bénéfice net en 2021 et profitera des cours du brut en 2022 », sur Les Échos, (consulté le ).
  8. Description de la société Vallourec, Zone Bourse.
  9. La Société métallurgique de Montbard, avec un capital de 4 millions de francs (p. 8) Vallourec, au cœur de l'excellence, 2009, éd. KGB&co.
  10. « Quand l’absence de soudure soude un destin Vallourec & Mannesmann Tubes », Histoire d'entreprises, 11 septembre 2013.
  11. (en) L. Nahai, Mineral yearbook : The mineral industry of France, USGS, (lire en ligne), p. 256
  12. « Vallourec conforte son aciérie de Saint-Saulve », Les Échos, 24 avril 2008.
  13. (en) Donald E. Jr. Buck, Mineral yearbook : The mineral industry of France, USGS, (lire en ligne), p. 625
  14. « L'usine de Vallourec Saint-Saulve ferme définitivement », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  15. « Le cas de l'entreprise Vallourec au Brésil », Melchior, 9 septembre 2012.
  16. Elisabeth Studer, « CAC 40 : Vallourec remplace Publicis », Le Blog Finance.
  17. « Vallourec confirme l'acquisition de trois sociétés aux États-Unis », Euro Pétrole, 6 mai 2008.
  18. « Vallourec inaugure sa nouvelle usine de tubes pour le pétrole/gaz au Brésil », Romandie, 1er septembre 2011.
  19. « Vallourec inaugure sa nouvelle usine américaine de Youngstown, Ohio », Easy Bourse, 12 juin 2013.
  20. Voir sur vallourec.com.
  21. « Le fabricant français de tubes Vallourec va supprimer 2 000 postes », Le Monde, 29 avril 2015.
  22. « Vallourec confirme la suppression de 550 postes mais veut éviter des licenciements secs », sur France 3 Nord Pas-de-Calais (consulté le ).
  23. « Technip prend une participation dans une filiale de Vallourec », sur lefigaro.fr, .
  24. Site de Tianda Oil Pipe.
  25. Vallourec contrôle 99,03 % du capital de Tianda Oil Pipe.
  26. « Vallourec détaille son nouveau plan de restructuration », Le Monde, 1er février 2015.
  27. Jean-Michel Bezat, « Vallourec devrait procéder à des licenciements », Le Monde.fr,‎ (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
  28. Le Figaro avec AFP, « Vallourec "suspend" ses objectifs 2020 », sur Le Figaro.fr, (consulté le ).
  29. « Vallourec : Vallourec suspend ses prévisions financières 2020 », sur BFM Bourse, (consulté le ).
  30. Zone Bourse, « Vallourec : Perspectives 2020 », sur zonebourse.com (consulté le ).
  31. Le Figaro avec Reuters, « Vallourec supprime un tiers de ses emplois en Amérique du Nord », sur Le Figaro.fr, (consulté le ).
  32. « Vallourec réduit ses effectifs en Amérique du Nord », sur Boursorama, (consulté le ).
  33. « Vallourec veut discuter de sa recapitalisation avec tous ses créanciers, le titre en forte baisse », sur Investir (consulté le ).
  34. Bertille Bayart, « La restructuration financière de Vallourec est lancée », sur Le Figaro.fr, (consulté le ).
  35. « Vallourec peine à boucler son plan de sauvetage », sur Les Echos, (consulté le ).
  36. Voir sur bienpublic.com.
  37. « Vallourec passe sous le contrôle des fonds », sur Les Echos, (consulté le ).
  38. « Vallourec : les perspectives restent moroses », sur Les Echos, (consulté le ).
  39. « Bourse : le titre Vallourec bondit après le lancement de son augmentation de capital », sur Boursorama, (consulté le ).
  40. « Vallourec s'envole après son augmentation de capital », sur Investir (consulté le ).
  41. « Vallourec bondit à la Bourse de Paris après une augmentation de capital », sur Le Figaro (consulté le ).
  42. (de) « Vallourec will Röhrenwerke auch in Düsseldorf verkaufen », sur Rheinische Post, (consulté le ).
  43. (de) « Vallourec-Zentrale in Paris verkündet Werksschließungen », sur duesseldorf.de, (consulté le ).
  44. (ru) « "Интерпайп" и Vallourec прекратили совместное производство стальных труб », sur GMK center,‎ (consulté le ).
  45. « Lourde amende pour Vallourec au Brésil », sur lesechos.fr, (consulté le ).
  46. « Tubes : Vallourec revient dans le vert en 2021 », sur Le Figaro, (consulté le ).
  47. « Vallourec va supprimer 3.000 postes dans le monde dont 320 en France », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
  48. a et b « Résultats du quatrième trimestre et de l’exercice 2021 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], sur vallourec.com, (consulté le ), p. 10.
  49. « Groupe Vallourec : à propos de Vallourec », sur vallourec.com (consulté le ).
  50. « Société Vallourec », sur Andlil (consulté le ).
  51. « Vallourec : « Au second semestre, la tendance sera favorable, comme au premier » », sur Investir (consulté le ).
  52. « Documents de référence / Archives »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur vallourec.com (consulté le ).
  53. Zone Bourse, « VALLOUREC : Actionnaires Dirigeants et Profil Société | VK | FR0013506730 | Zone bourse », sur zonebourse.com (consulté le ).
  54. « Après avoir frôlé la faillite, Vallourec redresse la barre », sur Challenges, (consulté le )

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]