1651 en philosophie — Wikipédia


L’année 1651 a été marquée, en philosophie, par les événements suivants :

Événements[modifier | modifier le code]

Publications[modifier | modifier le code]

  • François Bernier : Anatomia ridiculi Muris, hoc est dissertatiunculæ J.-B. Morini astrologi adversus expositam a P. Gassendo philosophiam. Itemque obiter prophetiæ falsæ a Morino ter evulgatæ de morte ejusdem Gassendi ; per Franciscum Bernerium Andegavum, Paris, Michel Soly, 1651, in-4°[1] ;
  • Comenius :
    • Schola pansophica (L'école pansophique);
    • Sermo secretus Nathanis ad Davidem - demande au prince hongrois Sigismund Rákóczi de combattre les Habsbourg.
  • Jean de Silhon : Esclaircissement de quelques difficultez touchant l'administration du cardinal Mazarin, 1re partie, par le sieur de Silhon (1651)

Naissances[modifier | modifier le code]

  • au château de Fénelon à Sainte-Mondane (Quercy, aujourd'hui la Dordogne) : François de Salignac de La Mothe-Fénelon dit Fénelon, mort le à Cambrai, est un homme d'Église, théologien, pédagogue et écrivain français.

Décès[modifier | modifier le code]

  • Georg Stengel ou encore Georgio Stengelio, (1584, Augsbourg - 1651, Ingolstadt), philosophe et théologien jésuite allemand.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Anatomia ridiculi muris : hoc est Dissertatiunculae J. B. Morini, astrologi, adversus expositam a P. Gassendo Epicuri philosophiam ; Itemque obiter,… », sur Gallica, (consulté le ).
  2. On trouve aussi le prénom Edmond, mais lui-même utilisait la forme Edme. Cf. Mercure de France, juillet-août 1739, p. 1509 : « Edme Pourchot (car il se nommait ainsi, à la différence du P. Martenne (sic), bénédictin, que nous venons de perdre, lequel signait Edmond Martenne) ».
  3. Localité relevant à l'époque du diocèse de Sens, et non de celui d'Auxerre. Cf. ibid., p. 1509-10 : « Il étoit né dans le diocèse de Sens, sur le territoire d'un village nommé Poilly, qui touche à la lisière de celui d'Auxerre, dans un canton qu'on appelle la Vallée d'Aillant, du nom d'un bourg de cette contrée. [...] Je crois que dans son épitaphe, qui se lit au mur du cimetière de Saint-Étienne-du-Mont, du côté du nord, il est aussi qualifié de Senonensis. Mais certainement il était de Poilly, à trois lieues d'Auxerre, et non pas de Sens. Ce n'est pas même à Sens qu'il avait fait le plus de résidence en province, mais à Auxerre. Il y avait pris les premières teintures des sciences, et de là il était venu à Paris ».

Voir aussi[modifier | modifier le code]