1er régiment de tirailleurs — Wikipédia

1er régiment de tirailleurs
Image illustrative de l’article 1er régiment de tirailleurs
Insigne régimentaire du 1er régiment de tirailleurs

Création 1er mai 1994
Pays Drapeau de la France France
Branche Armée de terre
Type Régiment de tirailleurs
Rôle Infanterie blindée
Fait partie de 7e brigade blindée de la 1re division
Garnison Épinal (caserne Varaigne)
Devise Le Premier, toujours le premier
Mascotte Un bélier
Inscriptions
sur l’emblème
Laghouat 1852
Sébastopol 1854-1855
Turbigo 1859
San Lorenzo 1863
Extrême-Orient 1884-1885
Tchad 1900
Maroc 1907-1913-1918
La Somme
-L'Aisne 1916
Saint-Thierry 1918
Pichon 1943
Indochine 1947-1954
AFN 1952-1962
Équipement VBCI (Véhicule blindé de combat d'infanterie)

missiles MILAN et ERYX
équipée de VAB et de VBL.

Guerres Première Guerre mondiale
Seconde Guerre mondiale
Guerre d'Indochine
Guerre d'Algérie
Batailles Bataille de Laghouat
Siège de Sébastopol
Bataille de Turbigo
Bataille de San Lorenzo
Bataille de la Somme
Bataille de Verdun
Bataille de Saint-Thierry
Fourragères Aux couleurs du ruban de la Médaille militaire
Décorations Légion d'honneur
Croix de guerre 1914-1918
4 palmes
Médaille d'or de la Ville de Milan

Le 1er régiment de tirailleurs (1er RTir) est un régiment d'infanterie blindée de l'Armée de terre française basé à Épinal[1], constitué en 1994 à partir du 170e régiment d'infanterie. Ses missions sont diverses[2] : il est formé majoritairement de militaires actifs mais aussi de réservistes, déployé tant en OPEX que dans des missions sur le territoire national comme l'Opération Harpie[3] ou encore dans le cadre du Plan Vigipirate[4].

Historique[modifier | modifier le code]

Le à Golbey, en présence des héritiers de l'armée d'Afrique, légionnaires, spahis, zouaves et artilleurs, le 170e régiment d'infanterie, qui gardait le drapeau du 7e régiment de tirailleurs algériens, devient le 1er régiment de tirailleurs. Il est officiellement recréé sous le commandement du colonel Jean-Guy Gendras, en présence de Philippe Séguin, député-maire d'Épinal, et de François Léotard, ministre de la Défense. Il a été recréé en hommage aux tirailleurs maghrébins qui prirent part à l'ensemble des combats de la France, à l'occasion du cinquantenaire de la Libération[5].

Le régiment occupait deux emprises : le quartier Haxo à Golbey et le quartier Varaigne à Épinal. En 2005, l'ensemble du régiment est regroupé au quartier Varaigne abandonnant ainsi le quartier Haxo[6].

Drapeau[modifier | modifier le code]

Il porte, brodées en lettres d'or, les inscriptions[7],[8]:

Drapeau du 1er régiment de tirailleurs de l'armée française, avec ses batailles

Décorations[modifier | modifier le code]

Il est décoré de :

Son insigne[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Croissant d'argent ouvert sur une devise arabe détourée et ajourée signifiant « Premier toujours premier » sommée de la main de Fatma chargée du chiffre « 1 » du même, chargé d'une hirondelle au naturel tenant en son bec un sautoir de tibias de candide surmontée d'une étoile chérifienne de sinople.

Descriptif[modifier | modifier le code]

Ancien insigne, en métal argenté, du 1er Régiment de Tirailleurs Algériens. Chevauchant en partie le chiffre « 1 », une étoile à 5 branches liserée d'or, vidée et entrelacée. Dans la partie inférieure de l'insigne est apposé une hirondelle noire à gorge et ventre blancs, piquant de la droite vers la gauche et tenant dans son bec deux tibias blancs croisés.

Symbolique[modifier | modifier le code]

L'insigne support représente l'ancien insigne du 1er RTA dont le 170e régiment d'infanterie reprenait l'appellation. Cet insigne composé d'un croissant, qui fait référence au calendrier lunaire adopté par le monde musulman, de la main de Fatima, qui éloigne le « mauvais œil », du chiffre « 1 » et de sa devise.

L'étoile verte à cinq branches, symbole de la « Perfection », représente l'héritage des tirailleurs marocains.

L'hirondelle est le lien entre plusieurs régiments de tirailleurs marocains et algériens bénéficiant du qualificatif « hirondelles de la mort ». Cela rappelle aussi le 170e RI qui avait aussi ce symbole sur son insigne.

Son insigne de béret[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Croissant d'or ouvert.

Descriptif[modifier | modifier le code]

Comme le croissant de l'insigne régimentaire, il fait référence au calendrier lunaire musulman. Le croissant de lune (Hilal) est aussi le symbole de la résurrection. La coupe ouverte du croissant de lune donne la délimitation du début et de la fin du Ramadan. Cet insigne est commun aux tirailleurs et aux zouaves.

Il est rappelé sur les attributs de tenue : insigne de manche, épaulettes, insigne de col, et képi.

Sa fourragère[modifier | modifier le code]

Le Premier Régiment de Tirailleurs, héritier du 1er Régiment de Tirailleurs Algériens, a repris les distinctions et les décorations obtenues par ce dernier. C'est à ce titre que son drapeau et tout le personnel du régiment portent la fourragère aux couleurs du ruban de la Médaille militaire.

Le 1er Régiment de Tirailleurs Algériens (ex 1er Régiment de Marche de Tirailleurs) a été quatre fois cité à l'ordre de l'Armée durant la guerre 1914 -1918 ce qui lui a donné le droit de porter la fourragère aux couleurs de la Médaille Militaire par décision du maréchal en chef en date du .

Les quatre citations qui lui ont valu cette distinction sont :

  • La Somme (Bouchavesnes), par Ordre général n°403 du de la VIe Armée ;
  • L'Aisne, par Ordre général n°348 du de la Ve Armée ;
  • Prunay, par Ordre général n°453 du de la Ve Armée;
  • Neufchâtel, par Ordre général du de la Ve Armée.

La Nouba du 1er Régiment de Tirailleurs d’Épinal[modifier | modifier le code]

La Chechia de feutre cramoisi
La Nouba du 1er Régiment de Tirailleurs d'Épinal en tenue de tradition.
Le chapeau chinois.

La fanfare Nouba du 1er Régiment de Tirailleurs a pris son appellation lors de la création du régiment, le . Elle est issue de la Musique du 170e régiment d'infanterie, lui-même détenteur des traditions du 7e Régiment de Tirailleurs Algériens.

La Nouba du Premier tirailleurs est sans aucun doute le meilleur ambassadeur du régiment auprès du grand public ; elle frappe l'imagination par ses deux caractéristiques originales : la tenue traditionnelle des musiciens et la présence du bélier Messaoud, sa mascotte.

Son origine[modifier | modifier le code]

Il n'est pas possible de déterminer à quelle époque les tirailleurs ont commencé à avoir de pareilles formations. Des écrits relatent la présence des musiciens de nouba dès 1860. La plus ancienne représentation autrement connue est la nouba du 4e Bataillon du 2e Tirailleurs par Detaille, datée de 1884. En tout cas, cette musique arabe reste parfaitement non réglementaire jusqu'en 1958. Aussi n'a-t-elle pas de composition bien fixe. Les plus importantes pouvaient compter jusqu'à 80 exécutants répartis entre la batterie, l'harmonie et la Nouba : groupe folklorique indigène constitué d'instruments locaux traditionnels dont le plus célèbre reste sans conteste la raïta, sorte de flûte nord-africaine dont le son rappelle celui de la bombarde bretonne et qui forme le fond sonore. On y trouve aussi des tambours arabes, derboukas ou tbels, soit grands, du diamètre d'une grosse caisse, soit petits, du diamètre d'un tambour d'ordonnance et qui se porte la peau perpendiculaire au sol. Des tambourins ou bendirs, quelquefois des derboukas doubles faits de 2 demi-sphères tendues de peau, plus rarement des karkabous, lamelles de fer qu'on entrechoque et toujours un chapeau chinois complètent la formation. Le chapeau chinois ne serait apparu qu'après la Grande Guerre ; en tout cas, le 3e RMTA en possède un en 1920, en Rhénanie. Mais il en existait chez les spahis avant cette époque comme l'attestent certaines photographies de la fin du XIXe siècle. Après 1920 tous les régiments ont un chapeau chinois, différent d'un corps à l'autre selon le goût du chef de corps ; Cet instrument de cuivre est équipé de grelots, de clochettes et de queues de cheval.
Vers 1930, certains régiments ajoutent à la nouba un animal mascotte, souvent un bélier, parfois un mouflon.
Depuis la restructuration des musiques en 1996, la Nouba compte parmi les formations de type « fanfare d'infanterie » et dispose d'un effectif théorique de 29 exécutants repartis essentiellement entre les cuivres et saxophones renforcés par un pupitre de tambours et percussions.
La Nouba défile, encore aujourd'hui, derrière un chapeau chinois qui est précédé par la mascotte ; le bélier Messaoud.
Depuis 2002, la Nouba est rattachée à la compagnie antichar et y arme la 4e section. En parallèle à leur formation musicale, le personnel de la Nouba reçoit, au sein de cette section, une formation militaire afin de pouvoir tenir un emploi opérationnel et leur permettre de participer ponctuellement à des missions extérieures.

La tenue de tradition[modifier | modifier le code]

La « Nouba » du 1er Régiment de Tirailleurs d'Épinal en tenue de Tradition, chéchia, boléro et sarouel, héritage de la tenue des Tirailleurs Algériens lors de la cérémonie commémorative du 8-mai-1945 à Strasbourg en 2013.

C'est pour rendre hommage à ces glorieux prédécesseurs, que la musique du 170e RI est dotée à partir de 1985, de la tenue historique des tirailleurs dite « à l'orientale » ou « à la turque » dont l'origine remonte à la création des premières unités vers 1840. Cet uniforme tient son origine du costume traditionnel masculin de l'Algérie citadine qui se distingue du karakou qui est la tenue citadine de la femme algéroise. Il comprend :

  • une veste en forme de boléro de couleur bleue à parements jonquille ;
  • un gilet sans manches bleu ciel à tresses jonquille ;
  • un pantalon ample bleu ciel ou blanc (le sarouel – appellation la plus fréquente – ou encore saroual ou seroual) ;
  • une longue ceinture de laine rouge ;
  • une coiffure, la chéchia et/ou un chèche de toile blanche.

Dans ses grandes lignes, c'est un modèle identique à celui des zouaves et des spahis. La plus grande différence réside dans le choix des couleurs.

La coiffure[modifier | modifier le code]

Constituée de la chéchia et du chèche qui se portent séparément ou ensemble selon les circonstances. La chéchia est une calotte de feutre cramoisi d'environ vingt cinq centimètres de hauteur avec un gland à franges bleu ciel amovible. Le chèche, à l'origine de toile blanche roulé en boudin autour de la chéchia, se portera seul et à l'indienne à partir des années 1950.

Le gilet[modifier | modifier le code]

Il est appelé sédria mot originaire de l'arabe algérien qui veut dire poitrine ou buste. C'est un gilet sans manche de drap bleu ciel avec des tresses jonquille. Sa particularité est de se boutonner sur l'épaule et le flanc gauches.

La veste[modifier | modifier le code]

De forme boléro, dite kébiya ou encore veste-boléro ou plus simplement « boléro », elle en drap bleu de ciel foncé sous le second Empire puis bleu ciel, dit « bleu céleste » ou encore « bleu tirailleur ». Les coutures s'ornent d'un cordonnet de couleur jonquille (jaune) et les devants de tresses plates de même couleur. Pour les sous-officier s'ajoutent de magnifiques chamarrures en soutaches jonquille sur les devants et le dos. Sur chaque devant, la tresse jonquille forme une arabesque qui dessine une fausse poche ovale appelée tombô, puis remonte vers l'encolure en formant un trèfle.

Jusqu'en 1914, la couleur du tombô permettait de distinguer le recrutement et la localisation des premiers régiments de tirailleurs. Le garance (rouge tirant légèrement sur le brique) correspondait au 1er régiment de tirailleurs algériens (stationné à Alger et couvrant toute la province d'Alger), le blanc au 2e régiment (province d'Oran) et le jonquille (jaune) au 3e régiment (province de Constantine). En 1884, le tombô bleu fut attribué au tout nouveau 4e régiment de tirailleurs « algériens », formé en Tunisie. En 1921, le 4e régiment de tirailleurs « algériens » devient « tunisiens » et par la suite, tous les régiments de tirailleurs à recrutement tunisien prendront le nom de « tirailleurs tunisiens ».

La ceinture[modifier | modifier le code]

Empruntée à la mode turque, à l'instar du hézam des mamelouks du XVIIIe et du XIXe siècle, elle se présente sous la forme d'une longue bande de laine cramoisie (rouge foncé) (jusqu'en 1962, elle mesurait quatre mètres de long par quarante centimètres de large). Elle permettait de protéger l'abdomen et les reins du froid et évitait ainsi les maux intestinaux. Pièce traditionnelle de la tenue des tirailleurs, elle est portée par les soldats et les sous-officiers. Cette ceinture s'observait dans toutes les unités de l'armée d'Afrique qui la portaient de façon visible. Elle se différenciait par sa teinte : « cramoisie », unie ou rayée, elle était la ceinture des troupes indigènes de tirailleurs et de spahis ; « bleue indigo », elle était attribuée aux zouaves, légionnaires, bataillonnaires de l'infanterie légère d'Afrique et soldats des compagnies de discipline, tous de souche européenne. Bien que cette règle ne soit pas absolue, puisque les chasseurs d'Afrique de souche européenne ont eu la ceinture rouge rayée des spahis. Les officiers ne portent pas en principe cette ceinture, puisqu'ayant accès aux médicaments, ils n'avaient pas besoin de se protéger car ils étaient en mesure de se soigner. Mais de 1830 à 1870, de nombreux officiers ont fait usage de la ceinture, sans doute plus pour des raisons esthétiques que pratiques.

Le sarouel[modifier | modifier le code]

Le fameux sarouel, lui aussi emprunté à la mode turque (les mamelouks portaient le charoual de drap écarlate) est fait de drap bleu ciel ou de toile blanche selon la saison. Il est fort ample, avec trente deux plis à la taille qui lui donnent un aspect bouffant dans le bas. Par ailleurs, ce pantalon ne comporte pas de fond selon la mode orientale. Seule une petite fente est ménagée dans ce fond pour permettre l'écoulement de l'eau accumulée lors des franchissements de cours d'eau, cette ouverture s’appelant trou de Lamoricière, du nom de l'officier l'ayant inventée.

Les guêtres[modifier | modifier le code]

La tenue des tirailleurs ne serait pas complète sans cet accessoire, porté en drap bleu foncé ou en toile blanche selon la saison ou la circonstance. Très hautes, les guêtres comportaient de dix-huit à vingt deux boutons latéraux, en grelot de cuivre, en os ou en porcelaine blanche. Au départ portées avec de courtes jambières de cuir fauve lacées sur le haut du mollet, elles se portent seules après 1870, avant d'être remplacées par des bandes molletières de drap gris de fer bleuté à partir de 1905.

La mascotte du régiment[modifier | modifier le code]

Messaoud IV, la mascotte du régiment.

En plus de cette tenue particulière, l'originalité de la Nouba se confirme par la présence d'un chapeau chinois, qui est celui du 7e RTA, et celle d'un bélier mascotte qui défile en tête lors des prestations.

Les tirailleurs, principalement recrutés parmi les pasteurs et les montagnards d'Afrique du Nord, étaient très attachés à la mascotte de leur régiment généralement un ovin, bélier, mouflon ou bouc, choisi pour la splendeur de ses cornes. Il était également considéré comme un porte-bonheur.

Avec ses qualités de détermination, de puissance et surtout de virilité, cet animal symbolisait pour eux les qualités essentielles du guerrier.

Le bélier qui est actuellement la mascotte du régiment se nomme Messaoud IV ce qui signifie le chanceux en arabe. Il est le cinquième bélier du régiment depuis sa création en . Avant lui s'étaient succédé Mabrouk el Djounoud (le porte bonheur des combattants), Messaoud I, Messaoud II et Messaoud III ; ce dernier avait un grade de caporal et était décoré de la médaille de la défense nationale[9].

Le successeur, Messaoud V, est né le au parc du château d’Épinal, de Mabrouka et Messaoud IV. Après une année de formation, il deviendra la mascotte du régiment à l'été 2014. Messaoud IV prendra une retraite bien méritée, après 7 ans de bons et loyaux services.

Colonels/chef-de-brigade[modifier | modifier le code]

Le régiment aujourd'hui[modifier | modifier le code]

Considéré comme le successeur du 1er régiment de tirailleurs algériens, le 1er RTir est notamment spécialisé dans le combat de haute intensité. Il remplit ses missions au sein de la 7e brigade blindée de la 1re division.

Composition[modifier | modifier le code]

Le 1er RTir avec ses traditions est composé de :

Chaque unité (compagnie) du régiment porte un insigne spécifique en mémoire des régiments de tirailleurs algériens, marocains ou tunisiens dont elle garde la mémoire. De même, chacune des sections conserve les traditions d'un régiment de tirailleurs.

Créé dans le cadre du nouveau format de l'Armée de terre "Au contact" le .

Matériels[modifier | modifier le code]

Véhicules[modifier | modifier le code]

Véhicules de combat: VBCI-VCI, VAB, VBL, VB2L, P4.

Véhicules de commandement: VBCI-VPC (véhicule poste commandement), VAB-trans, 180 shelter trans.

Véhicules de sanitaire: VAB san.

Véhicules de maintenance: TRM10000 CLD, AMX 30D, GBC 180 LOT7.

Armement[modifier | modifier le code]

Famas

Famas félin

HK 416 et HK 417

Pamas

Pamac

Glock 17

Poste eryx

Poste milan

AT4CS

LGI

FN SCAR-H (tireur de précision)

PGM (tireur d élite)

Mitrailleuse mag 58

Minimi

Stationnement[modifier | modifier le code]

Le 1er régiment de tirailleurs est stationné au Quartier Varaigne à Épinal après avoir été stationné à Golbey.

Sources et bibliographie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Portes ouvertes du 1erRTir sur [1].
  2. Projection au Burkina Faso sur [2]
  3. Le 1erRTir de retour après une mission en Guyane sur [3]
  4. Des réservistes du 1erRTir préparés et mobilisés sur [4]
  5. Le 1erRTir, Régiment de tradition à la pointe de la modernité. sur [5]
  6. "LA VIEILLE CASERNE OUBLIEE" : LE QUARTIER HAXO A GOLBEY, CONQUIS PAR LA NATURE DEPUIS PLUS DE 13 ANS. 16/09 2018. sur le blog Les feuilles de Pierre Cuny (consulté le 22 août 2019).
  7. Décision n°12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'Armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées, n°27, 9 novembre 2007
  8. Arrêté relatif à l'attribution de l'inscription AFN 1952-1962 sur les drapeaux et étendards des formations des armées et services, du 19 novembre 2004 (A) NORDEF0452926A Michèle Alliot-Marie
  9. Terre information magazine n° 183, avril 2007, p. 51.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]