Lichos — Wikipédia

Lichos
Lichos
La mairie et l'école de Lichos.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Marie-Pierre Vernassière
2020-2026
Code postal 64130
Code commune 64341
Démographie
Gentilé Lichosien
Population
municipale
138 hab. (2021 en augmentation de 0,73 % par rapport à 2015)
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 18′ 17″ nord, 0° 52′ 29″ ouest
Altitude Min. 97 m
Max. 172 m
Superficie 3,38 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Mauléon-Licharre
(banlieue)
Aire d'attraction Mauléon-Licharre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montagne Basque
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Lichos

Lichos [liʃɔs] est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Lichosien[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Lichos se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 54 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 34 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture, et à 10 km de Mauléon-Licharre[5], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mauléon-Licharre[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Charritte-de-Bas (1,2 km), Charre (1,6 km), Arrast-Larrebieu (2,4 km), Nabas (3,2 km), Aroue-Ithorots-Olhaïby (3,7 km), Espès-Undurein (4,1 km), Rivehaute (4,5 km), Etcharry (4,7 km).

Sur le plan historique et culturel, Lichos fait partie de la province de la Soule[réf. nécessaire], un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[8]. Elle se divise en Arbaille, Haute-Soule et Basse-Soule, dont fait partie la commune.

Communes limitrophes de Lichos[9]
Nabas
Aroue-Ithorots-Olhaïby Lichos Charre
Charritte-de-Bas

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Lichos.

La commune est drainée par le Saison, le Borlaas, un bras du Saison et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[10],[Carte 1].

Le Saison, d'une longueur totale de 72,2 km, prend sa source dans la commune de Larrau et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Autevielle-Saint-Martin-Bideren, après avoir traversé 31 communes[11].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[12]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[13].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 316 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein à 10 km à vol d'oiseau[15], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 323,1 mm[16],[17]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le Saison (cours d'eau) »[20], d'une superficie de 2 200 ha, un cours d'eau de très bonne qualité à salmonidés[21],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[22],[Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[23].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lichos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[24],[25],[26]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mauléon-Licharre, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[27] et 6 272 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[28],[29].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mauléon-Licharre dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[30],[31].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69,5 %), zones agricoles hétérogènes (24,2 %), forêts (6,4 %)[32]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

Quelques lieudits d'après les cartes IGN :

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Lichos est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne)[34]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[35].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Saison. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 2009[36],[34].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lichos.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[37]. 45,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[38].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations anciennes[modifier | modifier le code]

Le toponyme Lichos apparaît[39] sous les formes Lesxos (1376, montre militaire de Béarn[40]), Lixos (1385, censier de Béarn[41]) et Lexos (1391, notaires de Navarrenx[42]).

Étymologie[modifier | modifier le code]

Noms en basque et en occitan gascon[modifier | modifier le code]

Le nom basque de Lichos est Lixoze. Il fut normalisé par l'Académie de la langue basque le [43].

Son nom occitan gascon est Lishòs.

Histoire[modifier | modifier le code]

Paul Raymond[39] note qu'en 1385 Lichos et Haute, son annexe, comptaient 20 feux et dépendaient du bailliage de Sauveterre.
Au XVIe siècle, Lichos, Charre et Haute ne formaient qu'une seule commune.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Grat.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2014 Emmanuel Crohare    
2014 En cours Marie-Pierre Vernassière    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de cinq structures intercommunales[44] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[46].

En 2021, la commune comptait 138 habitants[Note 9], en augmentation de 0,73 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
153120159170179172178181165
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
166143148150151164162178159
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
149142127113117118117129121
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
123101133137146129135137139
2018 2021 - - - - - - -
134138-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

L'activité est principalement agricole (élevage et pâturages). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Dans le village.

Patrimoine linguistique[modifier | modifier le code]

Carte des sept provinces basques (1), 1863
Carte des sept provinces basques (2), 1863

Les deux versions de la Carte des sept provinces basques montrant la délimitation actuelle de l'euscara en dialectes, sous-dialectes et variétés dressée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte placent Lichos en dehors de l'aire bascophone.

Le Recueil de linguistique et de toponymie des Pyrénées réalisé en 1887 par Julien Sacaze nous livre pour Lichos une version en gascon, composée d'une traduction de deux textes mythologiques, ainsi que d'une liste des micro-toponymes de la commune.

Le Recueil des idiomes de la région gasconne réalisé en 1894 par le linguiste Édouard Bourciez nous livre pour Lichos une version de la parabole de l'enfant prodigue traduite en gascon.

La carte du Pays basque français dressée en 1943 par Maurice Haulon laisse apparaître la "démarcation actuelle entre la langue basque et les dialectes romans", incluant la commune de Lichos dans l'aire gasconophone.

D'après la Morfología del verbo auxiliar vasco [Morphologie du verbe auxiliaire basque] établie par Pedro de Yrizar en 1970, Lichos n'est pas située dans l'aire bascophone.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Buste de saint Grat.
Statue de saint Just.
Statue de saint Pasteur.

Équipements[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

née au Ve siècle

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Lichos » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Lichos », sur geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Lichos », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Gentilé sur habitants.fr
  2. a b et c « Métadonnées de la commune de Lichos », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Lichos et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Lichos et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. Stephan Georg, « Distance entre Lichos et Mauléon-Licharre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Communes les plus proches de Lichos », sur villorama.com (consulté le ).
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 23.
  8. Frédéric Zégierman 1999, p. 23.
  9. Carte IGN sous Géoportail
  10. « Fiche communale de Lichos », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  11. Sandre, « le Saison ».
  12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  13. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  14. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  15. « Orthodromie entre Lichos et Saint-Gladie-Arrive-Munein », sur fr.distance.to (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Saint-Gladie » (commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « Station Météo-France « Saint-Gladie » (commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  18. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  19. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  20. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Lichos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  28. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  29. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  30. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mauléon-Licharre », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
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  33. a b c d e f g h i j k l et m Géoportail - IGN, « Géoportail », (consulté le ).
  34. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Lichos », sur Géorisques (consulté le ).
  35. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  36. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
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  38. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  39. a et b Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
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  42. Notaires de Navarrenx - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
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  47. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  48. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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