Pacy-sur-Eure — Wikipédia

Pacy-sur-Eure
Pacy-sur-Eure
La mairie.
Blason de Pacy-sur-Eure
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Les Andelys
Intercommunalité Seine Normandie Agglomération
Maire
Mandat
Yves Leloutre
2020-2026
Code postal 27120
Code commune 27448
Démographie
Gentilé Pacéen
Population
municipale
5 001 hab. (2021)
Densité 227 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 01′ 00″ nord, 1° 22′ 58″ est
Altitude Min. 38 m
Max. 141 m
Superficie 22,03 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Pacy-sur-Eure
(ville-centre)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pacy-sur-Eure
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Pacy-sur-Eure
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Pacy-sur-Eure
Géolocalisation sur la carte : Eure
Voir sur la carte topographique de l'Eure
Pacy-sur-Eure
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Pacy-sur-Eure
Liens
Site web http://www.ville-pacy-sur-eure.fr/

Pacy-sur-Eure est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Pacy-sur-Eure est une commune de l'Est du département de l'Eure proche de celui des Yvelines. Son territoire, situé entre Évreux et Mantes-la-Jolie, s'étend au cœur de la vallée de l'Eure[1] et déborde très largement à l'est, au sein de la forêt de Pacy, sur le plateau de Madrie[2]. À vol d'oiseau, la commune se situe à 17 km à l'est d'Évreux[3], à 24 km à l'ouest de Mantes-la-Jolie[4], à 31,5 km au nord de Dreux[5], à 52 km au sud-est de Rouen[6] et à 90 km du cœur de Paris (1h15 via A13)[7].

Communes limitrophes de Pacy-sur-Eure[8]
Ménilles Ménilles Douains
Saint-Aquilin-de-Pacy (comm. nouv. de Pacy-sur-Eure), Fains Pacy-sur-Eure[8] Chaignes
Saint-Aquilin-de-Pacy (comm. nouv. de Pacy-sur-Eure) Hécourt Aigleville

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est adossée à l'Eure, affluent de la Seine.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[10]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant aux plaines agricoles de l’Eure, avec une pluviométrie beaucoup plus faible que dans la plaine de Caen en raison du double effet d’abri provoqué par les collines du Bocage normand et par celles qui s’étendent sur un axe du Pays d'Auge au Perche[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 659 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Huest à 13 km à vol d'oiseau[12], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 600,6 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Pacy-sur-Eure est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Pacy-sur-Eure, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[19] et 7 276 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[20],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[22],[23].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Paciacum entre 1050 et 1066, Paceium en 1135 (petit cartulaire de Saint-Taurin)[24], Pasci en 1153 (charte de Henri II), Paciacum en 1195 (traité entre Philippe Auguste et Richard Cœur de Lion), Paceyum en 1248 (cartulaire de Saint-Taurin), Pacyacum en 1277 (grand cartulaire de Saint-Taurin), Passy en 1356 (Froissart), Passi en 1588 (Bourgueville), Passey en 1611 (Desrues, Singularité des principales villes), Passey ou Pacey en 1668 (André Du Chesne, Antiq. et rech. des villes), Passy sur Eure en 1754 (Dict. des postes)[25].

L'Eure est une rivière qui prend sa source dans la région naturelle du Perche et qui coule dans les départements de l'Orne, d'Eure-et-Loir, de l'Eure et de la Seine-Maritime.

Histoire[modifier | modifier le code]

Il y avait dans la localité un château féodal, au moins depuis le milieu du XIIe siècle, qui était à l'époque du duc Henri la possession de Robert de Leicester ( 1168)[26], devenu château royal et où Philippe Auguste a résidé trois jours avant sa mort, survenue le [27].

Pacy-sur-Eure était sous l'Ancien Régime un relais pour les diligences sur la route Caen-Paris[28].

Saint-Aquilin-de-Pacy fusionne avec Pacy-sur-Eure le .

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
En cours Yves Leloutre DVD  
2017 2020 Jean-Jacques Cholet DVD  
mars 2001 2017
(démission)
Pascal Lehongre UMP-LR Permanent politique
Conseiller général puis départemental
Président du Conseil départemental depuis 2017
Démissionnaire depuis son élection en tant que Président du Conseil départemental
mars 1983 mars 2001 Jean-Luc Miraux UMP Sénateur (1998-2008)
1979 mars 1983 Bernard Lecomte    
mars 1971 1979 Philippe Courtois    
mars 1959 mars 1971 Lucien Delaune    
mai 1953 mars 1959 Émile Wolff    
1946 mai 1953 Gaston Fournier    
mai 1945 1946 Maurice Kuborn    
1942 mai 1945 Henri Leclerc    
mai 1929 1942 Émile Wolff    
mai 1925 mai 1929 Camille Briquet radical Député, conseiller général
décembre 1919 mai 1925 Auguste Lissot    
mai 1912 décembre 1919 Aimé Leconte    
mai 1904 mai 1912 Louis Bonnel    
1882 mai 1904 Édouard Isambard Républicain médecin
Député, conseiller général
1878 1882 Eugène Godefroy    
1874 1878 Hilaire Blanchard    
1871 1874 Jules Ducoudré    
1870 1871 Frémont Lépouzé    
1853 1870 Éléonor Besnard    
Les données manquantes sont à compléter.
ca 1815   Louis-Philippe de Saint-Albin   abbé
Les données manquantes sont à compléter.

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

En 2017, la commune a été labellisée « 3 fleurs » par le Conseil national de villes et villages fleuris de France[29].

Population et société[modifier | modifier le code]

Évolution démographique de la commune déléguée[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31],[Note 3].

En 2014, la commune comptait 4 556 habitants, en diminution de −3,5 % par rapport à 2009 (Eure : 2,59 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 6801 5101 4581 3641 3871 4601 4961 5441 597
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5241 7231 6431 7811 8101 8401 9451 9262 037
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 0212 0902 1821 8821 9941 8191 8412 0342 242
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2014
2 7093 2133 4723 6504 2954 7514 8264 6374 556
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Évolution démographique de la commune nouvelle[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

En 2021, la commune comptait 5 001 habitants[Note 4], en diminution de 2,27 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
2015 2020 2021
5 1175 0425 001
(Sources : Insee à partir de 2015[34].)

Sports[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Aubin.

La commune de Pacy-sur-Eure compte un édifice inscrit et un édifice classé au titre des monuments historiques :

Autres édifices :

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Natura 2000[modifier | modifier le code]

  • Vallée de l'Eure[41].

ZNIEFF de type 1[modifier | modifier le code]

  • Les hauts prés à Pacy-sur-Eure[42].
  • Le coteau du val Morin[43].

ZNIEFF de type 2[modifier | modifier le code]

  • La vallée de l'Eure d'Acquigny à Ménilles, la basse vallée de l'Iton[44].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Pacy-sur-Eure Blason
Parti : au 1er d'azur au senestrochère armé d'or, mouvant de dextre, tenant une épée d'argent garnie d'or et au dextrochère d'argent mouvant de senestre, paré d'or et tenant une crosse d'argent [Saint-Aquilin], au 2e d'argent à une rose de gueules [Pacy-sur-Eure] ; le tout sommé d'un chef de gueules chargé de deux léopards affrontés d’or armés et lampassés d'azur.
Détails
Les deux léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie.
Création Denis Joulain pour la commune nouvelle créée le 1er janvier 2017. Adopté le 28 février 2017.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « La vallée de l’Eure de Saint-Georges-Motel à Acquigny », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
  2. « Le plateau de Madrie », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
  3. « Distance à vol d'oiseau entre Pacy-sur-Eure et Évreux »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lion1906.com (consulté le ).
  4. « Distance à vol d'oiseau entre Pacy-sur-Eure et Mantes-la-Jolie »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lion1906.com (consulté le ).
  5. « Distance à vol d'oiseau entre Pacy-sur-Eure et Dreux »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lion1906.com (consulté le ).
  6. « Distance à vol d'oiseau entre Pacy-sur-Eure et Rouen »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lion1906.com (consulté le ).
  7. « Mappy - Plans, comparateur d'itinéraires et cartes de France », sur Mappy (consulté le ).
  8. « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  12. « Orthodromie entre Pacy-sur-Eure et Huest », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Évreux-Huest » (commune de Huest) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Évreux-Huest » (commune de Huest) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  16. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  18. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Unité urbaine 2020 de Pacy-sur-Eure », sur insee.fr (consulté le ).
  20. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Droz, , 708 p. (ISBN 978-2-600-02883-7 et 2-600-02883-8, lire en ligne), p. 577.
  25. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 161.
  26. Anne-Marie Flambard Héricher (préf. Vincent Juhel), Le château de Vatteville et son environnement, de la résidence comtale au manoir de chasse royal, XIe – XVIe siècle, vol. Mémoire de la Société des antiquaires de Normandie, t. XLVIII, Caen, Société des antiquaires de Normandie, , 393 p. (ISBN 978-2-919026-27-2), p. 49.
  27. « Médiévale... Remparts de Normandie : Les remparts de Pacy-sur-Eure (Eure) » (consulté le ).
  28. Bertrand Pâris, « Charlotte Corday », Patrimoine normand, no 119,‎ octobre-novembre-décembre 2021, p. 18 (ISSN 1271-6006).
  29. Site des villes et villages fleuris, consulté le 9 février 2018.
  30. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. « Église Saint-Aubin », notice no PA00099505, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. a et b « Château du Buisson-de-Mai », notice no PA00099632, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. Recueil historique, chronologique et topographique des archevêchez ..., Volume 2 [1].
  38. « L'inauguration du monument à Aristide Briand », Le Journal n° 15001,‎ , p. 5/10.
  39. INA.fr: Serge Gainsbourg: "Le fossoyeur de Pacy Sur Eure"
  40. « Pacy-sur-Eure : ville de tournages », sur Actu.fr (consulté le ).
  41. « Vallée de l'Eure », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  42. « Les hauts prés à Pacy-sur-Eure », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  43. « Le coteau du val Morin », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  44. « La vallée de l'Eure d'Acquigny à Ménilles, la basse vallée de l'Iton », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  45. Emmanuelle Guey et Samuel Boisson, « Le fonds Georges Heuyer (1884-1977) : un XXe siècle scientifique, à l’orée de la psychiatrie infantile et de ses ramifications », Revue d’histoire de l’enfance « irrégulière », no 12,‎ , p. 215-229 (lire en ligne).
  46. Jean-Pierre Pichard, Normands célèbres, Éditions Edilivre, , 262 p. (lire en ligne), p. 129.
  47. « Marc Dufumier : "Avec le bio, la ferme France sera plus riche" », sur L'Express (consulté le ).