Alain Ducasse — Wikipédia

Alain Ducasse
Biographie
Naissance
(67 ans)
Castel-Sarrazin (40)
Nationalité

Drapeau de la France Français (jusqu'en 2008)

Drapeau de Monaco Monégasque (depuis 2008)
Activité
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Maîtres
Site web
Distinctions

Alain Ducasse est un chef cuisinier, né le à Castel-Sarrazin (Landes). Longtemps francais, il renonce à sa citoyenneté francaise en 2008 et devient citoyen de Monaco.

Alain Ducasse a obtenu trois étoiles au Guide Michelin avec trois établissements différents : Le Louis XV à l’hôtel de Paris Monte-Carlo (en 1990), Alain Ducasse au Plaza Athénée à Paris (en 1997) et Alain Ducasse at The Dorchester à Londres (en 2010). En 2023, il est le chef cuisinier le plus étoilé au monde avec 20 étoiles Michelin obtenues à travers ses différents restaurants[1].

Il est président de Châteaux et Hôtels Collection depuis 1999 (près de 700 établissements) et dirigeant du groupe Alain Ducasse, une société d’hôtellerie-restauration. Il a été classé 94e des 100 personnalités les plus influentes du monde par le magazine économique américain Forbes en 2012.

Le , le magazine britannique Restaurant lui remet le Lifetime Achievement Award faisant partie de la liste San Pellegrino des cinquante meilleurs restaurants du monde.

Biographie[modifier | modifier le code]

Enfance[modifier | modifier le code]

Alain Ducasse naît le à Castel Sarrazin (Landes) où sa famille habite une ferme de la Chalosse (Landes)[2]. Il est issu d’une famille d’agriculteurs et est petit-fils de menuisier.

Dans la ferme familiale, il éduque son palais : « La Chalosse représente pour moi la mesure étalon des goûts originels. Du foie gras, du confit, des palombes, des cèpes… Pour le déjeuner, il suffisait d’aller dans le jardin potager pour cueillir les artichauts, les haricots, les tomates et les piments. C’étaient les plus beaux légumes du monde. Et j’allais pêcher les anguilles, les brochets et les goujons. La seule chose que l’on achetait, c’était le beurre. »[3]

Apprentissage[modifier | modifier le code]

Âgé de 16 ans, il entre en apprentissage au restaurant le Pavillon Landais de Soustons dans les Landes. Il intègre ensuite le lycée d'hôtellerie et de tourisme de Gascogne[4] situé à Talence. Il quitte le lycée quelques mois avant l'obtention de son diplôme.

En 1975, il commence sa carrière chez Michel Guérard, chef cuisinier (à l'époque doublement étoilé) à Eugénie-les-Bains (à 20 km de Mont-de-Marsan dans les Landes). Au fil de ces deux années, il effectue quelques passages chez le pâtissier normand Gaston Lenôtre[4].

En 1977, il s’initie à la cuisine provençale pour laquelle il a une attirance particulière, avec Roger Vergé au Moulin de Mougins près de Cannes sur la côte d'Azur. En 1978, il est le disciple d’Alain Chapel à Mionnay[4]. Alain Chapel lui transmet l'amour du produit, le souci de la perfection et « le bonheur de cuisiner, c’est-à-dire de susciter le plaisir de ses hôtes »[réf. nécessaire].

La Terrasse à Juan-les-Pins[modifier | modifier le code]

En 1980, Roger Vergé lui offre la place de chef cuisinier de son restaurant L’Amandier à Mougins. Il devient ensuite chef cuisinier à La Terrasse de l’Hôtel Juana de Juan-les-Pins sur la côte d'Azur où il obtient ses deux premières étoiles au Guide Michelin en 1984[5].

À l’âge de 27 ans, il est victime d'un accident d’avion de tourisme : le Piper Aztec, qui le mène de Cannes à l'hôtel Byblos des Neiges de Courchevel pour une réunion de chantier, s’écrase le avec cinq passagers à bord; il est le seul survivant[6] . Grièvement blessé, il subit treize opérations et passe une année à l’hôpital.

Le Louis XV de Monte-Carlo[modifier | modifier le code]

En 1987, la Société des bains de mer de Monaco lui lance le défi de créer le restaurant gastronomique Le Louis XV à l’hôtel de Paris Monte-Carlo. Ce palace est le plus prestigieux et luxueux de Monaco, voisin du Casino de Monte-Carlo. Âgé de seulement 33 ans, il obtient la prestigieuse troisième étoile du Guide Michelin pour Le Louis XV[4]. L'hôtel de Paris devient le premier palace du monde à obtenir une telle distinction. Le Louis XV reçoit également en 2003 le tout premier Prix VILLEGIATURE Awards comme "Meilleur restaurant d'Hôtel en Europe" et récompense le travail des équipes d'Alain Ducasse par un jury de journalistes du monde entier.

En 1995, il fonde La Bastide de Moustiers à Moustiers-Sainte-Marie dans les Alpes-de-Haute-Provence, au cœur des Gorges du Verdon en Provence, une auberge de charme de douze chambres qui obtient une étoile au Guide rouge en 2002. Il quitte alors les fourneaux et devient le premier grand chef trois étoiles à assurer le succès de grandes tables sans être personnellement en cuisine.

Le Concorde[modifier | modifier le code]

Pour célébrer le passage à l'an 2000, entre le et le , il se charge de la préparation des repas servis lors des vols Paris-New York / New York-Paris de l'avion supersonique Concorde[7].

Alain Ducasse à Paris[modifier | modifier le code]

Le , il reprend l’ancien restaurant de l’Hôtel du Parc (Marriott, depuis 2007) de Joël Robuchon, du 59, avenue Raymond-Poincaré, dans le 16e arrondissement de Paris, qu’il renomme Alain Ducasse. Après huit mois d’ouverture, il obtient une seconde fois trois étoiles au guide rouge Michelin, alors que son restaurant le Louis XV perd une étoile. Franck Cerruti l'y remplace[4].

En 1998, Le Louis XV retrouve sa troisième étoile. Alain Ducasse est alors le seul chef vivant à cumuler six étoiles au guide Michelin. Eugénie Brazier l'a précédé en 1933 dans ce club très fermé, Marc Veyrat (en 2001) et Thomas Keller (en 2006) les y rejoindront.

En 1999, il reprend avec Laurent Plantier, la chaîne Châteaux et Hôtels de France, une chaîne de plus de 500 établissements de prestige, et en devient le président[8],[9]. Un an plus tard, en 2000, il transfère son restaurant parisien Alain Ducasse de l'avenue Raymond-Poincaré au Plaza Athénée de l'avenue Montaigne. Après cinq mois d'ouverture, le nouveau restaurant obtient trois étoiles au guide Michelin[5].

En 2009, il ouvre une école de cuisine[10],[11]. Il fait de l'École nationale supérieure de la pâtisserie au château de Montbarnier (d) à Yssingeaux un campus de l'École Ducasse, le campus principal parisien quittant en 2020 Argenteuil pour Meudon[12]. Des antennes ouvrent aux Philippines[13] et en Inde[14].

En 2018, il ouvre une péniche offrant des « balades gourmandes »[15].

En 2021, il annonce sa séparation avec le Plaza Athénée après 20 ans de collaboration[16].

Le , il ouvre une nouvelle enseigne de biscuits haut de gamme, « Le Biscuit », rue de la Roquette, à Paris (XIe)[17],[18]

Prix et distinctions[modifier | modifier le code]

Vie privée[modifier | modifier le code]

Changement de nationalité[modifier | modifier le code]

Alain Ducasse a été naturalisé monégasque le par ordonnance personnelle du prince Albert II[23]. La nationalité monégasque étant exclusive, il renonce à toute autre nationalité (la principauté ne permettant pas, contrairement à la France, de disposer d'une double nationalité)[24].

Situation fiscale[modifier | modifier le code]

Un article de Mediapart en date de détaille l'organisation des sociétés d'Alain Ducasse autour d'un montage financier belgo-monégasque. À Monaco, la société Cooking Consultant est une « boîte noire dont on ignore les actionnaires, le chiffre d'affaires et les profits », y est-il écrit. Alain Ducasse indique en être l'actionnaire majoritaire.

Son groupe Ducasse Paris (100 millions de CA, 1 350 salariés) est placé sous la holding Ducasse Développement (« coquille belge qui n'emploie aucun salarié »). Mediapart questionne également la domiciliation réelle d'Alain Ducasse : les mécanismes d'optimisation détaillés dans l'article restent légaux si, et seulement si, le citoyen monégasque réside dans la principauté[25].

Fortune[modifier | modifier le code]

Le magazine Forbes estime les revenus annuels d'Alain Ducasse à $5 millions en 2008[26].

En 2012, selon le magazine Forbes, Alain Ducasse est le 6e chef cuisinier le plus riche du monde avec une fortune personnelle estimée à $12 millions, soit l'équivalent de 9,7 millions d'euros[27].

En 2015, le magazine Challenges estime la fortune d'Alain Ducasse à 82 millions d'euros faisant du chef la 500e plus grande fortune de France[28].

Prise de position politique[modifier | modifier le code]

Le , il appelle à voter pour le candidat En marche ! Emmanuel Macron à l'élection présidentielle.

Après sa victoire, il est chargé d'organiser le déjeuner de Vladimir Poutine avec le chef d'État français au château de Versailles le et le dîner de Donald et Melania Trump avec le couple présidentiel français dans le restaurant Jules Verne de la tour Eiffel le [29].

Groupe Alain Ducasse[modifier | modifier le code]

Par le biais du Groupe Alain Ducasse, il rachète des restaurants, ouvre des hôtels, conclut des partenariats dans le monde entier. Le groupe compte plus de 1 400 collaborateurs à Monaco, en France, aux États-Unis, au Japon, au Royaume-Uni, en Suisse, en Chine, à l'île Maurice, au Maroc, en Tunisie, en Italie ou encore au Liban.

Le groupe Alain Ducasse enregistre un chiffre d'affaires de 100 millions d'euros pour l'année 2021[30].

1998 : il crée le Spoon, Food & Wine à Paris qu’il décline en :

1999 : il devient président de la chaîne Châteaux et Hôtels de France, une chaîne de plus de 500 établissements de prestige. Il crée :

2000 :

2001 : il obtient trois étoiles pour son restaurant Alain Ducasse du Plaza Athénée après cinq mois d'activité.

2002 :

  • Il reprend le restaurant-bar Iparla de Bidarray au pays basque
  • Il reprend le bistrot Aux Lyonnais de Paris.
  • Il crée Le boulangépicier à Paris.
  • Bloomberg News estime le chiffre d'affaires de l'ensemble des activités de son groupe à $15,9 millions pour l'année 2002[32].

2003 : il crée

  • Le Mix, son second restaurant à New York.

2004 : il ouvre

2005 :

2007 : à partir du , il gère la concession de neuf ans des restaurants de la tour Eiffel (associé à Sodexo) :

  • Altitude 95 : restaurant du 1er étage
  • Le Jules Verne : restaurant gastronomique du 2e étage (jusqu'en 2018)
  • Les points de restauration rapide situés sur le parvis, aux 1er et 2e étages

Le  :

  • Alain Ducasse at The Dorchester à Londres : ouverture du restaurant gastronomique, 2 étoiles au Michelin Great Britain 2009. Meilleur nouveau restaurant 2009 au Zagat.

2010 : Le Alain Ducasse at The Dorchester obtient 3 étoiles au Michelin Great Britain.

2013: Alain Ducasse reprend le bistrot Allard dans le 6e arrondissement rue Saint-André-des-Arts, en plein centre historique de Paris. Le , il reprend les cuisines du palace Le Meurice[33].

2015 : Alain Ducasse se sépare de son associé historique Laurent Plantier et prend seul les rênes du groupe.

Le chiffre d'affaires 2015 généré par ses activités est de 44 millions d'euros.

2016 : Au sein du château de Versailles, dans le pavillon Dufour, il ouvre le Ore ("bouche" en latin, désignant ici la bouche du roi), un restaurant contemporain à la carte variée proposant la journée des classiques de la cuisine française comme des assiettes légères, des desserts et des pâtisseries. Le soir, le restaurant se privatise pour proposer un dîner rappelant les grands festins royaux du règne de Louis XIV[34].

Le groupe Alain Ducasse ne possède quasiment aucun de ses restaurants. Il est rémunéré par redevances pour ses activités de conseil (placement de personnel en cuisine ou en salle, définition des menus…).

Alain Ducasse a repris avec son partenaire Guillaume Multrier, le fondateur du groupe Hotel & Food Disrupt Partners, l'établissement de Marc Meneau, L'Espérance à Saint-Père[35].

Il achète dernièrement[Quand ?] 20 % du holding[réf. nécessaire] de la société de bourse Vega Finance[36].

2018: au sein de la Maison de la Mutualité, le restaurant Cucina Mutualité[37] ouvre ses portes en .

2019: Le magazine Challenges estime le chiffre d'affaires annuel du groupe Alain Ducasse à 115 millions d'euros en 2019[38]. En juin 2019, Alain Ducasse cède 51% de ses écoles de cuisine Ducasse Education au fonds de private equity Eurazeo. Alain Ducasse reste actionnaire minoritaire de Ducasse Education à hauteur de 49%[39].

Publications[modifier | modifier le code]

Livres de cuisine[modifier | modifier le code]

  • La Riviera d’Alain Ducasse, avec Marianne Comolli, éd. Albin Michel, 1992, 295 pages
  • (en) Spoon, food and wine, Agnès Viénot éditions, 1999.
  • Rencontres savoureuses. Petit traité de l’excellence française, éd. Plon, 1999
  • Dictionnaire amoureux de la cuisine, éd. Plon, coll. « Dictionnaire amoureux », 2003, 570 pages, (ISBN 978-2-259-19713-7)
  • (en) Spoon Cook Book, avec Christophe Moret, Frédéric Robert, Massimo Luvara, David Belin, Les éditions d’Alain Ducasse, 2006, 456 pages
  • Nature : Simple, sain et bon, Les éditions d’Alain Ducasse, 2009, 352 pages
  • Le Petit Nicolas & Alain Ducasse font des gâteaux, IMAV éditions, 2016 (Prix littéraire Culture-Gastronomie 2016)
  • Le Grand livre de la Naturalité, Alain Ducasse Édition, 2020, 480 pages, (ISBN 978-2-37945-068-6)

Encyclopédie culinaire[modifier | modifier le code]

En 2001, Alain Ducasse fait paraître le premier tome d'une nouvelle encyclopédie culinaire: Le Grand Livre de Cuisine d'Alain Ducasse. Pour l'éditer il fonde également une maison d'édition : De Gustibus / Les éditions d'Alain Ducasse. Chaque tome fait appel à ses collaborateurs : Jean-François Piège, son chef pâtissier de toujours Frédéric Robert, Christophe Saintagne, etc.

  1. Grand Livre de Cuisine d'Alain Ducasse, 2001 (Éditions Alain Ducasse) (ISBN 2848440007), (ISBN 978-2848440002), Vainqueur aux Gourmand World Cookbook Awards
  2. Grand Livre de Cuisine d'Alain Ducasse : Desserts et pâtisserie, 2002 (Éditions Alain Ducasse), par Frédéric Robert, (ISBN 2951647352)
  3. Grand Livre de Cuisine d'Alain Ducasse : Bistrots, brasseries et restaurants de tradition, 2004 (Éditions Alain Ducasse), (ISBN 284844052X), (ISBN 978-2848440521)
  4. Grand Livre de Cuisine d'Alain Ducasse : Méditerranée, 2004 (Éditions Alain Ducasse), (ISBN 2951647360), (ISBN 978-2951647367)
  5. Grand Livre de Cuisine d'Alain Ducasse : Tour du monde, 2007 (Éditions Alain Ducasse), (ISBN 2848440392), (ISBN 978-2848440392)
  6. Grand Livre de Cuisine d'Alain Ducasse : Best Of, 2010 (Éditions Alain Ducasse), (ISBN 2841233081), (ISBN 978-2841233083)
  7. Grand Livre de Cuisine de Joël Robuchon, 2013 (Éditions Alain Ducasse), par Joël Robuchon, (ISBN 2841236188), (ISBN 978-2841236183)

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Filmographie[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Les vies cachées du chef étoilé Alain Ducasse », sur Les Echos, (consulté le )
  2. « Alain Ducasse | DUCASSE Paris », sur www.ducasse-paris.com, Site officiel (consulté le ) : « Né en 1956 dans une ferme des Landes, Alain Ducasse découvre très tôt le goût des produits. »
  3. Icon-Icon, « Des Etoiles et Des Chefs Iconiques: Alain Ducasse... », sur ICON ICON, (consulté le )
  4. a b c d et e Guillaume Delacroix, « Alain Ducasse, dur à cuire », Vanity Fair no 14, août 2014, pages 88-95 et 152-154.
  5. a et b Eric Delon, « Les dessous de la galaxie d'Alain Ducasse », sur Capital.fr, (consulté le )
  6. « Alain Ducasse, seul survivant d'un crash d'avion... », sur purepeople.com, (consulté le ).
  7. « A 18 jours de l'an 2000. Repas trois étoiles pour le Concorde et AOM. », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  8. « Châteaux & Hôtels de France joue la carte de la restauration », sur lsa-conso.fr (consulté le )
  9. TH, « Châteaux & Hôtels Collection ouvre son capital à ses adhérents - TendanceHotellerie », sur www.tendancehotellerie.fr (consulté le )
  10. « A l'école de cuisine d'Alain Ducasse », leparisien.fr,‎ 2009-10-27cet07:00:00+01:00 (lire en ligne, consulté le )
  11. « L'Ecole de cuisine Alain Ducasse »
  12. « L’École Ducasse Paris Campus fête ses 1 an », sur Food & Sens, (consulté le ).
  13. (en) « Alain ducasse institute philippines launches its new certificate in pastry arts program », sur Dine Philippines, (consulté le ).
  14. (en) « École Ducasse launches in India », sur Traveldine, (consulté le ).
  15. « Paris : la péniche d’Alain Ducasse naviguera le 6 septembre », leparisien.fr,‎ 2018-08-22cest18:22:32+02:00 (lire en ligne, consulté le )
  16. 19/05/2021, Le Point : https://www.lepoint.fr/gastronomie/gastronomie-alain-ducasse-et-le-plaza-athenee-c-est-fini-17-05-2021-2426782_82.php
  17. Par Laurent Guez Le 25 août 2022 à 19h17, « « Je veux proposer les meilleurs biscuits du monde », confie le chef étoilé Alain Ducasse », sur leparisien.fr, (consulté le )
  18. « Food : Alain Ducasse ouvre Le Biscuit, sa nouvelle adresse gourmande à Paris ! », sur Paris Secret, (consulté le )
  19. « Drucker : la Légion d'honneur sans chichi », ladepeche.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  20. « Alain Ducasse », sur Atabula (consulté le )
  21. « ECKART 2017 – Honore les chefs Alain Ducasse et Michel Guérard », sur foodandsens.com, Food & Sens, (consulté le ).
  22. Toque d'or à vie et hors d'atteinte au niveau de la notation par le guide gastronomique qui crée en 2019 cette académie distinguant dix grands chefs de la gastronomie française. « Les impétrants doivent avoir obtenu, durant au moins trente ans, un minimum de 17/20 et quatre toques et prendre encore aujourd'hui une part active dans leurs(s) restaurant(s), précise la direction de Gault et Millau ». Cf Pierre Carrey, « Gastronomie. Le Gault et Millau lance la catégorie des intouchables », sur liberation.fr, .
  23. Alain Ducasse devient monégasque, lefigaro.fr.
  24. Dominique Poiret, « Alain Ducasse, naturalisé monégasque, perd la nationalité française », sur Libération.fr, (consulté le )
  25. Yann Philippin et Hélène Constanty, « La cuisine fiscale d’Alain Ducasse », Mediapart,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. (en) « Ten Top-Earning Celebrity Chefs », sur Forbes, (consulté le )
  27. « Les 10 chefs les plus riches du monde », sur L'Express, (consulté le )
  28. « Le classement 2015 des 500 fortunes de France », sur Challenges, (consulté le )
  29. Isabelle Spaak, « Dîner entre amis au sommet du monde », Le Figaro, samedi 15 / dimanche 16 juillet 2017, page 19.
  30. « Véronique Lartigue: «Avec Alain Ducasse, nous avons chacun notre périmètre» », sur Le Figaro, (consulté le )
  31. Atelier Gastronomique
  32. (en) « Cooking Up a Global Empire », Bloomberg.com,‎ (lire en ligne, consulté le )
  33. Colette Monsat, Hadrien Gonzales et Service Infographie, « Alain Ducasse reprend les cuisines du Meurice », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. « Septembre 2016 – Ouverture Restaurant ore – Ducasse au château de Versailles | Alain Ducasse », sur www.alain-ducasse.com (consulté le )
  35. « A. Ducasse et ses partenaires reprennent L'Espérance à Vezelay, établissement historique de Marc Meneau - Food & Sens », sur foodandsens.com (consulté le )
  36. « Vega Finance - Société de bourse, 148 bd Haussmann, 75008 Paris », sur mappy.com via Wikiwix (consulté le ).
  37. Site en ligne.
  38. Jean-François Arnaud, « Fortunes de la gastronomie: notre palmarès des chefs français », sur Challenges, (consulté le )
  39. « Le chef Alain Ducasse cède 51 % de ses écoles de cuisine », sur Les Echos, (consulté le )
  40. « Rencontre avec un seigneur de la gastronomie », sur www.allocine.fr