Pointe-Fortune — Wikipédia

Pointe-Fortune
Pointe-Fortune
Église de Pointe-Fortune.
Blason de Pointe-Fortune
Administration
Pays Drapeau du Canada Canada
Province Drapeau du Québec Québec
Région Montérégie
Subdivision régionale Vaudreuil-Soulanges
Statut municipal Municipalité
Maire
Mandat
François Bélanger
2021-2025
Code postal J0P 1N0
Constitution
Démographie
Gentilé Pointe-Fortunais, e
Population 582 hab. ()
Densité 61 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 34′ 00″ nord, 74° 23′ 00″ ouest
Superficie 960 ha = 9,6 km2
Divers
Fuseau horaire Est (UTC-5)
Indicatif +1 450 451
Code géographique 2471140
Localisation
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Pointe-Fortune
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Pointe-Fortune
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Pointe-Fortune
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Pointe-Fortune, est une municipalité située dans Vaudreuil-Soulanges au Québec (Canada). Ce village se trouve à l'extrémité nord-ouest du Suroît dans la région administrative de la Montérégie, jouxtant la frontière avec l'Ontario. La municipalité fait d'ailleurs partie d'une agglomération transfrontalière, alors qu'une partie du village est situé du côté ontarien.

Jadis habité ou visité par les Amérindiens, les coureurs des bois, les pêcheurs, draveurs, cageux, constructeurs de barrages, vacanciers et agriculteurs, le village de Pointe-Fortune est un endroit paisible où la nature attire pêcheurs et visiteurs.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le lieu est autrefois dénommé Petites-Écorces ou Petit-Carillon, en raison de sa proximité avec Carillon[1],[2].

Le lieu tire son nom de la pointe géographique s'avançant dans la rivière des Outaouais. Le patronyme Fortune rappelle soit William Fortune, propriétaire foncier du canton de Chatham, ou encore Joseph Fortune, milicien et ancien arpenteur[2].

Le bureau de poste adopte la dénomination Point Fortune à son ouverture en 1851, mais adopte la forme francisée en 1954[2].

Géographie[modifier | modifier le code]

Pointe-Fortune est situé sur la rive droite de la rivière des Outaouais à la hauteur du lac des Deux Montagnes. La localité est limitrophe de la frontière ontarienne, près du barrage hydroélectrique Carillon. Le village se trouve à 65 km à l'ouest de Montréal Son territoire est borné à l'ouest par le canton de Hawkesbury Est (hameau de Pointe-Fortune (Ontario)) dans les comtés unis de Prescott et Russell, au nord par la baie de Rigaud, à l’est par le hameau de La Baie, au sud par les terres du rang Saint-Thomas de Rigaud. Sur la rive opposée du lac des Deux Montganes se trouve la municipalité de Saint-André-d'Argenteuil dans la MRC d'Argenteuil (région des Laurentides[3]. La superficie totale de la municipalité est de 9,50 km2, entièrement terrestres[4].

Pointe-Fortune se trouve dans les basses-terres du Saint-Laurent et son relief est plat. L'altitude est de 24 m sur la rive du lac des Deux Montagnes et s'élève jusqu'à 48 m à l'extrémité sud-est du territoire. Les faibles niveaux du sol créent plusieurs milieux humides à l'intérieur des terres[5] Le sol de Pointe-Fortune se compose dans la partie est d'un secteur datant du Cambrien composé de grès, conglomérat, calcaire et dolomie (grès de Potsdam, formations de Brador et de Forteau) et, dans sa partie ouest, d'une aire de dolomie et grès de l'Ordovicien inférieur (groupe de Beekmantown et formation de Romaine)[6],[7].

Municipalités limitrophes[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

L'occupation du territoire se divise en trois secteurs habités : le noyau villageois à l’ouest, le Bout-du-Bois-Dansant au centre et le secteur Olivier-Guimond à l'est. La quasi-totalité des logements sont des maisons individuelles non attenantes et sont presque entièrement habités par des occupants permanents[8].

L'autoroute Félix-Leclerc (A-40) traverse le sud du territoire de la municipalité. La localité est desservie par l'échangeur 1, à cheval sur la frontière interprovinciale[9]. L'autoroute présente un élargissement du terre-plein permettant l'aménagement d'un échangeur avec l'autoroute 9, projet maintenant annulé. La route 342, auparavant route 17, est l'ancienne route reliant Montréal et Ottawa. Le chemin des Outaouais, parallèle à la rivière homonyme, permet d'atteindre les zones habitées de la municipalité. Les autres collectrices comprennent les montées la Grande, Janseen et Wilson[10]. La traverse Pointe-Fortune-Carillon permet de traverser la rivière des Outaouais vers Saint-André-d'Argenteuil. La société Transport Soleil assure le service de transport adapté. Le pipeline d'Enbridge traverse la rivière des Outaouais de même que le territoire de Pointe-Fortune suivant un axe nord-est / sud-ouest[11].

Le périmètre d'urbanisation de Pointe-Fortune couvre toute la partie de la municipalité qui longe la rivière des Outaouais. Il couvre 241 ha, dont 56 ha qui sont occupés. La superficie qui pourrait être développée (185 ha) est bien au-delà des besoins de développement urbain. Cette superficie n'est toutefois pas desservie par les infrastructures urbaines. L'intérieur est entièrement compris dans la zone agricole permanente[12].

Histoire[modifier | modifier le code]

Les Algonquins vivent dans la région sur les rives de l'Outaouais mais quittent l'endroit avant l'arrivée des Européens. La rivière des Outaouais est explorée par Samuel de Champlain au début du XVIIe siècle. La seigneurie de Rigaud est concédée en 1732, celle-ci comprenant le territoire actuel de Pointe-Fortune[13]. Vers 1750, ceux-ci exploitent à Pointe-Fortune un poste de traite de fourrures[2]. Le territoire de Pointe-Fortune est alors fréquenté par les coureurs des bois, les pêcheurs, draveurs, cageux. Vers 1797, environ vingt-cinq terres sont distribuées.

L'origine du nom de la municipalité n'est pas établie avec certitude. Certains attribuent le toponyme au colonel William Fortune, qui, à la fin du XVIIIe siècle, reçoit en concession une terre dans le canton de Chatham, sur l'autre rive de la rivière des Outaouais. D'autres avancent que le nom de la municipalité honore Joseph Fortune, milicien du début du XIXe siècle et arpenteur, qui aurait arpenté les premières terres[2]. Certains parlent des frères William et Joseph Fortune, comme premiers habitants de l'endroit[14]. La municipalité parle plutôt de Joseph comme du fils de William[15].L'endroit a déjà porté les noms de Petites-Écorces et de Petit-Carillon[2].

Jacob Schagel, hôtelier de Carillon (localité maintenant dans la municipalité de Saint-André-d'Argenteuil), met en service en 1833 un chaland muni de longues rames pour traverser la rivière des Outaouais vers Pointe-Fortune[14]. En 1851, le bureau de poste, sous le nom anglais de Point Fortune est implanté[2]. En 1855, le territoire de la seigneurie de Rigaud, à l'exception de Sainte-Marthe mais incluant Pointe-Fortune, devient la municipalité de paroisse de Sainte-Madeleine de Rigaud. La localité de Pointe-Fortune est érigée en municipalité en 1880[4], le détachement de Rigaud étant demandé par les habitants de Pointe-Fortune alors majoritairement anglophones. Le premier maire est John William Crosby[16]. En 1904, la paroisse de Saint-François-Xavier-de-Pointe-Fortune est érigée[2].

Le barrage de Carillon est aménagé dans les années 1960. L'inondation printanière de 2017 déferle sur un grand nombre d'habitations de Pointe-Fortune[17], amenant l'état d'urgence et l'évacuation des citoyens et commerçants situés au nord du chemin des Outaouais[18].

Le , la municipalité du village de Pointe-Fortune change son statut pour celui de municipalité[19].

Administration[modifier | modifier le code]

Les élections municipales ont lieu tous les quatre ans et s'effectuent en bloc sans division territoriale. Le conseil municipal est composé d'un maire et de six conseillers. Le maire est François Bélanger[4], qui succède à Jean-Pierre Daoust au début de 2017[17]. L'administration municipale compte divers comités dont le comité consultatif en urbanisme, le comité de toponymie et le comité des loisirs. La communauté locale peut également faire ses représentations par le Comité de citoyens[20]. Les objectifs de ce comité sont, d'une part, de favoriser la protection de l'environnement et le patrimoine écologique et, d'autre part, de sauvegarder le caractère champêtre du village[21].

Pointe-Fortune
Maires depuis 2001
Élection Maire Qualité Résultat
2001 Normand Chevrier Voir
2005 Davio Doughty Voir
2009 Jean-Pierre Daoust Démissionne en Voir
2013 Voir
janv. 2017 François Bélanger Maire par intérim (janv. à nov. 2017) Voir
2017 Voir
2021 Voir
Élection partielle en italique
Depuis 2005, les élections sont simultanées dans toutes les municipalités québécoises
Composition du conseil municipal[4],[22]
2005-2009 2009-2013 2013-2017
Maire Davio Doughty Jean-Pierre Daoust Jean-Pierre Daoust*
François Bélanger**
Conseillers Lorraine Auerbach Chevrier
François Bélanger**
Robert Clément
Hélène Cousineau-Pilon
Berthe D'Amour-Lacelle*
Georges Macdonald
Michel Séguin
Lorraine Auerbach Chevrier
François Bélanger
Christiane Berniquez
Hélène Cousineau-Pilon
Gilles Deschamps
Jean Roy
François Bélanger*
Christiane Berniquez
Hélène Cousineau-Pilon
Alain Déry
Gilles Deschamps
Jean Roy

* Élu à l'élection générale au début du terme mais non jusqu'à la fin du terme. ** Élu à une élection partielle durant le terme.

Du point de vue régional, Pointe-Fortune fait partie de la municipalité régionale de comté (MRC) de Vaudreuil-Soulanges. À l'instar des municipalités voisines (Rigaud, Très-Saint-Rédempteur, Sainte-Marthe), Pointe-Fortune ne fait pas partie de la Communauté métropolitaine de Montréal[23]. Du point de vue géoéconomique, Pointe-Fortune ne fait pas partie non plus de la région métropolitaine de Montréal définie par Statistique Canada[24].

Pointe-Fortune fait partie de la circonscription électorale de Soulanges à l'Assemblée nationale du Québec[25]. Au Parlement fédéral, Pointe-Fortune est représenté par le député de Vaudreuil-Soulanges[26]. Au Sénat du Canada, Rigaud fait partie de la division sénatoriale de Rigaud.

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique
1991 1996 2001 2006 2011 2016
400413457507542580

Au recensement de 2016, la population de Pointe-Fortune s'élève à 580 habitants[8], appelés Pointe-Fortunais[29]. La population connaît une hausse de 38 personnes (en augmentation7,0 %) entre 2011 et 2016. La densité brute de la population est de 70,2 habitants/km2 pour l'ensemble de la municipalité. Le parc résidentiel s'élève à 285 logements privés, dont 255 sont occupés par des résidents habituels[30]. La population locale connaît une croissance modérée à long terme[8].

Langue parlée à la maison[8],[31]
Langue 1996 2001 2006 2011 2016
Drapeau du Québec Français 90,0 % 86,8 % 75,5 % 82,4 % .
Drapeau du Royaume-Uni Anglais 10,0 % 8,8 % 24,5 % 17,6 % .
Autres - 4,4 % - - .

Population, 1986-2016[8],[32]

La population de Pointe-Fortune est âgée, avec une moyenne d'âge de 44,3 ans, soit davantage que la moyenne québécoise (41,9 ans). La tranche d'âge la plus nombreuse correspond aux 55-64 ans. Au cours des vingt dernières années, ce groupe a connu une hausse importante alors que le nombre de jeunes familles a diminué. Les ménages se composent d'un grand nombre de personnes vivant seules, soit près du tiers, alors que les familles sont relativement moins nombreuses. Le nombre moyen de personnes résultant est donc faible, soit 2,27[8],[33].

Groupes d'âge, Pointe-Fortune et Vaudreuil-Soulanges[8],[33]
Groupe d'âge Pointe-Fortune Vaudreuil-
Soulanges
2016
1996 2016 Variation
1996-2016
Nb % Nb % Nb
0-14 ans 95 21 % 75 13 % en diminution20 20 %
15-24 ans 35 8 % 70 12 % en augmentation35 11 %
25-44 ans 130 29 % 110 19 % en diminution20 25 %
45-64 ans 120 27 % 220 38 % en augmentation100 30 %
65-84 ans 65 15 % 95 17 % en augmentation30 13 %
85 ans et plus - - % 5 1 % ... 1 %
Total 450 100 % 580 100 % en augmentation130 100 %
Âge moyen . 40,1 ... 39,4
Typologie des ménages, 2016[8]
Type de ménage Ménages
Nombre %
Personnes seules 80 31 %
Ménages en cooccupation 10 4 %
Couples sans enfants 85 33 %
Familles biparentales 55 22 %
Familles monoparentales 25 10 %
Total 255 100 %
Appartenance à un ménage Personnes
Nombre %
Personnes/ménage 2,27 ...
Personnes dans les ménages 580 100 %
Personnes hors ménage - -
Population totale 580 100 %

Économie[modifier | modifier le code]

L'économie de Pointe-Fortune s'appuie principalement sur le tourisme et l'agriculture. Pointe-Fortune compte différentes exploitations agricoles, notamment en culture de petits fruits (ferme Gemma[34]) et en apiculture. La cire d'abeille est utilisée dans la fabrication du savon de Chez nous de Vaudreuil-Soulanges à Sainte-Marthe.

Pointe-Fortune garde son caractère champêtre et continue de développer sa vocation récréotouristique. La marina de pêche[35], la location de kayaks et le sentier du ruisseau à Charette et de la baie Brazeau demeurent populaires. Par ailleurs, un café et un restaurant offrent des en-cas et des repas jumelant nourriture saine et saveur.

L'agriculture occupe une place importante à Pointe-Fortune. On y retrouve plusieurs fermes. La Ferme de Pointe-Fortune inc[36]. se spécialise dans la production de sanglier, bœuf highland et volaille. La Ferme Les Petites Écores[37] se spécialise en agrotourisme ainsi que dans la production apicole et d'argousier. Les Jardins Les Petites Écores se spécialise dans la production de légumes.

Éducation[modifier | modifier le code]

La Commission scolaire des Trois-Lacs administre les écoles francophones[38].

La Commission scolaire Lester-B.-Pearson administre les écoles anglophones: L'École primaire Soulanges à Saint-Télesphore et l'École primaire Evergreen et l'École primaire Forest Hill (pavillons junior et senior) à Saint-Lazare servent a la ville[40].

Culture[modifier | modifier le code]

Parmi les histoires régionales, on répertorie Le loup-garou de Pointe-Fortune[41]. La Galerie d'art Rita Iriarte expose plusieurs artistes visuels[42].

Société[modifier | modifier le code]

Peu d'organismes communautaires s'adressent exclusivement à la population de Pointe-Fortune, hormis le Club de l'âge d'or de Pointe-Fortune[20]. Le code postal de la municipalité est J0P 1N0. Olivier Guimond, père (1893-1914), comédien et humoriste, possède un chalet à Pointe-Fortune et y séjourne tous les étés avec ses enfants, dont Olivier Guimond (1914-1971), également comédien et humoriste. Une rue de Pointe-Fortune rappelle leur mémoire[43].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Réseau du patrimoine franco-ontarien, « Ressources patrimoniales : Pointe-Fortune », 39 (consulté le ).
  2. a b c d e f g et h Commission de toponymie du Québec, « Pointe-Fortune (Municipalité de village) », Banque des noms de lieux du Québec, Gouvernement du Québec, no 50159,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. a. Statistique Canada, Profil du recensement : Carte : Pointe-Fortune (VL) (Subdivision de recensement), Québec, Ottawa, Gouvernement du Canada, (lire en ligne), carte.
    b. Statistique Canada, Subdivision de recensement 2471125 : Pointe-Fortune, VL, Ottawa, Gouvernement du Canada, (lire en ligne), carte.
  4. a b c et d Ministère des Affaires municipales et de l'Habitation, « Pointe-Fortune », Répertoire des municipalités, Gouvernement du Québec,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. Gouvernement du Canada, « L'Atlas du Canada - Toporama », Ressources Naturelles Canada (consulté le ), carte 1/15 000.
  6. Conférence régionale des élus de la Vallée-du-Haut-Saint-Laurent, Plan régional de développement intégré des ressources naturelles et du territoire (PRDIRT) : : Portrait de la forêt précoloniale de la Vallée-du-Haut-Saint-Laurent, Salaberry-de-Valleyfield, (lire en ligne), p. 6.
  7. Jean-François Grenier, Michel Malo, Denis Lvoie et Bernard Long, Caractérisation pétrographique et pétrophysique du Groupe de Potsdam dans le forage A203, Basses-Terres du Saint-Laurent, Institut national de la recherche scientifique, , 1 p. (lire en ligne).
  8. a b c d e f g et h a. Statistique Canada, Recensement de la population de 1996, Profil des divisions et subdivisions de recensement : Pointe-Fortune VL, produit 95F0181XDB96001 au catalogue de Statistique Canada. Consulté le .
    b. Statistique Canada. 2002. Profils des communautés de 2001. Pointe-Fortune (Code 2471140), Ottawa. No  93F0053XIF au catalogue de Statistique Canada. Diffusé le ; modifié le . Consulté le .
    c. Statistique Canada. 2007. Profils des communautés de 2006, Recensement de 2006 Pointe-Fortune (Code 2471140) (tableau)., produit no 92-591-XWF au catalogue de Statistique Canada. Ottawa. Diffusé le . Consulté le .
    d. Statistique Canada. Pointe-Fortune, Québec (Code 2471140) (tableau). Profil du recensement, produit no 98-316-XWF au catalogue de Statistique Canada. Ottawa. 2011, diffusé le . Consulté le .
    e. Statistique Canada. 2017. Pointe-Fortune, VL (Subdivision de recensement 2471140) (tableau). Profil du recensement, Recensement de 2016, produit no 98-316-X2016001 au catalogue de Statistique Canada. Ottawa. Diffusé le 3 mai 2017. (site consulté le 25 juillet 2017).
  9. Ministère des Transports du Québec, La carte routière officielle du Québec : Montérégie (Ouest), Québec, Gouvernement du Québec, (lire en ligne), carte.
  10. « Pointe-Fortune, qc », sur Google maps (consulté le ).
  11. MRC de Vaudreuil-Soulanges, 2004, p. 18.
  12. MRC de Vaudreuil-Soulanges, 2004, p. 33-34, 51.
  13. Centre d'histoire La Presqu'Île, « Seigneurie de Rigaud », (consulté le ).
  14. a et b Traversier Le Passeur
  15. Municipalité de village de Pointe-Fortune : Découvrez Pointe-Fortune : Historique, consulté le 27 décembre 2012.
  16. Lorraine Auerbach Chevrier et Raymond Séguin, Histoires de Rigaud en histoires, Rigaud, Cercle d'histoire de Rigaud, , 515 p. (ISBN 978-2-9810759-0-1), p. 15
  17. a et b Annie Carrier, « Dossier inondations : Pointe-Fortune sous haute surveillance », Néomédia,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. Municipalité de Pointe-Fortune, Ordonnance d'évacuation, Pointe-Fortune, , 1 p. (lire en ligne).
  19. Institut de la statistique du Québec, « Modifications aux municipalités », Modifications aux municipalités du Québec,‎ , p. 3 (lire en ligne)
  20. a et b Municipalité de Pointe-Fortune, « Liste des Organismes » (consulté le )
  21. « Comité des citoyens de Pointe-Fortune », 471, sur Réseau québécois des groupes écologistes (consulté le )
  22. a. Ministère des Affaires municipales et de l'Habitation du Québec, « Archives des résultats des élections municipales 2005 : Pointe-Fortune (VL) »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), (consulté le ).
    b. Ministère des Affaires municipales et de l'Habitation, « Pointe-Fortune », Démocratie municipale : Archives des résultats des élections municipales, Gouvernement du Québec, no 71140,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    c. Gouvernement du Québec, « Élections municipales 2013, Candidatures et résultats pour Pointe-Fortune »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), 711140, Ministère des Affaires municipales et de l'Habitation du Québec, (consulté le ).
  23. CMM : liste des municipalités « Copie archivée » (version du sur Internet Archive)
  24. Statistique Canada : RMR de Montréal 2011.
  25. Commission de la représentation électorale du Québec, « La carte électorale du Québec : Les 125 circonscriptions électorales 2011 », Directeur général des élections du Québec (consulté le ).
  26. Élections Canada, « Vaudreuil-Soulanges » (consulté le ), carte.
  27. « Statistique Canada - Profils des communautés de 2006 - Pointe-Fortune, VL » (consulté le )
  28. « Statistique Canada - Profils des communautés de 2016 - Pointe-Fortune, VL » (consulté le )
  29. Office québécois de la langue française, « Toponymes québécois commençant par P », Banque de dépannage linguistique, Gouvernement du Québec, no 1839,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. Les logements non occupés par des résidents habituels sont soit des logements inoccupés, soit des habitations servant de résidences secondaires et occupées sur une base saisonnière ou intermittente.
  31. Les données de 2001 indiquent plutôt la langue maternelle encore comprise, ce qui diffère légèrement de la langue parlée à la maison.
  32. MRC de Vaudreuil-Soulanges, « Schéma d'aménagement révisé », (consulté le ).
  33. a et b Statistique Canada. 2017. Profil du recensement, Recensement de 2016, produit no 98-316-X2016001 au catalogue de Statistique Canada. Vaudreuil-Soulanges, MRC (Division de recensement) et Montréal (Région métropolitaine de recensement) (tableau). Ottawa. Diffusé le 3 mai 2017. Consulté le 24 juillet 2017.
  34. Marché champêtre de Rigaud, « L'air du marché », 2,1, Municipalité de Rigaud, (consulté le ).
  35. Tourisme Suroît, « Centre de pêche Pointe-Fortune »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  36. « Ferme Pointe-Fortune », sur « http://www.fermepointefortune.ca/ »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le )
  37. « Ferme Les Petites Écores », sur www.fermelpe.com
  38. « Les écoles et les centres », Commission scolaire des Trois-Lacs (consulté le )
  39. "Liste des bassins desservis par les écoles en 2017-2018." Commission Scolaire des Trois-Lacs. Consulté le 20 septembre 2017.
  40. "Carte Scolaire." Commission scolaire Lester-B.-Pearson. Consulté le 28 septembre 2017.
  41. Le légendaire du Haut-Saint-Laurent, Robert Payant, 2e édition, 204 pages.
  42. Municipalité de Pointe-Fortune, « Attractions et commerces » (consulté le ).
  43. Gouvernement du Québec, « Rue Olivier-Guimond », 364498, sur Commission de toponymie du Québec, (consulté le ) et Gouvernement du Québec, « Édifice Olivier-Guimond », 410283, sur Commission de toponymie du Québec, (consulté le )

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Lorraine Auerbach-Chevrier, Pointe-Fortune, Au fil du temps, Pointe-Fortune, Auteur, , 568 p. (ISBN 978-2-9808577-0-6)

Liens externes[modifier | modifier le code]