Saint-Nicolas-des-Biefs — Wikipédia

Saint-Nicolas-des-Biefs
Saint-Nicolas-des-Biefs
Vue du village.
Blason de Saint-Nicolas-des-Biefs
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Allier
Arrondissement Vichy
Intercommunalité Communauté d'agglomération Vichy Communauté
Maire
Mandat
Jacques Blettery
2020-2026
Code postal 03250
Code commune 03248
Démographie
Gentilé Saint-Nicolavois
Population
municipale
162 hab. (2021 en diminution de 8,99 % par rapport à 2015)
Densité 5,6 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 03′ 38″ nord, 3° 47′ 01″ est
Altitude Min. 620 m
Max. 1 122 m
Superficie 28,9 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Lapalisse
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Nicolas-des-Biefs
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Saint-Nicolas-des-Biefs
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Saint-Nicolas-des-Biefs
Liens
Site web saint-nicolas-des-biefs.com

Saint-Nicolas-des-Biefs est une commune française, située dans le département de l'Allier en région Auvergne-Rhône-Alpes.

C'est la commune la plus haute du département située à 930 mètres d'altitude, remarquable par ses tourbières basses et bombées sur le plateau de la Verrerie. La commune abrite un musée du verrier.

Ses habitants, au nombre de 162 au recensement de 2021, sont appelés les Saint-Nicolavois et les Saint-Nicolavoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune du sud-est du département de l'Allier, Saint-Nicolas-des-Biefs s'étire sur plus de 20 km du nord au sud sur la ligne de crête séparant les départements de l'Allier et de la Loire.

Distante de 45 km de Vichy et de 30 km de Roanne, Saint-Nicolas-des-Biefs bénéficie de panoramas extraordinaires : superbe vue sur le Mont Blanc et la plaine roannaise depuis le plateau de La Verrerie, vue sur les monts d'Auvergne et le puy de Dôme depuis de très nombreux endroits, vue sur les Bois Noirs et le puy de Montoncel.

L'enneigement hivernal autorise la pratique du ski nordique et de diverses autres activités liées à la neige : luge, raquettes, chiens de traîneau, etc.

Huit communes (neuf en incluant le quadripoint avec Arcon) sont limitrophes[Carte 1] :

Communes limitrophes de Saint-Nicolas-des-Biefs
Châtel-Montagne Arfeuilles Saint-Bonnet-des-Quarts (Loire)
Saint-Clément Saint-Nicolas-des-Biefs Saint-Rirand (Loire)
Les Noës (Loire)
La Chabanne Laprugne Arcon (Loire)
(quadripoint)

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Aux confins du Bourbonnais et du Forez, et à la porte de l'Auvergne, cette commune de 2 900 ha est située au cœur des Monts de la Madeleine, à une altitude moyenne de 930 m. Elle porte sur son territoire le sommet supérieur à 1 000 m le plus proche de Paris (La Pierre Charbonnière).

Le plateau de La Verrerie possède une immense tourbière dont la faune et la flore sont particulièrement riches. Cette zone, classée Natura 2000, dispose de très nombreux sentiers de promenade au cœur d'un environnement exceptionnel et préservé.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Centre et contreforts nord du Massif Central » et « Nord-est du Massif Central »[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 205 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 8,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 387,2 mm[3],[4]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[5].

Statistiques 1991-2020 et records ST-NICOLAS (03) - alt : 1022m, lat : 46°03'05"N, lon : 3°48'18"E
Records établis sur la période du 01-03-1991 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −1,5 −1,6 0,7 3,1 6,7 10,1 12,1 12,4 9,1 6,2 1,8 −0,6 4,9
Température moyenne (°C) 1 1,1 3,9 6,8 10,6 14,2 16,3 16,5 12,6 9,3 4,4 1,8 8,2
Température maximale moyenne (°C) 3,5 3,8 7,2 10,5 14,5 18,2 20,5 20,6 16,2 12,3 7 4,3 11,6
Record de froid (°C)
date du record
−14,8
03.01.1993
−17,4
07.02.12
−15,9
01.03.05
−7,8
03.04.1996
−3,3
01.05.16
0,9
02.06.06
4,5
12.07.00
4
28.08.1998
0,4
26.09.20
−6,9
25.10.03
−12,4
22.11.1998
−15,2
14.12.01
−17,4
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
18,5
30.01.02
20,3
20.02.1998
22,5
24.03.01
24,4
30.04.05
28
27.05.05
33,5
27.06.19
33,4
19.07.22
34
24.08.23
28,9
14.09.20
26,6
02.10.23
21,3
08.11.15
16,5
31.12.21
34
2023
Ensoleillement (h) 757 995 1 478 1 766 1 853 2 222 2 547 2 207 1 731 1 334 814 689 18 393
Précipitations (mm) 110,9 93 90,8 109,1 137,1 114,7 126,3 109,6 116,6 123,5 137,4 118,2 1 387,2
Source : « Fiche 3248001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Nicolas-des-Biefs est une commune rurale[Note 1],[6]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[7],[8].

La commune est en outre hors attraction des villes[9],[10].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (86,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (83,7 %), prairies (13,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,5 %)[11].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Planification de l'aménagement[modifier | modifier le code]

L'ancienne communauté de communes de la Montagne bourbonnaise, dont Saint-Nicolas-des-Biefs était membre, avait prescrit l'élaboration d'un plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi) en 2014. À la suite de la fusion de la communauté de communes avec la communauté d'agglomération de Vichy Val d'Allier le , c'est Vichy Communauté qui poursuit les procédures de l'élaboration de ce document, approuvé en conseil communautaire le et exécutoire depuis le [12].

Transports[modifier | modifier le code]

Les routes départementales 120, 420, 477 et 478 traversent la commune[Carte 1].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Sent Nicolâ das Bis en francoprovençal. L'arpitan est la langue traditionnelle dans cette commune de l'Est de la Montagne bourbonnaise.

Histoire[modifier | modifier le code]

L'origine de la commune semble remonter au XIe siècle, lorsqu'un oratoire dédié à saint Nicolas fut édifié par Nicolas d'Albiez sur le plateau de Muzy, à plus de 1 000 m d'altitude. Bien que le lieu fût particulièrement rude et pauvre, la population se fixa peu à peu autour de cet édifice qui évolua en chapelle et c'est au cours du XIIIe siècle que fut créée la paroisse.

En 1662 des verriers originaires de Lorraine vinrent s'y installer. Ils trouvèrent ici en Montagne bourbonnaise le sable, l'eau et la fougère (la cendre de fougère fournit le sel de potassium qui entre dans la composition du verre) indispensables à la fabrication du verre ; l'argile nécessaire à la construction des fours y était également présente. Pendant 120 ans, ils s'adonnèrent à leur art, aidés par une importante main-d'œuvre locale et vénitienne. La gobelèterie produite en grande quantité était vendue à des colporteurs qui parcouraient la campagne afin d'écouler leur marchandise. Cette tradition verrière est présentée au musée du Verrier, où est reconstitué un four de taille identique à ceux utilisés au XVIIe siècle ; des pièces archéologiques, un musée du verre et des vidéos offrent aux visiteurs l'occasion de retrouver cette histoire locale ainsi que des informations relatives à la fabrication du verre en Montagne bourbonnaise. Dans les années 1930 de nombreux sites verriers furent découverts et fouillés par un médecin vichyssois, le docteur Léon Chabrol. Au cours des années 1990, Pierre-Yves Blettery décida de créer un musée retraçant cette histoire. Actuellement quelques bénévoles animent cet intéressant musée ouvert en juillet et août les après-midi, et le reste de l'année sur rendez-vous.

Si la fabrique du verre se fit toujours autour du village historique situé sur le plateau de Muzy, la rudesse du climat du lieu fit que très vite les maitres-verriers fixèrent leurs habitations un peu plus bas, à environ 2 km, en un endroit beaucoup moins rude et plus abrité des vents. Peu à peu une partie de la population fit de même et une nouvelle église fut édifiée dans ce qui allait devenir l'actuel bourg de la commune.

C'est Cassini, le célèbre géographe de Louis XV, qui fixa le nom de la paroisse : Saint-Nicolas-des-Biefs. Un bief étant une dérivation artificielle d'un cours d'eau, ce n'est pas là qu'il faut aller chercher l'origine du nom. Sans doute, n'est-il en fait que la transcription en français de Saint Nicolas d'Albiez prononcé en patois local.

Son isolement relatif et ses accès particulièrement difficiles à l'époque firent que, lors de la Révolution française, Saint-Nicolas fut la seule commune du département de l'Allier dont le nom était celui d'un saint à ne pas en changer. Elle fut d'ailleurs un refuge pour de nombreux prêtres réfractaires de la région qui purent y exercer leur ministère avec le soutien de toute la population durant les années de la Terreur et de la Convention.

La promulgation et l'application de la loi de séparation de l'Église et de l'État au début du XXe siècle furent la cause de quelques scènes dignes de la filmographie d'un Don Camillo.

Comme beaucoup de communes rurales, Saint-Nicolas-des-Biefs a payé un tribut particulièrement lourd lors de la Première Guerre mondiale : 55 hommes, soit près de 11 % de la population masculine totale mais dans la tranche d'âge de 18 à 40 ans, sont morts au front, sans compter tous ceux qui revinrent gravement blessés, amputés ou handicapés à vie.

Les 1 050 habitants de 1910 n'étaient plus que 800 en 1930, et 350 en 1965. L'exode rural a envoyé, en deux vagues principales (1920 / 1935 et 1955 / 1970), principalement vers les agglomérations de Roanne et de Vichy, une main-d'œuvre abondante et peu qualifiée, mais courageuse, fiable et dure à la tâche.

Les descendants de ces émigrés de proximité ont gardé un attachement très fort au pays et y ont conservé et entretenu les maisons de famille. Saint-Nicolas-des-Biefs se trouve être, de ce fait, la commune de la région Auvergne qui compte le plus de résidences secondaires pour une résidence principale (en 2011, 56 % pour 26,5 %)[13]. C'est pourquoi, en période estivale, sa population est facilement multipliée par trois ou quatre.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

Saint-Nicolas-des-Biefs appartenait au canton du Mayet-de-Montagne de 1801[14] à 2015. À la suite du redécoupage des cantons du département, la commune est rattachée au canton de Lapalisse[15].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
Jean-Michel Blettery SE Agrégé de l'Université. Proviseur de lycée
[Note 2] En cours
(au 8 juillet 2020)
Jacques Blettery[17] DVD Cadre supérieur
Président de l'ancienne communauté de communes de la Montagne bourbonnaise

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Saint-Nicolavois et les Saint-Nicolavoises[18].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[20].

En 2021, la commune comptait 162 habitants[Note 3], en diminution de 8,99 % par rapport à 2015 (Allier : −1,97 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0631 1488371 1391 2221 1061 4241 4061 050
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0149741 0009901 0731 0501 0561 0361 002
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 001988992901837764717650501
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
405333226168145160176181176
2018 2021 - - - - - - -
168162-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Saint-Nicolas-des-Biefs dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Il n'existe aucune école.

Hors dérogations à la carte scolaire, les collégiens se rendent au Mayet-de-Montagne[22] et les lycéens à Cusset, au lycée Albert-Londres[23].

Économie[modifier | modifier le code]

Un parc éolien de sept éoliennes a été installé sur la commune le long du chemin de la Pierre charbonnière.

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Langue régionale[modifier | modifier le code]

Saint-Nicolas-des-Biefs (Chant Nicolaz das Bis dans le parler local) est une des quelques communes du département de l'Allier à faire partie de l'aire linguistique du francoprovençal (arpitan). Cette aire linguistique comprend aussi dans le Bourbonnais les communes de Saint-Pierre-Laval, Laprugne, La Chabanne et Lavoine[24].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Nicolas de Saint-Nicolas-des-Biefs en pierre du pays, début XIXe.
  • Musée du Verrier.
  • Plateau de La Verrerie, avec la grande tourbière et la table d'orientation du Roc du Vacher (vue sur la chaine des Alpes).
  • La Pierre Châtel[Note 4] (vue sur les Monts d'Auvergne) et l'allée des Géants (ces hêtres pluriséculaires qui s'alignent le long d'un sentier doivent leur allure tortueuse à la taille traditionnelle en têtard, qui entrelace les branches supérieures). Cet ensemble est reconnu comme « espace naturel sensible ».
  • Rocher des Hauterêts.
  • Col de la Rivière Noire (994 m).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Léon Chabrol, médecin et archéologue qui redécouvre dans les années 1930 le site de La Verrerie à Saint-Nicolas-des-Biefs, où il a fouillé 18 fours de verriers.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

Parti : au 1er d’argent au bonnet phrygien de gueules, au 2e de sinople à la rose d’argent boutonnée et barbée de gueules ; à la crosse d’or posée en pal sur la partition ; au chef de gueules chargé de trois sabots d’or.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Réélu en 2014[16] et en 2020.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Le site comprend un rocher d'escalade.
  • Cartes
  1. a et b Carte de Saint-Nicolas-des-Biefs sur Géoportail.
  2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Station Météo-France « Saint-Nicolas » - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  4. « Station Météo-France « Saint-Nicolas » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  6. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Commune urbaine-définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  8. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  12. « PLUI Montagne Bourbonnaise », sur vichy-communaute.fr, Communauté d'agglomération Vichy Communauté (consulté le ).
  13. Dossier complet de la commune, Insee, données 2011
  14. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  15. Décret no 2014-265 du 27 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de l'Allier.
  16. « Jacques Blettery réélu maire », La Montagne,‎ , p. 19 (édition de Vichy).
  17. « Liste nominative des communes de l'Allier » [PDF], sur maires-allier.fr, Association des maires et présidents d'intercommunalité de l'Allier, (consulté le ).
  18. « Saint-Nicolas-des-Biefs (03250) », sur habitants.fr, SARL Patagos (consulté le ).
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. Direction des services départementaux de l'Éducation nationale de l'Allier, « Sectorisation des collèges du département de l'Allier » [PDF], (consulté le ).
  23. Direction des services départementaux de l'Éducation nationale de l'Allier, « Sectorisation des lycées du département de l'Allier » [PDF], Académie de Clermont-Ferrand, (consulté le ).
  24. « Atlas sonore des langues régionales de France », sur le site officiel de l'Atlas sonore des langues régionales de France, Paris, CNRS, .