Gommegnies — Wikipédia

Gommegnies
Gommegnies
Gommegnies, la mairie.
Blason de Gommegnies
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Avesnes-sur-Helpe
Intercommunalité CC du Pays de Mormal
Maire
Mandat
Benoît Guiost
2020-2026
Code postal 59144
Code commune 59265
Démographie
Gentilé Gommegnions
Population
municipale
2 300 hab. (2021 en augmentation de 0,35 % par rapport à 2015)
Densité 146 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 16′ 17″ nord, 3° 42′ 30″ est
Altitude Min. 100 m
Max. 152 m
Superficie 15,78 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Gommegnies
(ville-centre)
Aire d'attraction Valenciennes (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aulnoye-Aymeries
Législatives 12e circonscription du Nord
Localisation
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Gommegnies

Gommegnies est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Gommegnies est située entre Le Quesnoy et Bavay, à 15 km de Valenciennes et 20 km de Maubeuge, administrativement en Avesnois et historiquement dans le Hainaut.

Le village s'étend le long de l'ancienne voie romaine conduisant de Bavay à Vermand.

Le village est placé à la lisière de la forêt de Mormal et comprend 38 km de rues macadamisées, mais celles-ci sont entrecoupées de petits sentiers appelés « caches » par les Gommegnions (venant du mot châsses) qui, autrefois, permettaient aux villageois de s'y cacher pour fuir l'ennemi en cas de conflit, ensuite empruntés par les chasseurs. De nos jours, ils servent de raccourcis et de lieux de promenades (cf. Un toponyme normano-picard : la cache au sens de "chemin de desserte").

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Gommegnies
Preux-au-Sart Amfroipret
Frasnoy Gommegnies
Villereau Locquignol

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le village est arrosé par l'Aunelle, affluent de l'Escaut, qui prend sa source dans la forêt au lieu-dit « La fontaine Pierrette ». L'Aunelle est grossie par le ruisseau des Bultaux et l'Herpion, ruisseau des près Massin et du ruisseau de Carnoy.

Les nappes phréatiques sont proches de la surface (environ à 2 à 3 mètres du sol en hiver), expliquant le grand nombre de puits sur le territoire de la commune et le fort étalement urbain de la commune, antérieur au XIXe siècle[1].Les caves des anciennes fermes laitières, très humides, étaient utilisés pour la fabrication de fromage[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 817 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 9,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Valenciennes à 16 km à vol d'oiseau[5], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 694,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Gommegnies est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Gommegnies, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[12] et 3 675 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 102 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (57,6 %), terres arables (23,6 %), zones urbanisées (12,1 %), zones agricoles hétérogènes (6,6 %), forêts (0,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

C'est sous le règne de Bauduin III (1098-1120) qu'apparut pour la première fois le mot de Gommegnies sous le nom de son seigneur, « Alulfus de Gumenies » que l'on trouve, en 1117, dans une charte en faveur de Saint Denys de Brocqueroye[18].

Intégré à Gommegnies, on trouve le hameau de Carnoy à proximité de la foret de Mormal, Carnoy signifiant "le lieu où poussent les charmes".

Histoire[modifier | modifier le code]

Des tombeaux romains avec objets et monnaies des empereurs Gallien, Claude, Tétricus, sont trouvés en 1854, près de la chaussée (voie romaine qui continue jusqu'à Bavay)[19].

La terre de Gommegnies était une seigneurie dans la France d'ancien régime. Elle a été érigée en comté, par lettres données à Bruxelles le en faveur de Guillaume baron de Hamal-Moncheaux et Gomegnies, dont la famille a possédé jadis le comté de Looz. Elle est venue se fixer en Brabant, Namur, Hainaut, où elle s'est alliée aux Trasegnies qui descendent des anciens comtes de Hainaut[20].

A la fin des guerres napoléoniennes, des troupes russes sont cantonnées à proximité du village. Une partie des récoltes de l'année 1816 sera utilisé par les troupes russes[21].

Vers 1850 une grave série d'incendies criminels pousse les autorités locales à transférer temporairement la garnison de Le Quesnoy à Gommegnies, les soldats logeant chez les habitants[22].

À la fin de la Première Guerre mondiale (1914-1918), après avoir été occupée par les troupes allemandes, Gommegnies est libérée les 4 et par les troupes alliées néo-zélandaises et anglaises.

Après la guerre de 1870 et jusqu'à la seconde guerre mondiale ,Gommegnies fait partie du secteur fortifié de Maubeuge : important dispositif de fortifications (blockhaus,casemates, forts,...) visant à protéger le saillant de Maubeuge et la ville de Maubeuge contre toute offensive allemande. Entre les deux guerres mondiales, le secteur fortifié de Maubeuge est un élément de la ligne Maginot.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe du département du Nord.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton du Quesnoy-Est[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Aulnoye-Aymeries

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la douzième circonscription du Nord.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Le bourg était le siège de la communauté de communes des Vallées de l'Aunelle et de la Rhônelle, (VVVAR) un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1992.

Celle-ci a fusionné avec la communauté de communes du Pays Quercitain pour formet en 2006 la communauté de communes du Quercitain, dont le siège était au Quesnoy.

Dans le cadre de la mise en œuvre du schéma départemental de coopération intercommunale du Nord, cette intercommunalité fusionne avec ses voisines pour former le la communauté de communes du Pays de Mormal, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Maire en 1802-1803 : P. J. Levecq[24].

Maire en 1807 : Evrard[25].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1908 1913 Célestin Hennion[26]   Directeur de la sûreté générale
Préfet de police de Paris (1913 → 1914)
Démissionnaire
Les données manquantes sont à compléter.
1925 1930 Clotaire Lhussier   Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.
1944 1947 Pacifique Prévost    
1947 1950 Kléber Postic    
1950 mars 1965 Pacifique Prévost    
mars 1965 mars 1983 Léandre Brasseur    
mars 1983 juin 1995 Charles Fiérain    
juin 1995 avril 2014 Michel Copros PS[27] Médecin libéral puis médecin-chef à l'hôpital du Quesnoy
avril 2014[28] mai 2020[29] Jean-Yves Fiérain
Fils de Charles Fiérain
DVD Retraité de l'enseignement
mai 2020[30],[31] En cours
(au 23 mai 2020)
Benoît Guiost DVD[32] Expert en sécurité ferroviaire

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].

En 2021, la commune comptait 2 300 habitants[Note 3], en augmentation de 0,35 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 0002 5632 5892 6042 9502 9602 9803 0483 093
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 1673 3083 4863 4563 4873 5173 5143 5103 517
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 3743 2663 1642 6792 5312 4262 2472 0432 015
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
2 0221 9291 8781 7802 0042 0022 1762 2222 286
2018 2021 - - - - - - -
2 3122 300-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,8 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 179 hommes pour 1 133 femmes, soit un taux de 50,99 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
0,6 
4,8 
75-89 ans
7,9 
15,4 
60-74 ans
16,5 
23,3 
45-59 ans
21,7 
19,4 
30-44 ans
21,2 
16,5 
15-29 ans
13,5 
20,2 
0-14 ans
18,5 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Vie associative[modifier | modifier le code]

La Salle des fêtes.

Gommegnies possède deux salles communales : la salle des fêtes et la salle de la gare.

Le Comité de Fêtes organise annuellement la Foire de la Licorne, la Brocante Nocturne estivale et les Foulées de la Licorne.

Le Comité des Sports et Loisirs de Gommegnies-Carnoy organise la ducasse annuelle de Carnoy.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

La foire de la Licorne rassemble chaque année le 1er dimanche de juin, environ 600 à 700 commerçants et brocanteurs. Cette manifestation est l'occasion offerte aux spécialistes et éleveurs venus de la France entière de participer au concours de race bovine bleue du Nord.

En outre, le VC (Vélo Cub) maubeugois organise le une course cycliste labellisée Fédération Française de Cyclisme (FFC) de 148 kilomètres (15 tours de 7,79 km) réservée aux licenciés de la catégorie de niveau sportif Elite nationale ainsi qu'à la catégorie d'âge juniors. Il y a à se partager 1 220  (20 prix) qui sont réglés en fin de saison.

Enfin, le Vélo Cub maubeugois organise en septembre une course cycliste FFC de 100 kilomètres (15 tours de 6,67 km) réservée aux licenciés des catégories de niveaux 2 et 3 ainsi qu'à la catégorie d'âge juniors.

Économie[modifier | modifier le code]

Le bourg de ce village comprend plusieurs commerces de proximité.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Architecture rurale[modifier | modifier le code]

Le village était, jusqu'au milieu du XIXe siècle, producteur de fruits (pommes, poires et prunes issues de vergers haute tige) et de produits laitiers. L'architecture rurale ancienne traduit ces spécificités. Les anciennes fermes sont souvent en "L", caractéristique locale de la production laitière. Les bâtiments anciens sont construits principalement en briques, avec un mortier à base de chaux hydraulique. La pierre bleue est utilisée pour rehausser les ouvertures, les pas de portes et réaliser les chainages des bâtiments.

Certains bâtiments disposent aussi d'un assise formée de petits blocs cubiques en grès, semblables à des pavés. Certains pignons surélevés trahissent encore quelques anciennes chaumières, dont les toits en chaume ont été remplacés par des tuiles durant le XIXe et le début du XXe siècle.

Il existait plusieurs moulins à vent (en bois à pivot fixe et à ailes flamandes) et à eau à Gommegnies, ces moulins au disparu entre la seconde moitié du XIXe, et le début du XXe[19].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Notre-Dame-de-l'Assomption à Gommegnies (XVIe siècle)
  • L'église Saint-Joseph à Carnoy.
  • Le château de Carnoy, maison de campagne de Mr Hennion
  • Le château de Gommegnies
  • Demeure du baron de l'épine [38]
  • Nombreux chapelles et oratoires, dont la chapelle Notre-Dame-des-Affligés de 1756, et trois calvaires, dont le calvaire du Chêne des loups[39].
  • La forêt de Mormal.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Gommegnies Blason
De gueules à une licorne assise d'argent ; au chef ondé cousu* d'azur chargé de deux clés d'or passées en sautoir adextrées d'un maillet du même et senestrées d'une gerbe de blé d'or liée de gueules[40].
Devise
Taire ou bien dire
Détails
* Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives.
Reprend la licorne qui figurait sur l'ancien blason utilisé par la commune, reprise des armes de la famille de Franeau d'Hyon, anciens seigneurs locaux et qui ferait référence à la licorne des armes de Grande-Bretagne et à un supposé cousinage. Fut ajouté un chef ondé évoquant les nombreux ruisseaux arrosant la commune. La gerbe de blé est pour le travail agricole. Le maillet rappelle le travail des sabotiers, très présents jusqu'à la première moitié du XXe siècle à Gommegnies. Enfin, les clefs ont une double symbolique : attributs de saint Pierre puisqu'il existe deux églises à Gommegnies avec celle de Carnoy, et celles de l'autorité et de l'inventivité, ici celles de Célestin Hennion, qui fut maire et préfet mais aussi créateur des Brigades du Tigre.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Alias
Alias du blason de Gommegnies
Alias du blason de Gommegnies
De gueules à la fasce d'or, accompagnée en chef d'une divise vivrée du même.
Blason donné par Théodore Leuridan dans son Armorial des communes du département du Nord de 1909.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Niveau des nappes », sur www.nalguise.net (consulté le )
  2. Fabrice, « La Boulette d'Avesnes », sur Au Pays Des Ch'tis, (consulté le )
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Gommegnies et Valenciennes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Valenciennes » (commune de Valenciennes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Valenciennes » (commune de Valenciennes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Gommegnies », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Michel Payen, « Démographie et société en Hainaut Gommegnies et Frasnoy » [PDF], (consulté le ).
  19. a et b « Gommegnies, le village, Histoire et patrimoine. », sur villesetvillagesdelavesnois.org (consulté le )
  20. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 211, lire en ligne.
  21. Archives départementales du nord, « Dossier d'archives communales de Gommegnies (1800, 1940), cote liasse 198 » [PDF], sur https://archivesdepartementales.lenord.fr
  22. L'Aube, (lire en ligne)
  23. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 276, lire en ligne.
  25. « Annuaire statistique du département du Nord Année 1807 », sur LillOnum Bibliothèque numérique, p. 132-133 (image 162-163).
  26. « Hennion (Célestin) : Directeur de la sûreté générale, préfet de police », SFHP - Société française d'histoire de la police, (consulté le ).
  27. [1]
  28. « Jean-Yves Fierain élu maire à l’unanimité », L'Observateur de l'Avesnois, no 19462,‎ , p. 35 (ISSN 0183-8415).
  29. René Harbonnier, « Jean-Yves Fiérain confirme qu’il ne se représentera pas en 2020 : C’est, comme à son habitude, dans une salle comble et devant un parterre d’élus très fourni que Jean-Yves Fiérain, maire de Gommegnies, s’est exprimé lors de sa traditionnelle cérémonie des vœux », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. René Harbonnier, « À Gommegnies, Benoît Guiost conduira la liste Écouter&Agir : Expert en sécurité ferroviaire, Benoît Guiost, conseiller sortant, conduit une liste aux municipales. En 2014, il avait mené une liste concurrente, arrivant en seconde position derrière celle de Jean-Yves Fiérain. Élu conseiller municipal et conseiller communautaire, il brigue une nouvelle fois le mandat de maire », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. René Harbonnier, « Gommegnies: Benoît Guiost élu maire par le conseil municipal : Les 19 membres du conseil municipal élus au 1er tour (15 de la liste de Benoît Guiost et 4 de la liste adverse conduite par Alexandra Lerch) se réunissaient ce samedi matin pour procéder à l’élection du maire », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Gratifié de 50,85 % des suffrages soit 445 votes sur 914 votants dès le 1er tour, Benoît Guiost est devenu le nouveau maire de Gommegnies, succédant ainsi à Jean-Yves Fierain, maire depuis 2014 ».
  32. Extrait de la fiche de M. Benoît GUIOST, sur lesbiographies.com
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Gommegnies (59265) », (consulté le ).
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  38. « Classement de la demeure du baron de l'épine »
  39. « Calvaire du Chêne des Loups ».
  40. « 59265 Gommegnies (Nord) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).