Soustons — Wikipédia

Soustons
Soustons
La mairie.
Blason de Soustons
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Landes
Arrondissement Dax
Intercommunalité Communauté de communes de Maremne-Adour-Côte-Sud
Maire
Mandat
Frédérique Charpenel
2020-2026
Code postal 40140
Code commune 40310
Démographie
Gentilé Soustonnais
Population
municipale
8 421 hab. (2021 en augmentation de 9,88 % par rapport à 2015)
Densité 84 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 45′ 09″ nord, 1° 19′ 42″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 62 m
Superficie 100,38 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Soustons
(ville isolée)
Aire d'attraction Soustons
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton du Marensin-Sud
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Soustons
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Soustons
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Soustons
Liens
Site web Site officiel

Soustons [sustɔ̃] est une commune française située dans le département des Landes en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Soustonnais[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune située dans la forêt des Landes en Marensin, sur les bords du lac du même nom. La partie de Port d'Albret relevant de sa commune (appelée Soustons-Plage) est située au sud du lac marin et au nord de Seignosse. Elle dispose de deux plages surveillées : l'une sur l'océan, l'autre sur le lac marin.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Seignosse, Azur, Léon, Magescq, Messanges, Saint-Geours-de-Maremne, Tosse et Vieux-Boucau-les-Bains.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Littoral charentais et aquitain, caractérisée par une pluviométrie élevée en automne et en hiver, un bon ensoleillement, des hiver doux (6,5 °C), soumis à la brise de mer[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 340 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Soorts-Hossegor à 13 km à vol d'oiseau[6], est de 14,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 181,8 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Soustons est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Soustons, une unité urbaine monocommunale[13] de 8 421 habitants en 2021, constituant une ville isolée[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Soustons, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 2 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].

La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[18]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[19],[20].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (67,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (55,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,1 %), terres arables (10,7 %), zones agricoles hétérogènes (8 %), zones urbanisées (6,8 %), eaux continentales[Note 3] (4,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,9 %), zones humides intérieures (0,4 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Lieudits et hameaux[modifier | modifier le code]

23 quartiers composent la commune de Soustons[22] :

  • Landouar et le Pont de Labarthe ;
  • le Pey ;
  • Barrail ;
  • la Moliate ;
  • l’Étang ;
  • Campagnac ;
  • Dumas et Mourmaou ;
  • Costemale ;
  • la Vigne et Bergan ;
  • la Vigne et du Marché ;
  • la Vigne et Marchannaou ;
  • Mercade et Tres Barats (Tresbarats sur les cartes IGN) ;
  • Bitcherounbieil (Bitcherounbieilh sur les cartes IGN) ;
  • Bagnère ;
  • Escurade et Lande du Pey ;
  • le Moulin de Pey ;
  • Pédollé (Pédolé sur les cartes IGN) ;
  • Mongouarin ;
  • Caplanne et Pyramide ;
  • Broustic ;
  • le Sable ;
  • Guirauton ;
  • la Lande et Montignon.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies[modifier | modifier le code]

464 odonymes recensés à Soustons
au
Allée Avenue Bld Chemin Clos Impasse Montée Passage Place Pont Route Rue Square Villa Autres Total
43 32 1 [N 1] 8 6 19 1 [N 2] 2 [N 3] 10 [N 4] 2 [N 5] 27 58 [N 6] 42 4 [N 7] 209 [N 8] 464
Notes « N »
  1. Boulevard Darrigade.
  2. Montée de la Plage.
  3. Passage des Arènes et passage du Carrelot.
  4. Dont place du Premier-Mai et place du 8-Mai-1945.
  5. Pont de Labarthe et pont de Roubin.
  6. Dont rue du 19-Mars-1962 et rue du 8-Mai-1945.
  7. Villa des Cèpes, villa des Cols Verts, villa Deyssos et villa du Gay.
  8. Autres voies non identifiées en relation avec des écarts, lieux-dits, hameaux, zones industrielles, lotissements, résidences, quartiers, etc.
Sources : rue-ville.info & OpenStreetMap

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Soustons est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par submersion marine. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1988, 1989, 1999, 2009 et 2020 et au titre des inondations par remontée de nappe en 2021[25],[23].

Soustons est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[26],[27].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont un recul du trait de côte et de falaises et des tassements différentiels[28].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Soustons.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. Aucune partie du territoire de la commune n'est en aléa moyen ou fort (19,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 4 103 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, aucun n'est en aléa moyen ou fort, à comparer aux 17 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[23].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Lac de Soustons.

Son nom occitan gascon est Soston[30].

Le nom de la localité est mentionné Sanctus Petrus de Sostono sur le cartulaire de Dax[Note 4], puis Soston ou Souston à partir du XVIIe siècle.

Selon certaines sources, il s'agit d'un type toponymique basé sur le terme gascon sosta « pâturage », suivi du suffixe diminutif -on, utilisé en Béarn et Bigorre et peut-être bien transporté par les pasteurs transhumants de jadis[31].

Une étymologie anglaise du type *South Town n'est soutenue ni par les formes anciennes, ni par les spécialistes. En effet, le duché d'Aquitaine sous souveraineté du roi d'Angleterre — du mariage d'Aliénor à la bataille de Castillon (1453) — n'a pas apporté d'influence linguistique anglo-saxonne sur le gascon. On trouve bien deux toponymes de bastides qui ont été dédicacées directement à de hauts personnages anglais : Hastingues (d'après John Hastings), Libourne (ancienne Condate, d'après Roger de Leybourne) et la transposition du nom de la ville anglaise de Lincoln, altérée en Nicole[32],[33], mais aucune création toponymique, car les Anglais ne se sont pas implantés en nombre suffisant, ni assez longtemps pour pouvoir influencer la langue locale et la toponymie.

Histoire[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D'argent à la champagne soudée d'or chargée d'une mer fascée engrêlée d'argent et d'azur de quatre pièces, au chêne-liège de sinople au fût arraché aussi d'argent chargé d'une fasce de tenné, brochant sur la plaine, soutenu d'une coquille de gueules, au léopard du même passant sur la champagne et brochant sur le fût de l'arbre[34]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1791 Jean-Paul Dupriret   Médecin
1791 1793 Jean Laulhe-Laborde    
1790 1791 Dupriret fils   décède en fonction
1793 1795 Gérard Doussau   Procureur fiscal, suspendu après Thermidor
1795 1799 François Jacques Ducasse   Notaire, probablement suspendu après le 18 brumaire
1799 1800 Jean Laborde    
1800 1802 Joseph François Jacques Ducasse   Notaire
1802 1807 Jean-François Dusserre    
1807 1814 Gérard Doussau   Magistrat, propriétaire. Suspendu par Napoléon I
1814 Jean-Baptiste Dusserre   Maire pendant la 1ère Restauration. Suspendu au retour de Napoléon I
avril 1815 Gérard Doussau   Magistrat, propriétaire. Maire pendant les 100 jours puis suspendu
juillet 1821 Alex de Saint-Martin Lacaze Royaliste  
juillet 1821 janvier 1826 François du Bourg Conservateur Juge de Paix
janvier 1826 1830 Alex de Saint-Martin Lacaze Royaliste démissionnaire
1830 1840 François du Bourg Conservateur Juge de Paix, se consacre ensuite au Conseil Général
1840 1845 Jean-Baptiste Dusserre    
1845 1848 François du Bourg Conservateur Propriétaire, Juge de paix
1848 1857 Pierre-Adolphe Lafitte   Médecin
1857 1870 Jean-Pierre Duboscq   Propriétaire
1870 1872 Théodose Dupont Conservateur Notaire. Démissionnaire en 1872
1872 1874 François Sainte Marie Radical Propriétaire, industriel
1874 1878 Alphonse Doussau Conservateur Propriétaire, magistrat
1878 1882 François Sainte Marie Radical Propriétaire, Industriel
1882 1892 Alphonse Doussau Conservateur Propriétaire, magistrat
1892 1901 Alfred Senac Radical conseiller général du canton de Soustons (1883-1901). Décède en 1901
1901 1905 Alfred Lestage   Décède en 1905
1905 1919 Gustave Lasalle Républicain
Nationaliste
conseiller général du canton de Soustons (1901-1913)
1919 1935 Emile Nougaro Radical Propriétaire, Médecin
1935 1945 Pierre Labatut    
1945 1947 Louis Lavielle   Limonadier. Ne se représente pas en 1947
1947 1950 Emile Nougaro Radical Propriétaire, Médecin
1950 1952 Paul Testemale SFIO ancien Secrétaire de Mairie
1952 1977 Pierre Barrere UDR-RPR Médecin, conseiller général du canton de Soustons (1970-1982)
1977 1983 Jean Nougaro UDF Propriétaire, Ingénieur Polytechnicien
mars 1983 mars 2001 Jean-Yves Montus PS Instituteur
conseiller général du canton de Soustons (1982-1994)
mars 2001 mars 2008 Charles Mauvoisin UMP Pharmacien
mars 2008 décembre 2016 Jean-Yves Montus PS Instituteur retraité
Président de l'Association des maires des Landes
conseiller général du canton de Soustons (2001-2008)
décembre 2016 En cours Frédérique Charpenel PS Conseillere régionale Nouvelle-Aquitaine (2021-)
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36]. En 2021, la commune comptait 8 421 habitants[Note 5], en augmentation de 9,88 % par rapport à 2015 (Landes : +4,9 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 5042 5782 5162 2472 5082 5602 7832 8463 123
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 1643 2853 5823 4583 5783 7043 8423 8483 902
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 9463 8883 9513 7113 7733 7633 7023 9234 034
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
4 2424 5225 1275 1025 2835 7436 5606 7947 240
2014 2019 2021 - - - - - -
7 6118 2358 421------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Édifices et sites[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Pierre de Soustons.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Clubs[modifier | modifier le code]

  • Le rugby à XV est pratiqué à Soustons depuis 1903. Le SC Soustons est créé en 1905 mais son activité décline rapidement. L'US Soustons et l'Avant-Garde voient respectivement le jour en 1909 et 1913. Ils sont remplacés par l'AS Soustons en 1926[39].
  • Centre nautique Michel-Lacladère de Soustons
  • Centre de formation nautique de Soustons
  • Club de voile marensin
  • Stand up paddle
  • Soustons Surf Club
  • Gymnase Les Écureuils

Équipements sportifs[modifier | modifier le code]

Stade Rémy-Goalard.

Campings

  • L'Airial
  • Bathurt
  • Framissima

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Le cartulaire de Dax est constitué de 64 feuillets recto et verso écrits entre 1056 et 1170.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Le nom des habitants du 40 », sur www.habitants.fr (consulté le ).
  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Soustons et Soorts-Hossegor », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Soorts-Hossegor » (commune de Soorts-Hossegor) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Soorts-Hossegor » (commune de Soorts-Hossegor) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Soustons », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  19. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  22. Archives départementales des Landes, « Archives numérisées - Cadastre / Soustons », début xixe siècle (consulté le ).
  23. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Soustons », sur Géorisques (consulté le )
  24. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  25. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  26. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consulté le )
  27. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  28. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  29. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  30. « Toponymes occitans », sur www.locongres.org (consulté le ).
  31. Bénédicte Boyrie-Fénié, Institut occitan, Dictionnaire toponymique des communes des Landes et bas-Adour, Pau, Éditions Cairn, , 288 p. (ISBN 2-35068-011-8, présentation en ligne)..
  32. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne), n° 30459..
  33. Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie des pays occitans, Collection Sud Ouest Université, Éditions Sud Ouest, novembre 2007, 480 pages
  34. Banque du blason.
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Francis Poustis, Les acteurs du rugby landais, Dax, Éditions Passiflore, , 240 p. (ISBN 978-2-918471-07-3), p. 188-191.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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