Saint-Valery-en-Caux — Wikipédia

Saint-Valery-en-Caux
Saint-Valery-en-Caux
Le port et le centre-ville.
Blason de Saint-Valery-en-Caux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC de la Côte d'Albâtre
Maire
Mandat
Jean-François Ouvry
2020-2026
Code postal 76460
Code commune 76655
Démographie
Gentilé Valeriquais
Population
municipale
3 915 hab. (2021 en diminution de 6,99 % par rapport à 2015)
Densité 374 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 51′ 50″ nord, 0° 42′ 28″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 80 m
Superficie 10,47 km2
Type Commune rurale et littorale
Unité urbaine Saint-Valery-en-Caux
(ville isolée)
Aire d'attraction Saint-Valery-en-Caux
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Saint-Valery-en-Caux
(bureau centralisateur)
Législatives 10e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Liens
Site web https://saintvaleryencaux.fr

Saint-Valery-en-Caux[Note 1] (prononcé [sɛ̃valʁiɑ̃ko:]), Saint-Valdy en normand, est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Situé sur le littoral du pays de Caux, à environ 60 km au nord de Rouen, Saint-Valery-en-Caux est le chef-lieu d'un canton de l'arrondissement de Dieppe. Saint-Valery-en-Caux se trouve à 30 km de Dieppe et de Fécamp et à une dizaine de kilomètres de la centrale nucléaire de Paluel qui se situe plus précisément au lieu-dit Conteville.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

C'est une petite station balnéaire équipée d'un port, d'une médiathèque, d'un centre culturel (Le Rayon Vert), d'une piscine (piscine du Littoral), d'un casino avec cinéma et night-club. Elle possède également une église du Moyen Âge, un clocher (le clocher Saint-Léger), un cloître (le cloître des Pénitents) et une chapelle.

Maison dite de Henri IV.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 883 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Ectot-lès-Baons à 26 km à vol d'oiseau[4], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 905,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Valery-en-Caux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Valery-en-Caux, une unité urbaine monocommunale[11] de 4 006 habitants en 2017, constituant une ville isolée[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Valery-en-Caux, dont elle est la commune-centre[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[16]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,3 %), zones urbanisées (25 %), prairies (5,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,3 %), zones agricoles hétérogènes (2,9 %), zones humides côtières (1,4 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Sanctum Walaricum en 990, Sancti Walarici vers 1025[20], Ecclesia Sancti Walarici (ou Walerici) entre 1130 et 1164, Sancto Walarico in Planis en 1273, Saint Valeri ès plains en 1282, De Sancto Wallarico in planis en 1284[21], Sanctus Valericus in Planis en 1337, Saint Valier ès plains en 1374[21], Saint Valery ès plains en 1456[21], Saint Valery ès plains en 1456[21], Saint-Valery-en-Caux en 1953[22].

Saint-Valery s'écrit Saint-Wary en picard. Le nom est sans rapport avec le latin Valerius dont sont issus Valère et Valérie. Il procède du nom germanique Walaric, ce qui explique le e muet. On retrouve le même phénomène dans la commune de Saint-Valery-sur-Somme.

L'hagiotoponyme fait référence à Valery de Leuconay pour lequel Guillaume le Conquérant avait une grande vénération, il fit prélever une partie de ses reliques et les emporta dans différentes églises d’Angleterre. Il en déposa aussi en Normandie, dans ce lieu qui prit plus tard le nom de Saint-Valery-en-Caux. On peut voir aussi un gisant dans l’église Saint-Valery de Varengeville-sur-Mer.

Le pays de Caux est une région naturelle de Normandie appartenant au Bassin parisien.

Histoire[modifier | modifier le code]

Affiche de 1892.
Jongkind, (1852)
Port de St Valery en Caux
musée Kröller-Müller, Otterlo.

Le nom de Saint-Valery-en-Caux apparaît pour la première fois dans un document datant de 990, selon la charte dans laquelle Richard Ier, duc de Normandie, octroie une partie de ses biens personnels à l’abbaye de Fécamp. Cette charte a aujourd’hui disparu, mais une copie du XIIe siècle est actuellement conservée à la bibliothèque municipale de Rouen. Cette citation confirme l’existence de la ville à la fin du Xe siècle, mais le mystère demeure sur l’époque à laquelle lui fut donné ce nom. La légende de la création de la ville dit qu’elle aurait été fondée au VIIe siècle lorsque l’évangélisation des campagnes se développe sous l’impulsion des rois francs. Ainsi, Walaric[23] fondateur du monastère de Leuconaüs (Saint-Valery-sur-Somme), fut appelé « l’apôtre des falaises » en portant la bonne parole sur tout le littoral. Selon la même légende, il aurait fondé un prieuré au fond de la vallée de Néville, là-même où sera plus tard construite l’église de Saint-Valery-en-Caux. La population des alentours se fixa autour de ce prieuré afin de suivre la pratique du culte, donnant ainsi naissance à la ville.

En 1472, après avoir levé le siège de Beauvais, Charles le Téméraire met Saint-Valery et toute la contrée à feu et à sang.

Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Port-le-Pelletier[24].

La bataille de Saint-Valery[modifier | modifier le code]

Le centre-ville fut presque entièrement détruit par les bombardements lors du siège de la ville, du 10 au . En effet, dès le , la 7e Panzerdivision menée par Rommel perce jusqu'à la Seine les positions du 9e corps d'armée français du général Ihler ainsi que de la 51e division d'infanterie (Highland) du major-général Fortune, et les isole. Rommel, devinant l'intention des Alliés de s'embarquer pour l'Angleterre fait encercler Fécamp le . Par ses tirs d'artillerie, il oblige la Navy à s'éloigner : deux de ses navires sont endommagés. Les troupes alliées se replient sur Saint-Valery-en-Caux, dernier port de la poche. Le 11, Rommel fait pilonner la ville et le port de Saint-Valery-en-Caux. Le général André Berniquet, commandant la 2e division légère de cavalerie, y perd la vie. Lors de cette journée, les Alliés opposent une résistance tenace, afin de pouvoir embarquer un maximum de troupes dans l'hypothèse de l'arrivée de la Royal Navy. Un épais brouillard empêche tout embarquement de nuit. Au matin du , le cargo armé français le Cérons[25] engage un duel avec les canons allemands juchés sur la falaise d'amont de Saint-Valery. Après avoir détruit deux canons de 105 mm allemands, le patrouilleur est coulé. Le cargo français réquisitionné Granville est touché par un obus de char allemand et coule au large de Paluel. Rommel accepte la reddition du général Ihler en début de soirée sur la place détruite de la ville.

La 7e Panzer a dû mobiliser tous ses moyens pour réduire la défense franco-écossaise mais est récompensée par la prise de douze généraux alliés dont Ihler et le major-général Victor Fortune commandant la 51e division d'infanterie (Highland). En outre, entre douze mille et vingt-six mille soldats, dont au moins huit mille Britanniques, une centaine de canons, cinquante-huit blindés légers et trois cent soixante-huit mitrailleuses, ainsi que des milliers de fusils et de camions sont capturés par l'armée allemande. À la suite de la bataille de Saint-Valery, Rommel écrira à sa femme :

« Très chère Lu,

Ici, la bataille est terminée. Un commandant de corps d'armée et 4 commandants de division se sont présentés à moi aujourd'hui sur la place du marché de Saint-Valery, contraints par ma division à se rendre. Moments merveilleux ! »

— Erwin Rommel, 12 juin 1940.

Saint-Valery-en-Caux sera libérée par les Alliés le [26].

Aix-en-Provence marraine de guerre[modifier | modifier le code]

Après la bataille qui a lieu du 10 au , Saint-Valery-en-Caux est détruite à près de 70 %. En particulier, la majorité des bâtiments administratifs sont anéantis, mais également la plupart des habitations. Le , Alexandre Pujes et Michel Saffier, respectivement préfet délégué et sous-préfet de Dieppe, sont en visite à Saint-Valery et constatent l'état catastrophique dans lequel la ville se trouve encore depuis . Le maire, André Retel, suggère alors que la ville soit adoptée par une ville marraine de guerre, comme cela a pu déjà se faire lors de la Première Guerre mondiale.

Le conseil municipal d'Aix-en-Provence reçoit la requête envoyée par Alexandre Pujes le . La décision est prise de verser un premier secours de 50 000 francs. Saint-Valery-en-Caux apprend l'adoption le . Son annonce officielle et celle du premier versement survient lors du conseil municipal du .

Afin de pouvoir soutenir sa filleule, Aix-en-Provence multiplie les actions, ce qui permet d'envoyer à Saint-Valery plusieurs secours.

Après la Libération[modifier | modifier le code]

Le , à la suite d'une panne du système de freinage, un train transportant des soldats de l'armée américaine ne parvient pas à s'arrêter et traverse la gare terminale de Saint-Valery. Le bilan est lourd : 89 soldats américains sont tués et 152 sont blessés[27].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors du premier tour des élections municipales de 2020, la liste menée par le DVD Jean-François Ouvry remporte le scrutin avec 798 voix (51,75 % des suffrages exprimés), devançant les listes menées par Joël Sallé (DVG, 462 voix, 29,96 %) et par Raphaël Distante (DVD, 282 voix, 18,29 %), l'abstention s'étant élevée à 47,49 %[28].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
ca 1942   André Retel    
    Henri Cherfils Rad. Conseiller général de Saint-Valery-en-Caux (1945 → 1955)
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1959 mars 2001 Jacques Couture RI puis UDF-PR
puis DL
Médecin retraité
Député suppléant de Roger Fossé (1968-1986)
Conseiller régional de Haute-Normandie (1986 → 1998)
Conseiller général de Saint-Valery-en-Caux (1955 → 2004)
mars 2001 mars 2014 Gérard Mauger DVD Ingénieur EDF retraité
mars 2014 mai 2020[29] Dominique Chauvel PS puis DVG Formatrice, en détachement
Députée de la Seine-Maritime (10e circ. (2012 → 2017)
Conseillère générale de Fontaine-le-Dun (2004 → 2015)
Vice-présidente du conseil général de la Seine-Maritime (2008 → 2015)
mai 2020[30] En cours
(au 10 août 2020)
Jean-François Ouvry DVD Vice-président de la CC de la Côte d'Albâtre (2020 → )

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

La commune est classée « quatre fleurs[Quand ?] » au Concours des villes et villages fleuris[réf. nécessaire].

Jumelages[modifier | modifier le code]

Saint-Valery-en-Caux est jumelée à :

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

En 2021, la commune comptait 3 915 habitants[Note 4], en diminution de 6,99 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
4 7954 8454 8875 0185 3285 2365 3705 4045 377
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
4 8004 7104 6944 5224 2384 4964 1034 0143 912
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 5533 5443 2022 7902 6082 5572 5662 4552 954
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
2 9053 0893 2745 5014 5954 7824 5464 4704 254
2018 2021 - - - - - - -
3 9073 915-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

La vente du poisson sur le Quai d'Amont.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Maison Henri-IV : détail de la façade.
Cette maison est construite par l'armateur Guillaume Ladiré, en 1540. L'inscription au-dessus du porche en témoigne :
« l'an mil V cens XXXX ceste meson fvt faicte P.Gville Ladiré A.Q Diev done bone vie »,
soit :
l'an mil(le) cinq [5] cent quarante [XL / 40... 1540] cette maison fut faite P[ar / Pour ?] Guill[aum]e Ladiré A[rmateur] / À Qui, auquel / A[fin] Que Dieu [lui] donne bonne vie.
Le nom commun de « Maison Henri IV » est issu de la tradition orale selon laquelle, Henri IV, en 1593, lors de campagnes militaires contre la Ligue dans la région, entre Dieppe et Fécamp, s'y serait arrêté coucher.
Sa construction remonterait au XVIe siècle selon une inscription mentionnant l'année 1530 sur une colonne dans la tour du clocher. L'église est faite d'une nef et de deux collatéraux. C'est un bâtiment entièrement en grès, avec une toiture en ardoise. Des vitraux du XIXe siècle de Claudius Lavergne la décorent. Les confessionnaux, datant du XVe siècle sont classés monuments historiques. L'orgue, restauré en 2008, est signé Nicolas Antoine Lété (XVIIIe siècle). Par ailleurs, un vitrail a été offert par les Écossais d'Inverness, en souvenir de la 51e division d'infanterie (Highland).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Natifs de Saint-Valery-en-Caux[modifier | modifier le code]

Leurs noms sont liés à Saint-Valery-en-Caux[modifier | modifier le code]

Saint-Valery-en-Caux et le cinéma[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Saint-Valery-en-Caux

Les armes de la commune de Saint-Valery-en-Caux se blasonnent ainsi : d'azur à deux dauphins adossés d'argent.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Raphael Distante, Saint-Valery-en-Caux. 1940, la 51e division d'infanterie (Highland), Bénévent, , 230 p.
  • Jean-Michel Ries et Alain Blocier, Saint-Valery-en-Caux, Joué-lès-Tours, éd. Alan Sutton, , 128 p. (ISBN 2-84253-085-3)
  • Martine Wattel (photogr. Vincent Thibert), Veules-les-Roses Saint-Valery-en-Caux : fenêtres sur mer, Rouen, Éditions des Falaises, , 128 p. (ISBN 978-2848115108).
  • Pays'ages de Saint Valery En Caux (coffret double DVD sur l'histoire de la commune)
  • Pays'ages de Saint Valery En Caux (coffret simple DVD : période 1940 1965)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. L'ajout d'un accent aigu sur le « e » est une pratique incorrecte.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Saint-Valery-en-Caux et Ectot-lès-Baons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Ectot Les Baons » (commune d'Ectot-lès-Baons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Ectot Les Baons » (commune d'Ectot-lès-Baons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Saint-Valery-en-Caux », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Valery-en-Caux », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  17. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  20. Jean Adigard des Gautries. Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite). Annales de Normandie, 8e année, no 3, 1958. Page 161.
  21. a b c et d Archives de Seine-Maritime 7 H.
  22. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 939.
  23. D'où Valery Ce lien renvoie vers une page d'homonymie avec -e- [ø] et non -é- [e], ce nom étant sans rapport étymologique avec le prénom Valérie. En français [a] latin ou germanique a donné un e "muet" [ø].
  24. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Le Cerons - navire réquisitionné par la marine française
  26. http://www.xn--armes-dsa.com/ossian-seipel-fr-07.htm
  27. (en) HistoryNet Staff, « Russell C. Eustice Recalls the Troop Train 2980 Tragedy at St. Valery-en-Caux During World War II », sur historynet.com, (consulté le ).
  28. « Saint-Valery-en-Caux 76460 », Résultats aux municipales 2020, sur https://www.lemonde.fr (consulté le ).
  29. « Après trente ans de carrière politique dans le pays de Caux, Dominique Chauvel part « le cœur léger » : Saint-Valery-en-Caux. C’est une carrière politique longue de trente ans qui touche à sa fin. Maire, députée, vice-présidente du conseil général, Dominique Chauvel estime avoir « beaucoup donné au service des autres. » Elle aspire aujourd’hui à penser un peu plus à elle et aux siens », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. Éléonore Sinoquet, « À Saint-Valery-en-Caux, le nouveau maire, Jean-François Ouvry, veut « redresser les comptes de la ville » », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Saint-Valery-en-Caux, le nouveau maire, Jean-François Ouvry a été élu avec 22 voix et 5abstentions, lundi 25 mai ».
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. (en) Site officiel du TAT-14
  35. http://www.wikileaks.ch/cable/2009/02/09STATE15113.html REQUEST FOR INFORMATION:CRITICAL FOREIGN DEPENDENCIES (CRITICAL INFRASTRUCTURE AND KEY RESOURCES LOCATED ABROAD, Wikileaks décembre 2010
  36. Notice no PA00101052.
  37. Notice no PM76002151.
  38. Notice no PM76003237.