Uhart-Mixe — Wikipédia

Uhart-Mixe
Uhart-Mixe
Sur le chemin de Saint-Jacques.
Blason de Uhart-Mixe
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Bertrand Joseph Ithurbide
2020-2026
Code postal 64120
Code commune 64539
Démographie
Gentilé Uhartear
Population
municipale
215 hab. (2021 en augmentation de 1,9 % par rapport à 2015)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 16′ 48″ nord, 1° 01′ 15″ ouest
Altitude Min. 60 m
Max. 304 m
Superficie 11,74 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Palais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Uhart-Mixe
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Uhart-Mixe
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Uhart-Mixe

Uhart-Mixe est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Uhartear[1] (ou Uhartehiriar[1]).

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune d'Uhart-Mixe se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 93 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 63 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 8,0 km de Saint-Palais[5], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Palais[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Larribar-Sorhapuru (1,6 km), Arhansus (2,7 km), Lohitzun-Oyhercq (3,6 km), Orsanco (3,8 km), Ostabat-Asme (4,7 km), Béhasque-Lapiste (5,1 km), Juxue (5,2 km), Orsanco (5,5 km).

Sur le plan historique et culturel, Uhart-Mixe fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9],[10]. La commune est dans le pays de Mixe (Amikuze), au nord-est de ce territoire.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Uhart-Mixe.

La commune est drainée par la Bidouze, Ispatchoury erreka, Harambeltzko erreka, Urbeltz erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 18 km de longueur totale[12],[Carte 1].

La Bidouze, d'une longueur totale de 82,2 km, prend sa source dans la commune d'Aussurucq et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans l'Adour à Guiche, après avoir traversé 26 communes[13].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 432 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast à 6 km à vol d'oiseau[17], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 219,1 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[22], d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[23],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Deux ZNIEFF de type 2[Note 5] sont recensées sur la commune[24],[Carte 3] :

  • les « landes, bois et prairies du bassin de la Bidouze » (11 263,46 ha), couvrant 25 communes du département[25] ;
  • le « réseau hydrographique de la Bidouze et annexes hydrauliques » (2 867,4 ha), couvrant 30 communes dont 1 dans les Landes et 29 dans les Pyrénées-Atlantiques[26].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Uhart-Mixe est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[27],[28],[29].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Palais, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[30],[31].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (83,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (58,1 %), zones agricoles hétérogènes (26,2 %), forêts (11,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,7 %)[32]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

  • Uscarraitzia.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Uhart-Mixe est desservie par les routes départementales D 302 et D 933.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Uhart-Mixe est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)[33]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[34].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment l'Izpaxuriko erreka et la Bidouze. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1990, 2007, 2009 et 2014[35],[33].

Uhart-Mixe est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[36]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[37],[38].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Uhart-Mixe.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[39]. 98,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[40].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Mentions anciennes[modifier | modifier le code]

Le toponyme Uhart-Mixe apparaît sous les formes deu fard (1125[41]), Ufart (1136[41] et XIIe siècle[42], cartulaire de Sorde[43]), Sanctus Petrus de Uhart (1160[41]), Uhart Suson (1316[41]), Uarte (1351[41]), Huart (1384[42], collection Duchesne volume CX[44]), Uhart (1413[41]), Uhart-Juson en Navarre (1599[42], titres de la chambre des comptes de Pau[45] ), Uharte-Juzon et Uhart-Jusson (1621[42] pour les deux formes, Martin Biscay[46]).

Jean-Baptiste Orpustan[41] indique qu'Uhart signifie « entre eaux ».

Graphie basque[modifier | modifier le code]

Son nom basque actuel est Uhartehiri[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Coupé au 1 d'azur à un Oratoire d'argent prolongé à senestre d'un abri ouvert du même le tout couvert au naturel et accompagné sur le flanc senestre de trois coquilles d'argent rangées en pal, la façade est portillée au naturel et sommée d'une croisette de sable ; au 2 d'or à une fasce ondée d'azur surmontée de quatre étoiles de gueules rangées en fasce[47].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1983 1995 Henri Pochelu[48] Divers droite  
1995 2001 Rose-Marie Pouchoulou    
2001 2014 Marie-Pierre Ithurbide    
2014 2020 Jean-Pierre Lafargue    
2020 En cours Bertrand Joseph Ithurbide    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune appartient à six structures intercommunales[49] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

En 1350, 10 feux sont signalés à Uhart-Mixe[50].

Le recensement[51] à caractère fiscal de 1412-1413, réalisé[52] sur ordre de Charles III de Navarre, comparé à celui de 1551 des hommes et des armes qui sont dans le présent royaume de Navarre d'en deçà les ports[53], révèle une démographie en forte croissance. Le premier indique à Uhart la présence de 7 feux, le second de 37 (32 + 5 feux secondaires).
Le recensement de la population de Basse-Navarre de 1695[54] dénombre 41 feux à Uhart.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[56].

En 2021, la commune comptait 215 habitants[Note 9], en augmentation de 1,9 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
350339361393420415437442406
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
380350380340343401381361345
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
347340312293290282292275264
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
210214205209202204214223206
2021 - - - - - - - -
215--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[57] puis Insee à partir de 2006[58].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une école élémentaire publique[59]. Cette école propose un enseignement bilingue français-basque à parité horaire[60].

Économie[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Le château d'Uhart-Mixe est situé entre la Bidouze et son affluent l'Ispatchoury. Il a été construit par la famille Uhart au XVIe siècle autour d'une tour du XIVe siècle[61],[62]. L'intérieur a été complètement remanié aux XVIIIe siècle et XIXe siècle. Il est inscrit avec son pigeonnier aux monuments historiques. Une chapelle romane refaite récemment est située à côté[63].

Odilon Redon a séjourné au château et dessiné divers paysages de la région[64],[65].

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Chapelle de Soyarza.
Croix et stèle discoïdale près de la chapelle de Soyarza.
  • L'église Saint-Pierre[66] date de 1893.
  • La chapelle de Soyarza construite en 1845 sur l'emplacement d'un ancien ermitage construit par les prémontrés au XIIe siècle[67].
  • Le carrefour de « Gibraltar », également appelé carrefour de Saint-Sauveur, est situé à l'extrémité nord de la commune, voisine des communes de Saint-Palais et de Larribar-Sorhapuru.
Signalé depuis le par une stèle d'orientation surmontée d'une stèle discoïdale fréquentes dans les cimetières basques c’est aujourd'hui le point de rencontre symbolisé des trois chemins : la via Turonensis par Garis, la via Lemovicensis par Sauveterre et la via Podiensis par Navarrenx.
La stèle de Gibraltar.
Certes, Aimery Picaud, dans le guide du Pèlerin écrivait qu'ils confluaient « ad hostavallam », devenu « à Ostabat », forme gasconne du nom signifiant « vallée de Hozta », chez Jeanne Vielliard. Le Dr Clément Urrutibéhéty, ayant étudié le tracé sur le terrain, fait justement remarquer que « ad » a la valeur de « vers » ; donc « vers Ostabat ». De même, les chemins aragonais et navarrais se rencontrent « ad pontem regine », « vers Puente la Reina », en fait un peu avant Obanos.
Les jacquets des vias Lemovicensis et Turonensis s'étaient déjà regroupés à Sauveterre-de-Béarn. Mais les jacquets qui avaient pris la via Tolosane pouvaient gagner quelques kilomètres en empruntant un chemin secondaire depuis Lacommande, et par L'Hôpital-Saint-Blaise rejoindre le carrefour de Gibraltar.
Le nom de « Gibraltar », Xibaltarre en basque, est un toponyme fréquent en Pays basque qui indique un lieu de campement de gitans venus d'Andalousie. Certains voient plutôt dans ce cas une déformation du basque « Salbatore » (« Sauveur »), du sanctuaire de Saint-Sauveur, sans rapport donc avec le džabal al-Ṭāriq.

Équipements[modifier | modifier le code]

Éducation[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une école primaire.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Nées au XVIIIe siècle[modifier | modifier le code]

Jean-Bernard d'Uhart, né en 1765 à Uhart-Mixe et décédé en 1834 à Sauguis, est un militaire, propriétaire, maître de forges et homme politique français ;

Gustave d'Uhart, né en 1791 à Uhart-Mixe et décédé en 1860 à Limoux, est un administrateur.

Nées au XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Martial-Henri Berdoly, né en 1844 à Bordeaux et décédé en 1905 à Uhart-Mixe, est un homme politique français.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique d'Uhart-Mixe » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Uhart-Mixe », sur geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Uhart-Mixe », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. a b et c « Métadonnées de la commune d'Uhart-Mixe », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Uhart-Mixe et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Uhart-Mixe et Bayonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. Stephan Georg, « Distance entre Uhart-Mixe et Saint-Palais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Communes les plus proches d'Uhart-Mixe », sur villorama.com (consulté le ).
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
  8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
  9. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
  10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
  11. Carte IGN sous Géoportail
  12. « Fiche communale d'Uhart-Mixe », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
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  14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  16. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  48. Article de Henri Pochelu sur l'encyclopédie Auñamendi
  49. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  50. Jean-Baptiste Orpustan, Ouvrage collectif, Amikuze : Le Pays de Mixe, Éditions Izpegi - 1992 (ISBN 978-2-909262-05-5 et 2-909262-05-7), page 77
  51. Recensements cités par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 26. Le même ouvrage de Manex Goyhenetche indique (page 284) qu'il faut compter une moyenne démographique de 5.5 par feu.
  52. Transcrit et publié par Ricardo Cierbide, Censos de población de la Baja Navarra, Max Niemeyer Verlag, Tübingen, 1993
  53. Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, E 575, transcrit par Louis Baratchart dans Les amis de la vieille Navarre, janvier 1995, pages 44-54
  54. Bibliothèque nationale, 6956, registre Moreau 979, cité par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 299.
  55. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  56. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  57. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  58. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  59. {{http://www.education.gouv.fr/pid24302/annuaire-resultat-recherche.html?ecole=1&lycee_name=&localisation=1&ville_name=Uhart-Mixe%20%2864%29}}.
  60. {{http://www.mintzaira.fr/fr/services-en-basque/ecoles.html?tx_ecoles_pi1[commune]=121&tx_ecoles_pi1[cdc]=0&tx_ecoles_pi1[province]=0&tx_ecoles_pi1[category]=16&tx_ecoles_pi1[type]=0&tx_ecoles_pi1[education_mode]=0&tx_ecoles_pi1[submit]=Rechercher&id=183&L=0}}.
  61. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le château d'Uhart-Mixe
  62. Benoît Duvivier, « Uhart-Mixe : une puissante seigneurie... un château ».
  63. « Atlas du patrimoine historique et culturel des royaumes, comtés et vicomtés sous l'autorité de Catherine I de Navarre Foix-Grailly-Béarn ».
  64. Ministère de la Culture, base Mérimée - Route à Uhart
  65. Ministère de la Culture, base Mérimée - Vieil arbre, près d'Uhart
  66. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Pierre
  67. « La chapelle de Soyarza ».

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