Braine (Aisne) — Wikipédia

Braine
Braine (Aisne)
La place de l'Hôtel-de-Ville.
Au fond, la maison à colombages classée.
Blason de Braine
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Soissons
Intercommunalité Communauté de communes du Val de l'Aisne
Maire
Mandat
François Rampelberg
2020-2026
Code postal 02220
Code commune 02110
Démographie
Gentilé Brainois
Population
municipale
2 237 hab. (2021 en diminution de 0,53 % par rapport à 2015)
Densité 193 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 20′ 30″ nord, 3° 31′ 55″ est
Altitude Min. 48 m
Max. 169 m
Superficie 11,61 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Fère-en-Tardenois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Braine
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Braine
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Braine
Liens
Site web braine.fr

Braine est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Située sur la Vesle, affluent de la rive gauche de l'Aisne, Braine se situe à une quinzaine de kilomètres à l'est de Soissons.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap.
Carte topographique.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]


Voici ci-dessous une carte représentant le découpage territorial des communes limitrophes :

Carte des communes limitrophes
Cliquez sur la carte pour l'agrandir.

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

  • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,6 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 674 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,2 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1988 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records BRAINE (02) - alt : 61 m 49° 21′ 00″ N, 3° 31′ 36″ E
Statistiques établies sur la période 1988-2010 - Records établis sur la période du 01-08-1988 au 09-09-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,1 1,3 3,1 4,4 8,2 10,7 12,8 12,6 9,8 7,5 3,8 1,5 6,4
Température moyenne (°C) 3,8 4,7 7,7 9,8 13,9 16,5 19 18,8 15,3 11,7 6,9 4,1 11,1
Température maximale moyenne (°C) 6,5 8,1 12,2 15,3 19,6 22,4 25,1 25 20,7 16 10 6,6 15,7
Record de froid (°C)
date du record
−15,7
01.01.1997
−15,3
04.02.12
−10,7
13.03.13
−5
08.04.03
−1,8
05.05.1996
0,5
04.06.1991
4,4
03.07.11
3,2
29.08.1993
−0,7
30.09.18
−5,3
30.10.1997
−12,6
24.11.1998
−12,3
29.12.1996
−15,7
1997
Record de chaleur (°C)
date du record
16,3
05.01.1999
20,2
27.02.19
25
31.03.21
29,1
25.04.07
32,5
28.05.17
36,6
28.06.11
42,1
25.07.19
40,2
12.08.03
35
09.09.23
28,9
03.10.11
21,3
07.11.15
17,1
17.12.15
42,1
2019
Précipitations (mm) 57,1 47,5 52,1 51,7 56,5 54,4 61,6 65,1 47,4 56,9 54,7 70,4 675,4
Source : « Fiche 02110002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Braine est une commune rurale[Note 4],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9].

Elle appartient à l'unité urbaine de Braine, une unité urbaine monocommunale[10] de 2 213 habitants en 2017, constituant une ville isolée[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (58,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,3 %), forêts (29,4 %), zones urbanisées (12,6 %), prairies (9,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,2 %)[15].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Brennacum (560) ; Brinnacum (578) ; « Castrum super Vidulam situm nomine Braina » (931) ; Potestas Brennie (1143) ; Ecclesia beati Evodii de Brana (1163) ; Brenna (XIIe siècle) ; Castrum quod Branium (XIIe siècle) ; Breina (XIIIe siècle) ; Brainne (1238) ; Brena (1296) ; Terre de Brenne (1319) ; Brayne (1354)[16].

Braine est le nom de plusieurs lieux (du mot celtique bragona signifiant « rivière fangeuse »).

La commune, instituée lors de la Révolution française sous le nom de Braisne en 1793 a pris son orthographe actuelle de Braine en 1913[17],[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

Braine existait avant 561, car c'était la cour (Königspfalz ; palatinat royal) préférée de Clotaire Ier[19]. La découverte d'un cimetière à Breny utilisé entre le Bas-Empire et le VIIIe siècle pourrait montrer que Braine n'est pas le lieu de la villa Brennacum[20].

Dagobert, fils du roi Chilpéric Ier et de Frédégonde, mort à Braine en 580 de dysenterie, fut enterré dans l'église Saint-Denis de Paris[21].

Flodoard rapporte qu'en 931, des fidèles d'Herbert de Vermandois partit de Reims, prirent d'assaut le château de Braine (castrum) et le détruisirent car il était occupé par des hommes d'Hugues le Grand, qui l'avait pris auparavant à l'évêque de Rouen.

Un château est mentionné dès le Xe siècle et s'élève sur un site très ancien[Note 5][22]. Au XIe siècle, un comté de Braine est constitué et relève du comté de Champagne. Au milieu du XIIe siècle, le comté de Braine échoit à la maison de Dreux, issue d'une branche cadette de la famille royale[23].

Au début du XIIIe siècle, Robert II de Dreux, comte de Braine reconstruit un château ; château de la Folie d'Aigremont aujourd'hui sur la commune de Cerseuil, qui sera démantelé en 1427 par Charles VII[22]. De plan quadrangulaire flanqué de tours rondes, il dominait la vallée de la Vesle et le bourg. Le château dans sa longueur suivait l'à-pic. Son accès face au plateau, couvert d'une profonde forêt, était protégé par un profond fossé artificiel, qui le protégeait des trois côtés[24].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

En 1647, Henri-Robert de La Marck fonde un prieuré bénédictin dédié à Notre-Dame, qu'il dote des biens de l'ancien Hôtel-Dieu de la ville et de la maladrerie Sainte-Anne. L'église priorale est consacrée en 1663[25]. Au cours de la même période, la ville de Braine comprend une église paroissiale distincte du prieuré Notre-Dame, et dédiée à Saint-Nicolas. Située dans le faubourg Saint-Rémy, et faisant peut-être suite à un ancien prieuré Saint-Rémy, celle-ci fait l'objet en 1787 de litiges quant à sa restauration devenue urgente[26]. L'église paroissiale, de même que le prieuré Notre-Dame, ne survivront pas à la Révolution française et à ses conséquences à plus long terme, et en 1837 ne restera que l'abbatiale Saint-Yved, devenue alors église paroissiale[25].

La gare[modifier | modifier le code]

Le , la Compagnie des chemins de fer des Ardennes met en service la section de Soissons à Reims de la ligne de Soissons à Givet et construit une gare à Braine[27]. La SNCF met fin au trafic des voyageurs entre Soissons et Bazoches l'année même de sa création et la portion de ligne passant par Braine ne connaît plus qu'une desserte marchandises sporadique. La gare, qui tombait en ruine, a été rénovée dans les années 2010.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Soissons du département de l'Aisne. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la cinquième circonscription de l'Aisne.

Elle était le chef-lieu du canton de Braine depuis 1793[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, Braine intègre le canton de Fère-en-Tardenois..

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la Communauté de communes du Val de l'Aisne, créée fin 1995.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
    Louis Antoine Eugène Letourneur   Conseiller général de Braisne (1833 → 1842)
avant 1874 après 1875 Lainné[28]    
Les données manquantes sont à compléter.
  1941[29] Georges Robineau Rad. Conseiller général de Braisne (1934 → 1941)
Révoqué
1953 1959 Gaston Costeaux SFIO Négociant
Les données manquantes sont à compléter.
1977 2001 Gaston Costeaux[30] SFIO Négociant
mars 2001 mars 2008 Michel Teneur DVG  
mars 2008[31] En cours
(au 11 juillet 2021)
François Rampelberg LR Conseiller départemental de Fère-en-Tardenois (2015 → )
Vice-président du conseil départemental de l'Aisne (2015 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[32],[33]

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

La qualité du fleurissement est récompensée à nouveau par deux fleurs à ce concours en 2017[35]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].

En 2021, la commune comptait 2 237 habitants[Note 6], en diminution de 0,53 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2361 4611 2421 3301 3521 4211 5741 6471 597
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5221 5811 6491 5901 5161 4921 5211 5171 560
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5401 5201 5091 6431 5631 5531 5031 2761 330
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 6001 7221 9431 9522 0902 0692 0992 1052 231
2017 2021 - - - - - - -
2 2132 237-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église abbatiale Saint-Yved.
Le château en 1911.
La maison à colombages.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Alberic (Albericus) de Braine, abbé de l’abbaye Saint-Médard de Soissons de 1204 au 3 mai 1206[47]
  • Pierre Mauclerc, duc de Bretagne, y est inhumé, ainsi que plusieurs membres de sa famille (Maison capétienne de Dreux). Cette famille laisse à la commune la moitié supérieure de son blason (Dreux).
  • Jacques de Bachimont, abbé aumônier, prédicateur et conseiller d'État du roi. « Ce qui le distinguait principalement c'était sa bonté, la douceur, son amour pour la justice, son penchant à pardonner, et sa vie exemplaire. Il avait prophétisé la théologie avec honneur ... ». Décédé le 16 mai 1531[réf. nécessaire].
  • Bernard Frézals (Saint-Pantaléon (Lot) 22 novembre 1672-Braine 14 mars 1751), écuyer, conseiller du roi, garde du corps du maréchal Louis François de Boufflers à Milly-sur-Thérain, receveur du comté de Braine, subdélégué de l'Intendant de Soissons. Il est à l'origine d'une lignée aristocratique comprenant plusieurs officiers généraux et un ambassadeur[48].
  • François de Frézals (Milly-sur-Thérain 25 octobre 1699-Toulouse 7 septembre 1741), financier, directeur des domaines de Languedoc et de la généralité de Toulouse. Fils de Bernard Frezals, élevé à Braine, il a laissé une correspondance amoureuse avec son épouse Louise de Larzillière, femme de chambre de la princesse de Condé[48].
  • Claude-Robert Jardel (né à Braine en 1722 décédé en 1788. Officier de la maison du Roi. Bibliographe et antiquaire, collectionneur de manuscrits.)[49]
  • Le comte Pignatelli d'Egmont.
  • Jacques Cellard (1920-2004), linguiste et historien.
  • Pierre Marin (1922-2014), ordonné prêtre à Soissons en 1946, a été vicaire de Braine et Augy, et curé de Cerseuil et Limé, de septembre 1947 à 1951.[réf. nécessaire]
  • Arnaud d'Hauterives (1933-2018), artiste peintre né à Braine.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Braine Blason
Coupé : au 1er mi-coupé échiqueté d'or et d'azur à la bordure de gueules (qui est de Baudement puis de Dreux), au 2e d'or au corbeau de sable[50].
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1914-1918
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
  4. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. Au XVIIe siècle, on y a déterré deux monnaies carolingiennes.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le ).
  7. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Braine », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Auguste Matton, Dictionnaire topographique de l’Aisne, Paris, (lire en ligne), p. 37.
  17. Histoire administrative de Braine (voir en ligne), sur le site geneawiki.com
  18. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Augustin Thierry 1840[réf. incomplète]
  20. Frédéric Armand, « Localisation d'un palais royal mérovingien dans l'Aisne. La villa Brennacum », dans Revue archéologique de Picardie, 2005, no 1-2, p. 101-107 (lire en ligne)
  21. Anselme de Sainte Marie (Père Anselme), Histoire généalogique et chronologique de la Maison Royale de France, 9 volumes, Paris, 1715 et années suivantes (lire en ligne), Tome 1 page 9.
  22. a et b Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 32 (cf. Braine).
  23. Denis Hayot, L'architecture fortifiée capétienne au XIIIe siècle - Un paradigme à l'échelle du royaume : Monographies Picardie, Artois, Flandre, Chagny, Édition du centre de castellologie de Bourgogne, , 568 p. (ISBN 979-10-95034-23-0), p. 12.
  24. André Châtelain, L'évolution des châteaux forts dans la France au Moyen Âge, Éditions Publitotal, , 319 p. (ASIN B004Z1ACJ4), p. 33.
  25. a b et c « Ancien prieuré bénédictin Notre-Dame de Braine, actuellement maison de retraite », sur hautsdefrance.fr (consulté le ).
  26. Histoire de Braine.
  27. a et b « Braine ou Braisne - Photos anciennes et d'autrefois, photographies d'époque en noir et blanc », sur en-noir-et-blanc.com (consulté le ).
  28. Almanach annuaire historique, administratif & commercial de la Marne, de l'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine de 1875, Reims p185.
  29. « Arrêté ministériel du 30 octobre 1941 portant la démission d'office », Journal officiel de l'État français, no 302,‎ , p. 4808 (lire en ligne, consulté le ).
  30. Ludivine Bleuzé, « L'école a un nom », Le blog de l'école élémentaire Gaston Costeaux, (consulté le ).
  31. Préfecture de l’Aisne consulté le 7 juillet 2008
  32. « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le ).
  33. « François Rampelberg débute son 3e mandat de maire de Braine », L'Union,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. « Le palmarès des villes et villages fleuris », Le Courrier picard édition de l'Oise,‎
  35. Dossier de presse - Villes et villages fleuris 2017, New tourism by Hauts-de-France, 12 p., p. 8.
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. « L’Ancienne église abbatiale Saint-Yved », notice no PA00115550, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  40. « Le mobilier de l'église abbatiale Saint-Yved », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  41. « L'ancien « château du Bas » », notice no PA00115551, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
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