1635 en philosophie — Wikipédia


L’année 1635 a été marquée, en philosophie, par les événements suivants :

Événements[modifier | modifier le code]

Publications[modifier | modifier le code]

  • Eustache Asseline : Adresse spirituelle, contenant une facile pratique des moyens de se perfectionner en la voie du salut, augmentée d'un Traité des facultés et puissances de l'âme, Paris, 1635. [1]
  • Jacques Gaffarel : Nihil, fere Nihil, minus Nihilo, contenant 26 propositions sur les rapports de l'Être et du non-Être, qui avait été lu à L'Accademia degli Incogniti de Venise le , en réponse au discours de Luigi Manzini sur Il Niente (Le Néant).
  • Marie de Gournay :
    • un poème, in Le Sacrifice des Muses
    • un poème, in Le Parnasse royal

Naissances[modifier | modifier le code]

Décès[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]