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DeutschPrésidence d'Albert Lebrun — Wikipédia
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Président de la République française
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| Type | Président de la République française |
|---|---|
| Résidence officielle | Palais de l'Élysée, Paris |
| Système électoral | Scrutin indirect |
|---|---|
| Élection | 1932 1939 |
| Début du mandat | |
| Fin du mandat | (Installation du régime de Vichy) |
| Durée | 8 ans, 2 mois et 1 jour |
| Nom | Albert Lebrun |
|---|---|
| Date de naissance | |
| Date de décès | |
| Appartenance politique | Alliance démocratique |
| Voir aussi | Politique en France |
|---|
La présidence d'Albert Lebrun en tant que 15e président de la République française dure du au .
Présidence[modifier | modifier le code]
Activité politique[modifier | modifier le code]
Il est élu président de la République le . Il intervient très peu dans la conduite des affaires gouvernementales, à l'exception du rappel de Gaston Doumergue en et du choix de Léon Blum en .
Son septennat est marqué par une forte instabilité ministérielle : 17 présidents du conseil se succèdent en huit ans.
Il effectue plusieurs voyages diplomatiques, en Yougoslavie (17-), en Belgique (), au Royaume-Uni (27- et 24-), et au Grand Duché du Luxembourg ().
Évènements[modifier | modifier le code]
Après la crise du 6 février 1934, Lebrun rappelle à la tête du gouvernement Gaston Doumergue, ancien président de la République, qui forme un gouvernement d’Union nationale.
Son mandat est marqué par la victoire du Front populaire aux élections législatives en . Léon Blum devient président du Conseil à partir du mois de juin et dirige le premier gouvernement à dominante socialiste de la IIIe République
Sous ce gouvernement sont adoptées des mesures à caractère social (salaires, droit syndical, conventions collectives, temps de travail et congés payés).
Lebrun est réélu le .
Seconde guerre mondiale[modifier | modifier le code]
Albert Lebrun est président lorsque la France déclare la guerre à l'Allemagne. Le , Lebrun désigne Philippe Pétain président du conseil, après la démission de Paul Reynaud, hostile à l’armistice. Il se replie avec le gouvernement à Tours (lui-même résidant au château de Cangé), Bordeaux puis Vichy.
Sans démissionner, Lebrun laisse le pouvoir à Pétain le . Il part pour Vizille.
Source[modifier | modifier le code]
- « Albert Lebrun, 1932-1940 », sur elysee.fr
